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(03/02/2010 16:39:10)

Une tablette Google Chrome pour contrer l'iPad

Après le Nexus One, rival déclaré de l'iPhone, Google prépare agalement sa riposte à l'iPad. Moins d'une semaine après la présentation en grande pompe de la tablette tactile d'Apple, le géant du Web a présenté en ligne un concept de tablette fonctionnant sous le futur système d'exploitation de Google, Chrome OS. Ce prototype met notamment l'accent sur la fonctionnalité multi-tâches, grande absente de l'iPad. Après les smartphones, la bataille entre Apple et Google pourrait désormais se porter sur le terrain de l'informatique et des tablettes. Ainsi, quelques jours après la présentation de l'iPad par Steve Jobs, Google a publié sur le site officiel du projet Chromium, à l'origine du navigateur Chrome et du futur système d'exploitation Chrome OS, une série de visuels et une animation vidéo d'une tablette exploitant Chrome OS.

Un développement maison


Conçu par Glen Murphy, designer de Google Chrome, ce concept laisse apparaître une tablette tactile de grande taille, visiblement plus large que l'iPad, un clavier virtuel dont la disposition à l'écran est personnalisable, et surtout, la prise en charge du multi-tâches. Cette fonctionnalité, qui n'est pas exploitée par l'iPad d'Apple, permet avec Chrome OS d'ouvrir simultanément plusieurs applications. Selon le site australien Smarthouse.com, spécialisé dans les nouvelles technologies, Google pourrait faire produire une tablette tactile en partenariat avec le fabricant taïwanais HTC. Les deux sociétés ont déjà collaboré pour produire le Nexus One, premier smartphone vendu sous la marque Google et concurrent de l'iPhone.


Site : www.chromium.org (...)

(03/02/2010 16:34:14)

Les cyber-attaques coûteraient 6,3 millions $ par jour

Réalisé auprès de 600 responsables de la sécurité informatique d'entreprises en charge d'infrastructures critiques (réseaux de télécommunications, transports, distribution d'électricité, production de pétrole et gaz), le rapport McAfee publié lors du forum économique de Davos (Suisse), le 28 janvier 2009, estime à 6,3 millions de dollars par jour le coût lié aux cyber-attaques. Cette étude intervient un mois après « l'opération aurora », la cyber-attaque menée en Chine contre Google. « Dévoilée par Google et identifiée par McAfee, cette attaque a été la plus sophistiquée vue depuis des années. Par sa nature ciblée et coordonnée, elle représente un tournant en matière de cyber-sécurité. » explique Dave DeWalt président de McAfee. Plus de la moitié des entreprises sondées ont également affirmé avoir déjà été victime d'une attaque Internet de grande échelle. Une situation critique selon Dave DeWalt: « Nous dépendons au quotidien des systèmes de transport public, de fourniture d'énergie et de télécommunications. Toute attaque contre l'un de ces secteurs provoquerait d'importantes perturbations économiques, des catastrophes au niveau de l'environnement, des destructions et mêmes des pertes humaines. » Des lois et un budget inefficaces contre la cyber-menace Malgré l'augmentation des lois contre la cyber-criminalité, plus d'un tiers des responsables informatiques (37 %) consultés ont déclaré que la vulnérabilité de leur secteur avait augmenté ces 12 derniers mois. Deux sur cinq s'attendent même à un problème majeur de sécurité au cours de l'année à venir. Seulement 20 % d'entre eux considèrent que le secteur est à l'abri des cyber-attaques graves pour les cinq prochaines années. McAfee affirme que les infrastructures critiques n'ont pas été conçues pour la sécurité. « En général, elles ont toujours misé sur la protection physique par des gardes, des portails et des armes, et se retrouvent avec une protection très limitée contre les cyber-menaces. » Enfin, deux tiers des responsables informatiques consultés par ce sondage soulignent que la récession a entraîné une réduction de leurs ressources en sécurité. Un sur quatre déclare que ces ressources ont été réduites de 15 % ou plus. Ces coupes budgétaires seraient particulièrement évidentes dans les secteurs de l'énergie, du pétrole et du gaz. (...)

(03/02/2010 16:11:25)

Les défis de Stéphane Richard pour relancer France Télécom

( Source EuroTMT ) En obtenant les pleins pouvoirs à la tête de France Télécom, Stéphane Richard l'ancien directeur de cabinet de Christine Lagarde, ministre de l'Economie, a pour principale mission de mettre fin définitivement à la crise sociale qui a frappé l'entreprise l'année dernière en la remobilisant. Si Stéphane Richard a su renouer les liens avec les salariés et leurs représentants depuis qu'il a pris la direction des activités françaises de l'opérateur en octobre dernier, la mission qui lui est confiée constitue un véritable défi qui risque de buter sur deux problèmes majeurs : l'incompatibilité du statut des salariés français majoritairement fonctionnaires avec les contraintes qui pèsent sur une entreprise privée cotée en bourse d'une part et, d'autre part, les contraintes concurrentielles et boursières qui limitent la marge de manoeuvre de l'opérateur. Sur le volet social, le problème remonte à 1995 quand le gouvernement Juppé (François Fillon était alors le ministre des télécoms) décida de transformer l'opérateur public en société de droit privé (en vue de sa privatisation) tout en acceptant de maintenir le statut de fonctionnaire des salariés. A l'époque France Télécom comptait près de 100 000 fonctionnaires. Mais avec la révolution technologique et l'arrivée de la concurrence, des « sureffectifs » sont apparus, alors que dans le même temps l'entreprise devait gérer la disparition de certains métiers et l'apparition ou la montée en puissance de nouveaux. Photo : Stéphane Richard aura les pleins pouvoirs à partir du 1er mars chez France Télécom. [[page]] Ne pouvant pas mettre en oeuvre des plans de suppression d'emplois compte tenu du statut des salariés, l'opérateur a utilisé des subterfuges pour faire maigrir ses effectifs (en 2008, l'opérateur comptait plus de 65 000 fonctionnaires sur un effectif total en France de plus de 100 000 salariés), débouchant sur la crise sociale de 2009. Or d'après des analystes, si France Télécom voulait aligner ses effectifs français sur ce qui se fait de mieux en Europe parmi les opérateurs historiques, il devrait les diviser au moins par deux. Cette réduction massive est évidemment impossible à mettre en oeuvre, mais en contrepartie l'opérateur tricolore voit sa capacité à réduire ses coûts être très limitée, dans un contexte où ses revenus sont sous pression. Deuxième problème : toute grand ambition industrielle va se heurter aux règles de la concurrence, comme le montre l'avis de l'Autorité de la concurrence concernant le projet de montée en débit de la sous-boucle locale. D'ailleurs, dans le FTTH, l'opérateur a fini par accepter de mutualiser ses infrastructures et ses investissements à venir dans les zones moyennement denses. Enfin, toute augmentation importante du niveau de ses investissements serait immédiatement sanctionnée par les analystes financiers, l'opérateur ayant alors du mal à respecter son objectif d'un free cash flow annuel de 8 milliards d'euros. Et toute baisse notable de ce free cash-flow l'amènerait aussi à revoir en baisse sa généreuse politique de rémunération des actionnaires. Une baisse que l'Etat, toujours principal actionnaire, ne verrait pas, non plus, d'un bon oeil. Dans cet environnement, la mise en oeuvre d'un grand plan re-mobilisateur est-elle encore possible ? (...)

(03/02/2010 16:03:03)

Tukwila, la dernière puce Itanium d'Intel, arrive enfin

Après de nombreux retards et des problèmes de développement reportant sa sortie depuis plusieurs semestres, Intel a déclaré mardi avoir commencé la fabrication de son processeur Itanium connu sous le nom de code Tukwila. En février dernier, Intel avait déjà reporté la sortie de la puce pour y ajouter des interconnexions plus rapides et un support pour la mémoire DDR3 notamment. En octobre, la sortie avait à nouveau été retardée pour permettra l'ajout d'éléments améliorant l'évolutivité des applications. Selon le blog d'Intel, le lancement officiel de la puce est cette fois fixé pour le premier trimestre de cette année. « Tukwila sera probablement lancé lundi, » a déclaré Nathan Brookwood, analyste chez Insight 64, ajoutant qu'il était « plus qu'un peu tard, », mais pas trop tard. Le marché des processeurs haut de gamme évolue à un rythme glaciaire, et les architectures complexes comme celles des Itanium demandent du temps pour la mise point et la fabrication. «Dans cette catégorie de marché, il est plus important de livrer la bonne puce plutôt que de la lancer trop tôt, » a ainsi déclaré Nathan Brookwood. « Les systèmes fonctionnant avec des architectures haut de gamme comme celles de l'Itanium doivent être robustes et fiables » précise-t-il encore. Cette annonce arrive peu avant l'International Solid State Circuits Conference, qui se tiendra à San Francisco du 7 au 11 février prochain, et où Sun Microsystems et IBM seront présents pour discuter de leurs processeurs pour serveurs haut de gamme. Intel fera une conférence de presse lundi, pour annoncer un nouveau produit, mais un porte-parole a refusé de confirmer s'il s'agissait de Tukwila. Une puce pour serveurs à haute disponibilité Processeur 64 bits gravé en 65 nm, Tukwila a été conçu pour fonctionner sur des serveurs à faible tolérance de pannes nécessitant. C'est le plus rapide des processeurs Intel Itanium, « jamais réalisé, » précise le constructeur. Il apporte de nombreuses performances et une architecture améliorée qui dynamisent les fonctions système. « Tukwila fait plus que doubler les performances de l'Itanium précédant et apporte plus d'évolutivité, de fiabilité ainsi que des fonctions de virtualisation», indique Intel. La puce qui intègre quatre coeurs , est une sérieuse remise à niveau de l'actuelle puce Itanium série 9100, nom de code Montecito, introduite en 2006. Elle est en concurrence directe avec les processeurs des serveurs haut de gamme proposés par Oracle/Sun (Sparc) et IBM (Power7 bientôt dévoilé). Même si Intel n'a pas eu beaucoup de succès avec son processeur Itanium - seuls quelques fournisseurs comme HP - qui a abandonné son PA-Risc - ont intégré ce type de puces dans leurs systèmes,« les fournisseurs attendent une mise à jour de l'Itanium pour rester en compétition avec le prochain Power7 d'IBM, » a indiqué Nathan Brookwood. « Malgré le retard, il n'y a pas d'incertitude sur l'avenir de l'Itanium : Intel a défini une feuille de route de six ans pour son processeur, » a-t-il ajouté. Poulson le successeur de Tukwila, qui sera gravé en 32 nanomètres, est déjà sur les rails (Intel n'a pas fourni de calendrier pour la livraison de Poulson) et Kittson déjà nommé pour lui succéder. Au cours du premier semestre 2010, Intel doit lancer d'autres puces serveur. Sont attendues les Westmere pour serveurs bas et milieu de gamme, mais surtout la Nehalem-EX, « la puce serveur la plus rapide d'Intel à ce jour, » selon Paul Otellini PDG d'Intel. Nehalem-EX, une puce huit coeurs, destinée aux systèmes haut de gamme gérant les bases de données, « fait nettement évoluer les serveurs x86, mais n'égale pas l'Itanium en matière d'architecture et de robustesse, » selon Nathan Brookwood. Les puces Itanium ont toujours été destinées à concurrencer les mainframe et grands systèmes Unix avec des solutions comme la gamme Integrity NonStop Server de HP. (...)

(03/02/2010 11:22:34)

Le marché des télécoms en 10 chiffres clefs

L'Arcep, le régulateur des télécoms a publié mardi son Observatoire sur le marché des communications électroniques en France au troisième trimestre 2009. Retour, en dix chiffres clés, sur la consommation des Français en matière de téléphonie mobile, téléphonie fixe et Internet. - 59,7 millions : c'est le nombre de cartes SIM pour mobile en service en France à la fin du 3ème trimestre 2009 (+5,8% par rapport à 2008), - 49,6 milliards de minutes : c'est le volume des appels fixe et mobile au 3ème trimestre 2009 (+1%), - 87 : c'est la moyenne de SMS envoyés par mois et par client de la téléphonie mobile. En tout cela donne 15,5 milliards de SMS envoyés rien que sur 3ème trimestre 2009, - 25 millions : ce sont les appels émis à destination des services de renseignements (-15,6%, décidément cette ouverture à la concurrence est un fiasco, couteux et générant la confusion chez le consommateur), - 15,4 millions : c'est le nombre des abonnés des réseaux mobiles 3G (+64,8% sur un an), - 1,8 million : ce sont les cartes SIM en circulation qui servent exclusivement à se connecter sur les réseaux 3G/3G+ depuis un terminal mobile de type netbook ou PC portable, l'internet mobile gagne du terrain, - 428 000 : c'est le nombre de numéros mobiles conservés lors d'une opération de portabilité lors du changement d'opérateur au 3ème trimestre 2009 (+120.000 en un an), la concurrence devient une réalité à petits pas, - 18,9 millions : c'est le nombre d'abonnements à l'Internet haut débit fixe en France(+10,2%), - 252 000 : c'est le nombre d'abonnés en France à l'Internet très haut débit (fibre optique et câble), - 8,1 millions : c'est le nombre d'abonnés à l'Internet par ADSL qui ont également la possibilité d'accéder à la télévision via leur ligne ADSL. (...)

(03/02/2010 11:22:41)

BeeCreative, deuxième édition du concours des entreprises innovantes de Lozère

Le Polen (Pôle Lozérien d'Economie Numérique) lance le deuxième concours d'entreprises innovantes BeeCreative. Visant à attirer de jeunes entreprises innovantes dans ce département très rural, il permet aux trois lauréats de gagner un hébergement de deux à quatre ans (dont six mois pris en charge) dans un incubateur, l'appui de plusieurs structures locales (dont un suivi scientifique et technique par l'Ecole des Mines d'Alès), un soutien financier et l'hébergement pendant six mois d'une famille de quatre personnes (pour faciliter les emménagements des créateurs sur place). Les candidatures sont ouvertes jusqu'au 17 mai 2010. Les gagnants seront connus fin juin et les lauréats pourront emménager début septembre. (...)

(03/02/2010 11:22:52)

Google Apps ne fonctionnera bientôt plus avec IE6

Les navigateurs obsolètes, c'est à dire qui ne sont plus maintenus par leurs éditeurs et ne sont pas conformes aux normes actuelles du web, vont progressivement être bannis des services Google. Leurs utilisateurs ne pourront donc plus accéder à ces services. Les services de Google vont en effet progressivement tirer parti de HTML 5 et des formes plus modernes de JavaScript. Google est ainsi le premier service extrêmement populaire à annoncer publiquement une telle migration technique qui va probablement se généraliser à l'ensemble du web (et aux applications en accès web sur les intranets/extranets) dans les années à venir. Google a diffusé auprès de tous les administrateurs américains de services Google Apps un avertissement en ce sens. L'offre de bureautique en mode SaaS Google Apps va en effet être rapidement concernée, avant les autres services. Au 1er mars 2010, le traitement de texte et le tableur en ligne seront ainsi migrées vers des technologies incompatibles avec Internet explorer 6 et d'autres vieux navigateurs. Les utilisateurs de ceux-ci subiront des désagréments et des dysfonctionnements croissants au fil des évolutions fonctionnelles (Google en annonce une centaine par an). Un peu plus tard dans l'année, beaucoup plus d'utilisateurs seront concernées puisque les services de courrier en ligne (Gmail) et de calendrier partagé associé vont à leur tour basculer. Microsoft incite également les utilisateurs à passer sur IE8 Google ne supportera désormais plus que Internet Explorer 7, Firefox 3, Chrome 4, Safari 3 et les versions plus récentes de chacun de ces navigateurs. Opéra, Konqueror, Epiphany, Camino, Maxthon, K-Meleon, Flock, Avant Browser, Sleipnir, Slim Browser et d'autres navigateurs marginaux n'ont pas été cités par Google dans sa communication. Internet Explorer 7 et 8 n'étant pas compatibles avec tous les systèmes d'exploitation de la famille Windows encore en place dans certaines entreprises (Windows 2000 et Windows 98 notamment), une migration vers des navigateurs compatibles avec davantage d'environnements (comme Chrome de Google mais aussi Firefox, compatible Linux et MacOS) peut être envisagée. Internet Explorer 6 a souvent été conservé dans certaines entreprises, capables de migrer leurs postes de travail vers des versions plus récentes de ce navigateur du point de vue du système d'exploitation, à cause d'applications proposées sur l'intranet et adaptées à cette seule version d'Internet Explorer qui ne respecte pas les normes W3C. Microsoft a lui-même incité les utilisateurs d'Internet Explorer 6, qu'il ne maintient plus, à migrer vers des versions plus récentes, notamment pour des raisons de sécurité. (...)

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