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(21/08/2008 08:59:16)
Au troisième trimestre, HP confirme dans les logiciels et plonge coté imprimantes
Pour son troisième trimestre fiscal 2008, achevé au 31 juillet, HP publie un chiffre d'affaires de 28 Md$, en hausse de 10%. Derrière ce pourcentage global se profilent des résultats contrastés avec des activités qui dépassent ces 10%, d'autres qui restent en deça. La médaille d'or revient à la partie logiciels, en hausse de 29% (781 M$), suivie par le financement avec +17% (680 M$). La division Personal Systems Group grimpe de 15% (10,3 Md$). Et HP met en avant la progression de ses PC portables, qui augmentent de 26% contre 6% pour les désormais moins prisés PC de bureau. Enfin, les services enregistrent une hausse de 14% (680 M$ de CA) surtout grâce à l'outsourcing. Parmi les activités moins en forme, on trouve les serveurs et le stockage qui ne progressent que de 5% (4,7 Md$). L'« Imaging and printing group » se traîne avec 3% de hausse (7 Md$). Enfin, le drapeau noir flotte sur les imprimantes qui plongent de 2%, avec une chute qui atteint même 9% dans la partie entreprises. Les Etats-Unis en berne Au plan régional, les Etats-Unis font grise mine avec 4% de progression et 11,6 milliards de dollars de CA, donc le tiers du CA total. En revanche, la région EMEA progresse de 16% (11,2 milliards de dollars), l'Asie Pacifique est au même niveau avec également 14% de hausse (et 5,2 milliards de dollars de CA). La plus forte progression vient des BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine) avec 24% de hausse pour 2,8 milliards de dollars de CA. Le bénéfice du troisième trimestre, en progression de 14% avec 2,03 milliards de dollars, est au dessus des prévisions de HP et des attentes des analystes financiers. Pour le quatrième trimestre, HP se voit à 30,2 ou 30,3 milliards de dollars de CA. (...)
(20/08/2008 16:03:25)Hypertransport augmente sa bande passante et réduit la consommation énergétique
Le consortium Hypertransport annonce la version 3.1 de sa spécification. Hypertransport est un bus local rapide utilisé par exemple entre le processeur et la mémoire, le processeur et les entrées-sorties ou entre plusieurs processeurs. Au programme de HT 3.1, une augmentation significative de la vitesse d'horloge à 3,2 GHz contre 2,6 GHz avec la version 3.0. Fort de sa technique de doublement du taux de transfert (DDR ou Double data rate), Hypertransport s'offre ainsi une bande passante de 6,4 Gigatransferts par seconde. En 32 bits, la bande passante agrégée atteint 51,2 Go/s théoriques. Mais le 16-bits restant le mode le plus courant, le consortium lui-même préfère parler de 25,6 Go/s. L'organisation profite par ailleurs de cette annonce pour valider la spécification HTX 3 destinée aux cartes mères de type E-ATX. Celle-ci triple la bande passante avec jusqu'à 5,2 gigatransferts par seconde (avec une vitesse d'horloge de 2.6 GHz) contre 1,6 gigatransferts par seconde précédemment. De plus, la connexion peut désormais être « coupée » en deux pour mieux partager la mémoire entre deux CPU par exemple. Un besoin de plus en plus courant pour les configurations multiprocesseurs à haute-performance. Activer ou désactiver la connexion en fonction de l'activité du système Green IT oblige, HTX3 intègre aussi des techniques visant à économiser l'énergie. Il devient possible pour le fabricant du périphérique utilisant Hypertransport d'activer et désactiver la connexion en fonction de l'activité du système. Le consortium technologique Hypertransport qui définit la technologie éponyme compte parmi ses membres AMD, Apple, Cisco, Dell, HP, IBM, NVIDIA, et Sun Microsystems. Selon l'organisation, en 2008, environ 63 millions de produits seront livrés avec la technologie 3.0, sachant que les versions 1.0 et 2.0 continuent d'intégrer certaines offres. A l'occasion de son événement développeurs IDF qui se tient actuellement à San Francisco, Intel ne devrait pas manquer de dévoiler la prochaine version de son QuickPath, grand rival d'Hypertransport. (...)
(19/08/2008 09:39:51)IDF 2008 : le "Green IT" tente de faire débat
Alors que l'Intel Developer Forum n'ouvrira formellement ses portes que le 19 août à 16h15 (heure de Paris), le fondeur a déjà entamé les débats. En plaçant ce 'Day Zero' sous le signe d'une tendance forte du moment : le "Green IT". Pour ce faire, il a organisé les Eco-Technology Great Debates, trois séries de tables rondes autour des mesures de l'impact énergétique des salles serveurs ou de leur configuration (haute densité ou non, salle classique en béton ou conteneur). Chacun suit sa propre voie Si l'affiche et les débats semblaient alléchants, le résultat a été plus qu'indigeste. En effet, si toutes les parties en présence semblaient d'accord sur la nécessité de contrôler les dépenses énergétiques des salles de serveurs et de leurs composants, chacun suit sa propre voie pour y arriver sans guère se soucier des autres. A charge pour l'utilisateur final de faire les choix d'un datacenter à l'autre suivant ses besoins du moment et les recommandations contradictoires de ses différents fournisseurs (y compris les éditeurs de logiciel). Pas de point commun entre les consortiums Green IT [[page]] Le meilleur exemple en a été la session "ICT Metrics from Silicon through Data Center" (Évaluations informatiques du silicium à la salle de serveur). Chaque consortium créé autour du "Green IT" récemment avait son représentant : Kathleen Fisher d'Intel pour Climate Savers Computing Initiative, Andy Rowson d'AMD pour le Green Grid, Katharine Kaplan pour l'EPA (Agence fédérale américaine pour l'environnement à l'origine de la norme Energy Star) et Ray Pfeifer pour le projet Energy Efficient Data Center Demonstration Center. Et chacun d'expliquer quelles sont les critères d'évaluation que prendront en compte les futures spécifications de son organisme. Sans qu'aucun d'entre eux n'ait un seul point commun : certains mesurent la productivité énergétique globale de la salle de serveur (Green Grid) quand d'autres s'attaquent à la consommation par coeur de processeur en activité ou en veille (EPA). Magnus Herrlin, président du cabinet de conseil ANCIS, basé à San Francisco, a même développé son propre indice, le Rack Cooling Index (RCI) pour vérifier l'efficacité des systèmes de ventilation d'une salle de serveur. Reste aux organismes de mesure à s'accorder entre eux Alors qu'il reste encore de nombreux points de contention, notamment en ce qui concerne les serveurs lames, l'EPA prévoit un troisième brouillon de sa spécification à venir pour la mi-octobre et une version finale pour janvier 2009. Le tout en collaboration avec les travaux de la Commission européenne. Climate Savers Computing Initiative annonce quant à lui avoir bientôt finalisé sa norme pour les postes de travail et s'attaquer désormais aux serveurs. Si pour Andy Rowson du Green Grid, "sans mesure il n'y a pas de contrôle", encore faut-il ne pas multiplier les outils sans les accorder entre eux. (...)
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