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(08/03/2011 15:24:58)
Digital Publishing Suite Entreprise d'Adobe met les tablettes à portée des éditeurs
La version Edition Enterprise de la suite Digital Publishing d'Adobe est disponible. Cette solution d'édition clé en main associant des services hébergés, une technologie de lecture et une intégration avec Adobe Creative Suite 5 (CS5) est destinée aux éditeurs pour créer, diffuser, vendre et rentabiliser la publication de magazines numériques, de journaux et de contenus en ligne. En particulier, la version Edition Enterprise met à la portée des éditeurs les tablettes sous Android, comme la Xoom de Motorola, la Galaxy Tab de Samsung, mais aussi le Playbook de RIM et les appareils mobiles sous iOS d'Apple, pour lesquelles ils peuvent créer des contenus numériques dédiés, sans perturber les processus de publication et les infrastructures existantes.
L'annonce de cette disponibilité vient après le communiqué d'Adobe indiquant que sa suite Adobe Digital Publishing sera compatible avec le système d'abonnement de l'App Store d'Apple et avec le Google One Pass pour les éditeurs de magazines et de journaux. « Le secteur de l'édition est dynamisé par l'émergence des tablettes tactiles. Grâce à elles, les éditeurs peuvent mettre en valeur leurs magazines et leurs publications dans des formats innovants, les proposer en abonnement aux lecteurs et offrir aux annonceurs un espace interactif dont l'impact est élevé, » a déclaré David Wadhwani, vice-président senior pour les Solutions Créatives et Interactives chez Adobe. « Le programme préliminaire mené par Adobe pour tester, en condition réelle, l'Edition Enterprise de la suite Digital Publishing, nous a permis de travailler avec certains des plus grands noms de cette industrie, et nous pouvons nous réjouir de la qualité du contenu qui sera accessible sur ces dispositifs. »
Une édition complète pour les gros éditeurs
La version Enterprise Edition de la suite Digital Publishing offre à tous les éditeurs, où qu'ils se trouvent dans le monde, une gamme de services hébergés et de fonctionnalités. Un service Production, qui permet de télécharger un contenu directement depuis Adobe InDesign CS5 et de le tester ; un service Distribution pour le stockage et la diffusion centralisée des publications numériques vers les tablettes sous Android, iOS, et RIM QNX ; un service de Commerce électronique pour la vente de contenu, par l'intermédiaire de places de marché mobiles, App Store d'Apple et Android Market, mais aussi via des réseaux de vente de contenu numérique au détail ou le site web de la maison d'édition ; un service Analyse qui offre des outils basés sur Adobe Marketing Suite pour analyser et optimiser le contenu éditorial et publicitaire Un service SiteCatalyst supplémentaire permet à l'éditeur d'obtenir des analyses plus approfondies. Enfin, la suite comprend également un outil de création de lecteurs de contenu personnalisés, pour prévisualiser, tester et élaborer des « lecteurs » propriétaires.
Essentiellement destinée aux gros groupes d'édition du marché - Bonnier, Condé Nast, le Groupe Globo Media, Martha Stewart Living Omnimedia et le National Geographic l'ont déjà adopté - l'Edition Enterprise de cette suite va ouvrir l'accès de titres, dont certains parmi les plus emblématiques, aux tablettes tactiles. « Depuis 100 ans, le National Geographic offre un contenu de qualité reconnu, » a déclaré Drew Onufer, vice-président pour les Produits interactifs et numériques au National Geographic. « Avec l'Edition Enterprise de la suite Digital Publishing et les logiciels de création d'Adobe, les consommateurs pourront profiter de ces contenus sur une grande variété de tablettes tactiles. Nous pourrons aussi diffuser plus largement nos contenus, en imaginant de nouvelles manières de les présenter. Nous venons de publier « 50 Grands Photographes » et nous avons de nombreux titres en cours d'élaboration. C'est un moment très excitant pour le National Geographic et pour l'ensemble de l'industrie de l'édition. »
Avec le ray tracing, Intel place le jeu sur mobile dans le cloud
Le fondeur est en train de mettre au point des puces et de réécrire des jeux pour la technologie du ray tracing. Celle-ci pourrait faire entrer le gaming dans le cloud, comme l'a indiqué Intel. Dans un futur proche, dès que ces nouvelles puces seront prêtes, les utilisateurs d'appareils mobiles pourront jouer à des jeux complexes en 3D, hébergés dans un cloud. Certes, il faudra une capacité élevée de calcul pour profiter du ray tracing en temps réel. Celle-ci sera fournie par des clusters de serveurs puissants, équipés de plusieurs processeurs, et par des unités de traitement vectoriel capables d'effectuer des tâches en parallèle, afin de délivrer des images précises aux tablettes et aux smartphones.
Pour l'instant, les appareils mobiles sont utilisés de manière occasionnelle pour les jeux, mais le hardware, de plus en plus sophistiqué, de ces appareils, est capable de traiter des graphiques en haute résolution. Par exemple, les capacités graphiques de l'iPad 2 d'Apple, annoncé la semaine dernière, ont été très améliorées comparativement à la version précédente. Désormais, l'Optimus 2X de LG est capable de lire de la vidéo en 1080p. De même, lors du dernier Mobile World Congress, certains ont déjà pu voir tourner un jeu Xbox 360 sur une tablette intégrant la future puce mobile de Nvidia, Kal-El. Daniel Pohl, un chercheur d'Intel, a indiqué dans un post que le fondeur avait réécrit Wolfenstein, l'un des premiers jeux de tir subjectif, pour la technologie ray-tracing, et précisé qu'il était très réaliste. « Dans une cour, Il y a une voiture rouge dont la peinture est très brillante, avec un effet de miroir sur la carrosserie. Avec le ray-tracing, il est possible d'obtenir un très bon rendu de cette scène, » a déclaré Daniel Pohl. « Avec le ray tracing les joueurs pourront par exemple voir les reflets sur la carrosserie de la voiture et repérer d'éventuels tireurs, » a ajouté le chercheur. Le ray tracing ajoutera également plus de détails visuels, les ombres notamment, de manière à renforcer les effets 3D dans un jeu.
Une importante capacité de calcul
Les écrans actuels sont capables d'afficher en millions de pixels, et chaque pixel reçoit un rayon lumineux pour être éclairé. « C'est un défi en terme de puissance de calcul nécessaire, » a déclaré John Owens, professeur agrégé en génie électrique et informatique à l'Université Davis de Californie. Il faut projeter des milliards de rayons en continu sur les objets afin de restituer avec précision les actions et l'univers changeant à l'intérieur d'un jeu. La modélisation est encore plus complexe s'il y a beaucoup d'objets en mouvement et une grande diversité de scènes dans le jeu. « La raison pour laquelle les cartes graphiques classiques ou la plupart des jeux ne sont pas conçus pour le ray tracing, c'est parce que cela demande des capacités de calcul très difficiles à fournir, » a déclaré le professeur.
Intel tente de relever ce défi avec sa puce serveur expérimentale, du nom de Knights Ferry, basée sur la nouvelle architecture MIC (many integrated core) d'Intel. Le processeur, annoncé en mai 2010 lors de l'International Supercomputing Conference, a été conçu pour le calcul graphique intensif et l'informatique haute performance. Knights Ferry comporte 32 coeurs x86, dotés chacun d'une unité de traitement vectoriel de 512-bit. Les core tournent à une vitesse d'horloge de 1,2 GHz, et la puce prend en charge OpenCL et DirectX de Microsoft, deux frameworks incluant des outils de programmation parallèle. Knights Ferry intègre également des caractéristiques de la puce Larrabee, qui devait être le premier processeur graphique d'Intel, et abandonné par le fondeur. En 2009, Intel avait même fait la démonstration des capacités ray tracing de cette puce lors de l'Intel Developer Forum dans un jeu intitulé Enemy Territory: Quake Wars, mais le public n'avait pas été convaincu par les performances.
Intel a annoncé que le premier processeur basé sur l'architecture MIC, sera la puce Knights Corner, laquelle comprendra plus de 50 coeurs. Selon les déclarations faites par un responsable d'Intel sur un blog en février, cette première puce, qui apportera le ray tracing aux jeux sur mobiles, devrait être lancée au cours du premier semestre 2012.
La récap IT de la semaine : iPad 2, Cebit 2011 et autres...
Du suspens, de la compétition, du show, des questionnements, sont autant de qualificatifs pour résumer cette semaine qui a vu le lancement de l'iPad 2 et l'inauguration de la grande messe de l'informatique à Hanovre le Cebit. Et c'est par ce dernier que nous commencerons. En effet, difficile dans les allées du salon de ne pas constater la course de vitesse des manufacturiers asiatiques sur les tablettes. De toutes les tailles (7, 9 ou 10 '') avec n'importe quel OS (Android, Windows 7, Linux), les ardoises « no name » s'affichaient en attendant le constructeur qui allait leur insuffler ce petit supplément d'âme et de magie.
D'âme, il en a été question lors de la fameuse présentation de l'iPad 2. Steve Jobs, bien qu'en arrêt maladie, a tenu en personne à assurer le show d'un produit éminemment stratégique. Mais au-delà des caractéristiques de la tablette d'Apple, c'est bien la pugnacité et le charisme de son PDG qui donne ce sel particulier à la success story de la firme de Cupertino. Les puristes regretteront l'absence de telles ou telles technologies ou support sur l'iPad 2, la rapprochant de l'évolution 3G vers le 3GS. Il y aura encore certainement des évolutions à venir, le charme n'est donc pas près d'être rompu.
Le cloud et autres...
En dehors des tablettes, le cloud demeure une tendance inexorable dans l'IT. De Software AG à Java en passant par SAP, Google, Intel, Juniper et la Chancelière Allemande, l'informatique en nuage fascine et inquiète en même temps. Angela Merkel a ainsi rappelé que cette transformation devait absolument s'accompagner d'outils de sécurité forts.
L'activité économique a été aussi importante cette semaine avec de belles acquisitions. Ainsi Facebook s'est offert un spécialiste de la messagerie instantanée mobile et Teradata acquiert Aster Data pour l'analyse des « Big Data ». Pour faire face à ces évolutions, les sociétés de conseils changent leur façon de travailler au risque de bousculer les habitudes de leurs collaborateurs.
A la semaine prochaine...
Google Entreprise dresse un bilan de son action en France
Google compte une centaine de partenaires indirects en France (800 en EMEA, 2 500 dans le monde). Des chiffres obtenus en deux ans. Leur profil est très variable : des « systems integrators » tels que Cap, des VARs (Revevol, gPartner, NRX), des sociétés de services (SQLI), des intégrateurs plus régionaux, des ISPs (comme les espagnols Jazztel ou Recol). Il peut s'agir également d'opérateurs télécoms. Google cite pour exemple: Vodafone, Verizon, Tata, des opérateurs qui souvent intègrent Google Apps dans leurs offres.
Ce tableau ne rend pas totalement compte de la complexité du channel Google. L'éditeur utilise aussi bien des partenaires qui sont dans le modèle classique de vente et d'intégration que des sociétés créées spécialement à ses côtés comme Revevol ou gPartner (pour « Google Partner » ) des « pure players ». Nous avons déjà parlé de Revevol . gPartner pour sa part compte 25 consultants exclusivement dédiés aux solutions Google Entreprise et déployés sur deux agences Paris et Lyon.
Depuis une semaine, ces partenaires peuvent certifier leurs consultants et ingénieurs. Google vient en effet de lancer un programme individuel de certification : « google apps certified deployment specialist ». Cette certification se passe en ligne avec un QCM d'une centaine d'items.
Réaffirmation de la valeur ajoutée des partenaires
L'idée est de bien identifier les services à valeur ajoutée que peuvent vendre les partenaires et donc les compétences nécessaires pour les déployer. « Nos partenaires bénéficient : de revenus récurrents, de la vente de services (activation, intégration, formation, développement, support), ils facturent le client, maîtrisent la relation client et la développent dans la durée », souligne Pascal Pignon, directeur du channel de Google France. La propriété du client étant devenue un point très sensible de la relation entre éditeurs et partenaires dans les formules Saas, Google réaffirme sa clarté sur ce point.
Il réaffirme aussi son apport technologique par sa plateforme web. Elle n'est pas qu'un support aux Google Apps mais permet d'assurer des développements spécifiques, comme dans le cas du projet Mederic déployé par Revevol. Les partenaires ont donc un rôle à jouer dans les formules « cloud », c'est le message que réaffirme Google. Même si la société n'est pas totalement en indirect, les partenaires que nous avons rencontrés (Revevol et gPartner) ce 3 mars, lors du bilan dressé par l'éditeur, témoignent de son appui, notamment du fait qu'il leur adresse les projets clients détectés. (...)
Océ devient le principale fournisseur des solutions d'impression de GDF Suez
Le parc estimé de machines est de l'ordre de 9 000 multifonctions. Le chiffre d'affaires induit devrait être de l'ordre de 55 millions d'euros. Le contrat n'a pas de durée précise mais devrait durer de 3 à 5 ans. En effet, il s'agit bien d'un référencement de fournisseur de matériels et pas d'une infogérance globale de parc, même si certains lots pourraient évoluer en infogérance. Certaines solutions proposées par Océ à GDF Suez proviendront de sa maison mère, Canon.
Gartner : Croissance modérée pour la vente de PC en 2011 et 2012
Cette année, il devrait se vendre 387,8 millions d'ordinateurs dans le monde. Selon les dernières prévisions de l'analyste Gartner, cela représenterait une hausse de 10,5% par rapport à 2010. Toutefois, ces prévisions ont été révisées à la baisse, car initialement la hausse devait s'établir à 15,9%. Même repositionnement pour l'année 2012 pour Gartner. Les ventes d'ordinateurs sont estimées à 440,6 millions, soit une augmentation de 13,6% par rapport à l'année précédente, contre 14,8% pour la première prévision.
L'analyste explique cette réévaluation par une demande en ordinateurs portables, véritables fers de lance du marché informatique, plus faible que les années précédentes, notamment en Chine. A travers le monde, les acquéreurs de PC portable hésitent de plus en plus à acheter ce type d'appareils au profit des tablettes numériques, comme l'iPad d'Apple.
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