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(17/12/2010 10:00:08)

LNA lance une tablette professionnelle

L'industrie du PC est actuellement parcourue par une vague d'annonces et de lancements effectifs de tablettes tactiles. Occupant logiquement le terrain médiatique, les grands fabricants ne sont pas pour autant les seuls à pouvoir pénétrer ce marché prometteur. LNA, une société de services et de distribution informatique (SSDI) qui réalise 60 M€ de chiffre d'affaires, vient ainsi de lancer sa propre tablette sans clavier pour entreprise qu'elle fait fabriquer en Asie par l'ODM (Original Design Manufacturer) AFIC. Son nom, le TiPad, s'inspire largement de celui l'iPad d'Apple. Mais la comparaison entre les deux produits s'arrête là, tant leurs différences techniques sont importantes.

Dotée d'un écran de 10,1'', la tablette de LNA fonctionne sous Windows 7 Familial Premium ou Professionnel. Elle embarque un processeur Atom d'Intel (1,66 Ghz), 2 Go de DRAM DDR2 et un disque dur SATA de 160 Go. Ses interfaces entrées sorties sont nombreuses : ports USB 2.0 (X2), connexion Ethernet, prise MiniVGA, micro intégré, sortie audio, prise microphone. Le TiPad dispose en outre d'un lecteur de cartes SD / MMC et d'une webcam intégrée (1,3 M pixel). Le wifi et la 3G font aussi partie de sa panoplie. Selon LNA, les prochains modèles devraient être équipés du GPS en standard. Ses points faibles résident dans son poids de 0,9 kg et son autonomie de 5 à 6 heures. Aux vues de ses caractéristiques techniques, son tarif de 590 €ht lui confère un bon rapport qualité prix.

"L'iPad d'Apple n'est pas adapté aux entreprises"

Si le lancement de ce type de produit par une SSDI peut surprendre, LNA n'en est pourtant pas à son coup d'essai dans le rôle de fabricant. La société proposait déjà un autre produit à sa marque, le PiBook, une tablette convertible durcie destinée aux collaborateurs en cols bleu de sa clientèle traditionnelle de grandes entreprises. Visant aussi le marché professionnel, le TiPad va s'adresser quant à lui aux cols blanc et gris. LNA profite ainsi du fait que l'arrivée des tablettes sur le segment grand public incite les entreprises à élargir l'usage qu'elle en faisaient jusqu'ici et donc le nombre de salariés équipés.

« Nous répondons à l'iPad et à ses équivalents avec un produit qui ne limite pas les entreprises », indique Thierry Martin, le président de LNA. La rareté des développeurs compétents dans l'environnement de la tablette d'Apple [Ndlr : l'iOS] rend la création ou l'adaptation d'applications trop coûteuse. En outre, dans le domaine du Wifi, Apple impose ses propres protocoles. Autre exemple, les tablettes tactiles des autres fabricants n'intègrent pas de connexion Ethernet à laquelle les entreprises tiennent pourtant ». Au-delà des aspects techniques, le patron de LNA pointe également le manque d'adéquation de la politique commerciale d'Apple autour de l'iPad avec le monde professionnel : « Même lorsqu'elle passe une commande importante, une entreprise ne peut pas espérer obtenir de rabais vraiment conséquents ».

Pour l'heure LNA estime que son TiPad n'a pas encore de réels compétiteurs sur le marché des entreprises. Cela ne devrait durer qu'un temps puisque nombre de fabricants devraient lancer des produits concurrents dans les mois qui viennent. De fait, la SSDI n'a pris pour l'heure qu'un risque limité. Son stock s'élève actuellement à 1000 pièces. A la fin du premier trimestre 2011, elle décidera ou non d'augmenter sa production. Si tel est le cas, elle pourrait alors élargir sa cible de prospections aux grosses PME.

(...)

(16/12/2010 17:25:08)

Amazon et VMware déplacent les VM vers le cloud

VM Import est adaptée à un certain nombre de scénarios de migration et de récupération en cas de désastre, selon un post du blog d'AWS. Cette fonctionnalité s'appuie sur VMware VMDK (Virtual Machine Disk Format) capable de gérer notamment les images de Windows Server 2008 SP2.

Pour importer des images, les services informatiques utiliseront des API d'Amazon EC2 (Elastic Compute Cloud) pour pointer vers une image de machine virtuelle dans leur environnement existant. Ensuite, ils préciseront le montant de la capacité de travail dont ils ont besoin et où ils veulent exécuter l'image sur la plateforme de cloud d'Amazon. VM Import transfèrera automatiquement le fichier image et créera une instance dans le cloud, souligne l'éditeur.

Pour déplacer la production, la machine virtuelle devra être arrêtée avant de générer l'image VMDK, selon une FAQ sur le site d'AWS. Par contre, la VM ne peut pas être mis simplement en pause. De plus, les disques et fichiers image chiffrés ne sont pas pris en charge. La durée pour importer une machine virtuelle dépend de la taille de l'image disque et du débit de la connexion réseau. Par exemple, l'importation d'une image de 10 Go prend environ deux heures à l'importation sur une connexion haut débit à 10Mbit/s. Le processus de conversion est gratuite. Mais les utilisateurs doivent payer pour la bande passante nécessaire pour le téléchargement ainsi que pour la capacité de stockage et de calcul, qui sont facturés au tarif habituel d'Amazon.

Des évolutions déjà anticipées

Amazon prévoit de rendre  Import VM compatible avec d'autres systèmes d'exploitation (différentes versions de Windows ou Linux) et d'autres plates-formes de virtualisation (comme Hyper V ou Xen). L'éditeur prévoit aussi d'intégrer, dans les prochains mois, son service via un plugin au sein de la console de gestion de VMware vSphere. Les gens qui souhaitent tester cette solution en bêta privée doivent envoyer un mail à toec2-vm-import-plugin-preview@amazon.com. Les entreprises qui souhaitent importer des instances Windows sur Amazon EC2 vers leur environnement virtualisé VMware pourront le faire via vCenter Converter.

(...)

(16/12/2010 13:13:52)

Avec Cloud Office, Oracle s'attaque à Google et Microsoft

Oracle vient d'annoncer l'arrivée de Cloud Office 1.0, une suite de productivité sur le Web vouée à faire concurrence aux applications bureautique en ligne de Microsoft et de Google. Cloud Office est intégrée avec la version sur site de la suite Open Office d'Oracle, dont la mise à jour 3.3 a également été annoncée hier.

Comme Open Office, la suite Cloud Office est basée sur le format ouvert ODF (Open Document Format). Composée d'un ensemble d'applications parmi lesquelles un tableur, un traitement de texte et un logiciel de présentation, elle est compatible avec Microsoft Office. Surtout, les utilisateurs peuvent l'utiliser pour travailler en mode collaboratif sur des documents via le Web et même y accéder avec leurs appareils mobiles (Oracle n'a encore pas fourni d'informations sur les terminaux avec lesquels il sera possible de le faire).

Oracle Cloud Office
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40 dollars contre 50 dollars pour Google Apps

Reposant sur une architecture adaptée au mode SaaS (software as a service), selon les termes d'Oracle, Cloud Office est commercialisée auprès des entreprises, sous le nom de Cloud Office Professional Edition. Elle est également proposée aux opérateurs de télécommunications et fournisseurs de services Internet, cette fois sous le nom de Cloud Office for Service Providers. Ces derniers pourront l'offrir en trois éditions, d'après ce qu'indique un document de présentation communiqué par Oracle : Home (pas encore disponible pour le moment), Standard et Professional Edition, à la fois pour tout un chacun et pour les utilisateurs professionnels.

Oracle Cloud Office
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Outre-Atlantique, le prix de la licence permanente pour Cloud Office Professional Edition a été fixé à 90 dollars, plus 22 % de frais pour la maintenance annuelle. La version Cloud Office Standard Edition coûtera pour sa part 40 dollars par utilisateur si elle est vendue par un opérateur de téléphonie ou un FAI, le support technique étant assuré par ces fournisseurs. Cloud Office est également disponible par abonnement : 40 dollars par utilisateur et par an pour l'édition professionnelle, 20 dollars/an/utilisateur pour l'édition standard. Le prix de Cloud Office pourrait conditionner favorablement le succès de la suite face à l'offre Google Apps pour les entreprises, qui coûte 50 dollars par utilisateur et par an.

Open Office 3.3, à partir de 50 dollars par utilisateur


Entre autres améliorations, la mise à jour d'Open Office en version  3.3 comprend des plug-in pour l'offre BI (Business Intelligence) d'Oracle et pour son progiciel de gestion intégrée, E-Business Suite, ainsi que pour l'offre de portail collaborative SharePoint de Microsoft.

Oracle a certes un long chemin à parcourir pour rattraper les suites bureautiques concurrentes, mais espère combler son écart en positionnant ses produits comme des alternatives plus souples et plus ouvertes. Destinée aux entreprises de un à 99 salariés, Open Office 3.3 Standard Edition coûte 49,95 dollars par utilisateur. La version Enterprise Edition, préconisée pour un minimum de 100 utilisateurs, comprend de nombreux outils et connecteurs supplémentaires. Elle est aussi compatible avec un plus grand nombre de plates-formes, l'ensemble pour un prix de 90 dollars par utilisateur.

Malgré certains surcoûts, Oracle pointe les économies

Rappelons que l'interopérabilité d'Open Office avec Microsoft Office comporte désormais un coût supplémentaire. Cette année, Oracle a en effet imposé une taxe de 90 dollars par utilisateur pour disposer d'un plug-in ODF qui permet le partage de fichiers entre Open Office et Microsoft Office. Jusque-là, le plug-in, alors propriété de Sun, était fourni gratuitement. Pourtant, Oracle maintient que, avec Open Office, les coûts de licence pour les outils de productivité bureautique pourront être divisés par cinq.

Cette année, Oracle a du affronter les critiques des supporters d'OpenOffice.org, la version open-source de Open Office. Certains craignent en effet qu'Oracle cesse de soutenir son développement. Plusieurs développeurs d'OpenOffice.org ont même mis sur pied un projet concurrent, LibreOffice, poussant Oracle à réaffirmer publiquement son engagement pour OpenOffice.org. Mais pour l'instant, Oracle n'a pas indiqué si Cloud Office serait également diffusé en version open source. (...)

(16/12/2010 10:40:26)

Un clivage numérique s'installe sur le multi-écran

TNS Sofres publie une étude sur la nouvelle fracture numérique. Elle comporte deux aspects, un positif, l'autre négatif. On peut voir de manière positive le fait que les fractures spatiales (mobile et haut débit) se résorbent. De même les connexions à Internet, depuis le domicile, sont-elles très répandues. 67% des français disposaient d'une telle connexion selon le Credoc en 2009, la proportion varie suivant l'âge de 60% pour les plus de 65 ans, à 99% pour les 15-24 ans.

Toutefois, note l'étude, une nouvelle fracture numérique apparaît avec l'arrivée du multi-écrans. De plus en plus de consommateurs ont plusieurs écrans de connexion possibles. 62% des français possèdent un ordinateur fixe, 31% ont un fixe et un portable, 28% une console de jeux, 20% un smartphone, 16 une console de jeux mobile, 8% un mini-ordinateur, 2% une tablette.  37% des français possèdent au moins un ordinateur et un smartphone, 37% chez les moins de 35 ans. Les clivages tiennent à l'âge et aux revenus, note l'étude.  En matière d'usage les critères de revenus sont le plus important. L'étude remarque également que  les usages du multi-écrans se portent vers la consultation des réseaux sociaux, la télévision, la consultation des mails.

Des blocages subsistent, avant un équipement plus large des français en multi écrans, estime TNS Sofres : une utilité marginale limitée (l'ordinateur suffit largement),  des équipements difficiles à utiliser (15% des utilisateurs de smartphones ou de tablettes les trouvent trop compliqués), des prix trop élevés (20% des français trouvent les smartphones et les ordinateurs portables trop chers), enfin ces appareils paraissent mal sécurisés.

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