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(17/11/2010 15:09:23)

Adobe livre un correctif d'urgence pour son Reader

Le bug le plus notable réparé dans la version 9.4.1 d'Adobe Reader pour Windows et Mac OS X concerne le composant « authplay » qui permet de lire les contenus Flash intégrés dans les fichiers PDF. C'est lui qui a été exploité pour mener avec succès des attaques utilisant des fichiers PDF infectés. Celles-ci ont permis aux attaquants de déposer un cheval de Troie et d'autres logiciels malveillants sur les PC sous Windows de leurs victimes. Ce n'est pas la première fois que l'« authplay » est pris pour cible par les logiciels malveillants cette année, la plus récente attaque datant de juin dernier. Dans la semaine qui avait suivi, Adobe avait expédié un correctif d'urgence pour son Player Flash, et un patch pour Acrobat Reader deux semaines plus tard.

Cette-fois ci, Adobe a réitéré son opération selon un calendrier similaire, corrigeant d'abord son Player Flash le 4 novembre, et maintenant son Reader et Acrobat. Cette méthode à deux niveaux est critiquée par certains qui font remarquer que les exploits sur « authplay » visent généralement Reader et non Flash. Adobe s'est défendu en expliquant que le correctif avait été conçu par son équipe de développement Flash, laquelle transmet ensuite la version corrigée de l'« authoplay.dll » à l'équipe de Reader qui se charge du test et de son intégration dans leurs produits.

L'autre vulnérabilité corrigée avait été rendue publique par la liste de diffusion sur la sécurité Full Disclosure ce mois-ci. À l'époque, Adobe avait déclaré que la faille pourrait être utilisée pour faire planter le Reader, mais pas Acrobat. L'éditeur avait également affirmé qu'il n'était pas certain qu'un ordinateur exécutant son logiciel PDF puisse être affecté par cette faille. Adobe a confirmé cette analyse dans l'avis accompagnant les mises à jour, indiquant que « celles-ci réparent une vulnérabilité de la mémoire qui pourrait conduire à une exécution de code. »

Pas de remise en cause du calendrier des mises  à jour

Le calendrier trimestriel prévu par Adobe pour livrer ses correctifs pour Reader et Acrobat est une fois encore bouleversé par l'obligation de publier des patchs d'urgence afin de réparer des bugs critiques dans ses logiciels PDF. Mais Adobe a rappelé aux utilisateurs que la prochaine mise à jour programmée du Reader aurait bien lieu comme prévu le 8 février 2011.

Seules les versions Windows et Mac de Reader et Acrobat ont été corrigées aujourd'hui. La mise à jour du Reader pour Linux/Unix ne sera pas disponible avant le 30 novembre prochain. Adobe a également reporté un patch pour l'ancienne version 8.x, vulnérable au second bogue. « L'éditeur prévoit de corriger Reader 8.x dans la prochaine mise à jour, » indique le communiqué. Aucun des bugs n'a affecté la version du Reader pour Android livrée au mois d'août. La dernière mise à jour du logiciel date du 5 octobre dernier, laquelle corrigeait 23 vulnérabilités du lecteur PDF d'Adobe.

Reader et Acrobat pour Windows et Mac OS X peuvent être téléchargés en utilisant les liens inclus dans l'avis de sécurité d'Adobe. Les utilisateurs peuvent aussi utiliser les mécanismes de mise à jour intégrés de chaque programme pour récupérer les dernières versions.

(...)

(17/11/2010 12:37:05)

Cisco adapte ses solutions de vidéoconférence à la virtualisation

L'utilisation croissante de la vidéo et de la vidéoconférence dans les échanges professionnels a obligé les constructeurs comme Cisco à chercher des produits adaptés à la virtualisation qui permettent à leur tour de stocker les données et d'améliorer les applications quand elles sont placées sur des serveurs au sein des datacenters pour fonctionner en même temps sur des bureaux virtuels et des applications pour appareils mobiles. « En général, la voix et la vidéo ne passent pas très bien en mode virtualisé depuis un datacenter, » a déclaré Barry O'Sullivan, vice-président de Cisco pour les technologies Voice. « Mais avec la nouvelle architecture de virtualisation VXI - pour Virtualization Experience Infrastructure - nous pensons avoir résolu ce problème. » Selon lui, le VXI pourra améliorer de 60% la densité des bureaux virtuels sur les serveurs. Disponible de suite, on sait encore peu de chose sur le VXI.

Premier des deux dispositifs, le VXC 2200 se présente comme une tour autonome de moins de 12 cm de hauteur, dotée de quatre ports USB et de deux ports vidéo. « Celle-ci peut trouver sa place entre un téléphone de bureau et un système de téléprésence, » a déclaré Barry O'Sullivan. Le VXC 2100, plus petit, se fixe quand à lui sur le dos d'un téléphone IP Cisco, peut être connecté à deux écrans de bureau traditionnels, et dispose de quatre ports USB pour être notamment relié à un clavier. Tous deux sont alimentés via un port Power over Ethernet et chacun est doté d'un processeur intégré permettant le décodage des protocoles de virtualisation. « Cela signifie que les entreprises peuvent conserver leurs données sur les serveurs dans les datacenter, plutôt que sur l'ordinateur de bureau ou le dispositif mobile de leur salarié, » a déclaré le vice-président de Cisco. Le VXC 2200 et le VXC 2100 devraient être disponibles en mars 2011 pour un prix inférieur à 500 dollars, avec clavier USB, souris et licence client. Ils supporteront VMware View 4.5 et Citrix XenDesktop.

Teleprésence, webconference, iPad et Cius


Cisco a par ailleurs annoncé deux nouvelles solutions de videoconference : le système de TelePresence EX60 et le système 500-32 pouces. Disponible d'ici fin 2010 au prix de 6 900 dollars, le EX60 et son écran 21 pouces haute définition peut facilement servir de moniteur de bureau. Quant au CTS 500 32 pouces, également disponible d'ici à la fin de l'année au prix de 23 900 dollars, il est plutôt destiné aux dirigeants pour leurs besoins de vidéoconférence. Il peut être fixé au mur ou placé sur un pied. Ces dispositifs pourront être géré par le système unifié Cisco Unified Communications Manager. Ce qui signifie que ce système de contrôle d'appel unique pourra être utilisé à la fois pour la vidéoconférence et la voix.

Une autre innovation combine WebEx de Cisco avec la vidéo de haute définition. Dans la nouvelle interface, il est possible d'agrandir l'image de la personne qui parle à l'écran et apporte plus de souplesse dans la manière dont sont organisées les images des documents partagés par les participants. Cisco a également annoncé que le nouveau WebEx Meeting Center et sa vidéo haute définition seront compatibles avec l'iPad d'Apple dès le mois de décembre, puis avec la tablette Cius attendue en mars prochain. L'équipementier a profité de l'occasion pour signaler que sa tablette serait compatible avec VMware View, Citrix Receiver, et avec le logiciel de virtualisation Wyse Pocket Cloud et serait capable d'interagir avec tout ordinateur sous Windows utilisé dans un datacenter. Enfin, Cisco travaille aussi à rendre ses outils de vidéoconférence interopérables avec les terminaux standards de l'industrie, y compris ceux de concurrents comme Polycom et LifeSize.

 

Illustration: VXC 2200

Crédit Photo: Cisco

(...)

(17/11/2010 12:47:59)

Les opérateurs mobiles misent sur la Galaxy Tab de Samsung

(Source EuroTMT) Il est vrai que, contrairement à Apple, Samsung mise sur les opérateurs pour la commercialisation de sa tablette multimédia. Alors que l'iPad n'est pas disponible chez les opérateurs, qui ne la subventionnent donc pas, SFR et France Télécom, les deux premiers à avoir annoncé leurs forfaits pour la Galaxy Tab, vont subventionner cette dernière massivement.

Selon SFR, le montant unitaire de la subvention opérateur s'élève à quelque 300 €. Ce qui explique un prix de vente quasiment identique pour France Télécom et SFR : 299 € pour le premier, 299,90 € pour le second. Cette aide à l'achat, proposée par les opérateurs mobiles à l'image de ce qui se fait dans les terminaux mobiles, explique d'ailleurs pourquoi la tablette de Samsung est souvent présentée comme un « iPad killer. »

C'est aussi la raison qui pourrait amener Apple, comme le parient déjà certains spécialistes, à modifier sa politique commerciale pour autoriser les opérateurs mobiles à vendre, en subventionnant, son nouveau gadget. Il faut dire que les prix de vente sont très élevés (à partir de 499 € pour le premier modèle uniquement Wifi) et peuvent constituer un frein à l'achat.

De la 3G, des services sur Samsung

D'autant plus que les forfaits 3G+ proposés par les opérateurs tricolores pour la Galaxy Tab sont bien plus généreux que ceux mis en place pour l'iPad. Les opérateurs mobiles préfèrent en effet que les acquéreurs de la tablette siglée par Apple se connectent en Wifi. Pour la tablette de Samsung, les deux opérateurs proposent un forfait permettant de consommer 1 Go par mois. SFR va plus loin avec un deuxième forfait « illimité », le débit étant toutefois réduit à partir d'une consommation supérieure à 3 Go par mois. Si SFR mise surtout sur le niveau de consommation de l'abonné, France Télécom a, pour sa part, décidé de se différencier par les services en proposant pour son principal forfait une gamme de services enrichis avec un bouquet de 60 chaînes télé, Deezer et le kiosque en ligne. 

De son côté, SFR repose l'essentiel de ses services sur ceux de Google, dont le système d'exploitation Androïd équipe la Galaxy Tab. Ces services sont enrichis de quelques fonctionnalités supplémentaires comme les jeux, le kiosque en ligne et la VOD. D'autre part, France Télécom propose aussi un forfait comprenant 2 heures de communication, alors que ce service constitue soit une option, soit un achat à l'acte chez SFR. Si les opérateurs misent donc beaucoup sur la Galaxy Tab, son positionnement demeure, néanmoins, très différent de l'iPad, en raison de la différence de taille significative de l'écran : 7 pouces pour le produit de Samsung, près de 10 pouces pour la tablette d'Apple. 

Si l'iPad est moins facilement transportable, son écran rend la navigation sur Internet et la lecture très facile et en fait un concurrent très sérieux pour les netbooks, contrairement à la Galaxy Tab, plutôt fait pour être un terminal de jeux ou de vidéo. (...)

(15/11/2010 11:04:46)

Les réseaux sociaux concurrenceront le mail

En fait, remarque le Gartner, le travail collaboratif a changé avec la convergence de plusieurs facteurs : e-mail, messagerie instantanée, réseaux sociaux. De nouveaux styles de collaboration émergent, avec des utilisateurs à l'aise avec les usages les plus récents. « La technologie est seulement un catalyseur, la culture est un must pour le succès », remarque Monica Basso, vice-président recherche chez Gartner.

Les nouveaux utilisateurs auront tendance à utiliser en parallèle réseaux sociaux et e-mail. "La distinction rigide entre e-mail et  réseaux sociaux va s'éroder," commente Monica Basso. "L'e-mail va prendre de nombreux attributs sociaux, tels que la recherche de contact, tandis que les réseaux sociaux les plus riches vont développer un service de messagerie." Microsoft et IBM l'ont bien compris en ajoutant des liens internes et externes aux réseaux sociaux, ce qui rend les services tels que les contacts, les calendriers et les tâches partageables à travers les e-mail et les réseaux sociaux.

La collaboration mobile va prendre de l'importance. Les entreprises doivent anticiper cette tendance, conseille Gartner.

Migration vers le cloud

Les outils de collaboration se transfèrent doucement vers le cloud, notent les analystes de Gartner qui s'attendent à voir de fort taux de croissance sur les ventes de services de réseaux sociaux s'appuyant à la fois sur des solutions installées en interne et proposées dans le cloud. Le cabinet d'études pense que les entreprises vont déployer des modèles hybrides dans lesquels certains services seront exploités en interne et d'autres dans le cloud. Il prédit que le pourcentage de comptes de messagerie reposant sur des services offerts dans le cloud progressera à 10% d'ici 2012, contre 7% en 2009.

Illustration (crédit photo : D.R.) (...)

(12/11/2010 10:31:48)

Semestriels Avanquest : Résultats en baisse mais CA en hausse

Avanquest publie ses résultats semestriels. Le chiffre d'affaires (CA) se monte à 40,5 millions d'euros (ME) en hausse de 4,8%. Le résultat net en revanche est négatif de -2,1 ME, il l'était déjà de -1,5 ME lors du 1er semestre du précédent exercice (2009-2010). Le résultat opérationnel courant est négatif de -0,4 ME.

L'activité a été positive pour le online en Europe et aux Etats-Unis, ainsi que pour l'OEM. Le offline est plus problématique notamment en Europe. Pour compenser des résultats contrastés, Avanquest explique attendre, comme tous les ans, des profits opérationnels sur le second semestre, grâce à l'effet saisonnalité et de nouvelles générations de logiciels.

Par ailleurs, Avanquest annonce le rachat de Micro Application, éditeur grand public, surtout présent en France.

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