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(20/03/2009 18:13:38)

Forrester souligne la maturité de la conférence Web et du CRM en SaaS

Avec la multiplication et la diversification des offres de logiciels fournis en ligne comme un service, en mode SaaS -software as a service-, toute entreprise peut désormais être amenée à choisir, à un moment ou un autre, entre des solutions hébergées et des solutions classiques, à installer en interne. Or toutes les catégories d'applications hébergées n'ont pas atteint le même degré de maturité. Le cabinet d'études Forrester s'est penché plus particulièrement sur quatorze d'entre elles pour guider le choix de ceux qui, dans l'entreprise, prennent les décisions d'achat de logiciels. En décembre dernier, une enquête du même cabinet, mené en Europe et en Amérique du Nord, révélait que 21% d'acheteurs de logiciels en entreprise utilisaient déjà ou devaient superviser la mise en place d'un logiciel en mode SaaS, contre 18% en 2007. En revanche, des entretiens plus poussés mettaient en évidence le manque fréquent de connaissance et de visibilité des acheteurs sur les solutions SaaS. Une large palette de fonctions disponibles en mode SaaS De fait, au-delà des applications de gestion de la relation client (CRM), marché où les offres SaaS ont été popularisées par un éditeur comme Salesforce.com, on peut maintenant recourir à des applications en ligne dans presque tous les domaines, y compris pour gérer l'ensemble des processus métiers d'une entreprise, l'éditeur SAP lui-même s'étant lancé dans le développement et l'hébergement d'un ERP en mode SaaS (offre Business ByDesign). Dans son étude, Forrester a toutefois restreint sa sélection en se basant sur trois critères. Le cabinet analyse exclusivement des applications SaaS destinées aux entreprises, susceptibles de concerner la plus large cible d'acheteurs et de s'adresser indifféremment à tous les secteurs d'activité. Ainsi, volontairement, les analystes qui ont mené l'enquête (Liz Herbert, avec Christine Ferrusi Ross et Philipp Karcher) n'ont pas retenu de logiciels SaaS spécifiquement développés pour un métier. Seuls le CRM et la conférence Web en phase de croissance Le TechRadar de Forrester reste par ailleurs très centré sur les fournisseurs américains. On y trouvera donc peu d'offres proposées par des éditeurs européens, hormis SAP. Les quatorze catégories d'applications retenues couvrent les logiciels d'archivage et de récupération de données, les solutions décisionnelles, les outils de collaboration, les logiciels de CRM, les solutions de gestion des actifs numériques, les applications de gestion de contenu d'entreprise, les ERP, les logiciels de gestion des ressources humaines, les outils d'intégration de données, les solutions de help-desk et de gestion de parc informatique, les solutions de sauvegarde de données, les logiciels de gestion de la chaîne logistique, les logiciels de gestion de contenu Web et, enfin, les solutions de conférence sur le Web. Pour Forrester, sur l'ensemble de ces catégories, seuls les outils de conférence sur le Web et de CRM sont jugés en phase de croissance sur leur marché. A leur suite, le cabinet place la sauvegarde en ligne, la gestion de contenu Web et la gestion des RH. Pour ces derniers, en dehors d'acteurs comme ADP, on trouve beaucoup de solutions de niche, note le cabinet, et consolidation du marché aidant, désormais des suites plus élargies. Parmi les cinq catégories qui se détachent, trois seulement apporteraient une valeur ajoutée moyenne (sauvegarde et CRM) ou importante (conférence Web) à l'entreprise. Pour Forrester, les autres catégories ne sont pas encore sorties de leur phase de création et leur valeur ajoutée pour l'entreprise reste donc faible. Le SaaS bouleverse les règles d'achat des logiciels Le SaaS continue à investir d'autres domaines, note Forrester et, surtout, il bouleverse les règles du cycle d'achat des logiciels en permettant aux utilisateurs métiers d'en maîtriser le processus. Il devient possible de rechercher les applications en ligne, de les tester dans la foulée, puis de les déployer et de les administrer en ligne. Il est même possible, souvent, de leur ajouter des développements spécifiques, certaines plateformes proposant des outils de développement d'applications. Au départ, le volet services des applications SaaS était limité. Le succès du modèle aidant, Forrester fait remarquer que des acteurs reconnus du service, comme Accenture ou CapGemini ont développé des offres. Le cabinet d'études rappelle qu'une multitude de nouveaux entrants se bousculent au portillon du SaaS (start-up, fournisseurs soutenus par des investisseurs tout autant qu'acteurs bien établis de la IT). Un certain nombre d'entre eux disposent d'un incontestable potentiel, mais toutes ces offres sont encore bien neuves et n'ont pas fait leur preuve sur le marché. La sauvegarde en ligne prisée par les PME [[page]]Dans son TechRadar, Forrester a considéré chacune des catégories en fonction de deux axes, l'un figurant le stade de développement commercial des applications, l'autre exprimant la valeur ajoutée qu'elles apportent à l'entreprise. Ce deuxième axe prend en compte différents facteurs, en particulier les retours d'expérience, l'investissement requis, la capacité à permettre une transformation de l'activité, le caractère critique de l'application par rapport à l'activité, les problèmes liés à la gestion du changement et les conséquences sur le réseau. En se penchant sur chaque catégorie de façon indépendante, le cabinet d'études note qu'une offre comme celle d'Autonomy, sur l'archivage et la récupération de l'information, a été bien adoptée sur le marché des services financiers. La sauvegarde en ligne est prisée, surtout par les PME, mais, note Forrester, la récupération rapide de grandes quantités de donnés inquiète toujours. Le potentiel de la BI en SaaS est important du point de vue collaboratif Du côté des offres décisionnelles en mode SaaS, à côté d'un acteur reconnu comme Business Objects, on trouve beaucoup de petits éditeurs, peu connus. Néanmoins, juge Forrester, le potentiel de la BI en ligne est important car il permet notamment de déployer des scénarios de reporting collaboratif. Les offres de collaboration comme MS SharePoint en sont encore à faire leurs premiers pas en mode SaaS, tout comme les solutions d'ECM. Quant aux outils de gestion des actifs numériques en ligne, ils tentent encore peu. Seuls 7% d'entreprises envisagent d'investir dans une de ces solutions. Les outils d'intégration, une catégorie à part Outre Atlantique, des offres ERP comme celle de NetSuite ont rencontré un certain succès, mais dans la frange basse du marché. Les autres offres sont en phase de démarrage. Les outils d'intégration sont une catégorie à part. Ils ne sont pas nécessairement proposés en mode SaaS eux-mêmes, mais ils facilitent l'intégration de données entre applications internes et applications SaaS. Informatica, par exemple, permet une intégration de données avec le CRM de Salesforce.com. Sur le terrain de la gestion logistique, certains domaines ont adopté le SaaS. C'est le cas de la gestion des relations avec les fournisseurs (SRM), la gestion des événements au sein de la chaîne logistique (SCEM) et la gestion du transport. Enfin, Forrester évalue le délai nécessaire à chaque catégorie d'applications pour passer de la phase de création à la phase suivante : survie sur son marché, croissance ou équilibre sur la base installée. Dans la majorité des cas, le cabinet d'études estime qu'il faudra encore une à trois années à la plupart des applications pour passer à l'étape suivante. (...)

(17/03/2009 18:41:27)

Nec Computers et SAP livrent une solution ERP packagée

Baptisée « Nec Business in a Box », la solution concoctée par Nec Computers et SAP vise les PME. Elle associe une solution matérielle tout-en-un, fournie par le constructeur, et l'ERP (progiciel de gestion intégré) SAP Business All-in-One de l'éditeur allemand, livré dans sa version pré-configurée. Deux configurations type sont proposées, pour 100 et 200 utilisateurs. Elles comprennent un serveur destiné à l'environnement de production, un serveur réservé aux procédures de développement et de test et un troisième serveur pour permettre une reprise après incident. Hors licence SAP, la solution pour 100 utilisateurs, intégrée et testée en usine est proposée à 21 600 euros HT (incluant, préinstallé, le système d'exploitation Suse Linux Enterprise Server avec support, et la base de données MaxDB). Elle se complète d'un espace stockage partagé et de commutateurs Ethernet Gigabit redondants. La garantie associée est de trois ans sur site. L'application ERP peut être configurée sur le Web. (...)

(16/03/2009 16:17:49)

Le BPM en Saas de RunMyProcess distingué par Gartner

L'innovation est encore possible dans le domaine du logiciel en France : coup sur coup, RunMyProcess s'est vu décerner une distinction par l'ASP Forum puis par Gartner. Jeune éditeur français d'une solution de gestion des processus métier (BPM, Business process management), RunMyProcess donne la possibilité d'automatiser ses processus grâce à une solution en ligne, capable de se connecter aussi bien au système d'information local qu'aux services applicatifs en ligne (Saas, Software as a service). Connu pour ses quadrants magiques, Gartner publie aussi régulièrement des notices distinguant des « cool vendors » dans telle ou telle catégorie. Les éditeurs ou constructeurs ainsi distingués sont des start-up jugées prometteuses par le cabinet. En l'occurrence, dans son document « Cool vendors in Business process management, 2009 », Gartner met en avant six éditeurs (les Néerlandais Be Informed, Futura Process Intelligence et Pallas Athena, le Belge Denali, l'Indien Skelta Software, et le Français RunMyProcess), expliquant que « beaucoup d'avancées dans le BPM trouvent leurs racines dans de petites entreprises incubant les innovations pour créer de nouveaux business ». Insérer du BPM dans des offres en ligne où cela n'est pas prévu Gartner indique que l'offre de RunMyProcess peut convenir à toute entreprise « cherchant un moyen rapide et à moindre coût d'automatiser des processus métier, sans faire d'investissement significatif dans du logiciel ou des services professionnels, et sans s'embarquer dans des projets de longue durée ». Notamment, l'offre convient très bien pour insérer du BPM dans des offres en ligne où cela n'est pas prévu. L'analyste Michele Cantara cite l'exemple d'un client de taille conséquente (7 000 employés) ayant choisi de remplacer sa messagerie Lotus Notes par l'offre de Google, et auquel il manquait la composante workflow de documents, désormais comblée par RunMyProcess. Le 5 mars dernier, la start-up française recevait le trophée ASP et du Saas 2009 lors de l'ASP Forum, pour lequel avaient aussi été retenus Entreprise facile, Evenium, Kyriba, Qualys ainsi que Google Entreprise. La distinction par Gartner, comme cette récompense offerte par l'association pour la promotion des solutions applicatives en ligne, touchent beaucoup le cofondateur de RunMyProcess, Matthieu Hug : « Il s'agit de la première récompense de la communauté professionnelle, c'est gratifiant : un vrai encouragement. » (...)

(13/03/2009 16:03:03)

Microsoft veut réduire son empreinte carbone de 30% d'ici à 2012

Steve Ballmer, patron de Microsoft, vient d'envoyer un courriel à l'ensemble de ses équipes dans le monde pour les sensibiliser à l'objectif que la société s'est fixé : réduire, d'ici à 2012, l'empreinte carbone par salarié de 30%, par rapport au niveau de 2007. Sur son blog, le responsable de la stratégie environnementale de Microsoft, Rob Bernard, explique que le PDG a enjoint ses quelque 90 000 collaborateurs d'aider l'entreprise à atteindre ce but. En parallèle, il leur demande aussi d'accélérer le développement de solutions logicielles propres à soutenir cette action et de faire avancer la recherche scientifique dans ce sens. La semaine dernière, sur le Cebit de Hanovre, c'est l'éditeur allemand SAP qui annonçait sa décision de réduire son empreinte carbone de 60% par salarié, mais à l'horizon 2020. Microsoft aurait économisé 90 M$ l'an dernier sur ses déplacements Microsoft s'attelle à son objectif avec les mêmes moyens que les autres entreprises de son secteur : réduction de la consommation électrique dans ses bâtiments, dans ses bureaux et au niveau de l'activité quotidienne de ses salariés, révision à la baisse de ses voyages en avion, et hausse du recours aux énergies renouvelables. L'éditeur veut notamment développer l'utilisation de ses outils de communication unifiée, ce qui lui aurait déjà permis d'économiser plus de 90 M$ l'an dernier sur ses dépenses de déplacement. Rob Bernard ajoute également que Microsoft poursuivra ses efforts d'innovation sur la conception, la construction et la mise en oeuvre de ses datacenters. Sur son site de Redmond, la société de Bill Gates agrandit actuellement son campus (un projet d'1 Md$). Quelques-uns des nouveaux bâtiments disposent d'un système de refroidissement qui souffle de l'air frais depuis le sol, ce qui permet de réduire le recours aux systèmes d'air conditionné. A l'instar des autres acteurs de l'IT, Microsoft n'oublie pas de rappeler la contribution que peut apporter l'industrie informatique dans l'effort global de développement durable (réseau électrique intelligent, bâtiments intelligents, outils de téléprésence...). Tout récemment, l'éditeur a notamment complété son ERP Dynamics AX d'un tableau de bord environnemental permettant à ses clients de calculer la consommation énergétique globale de leur entreprise. (...)

(12/03/2009 18:03:54)

Convergence 2009 : Microsoft veut conforter son hébergement de CRM Online avant de l'étendre

Quelque 7 000 participants étaient attendus par Microsoft à La Nouvelle Orléans, du 10 au 13 mars, pour Convergence 2009, la conférence annuelle consacrée aux utilisateurs de sa gamme Dynamics. Celle-ci comprend quatre ERP (progiciels de gestion intégrés) et une solution de gestion de la relation client. L'éditeur attendait initialement 8 500 personnes. Si quelques annonces ont bien été distillées ici et là, comme un engagement de service à 99,9% sur l'offre hébergée CRM Online, les participants se sont avant tout déplacés pour échanger entre utilisateurs et faire le plein d'informations pratiques, au fil de 400 conférences, avec l'objectif de tirer le meilleur parti des applications qu'ils exploitent déjà. « Notre mission, c'est de vous fournir des outils pour dynamiser votre activité, vous aider à tenir et surmonter [les difficultés] », a confirmé Kirill Tatarinov, vice président de la division Solutions d'entreprise (Business Solutions), lors du discours inaugural, sans être très rassurant : « Beaucoup de gens font l'erreur de penser que [les problèmes économiques] vont s'arrêter et que la situation redeviendra normale. Mais ce ne sera pas le cas. Nous devons nous préparer au monde différent qui va émerger.» Un discours déjà tenu par Steve Ballmer en janvier dernier lors des résultats trimestriels de la société. Des tarifs promotionnels pendant Convergence Dans ce difficile contexte, Microsoft ne perd pas le Nord. Une réduction de 20% sur l'achat des produits et la maintenance est proposée pendant Convergence aux visiteurs intéressés par l'un des ERP : Dynamics GP, SL, AX et NAV (seuls Dynamics NAV et Dynamics AX sont vraiment commercialisés en France). Ceux qui sont plutôt tentés par la gestion de la relation client se voient offrir, pour vingt utilisateurs, un tarif de 10 dollars par utilisateur et par mois, sur un semestre, pour tester l'application Dynamics CRM Online. Cette version redéveloppée par Microsoft pour être fournie en mode SaaS est hébergée par l'éditeur lui-même aux Etats-Unis et au Canada. Dans les autres pays, dont la France, l'hébergement est assuré par des partenaires. La société de Bill Gates n'envisage pas de modifier ce schéma de commercialisation pour l'instant. « Le produit n'a que dix mois et demi d'existence, rappelle Brad Wilson, responsable de l'offre CRM. Nous voulons être sûrs que nous avons mis la bonne infrastructure en place pour le supporter [...] avant de l'ouvrir à des dizaines d'autres pays. » Une démarche de prudence proche de celle dont SAP fait preuve avec Business ByDesign. Sur Convergence, Brad Wilson n'a donc souhaité fournir aucune date de disponibilité dans un autre pays pour la version CRM Online hébergée par Microsoft. Des application de gestion pour la table tactile Surface A l'issue de sa présentation, Kirill Tatarinov a fait une incursion dans le futur en présentant quelques applications de la table tactile Surface dans le cadre d'un entrepôt. Dans cet environnement poussiéreux, où les utilisateurs se déplacent constamment, la table est ici présentée comme une alternative à l'ordinateur portable. Microsoft prévoit que des partenaires développent à l'avenir de telles applications, au cas par cas, pour leurs clients. (...)

(12/03/2009 08:29:27)

L'ERP Open Source de Compiere accessible depuis le cloud d'Amazon

Compiere annonce la disponibilité de son ERP Open Source depuis le cloud EC2 d'Amazon. Les clients de l'éditeur accèdent désormais aussi de cette façon aux modules de comptabilité, achats, gestion des commandes, gestion de la fabrication, gestion des stock et CRM de Compiere Cloud Edition. L'abonnement au service inclut le support applicatif, les services packs et l'accès aux mises à jour. Les clients de Compiere peuvent aussi choisir de disposer de services pour la mise en oeuvre, l'intégration et la définition d'images cloud personnalisées. Avec cette version de son logiciel, l'éditeur souhaite réduire les coûts de ses clients, accélérer les temps de déploiement de leurs environnements, leur donner les moyens d'ajouter des ressources à la volée et de réduire les dépenses d'infrastructure. Autant d'avantages que l'on prête au cloud aujourd'hui. Mais comme le rappelle Gary Barnett, analyste pour le cabinet de conseil The Bathwick Group, « la majorité des entreprises sont loin d'utiliser l'EC2 d'Amazon comme un jeu d'enfant ». A priori, Compiere destine plutôt sa version Cloud Edition aux PME qui ne sont pas encombrées par d'énormes quantités de données issues de SAP ou Oracle à migrer vers le cloud. Reste à savoir s'il s'agit d'une bonne idée. Une étude récente de Vanson Bourne émettaient de nombreux doutes sur l'intérêt des petites entreprises pour ce type d'environnements, auquel la plupart ne comprennent d'ailleurs pas grand chose. (...)

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