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(27/05/2008 09:45:02)
La standardisation des applications sans contact préoccupe Luc Chatel
Le secrétaire d'Etat chargé de l'Industrie et de la Consommation, Luc Chatel, annonce la création d'un forum des services mobiles sans contact. L'objectif principal est de réunir autour de la table tous les acteurs du domaine des applications sans contact créées grâce aux technologies de type NFC (Near Field Communication). "Un tiers des téléphones mobiles vendus dans le monde sera équipé d'une puce sans contact en 2011," a souligné Luc Chatel, lors d'une conférence de presse. Il s'agit dès lors de faire coopérer, "des acteurs qui n'ont pas l'habitude de travailler ensemble," a-t-il poursuivi. La répartition des revenus issus des applications sans contact Sont notamment concernés les opérateurs mobiles, les banques, la grande distribution, les opérateurs de transport (SNCF, ...) et les industriels (cartes SIM, composants NFC, téléphones mobiles, ...) afin de définir des standards d'intéropérabilité. Les questions à résoudre seront tant techniques qu'économiques. Il s'agit d'éviter la situation japonaise dans laquelle il y a autant de solutions que d'acteurs. Tous les sujets doivent être abordés dans le cadre de ce forum, y compris la répartition de la fameuse création de valeur, c'est-à-dire les modèles économiques de répartition des revenus entre les opérateurs mobiles et les banques en particulier, chacun ayant tendance à tirer la couverture à lui. Des accords bi-latéraux La démarche du ministre montre une volonté d'accélérer les déploiements d'applications sans contact même s'il ne débloque qu'un très modeste million d'euros pour inciter à l'arrivée d'une application en île de France en 2009. Reste que les vrais enjeux se résoudront par des accords spécifiques entre chaque opérateur et chaque banque, par exemple, en ce qui concerne les applications de paiement sans contact, telles qu'elles sont expérimentées déjà depuis plusieurs mois dans le cadre du projet Pegasus. Par ailleurs, le Forum devra estimer les coûts d'investissements et les bénéfices pour les consommateurs. Les opérateurs mobiles et les banques devront définir une charte de déploiement rapide des services mobiles sans contact. (...)
(26/05/2008 16:39:23)Une chaire de Business Intelligence à l'Ecole Centrale de Paris
L'éditeur Business Objects, spécialiste de l'informatique décisionnelle, s'est associé à l'Ecole Centrale de Paris pour créer une chaire de Business Intelligence. C'est un ancien de l'Ecole Centrale Paris, Hervé Couturier, aujourd'hui vice président produits pour l'éditeur français (racheté par SAP en 2007), qui est à l'origine de cette initiative. La chaire va s'appuyer sur les équipes de recherche et développement de Business Objects et sur l'ARC (Academic research center), créé par l'éditeur l'an dernier pour développer des contacts avec les centres de recherche académiques dans le monde. Elle profitera par ailleurs des compétences du laboratoire de Mathématiques Appliquées aux Systèmes de l'Ecole Centrale Paris. Avec cette chaire, l'éditeur cherche à susciter l'intérêt des étudiants pour les métiers et les technologies de l'informatique décisionnelle et à « transférer l'innovation issue du milieu universitaire vers les produits de Business Objects », précise-t-il dans un communiqué. Couvrir un spectre très large de la Business Intelligence « L'objectif de cette chaire de recherche et d'enseignement est de mener une recherche de haut niveau international, qui se traduira à court et moyen terme par des publications et le dépôt de plusieurs brevets, le but étant de développer des solutions innovantes pour l'entreprise, explique Frédéric Magoulès, co-directeur de la chaire de Business Intelligence à l'Ecole Centrale Paris. Dans le mois qui vient, un professeur et un maître de conférence vont être recrutés. La chaire devrait débuter le 1er septembre et une leçon inaugurale est prévue à l'automne 2008. » Frédéric Magoulès précise que l'enseignement associé à cette chaire sera dispensé aussi bien dans le tronc commun de l'école que dans les options, les filières spécialisées et dans le cadre de projets d'études. « Les étudiants bénéficieront d'un enseignement de pointe et d'un environnement d'accueil dans la chaire, l'objectif étant de couvrir un spectre très large de la Business Intelligence incluant la modélisation, le data-mining, l'interprétation des données, la visualisation de bases de données de très grande dimension, la modélisation de profils de comportement... » (...)
(23/05/2008 19:18:34)L'Afrique du Sud remet en cause la normalisation ISO d'OOXML (mise à jour)
Office OpenXML, normalisé fin mars, pourrait finalement ne plus l'être...Le SABS (South Africa Bureau of Standards, l'organisme de normalisation homologue de l'Afnor en Afrique du Sud) vient d'introduire un recours auprès de l'ISO contre la normalisation internationale de OOXML. Si ce recours aboutissait, la normalisation serait tout simplement annulée. Parmi les reproches formulés par le SABS, le fait que l'ISO n'aurait pas laissé suffisamment de temps aux membres des comités pour parvenir à un consensus, du fait d'une procédure en urgence (fast track). Et de souligner que l'organisme n'a pas publié la version finalisée de la norme dans le délai imparti de 30 jours après la normalisation, ce qui rend plus étrange encore cette urgence. L'ISO n'a pas donné de réponse officielle à cette plainte ; son porte-parole explique que l'organisme fera part de sa décision en juin, dans la mesure où la période pour faire appel court jusqu'à la fin du mois. (...)
(23/05/2008 17:12:45)Sapphire 2008 : SAP sur tous les fronts du marché PME
Les PME constituant les trois quarts de sa base installée (35 700 entreprises sur 47 800 clients), SAP n'a pas manqué de leur réserver nouveautés, démonstrations et sessions spéciales lors de ses conférences utilisateurs Sapphire (Orlando 4-7 mai, Berlin 19-21 mai). L'éditeur allemand dispose maintenant de trois progiciels de gestion intégrés (PGI/ERP) pour ce marché : SAP Business One (jusqu'à 100 salariés), Business All-in-One (pour les projets métiers), et l'application en ligne Business ByDesign, toujours en phase de pré-lancement dans cinq pays, dont la France. A Berlin, l'éditeur a annoncé pour les utilisateurs de SAP Business All-in-One une gestion de la relation client déclinée de son logiciel CRM 2007. Le produit devrait arriver dans quelques mois (été ou automne) et sera commercialisé par les partenaires revendeurs de l'offre. Bâtie sur la plateforme technologique NetWeaver, la solution couvre la gestion des contacts et des opportunités commerciales, le suivi des actions de marketing et du service au client. L'offre sera livrée préconfigurée afin de faciliter son installation et, ce faisant, de réduire la facture globale. Elle proposera un ensemble de scénarios inspirés des bonnes pratiques identifiées en matière de GRC, ainsi que des fonctions d'analyse intégrées. Un configurateur en ligne pour calculer le coût du projet SAP compte actuellement 11 700 clients de son PGI All-in-One dans le monde dont 1 048 en France. Pour cette offre, SAP a mis en ligne un outil de configuration qui permet à une entreprise de calculer le coût d'un projet All-in-One (licences, services et matériel) suivant les briques fonctionnelles qu'elle souhaite mettre en place. La version française de ce configurateur devrait être disponible sous peu. Dans l'Hexagone, All-in-One est mieux implanté que le produit Business One qui compte seulement 400 clients français, contre 18 690 dans le monde. Pour augmenter ses ventes sur Business One, la filiale française entend maintenant miser sur des partenaires capables de lui apporter un volume d'affaires significatif plutôt que sur « un volume de partenaires », a confié Walter Lenarduzzi, responsable de la division PME de SAP France. « Nous allons vous surprendre » Sur le premier trimestre 2008, l'éditeur allemand a gagné 1 600 nouveaux clients dans les petites et moyennes entreprises. « Chaque jour, vingt-six PME nous rejoignent », précisait à Berlin le président de l'activité PME globale chez SAP, Hans-Peter Klaey.[[page]] En revanche, l'éditeur a levé le pied sur le planning de l'offre SAP Business ByDesign, repoussant sa disponibilité générale de 12 à 18 mois et réduisant de 100 M€ les investissements prévus sur ce projet (lire à ce sujet sur www.cio-online.com l'analyse de Hans-Josef Jeanrond, analyste du Bitgroup : « Les aberrations de la bourse »). Hans-Peter Klaey explique qu'il convient de conforter l'architecture « mega-tenancy » utilisée pour l'hébergement. Celle-ci permet de gérer de multiples instances pour chaque client et de disposer ainsi d'un environnement très sécurisé, facilitant en particulier les opérations de maintenance. [mise à jour] « Pour la première fois, il s'agit pour nous de résoudre des problèmes [NDLR : techniques] que nous n'avions pas rencontrés jusque-là », a expliqué Henning Kagermann (à droite sur la photo), co-PDG de SAP, lors d'une conférence de presse sur Sapphire. En concluant avec un sourire : « Nous allons vous surprendre ! ». SAP veut préserver sa marge financière SAP reconnaît aussi prolonger la phase de lancement de Business ByDesign pour préserver sa marge financière sur ce projet, très stratégique pour lui. « Ce que nous allons livrer sera unique sur le marché, a confirmé Léo Apotheker, deuxième co-PDG (à gauche sur la photo), qui doit succéder à Henning Kagermann l'an prochain. « Il ne s'agit pas d'une application de gestion des opportunités commerciales [NDLR : faisant ainsi référence à Salesforce.com], mais d'une application de gestion intégrée complète conçue pour supporter les processus stratégiques de l'entreprise. » A Berlin, l'éditeur n'a pas lésiné sur les démonstrations de Business ByDesign. Pour l'instant, l'application compte 150 clients. Une demi-douzaine d'entreprises sont déjà en production en France, parmi lesquelles Arumtec (qui est venu témoigner sur Sapphire), Micropole Univers et, au Luxembourg, SOA People. (...)
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