Flux RSS

Progiciels

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

2426 documents trouvés, affichage des résultats 1521 à 1530.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(13/03/2008 14:36:55)

Convergence 2008 : Microsoft affirme l'importance de son offre progicielle

« On me demande souvent si Microsoft est sérieux dans le domaine des applications d'entreprise. C'est critique pour nous. » C'est avec ces mots que Steve Ballmer a lancé l'édition 2008 de sa conférence Convergence à Orlando (Floride), consacrée à sa gamme de progiciels de gestion d'entreprise, Dynamics. Dans son discours d'introduction, le patron de Microsoft a encore expliqué : « La décision la plus importante que j'ai prise - à moins que l'affaire avec Yahoo se fasse - a été d'impliquer [Microsoft] dans le domaine des applications d'entreprise. » Aujourd'hui, a-t-il affirmé, Microsoft est, en termes de chiffre d'affaires, « le premier fournisseur de logiciels d'entreprise ». Les trimestriels de janvier avaient d'ailleurs fait apparaître une nette progression des ventes de Dynamics. Le coeur du discours portait tout de même sur l'évolution de l'offre Dynamics et sur les services créés autour (en vertu de la stratégie Software + Services). Les participants ont ainsi eu droit en primeur à quelques informations sur Dynamics AX 2009, dont le lancement est prévu avant cet été. Parmi les nouveautés, on note l'intégration avec les solutions de communications unifiées de Microsoft, un module de gestion de la conformité, un outil de création de workflow afin que les utilisateurs puissent eux-mêmes définir leurs processus, ou encore l'extension des possibilités d'adaptation du produit à différentes langues et zones horaires. Microsoft dit également avoir tenu compte d'avis externes, au travers d'un portail, Microsoft Connect, ainsi que via un partenariat avec le département IT de l'Université de Copenhague (l'offre Dynamics étant développée à l'origine, et encore aujourd'hui en partie, au Danemark). Ce travail d'écoute se retrouve dans une trentaine de rôles, définis en fonction des types d'utilisateurs du progiciel. Il y a par exemple deux rôles pour les dirigeants, dont l'un concerne la gouvernance : en se connectant, ce dirigeant de société aura un accès direct à des indicateurs de performance et des informations liées à la conformité. [[page]] Steve Ballmer a aussi levé un coin du voile sur l'évolution de l'offre de gestion de la relation client hébergée, Dynamics CRM Live, prévue pour le troisième trimestre. Cinq cents clients seraient déjà en train de la tester, d'après le CEO de Microsoft. D'autres services en ligne devraient être disponibles pour accompagner le lancement de Dynamics AX 2009, dont des modules de paiement. Dans tous les cas, Steve Ballmer a promis que Microsoft continuerait de faire évoluer tous les logiciels de la gamme Dynamics, constituée par le rachat de plusieurs solutions. Face à Oracle, décrit comme essentiellement un concurrent, et SAP, partenaire et compétiteur, Steve Ballmer a expliqué que Microsoft pouvait très bien cohabiter dans les entreprises. Il y a, dit-il, « des divisions ou des processus pour lesquels il est franchement plus simple de prendre Dynamics AX ou un de nos quatre autres PGI et de l'adapter pour un processus spécifique ». Microsoft lui-même utilise SAP en interne pour ses principales opérations (paie, ressources humaines, comptabilité, etc.), mais a déployé Dynamics AX pour gérer la fabrication de ses consoles de jeu Xbox. Aux côtés de Microsoft pour délivrer ce message se tenait Ron Rittenmeyer, CEO d'EDS, qui a assuré que la société de services « gère plus de logiciels Microsoft que n'importe quelle entreprise dans le monde », quelque 3 millions de postes clients et 100 000 serveurs. EDS et Microsoft ont annoncé à cette occasion un élargissement de leur partenariat, EDS s'engageant à pousser l'offre de gestion de la relation client de Microsoft en Amérique du Nord et en Europe de l'Ouest. (...)

(12/03/2008 17:32:25)

Markess estime le marché de la gestion d'informations à près de 2 MdE

Pour Markess, le marché des logiciels et services autour des solutions d'EIM se montera à 1,940 milliard d'euros en 2008. Il faut dire que la définition du cabinet d'étude est large et laisse entrevoir plus d'opportunités pour les intégrateurs que pour les éditeurs. La gestion d'information d'entreprise, ou EIM (enterprise information management), regrouperait : moteurs de recherche en entreprise, gestion de contenu, décisionnel, analyse et traitement de l'information, KM (knowledge management, gestion de la connaissance), veille. D'après Markess, qui se base sur 200 interviews menées au mois de février, le marché de l'EIM devrait passer à 2,420 MdE en 2010. C'est 4% du marché total des logiciels et services en France, mais avec une croissance de 14% alors que le marché global croît de 6 à 7%. Ce marché est composé pour 60% de ventes de logiciels et pour le reste de prestations de conseils, d'hébergement, d'intégration. L'étude montre nettement la nécessité qu'ont les entreprises de recourir à des prestataires extérieurs sur ce marché. « Trois entreprises sur quatre recourent ou vont recourir à des prestataires extérieurs », estime Hélène Mouiche, auteur de l'étude. Et ce, pour une raison de fond : c'est un marché difficile à cerner, la gestion de l'information est à la fois structurée et non structurée, localisée en interne comme en externe et très mal partagée. [[page]]Pour les entreprises clientes, le besoin est donc difficile à formaliser, observe Markess. Seul le secteur banque-finance semble sensible à ce type de solutions. Le recours à la sous-traitance concerne d'abord le conseil pour des audits fonctionnels ou techniques, un travail sur les informations et l'accompagnement au changement. C'est 69% des demandes enregistrées dans l'étude. Viennent ensuite plusieurs prestations qui recueillent un peu plus d'une quarantaine de pour cent dans l'étude : le développement d'applicatifs spécifiques pour se rapprocher des problématiques métier, l'intégration (car il y a toujours un existant), la formation aux outils. Un tiers des entreprises interrogées souhaitent enfin passer par de l'hébergement, dont les ASP / Saas, pour des raisons qui tiennent aux volumes traités et au poids des informations. Dans deux tiers des cas, ces prestataires externes seront au moins deux, dans 60% des cas l'éditeur est accompagné d'u autre prestataire, le plus souvent un intégrateur, certains secteurs comme l'industrie, les médias, l'administration sont plus sensibles. Le salon Documation, sur la gestion de l'information et des documents, se tient jusqu'à demain soir au Cnit de Paris-La Défense. (...)

(10/03/2008 17:38:05)

Forrester et le CXP pointent le coût de support révisé de SAP

SAP vient de modifier les modalités de maintenance de ses applications de gestion pour ses nouveaux clients, avec le programme Enterprise Support. Certains analystes, parmi lesquels figurent Forrester et le CXP, jugent que les utilisateurs risquent de surpayer le service fourni. A partir du deuxième trimestre de cette année, les nouveaux ralliés aux progiciels de SAP ne pourront en effet plus bénéficier du support de base (Basic support), facturé annuellement 17% du prix de la licence payée. A la place, ils se verront proposer un support 7j/7 et 24h/24 certes plus étendu -comportant notamment un engagement de service (SLA) sur les temps de réponse, mais aussi plus coûteux, correspondant à un taux annuel de 22% (un prix équivalent à l'actuel support Premium de SAP). En revanche, il n'est pour l'instant pas prévu que les conditions changent pour les clients ayant déjà contracté leur maintenance. Les analystes font évidemment remarquer qu'à 22%, le coût de support des solutions SAP se retrouve au niveau de celui d'Oracle, l'offre de l'éditeur allemand perdant dès lors cet avantage compétitif sur son rival américain. Sur son blog, Vincent Lieffroy, analyste au CXP, précise qu'il juge « insuffisante » la proposition de valeur de la maintenance de la plupart des éditeurs, parmi lesquels Oracle et SAP. S'il considère tout à fait « justifié de payer pour un service de support », il rappelle que le coût de la maintenance est aussi censé inclure des évolutions fonctionnelles et technologiques. A cet égard, il juge que les nouveautés apportées dans le cadre de la maintenance par les éditeurs ne justifient généralement pas un tarif aussi élevé. Quant à Ray Wang, analyste chez Forrester, il met en garde les actuels bénéficiaires d'un contrat de support Basic à 17%. Selon lui, l'éditeur allemand pourrait bien chercher à harmoniser ses taux de maintenance à 22% sur l'ensemble de sa base. Bill Wohl, vice-président de SAP, rappelle que rien de tel n'est actuellement prévu. Lui ne présente pas ce nouveau programme de support comme une augmentation de tarif mais comme une adaptation de l'offre à la demande des clients. Selon une récente enquête de Forrester, un peu plus de la moitié des 215 professionnels interrogés estiment que 16% constituerait le plus juste taux de maintenance annuel pour les applications, alors que 1/5e des sondés situent plutôt ce seuil entre 10 et 12%. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >