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(27/09/2007 11:20:43)

En 2007, le marché français des PGI pèsera 1,66 Md€, selon IDC

(mise à jour) En France, le marché global des logiciels de gestion d'entreprise aura généré un chiffre d'affaires de près de 2,3 Md€ en 2006, en additionnant les revenus des licences et de la maintenance. C'est ce qu'indique l'étude que vient de publier IDC France. Le cabinet d'analyse souligne que ce chiffre d'affaires correspond à plus de la moitié du marché des applications et représente près du quart du marché total des logiciels en France. Quant aux ventes directement liées aux ERP (PGI, en français, pour progiciels de gestion intégrés), elles ne pèsent que 40 % du marché des logiciels de gestion d'entreprise, ces derniers couvrant quatre fonctions majeures : la comptabilité/finance, les ressources humaines, la gestion commerciale et la gestion de production (GPAO). Si l'on considère les seuls ERP, IDC France note que le marché a progressé de 10 % entre 2005 et 2006 pour atteindre un chiffre d'affaires de 1,5 Md€ en cumulant les revenus des licences (422 M€), de la maintenance (490 M€) et des services (609 M€). Pour l'année en cours, le cabinet prévoit une croissance de 9 % portant le chiffre d'affaires à 1,66 Md€ avec une partie maintenance qui progresse davantage (+11%) que les services (+9%) et les ventes de licences (+8%). 60 % des investissements viennent de l'industrie et des services aux entreprises Sans surprise, c'est toujours le secteur industriel, très friand d'outils de GPAO, qui s'équipe le plus en ERP (41% des 913 M€ provenant des revenus de licences et de maintenance en 2006), même si IDC signale qu'il est moins dynamique (+7% des ventes de licences et de maintenance) que la moyenne du marché. Il est suivi par le secteur des services aux entreprises (19% du total), qui, au contraire, enregistre une croissance supérieure à la moyenne (+10 %), et par celui du commerce et de la distribution (14% du total). Le secteur bancaire et financier compte pour 7% (environ 66 M€ de revenus) et celui de la communication et de la distribution de services pour 6%. On tombe à 4 % pour le secteur public, les assurances ne représentant que 2% des revenus du marché ERP, de même que la Santé et les transports. Parmi les secteurs dynamiques, outre les services aux entreprises déjà évoqués, IDC remarque que la banque/finance et la santé ont également augmenté de 10 % leurs dépenses de licences et de maintenance sur les ERP. Les grandes entreprises ont augmenté de 14% leurs dépenses autour des ERP En 2006, ce sont les grands comptes (plus de 2 000 salariés) qui ont le plus augmenté leurs dépenses d'ERP. Avec une progression de 14%, ils pèsent 30 % (270 M€) du total des achats de licences et de maintenance. Les entreprises de 500 à 2 000 salariés, qui ont fait progresser leurs dépenses de 8,2%, représentent quant à elles 34 % (310 M€) du marché licences/maintenance. Enfin, les PME de 100 à 500 salariés (20 % des acheteurs d'ERP) et les PME de moins de 100 salariés (16%) ont respectivement fait progresser leurs dépenses ERP de 6,6% et 6,1%. (...)

(26/09/2007 11:03:42)

Le rachat par Yahoo consterne les utilisateurs de Zimbra

Les utilisateurs des logiciels de collaboration et de messagerie de Zimbra sont consternés de voir Yahoo mettre la main sur leurs outils. Le rachat du premier par le second devrait être effectif dès le mois prochain ce qui ne laisse pas de les chagriner. Un sentiment partagé d'inquiétude et de contrariété se dégage clairement d'un forum de discussion ouvert par Zimbra pour recueillir les réactions de ses utilisateurs sur cette acquisition. Sur près d'une dizaine de pages, le fil n'a pratiquement enregistré que des impressions négatives. Zimbra a organisé la semaine dernière une conférence téléphonique ouverte à tous ses clients afin d'apaiser les craintes. Mais, pas plus cette conférence que les propos rassurants des collaborateurs de Zimbra sur le forum n'ont pu calmer les clients interrogés par nos confrères d'IDG News Service. Qu'est-ce qu'un acteur grand public peut bien faire d'un outil professionnel ? Matthew Day, responsable informatique de Langs Building Supplies, à Brisbane (Australie) juge l'avenir très incertain : « il y a beaucoup d'inquiétudes et de doutes autour de Zimbra en ce moment ». Dans son entreprise, 400 personnes utilisent cette suite, choisie de préférence à Microsoft Exchange et Xandos, de Scalix. Matthew Day comptait renouveler son contrat pour trois ans. Il se limitera à un an. Trop de questions restent sans réponse à son goût. Il se demande notamment si Yahoo, axé essentiellement sur le grand public, sera capable de comprendre les besoins des utilisateurs en entreprise. « En tant que responsable informatique, je n'imaginais pas un jour devoir utiliser un produit Yahoo. » Il s'inquiète aussi de l'influence négative du rachat sur les développements futurs de la suite de Zimbra. Un souci partagé par Dan Phillips, responsable informatique de Other World Computing, installé dans l'Illinois. « Jusque là, le principal souci de Zimbra, c'était de faire le meilleur produit. » Il redoute que ce ne soit plus l'objectif principal. Engagé depuis six mois seulement, il vient tout juste d'installer la version Open Source de Zimbra. « L'annonce du rachat par Yahoo m'a atterré et je suis loin d'être le seul dans ce cas. » Le PDG de Zimbra se veut rassurant Certains utilisateurs s'inquiètent de voir Yahoo désarticuler la suite pour l'insérer pièce par pièce dans Yahoo Mail. D'autres ne voient pas comment Zimbra pourra s'adapter au modèle économique de son acquéreur. Quant aux partenaires hébergeurs qui ont développé des services autour de la suite, ils s'interrogent aussi sur l'opportunité de poursuivre sur cette voie. Satish Dharmaraj, co-fondateur et PDG de Zimbra, tente de rassurer son monde. « Nous allons continuer à exister en tant qu'entité commerciale et nous allons dérouler notre stratégie comme prévu. » Le démantèlement de la messagerie de Zimbra ? Une crainte infondée qu'il qualifie de « paranoïaque ». Il rappelle que Yahoo Mail supporte 250 millions de clients alors que Zimbra s'adresse aux entreprises. Selon lui, l'équipe de Zimbra va aider à redéfinir et améliorer certaines portions de Yahoo Mail, au cas par cas. En commençant, apparemment, par Yahoo Calendar. Pour le reste, les versions hébergées de Zimbra seront maintenues. Ses utilisateurs peuvent donc se rasséréner, enjoint le patron de Zimbra, y compris ceux qui ont signé un contrat sur cinq ans. (...)

(26/09/2007 09:58:43)

Le marché français de la GRC consolide sa reprise

Selon IDC, le marché français de la GRC (Licences et maintenance) a progressé de 7,3% l'an passé comparé à 2005, générant ainsi 275 M€ de chiffre d'affaires. Pour 2007, le cabinet d'études est optimiste puisqu'il s'attend à une hausse de 6,4% des investissements des entreprises. Cette tendance actuelle à la hausse confirme la reprise entamée timidement par cette industrie depuis 2004 (+2,6% en 2004 ; +4,4% en 2005) après les trois années de recul qu'elle a connues entre 2001 et 2003. La hausse des ventes de licences et de prestations de maintenance profite en outre au marché des services autour des solutions de GRC. Il a cru de 7,4% à 1,3 Md€ en 2006. Avec une augmentation de 10,1% de ses dépenses en licences et en maintenance, le segment des entreprises de 500 à 2000 salariés est le plus dynamique. En 2006, ces dernières ont généré 28% des recettes du secteur. Les sociétés de moins de 500 personnes y ont contribué de leur côté à hauteur de 12%, grâce à une croissance de leurs investissements de 8,4%. Pilier du marché des logiciels et des services de maintenance liés à la GRC (60% des dépenses totales), les entreprises de plus de 2000 salariés n'ont toutefois vu leurs investissements progresser que de 5,8% l'année dernière. Les disparités dans l'augmentation des budgets constatées en fonction des tailles d'entreprises sont également observables par secteur d'activité. Ainsi, le monde de la banque-finance-assurance, qui représente 29% des débouchés du marché français de la GRC, est l'un des plus dynamiques avec des investissements en hausse de 7,9%. IDC pointe en revanche le fait qu'avec une croissance de 7% de ses dépenses, le secteur de l'industrie est un de ceux qui a enregistré la plus faible progression en 2006. (...)

(25/09/2007 18:19:03)

Premiers pas avec Symphony : les testeurs restent sur leur faim

Lotus Symphony essuie les critiques de ses premiers utilisateurs. Certes, ceux-ci saluent l'interface, impeccable, de la suite bureautique d'IBM basée sur la solution en Open Source OpenOffice. En revanche, ils pointent du doigt des problèmes de performances et de mise en place fonctionnelle, selon l'enquête menée par nos confrères de Computerworld. Symphony se lancerait et fonctionnerait avec lenteur, en réclamant plus de place en mémoire et sur le disque dur qu'OpenOffice. Elle offrirait en outre moins de fonctionnalités que son modèle ou que sa soeur, StarOffice, vendue 70 $ par Sun. Le blogueur Udo Schroeter, par exemple, estime qu'à telle enseigne, une nouvelle interface ne suffit pas pour passer d'OpenOffice à Symphony. Un autre testeur ajoute ne pas y voir non plus un « Office killer ». Rien de surprenant selon John McCreesh, responsable marketing du projet OpenOffice.org. Pour lui, les imperfections de Symphony doivent être imputées à l'utilisation d'un code source OpenOffice obsolète. Et sur son blog, il s'interroge sur les raisons qui ont amené « une entreprise de la stature d'IBM à essayer de faire passer pour nouveau un produit à la date de péremption dépassée ». Basée sur OpenOffice 1.1.4 La dernière version d'OpenOffice (2.3) a été livrée la semaine dernière et OpenOffice.org prévoit de fournir la 3.0 au printemps ou à l'été prochains, selon les indications fournies par Louis Suarez-Potts, responsable de la communauté OpenOffice.org, à l'occasion de la conférence annuelle des développeurs qui s'est tenue la semaine dernière à Barcelone. StarOffice, de Sun, est basé sur le code de l'actuelle version 2.x, initialement livrée il y a deux ans. La suite Symphony, elle, s'appuie sur OpenOffice 1.1.4, livrée en décembre 2004. « Le code a été considérablement réécrit depuis lors », se défend Don Harbison, directeur de l'initiative ODF pour IBM. « Symphony est en version bêta. Le travail n'est pas achevé, » reconnaît-il en soulignant néanmoins les travers d'une comparaison point à point avec d'autres suites. « Symphony est puissante, simple et elle se focalise sur l'essentiel. Elle procure les outils dont toute entreprise a besoin sans semer de confusion avec des fonctions qui ne sont pas demandées. En d'autres termes, rien de plus, rien de moins que ce qui est nécessaire. » (...)

(25/09/2007 17:40:15)

+20% pour les formations en logiciels libres en 2007

La formation est un bon indicateur de l'adoption d'une technologie par les entreprises. D'après la seconde édition de l'Observatoire des logiciels libres créé par deux spécialistes de la formation, Anaska et ib-groupe Cegos, le nombre de personnes formées aux logiciels libres a progressé de 20% entre 2006 et 2007. Preuve que les environnements ouverts séduisent toujours plus. Le succès de la plate-forme LAMP (Linux Apache MySQL PHP), notamment, ne se dément pas. Par ailleurs, le catalogue de formations s'enrichit désormais de sessions dédiées à un public moins technique : c'est le cas des outils de gestion de la relation client (comme SugarCRM,) et de solutions de reporting/décisionnel (comme JasperSoft et l'ETL de Talend). L'Observatoire note un engouement indéniable pour des formations autour du langage de développement Ajax et des outils du Web 2.0. Il montre aussi que si les sessions PHP portaient à l'origine sur le langage en lui-même, les entreprises cherchant désormais à se former aux techniques et architectures avancées. Elles sont demandeuses de cursus sur des frameworks comme Symfony et le Zend Framework, qui s'imposent peu à peu. Les formations aux outils décisionnels - BI et reporting - Open Source connaissent également un certain succès. Parmi les leaders, des solutions comme JasperSoft et Talend. Anaska et ib-groupe Cegos indiquent aussi que le nombre de personnes formées aux bases de données Open Source comme MySQL a progressé de 40% cette année, et que les entreprises s'intéressent à des contenus toujours plus pointus. Enfin, ils notent que le nombre de formations autour de Linux reste stable, les universités et les écoles d'ingénieurs proposant toujours plus de formations initiales. Et que les entreprises forment de plus en plus en interne sur la suite bureautique OpenOffice.org, dont les téléchargements ont progressé de 46% entre 2006 et 2007. (...)

(24/09/2007 17:52:06)

Forrester juge SAP Business ByDesign perfectible

Il reste à SAP une marge de progrès pour faire de Business ByDesign un produit vraiment séduisant. C'est en tout cas l'avis que Paul Hamerman, analyste de Forrester, a exprimé sur son blog à l'issue de la présentation, mercredi dernier, de l'offre de gestion en ligne pour PME de l'éditeur allemand, jusque-là connue sous le nom de A1S. Outre diverses considérations sur le travail restant à accomplir pour affiner les politiques de distribution, de partenariat et d'hébergement associées à SAP Business ByDesign, l'expert juge l'ergonomie du produit « peu intéressante ». Il regrette l'utilisation de polices de caractères trop petites et la présentation des données transactionnelles qui, à son goût, reprend trop celle du progiciel intégré phare de l'éditeur. Un autre point chagrine Paul Hamerman. Il s'étonne du prix unique (149 $ par utilisateur et par mois) alors que la solution est destinée à fonctionner sur la base de rôles différents suivant le type d'utilisateurs (même s'il note l'existence d'un prix réduit pour les utilisations limitées du produit). L'analyste appelle de ses voeux une stratégie de tarification qui s'adapterait aux différents rôles d'utilisateurs possibles, suggérant qu'une telle politique devrait susciter une adoption bien plus large du produit. Au-delà de ces remarques, Paul Hamerman reconnaît par ailleurs de nombreuses qualités à SAP Business ByDesign, notamment le caractère innovant de ses outils de configuration de processus métier. (...)

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