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(05/02/2007 23:00:23)
Les TechDays de Microsoft France égalent le TechEd paneuropéen
Avec 4000 participants environ à la première journée de ses TechDays 2007, Microsoft France fait sans complexe jeu égal avec les événements européens, TechEd et ITForum. Débutée lundi matin, la conférence utilisateurs se déroulera au Palais des Congrès de Paris jusqu'à mercredi soir. Plus de 200 sessions sont proposées, dans leur immense majorité en français. C'est la première fois que Microsoft France propose un événement d'une telle ampleur, de façon totalement gratuite. Un ancien de Microsoft France, croisé dans les couloirs, ironisait ainsi : « Pendant longtemps, Microsoft nous reprochait le fait qu'il y ait peu de Français au TechEd. Mais entre un événement gratuit et en français et un événement payant en anglais, il n'y a pas photo. D'ailleurs on voit le résultat : il y a eu 13 000 inscriptions ! » Côté contenu, si Vista est évidemment une des vedettes des sessions, sous plusieurs coutures (interface graphique WPF, nouvel outil de script PowerShell, sécurité, supervision...), l'événement cible tout utilisateur informaticien potentiel, du développeur à l'administrateur système, en passant par le spécialiste des réseaux, des progiciels ou des bases de données. Microsoft a répertorié les sujets en 21 thèmes. (...)
(29/01/2007 16:41:03)PDF soumis à l'ISO pour devenir un vrai format ouvert
Adobe a annoncé son intention de soumettre son format PDF au vote de l'ISO, afin de lui conférer le statut de standard international. Standard de facto, le Portable Document Format est largement utilisé, grâce notamment à la généralisation de son lecteur gratuit, multi-OS et (de moins en moins) léger. Dans une conférence de presse téléphonique, Pam Deziel, directrice marketing produits d'Adobe, a ainsi invité les journalistes à effectuer un « test non scientifique : une requête de documents PDF sur Google » pour évaluer la diffusion du format. Test effectué, le moteur retourne 271 millions de liens. Avec une telle emprise, Adobe aurait pu se contenter de rester sur sa stratégie actuelle, avec un format propriétaire mais « ouvert » au sens de documenté (ce qui permet de développer des générateurs de PDF sans payer de royalties). Il semble toutefois que les discussions sur les formats ouverts, nées principalement de la diffusion des concepts de l'Open Source, aient provoqué une prise de conscience chez les utilisateurs. « De plus en plus d'administrations et d'industries spécifient qu'ils veulent un standard ouvert », a indiqué Pam Deziel. « Ouvert », dans le sens cette fois d'un format dont les spécifications dépendent d'une institution internationale indépendante. Un contre-feu avant l'arrivée de Microsoft XPS Pour Robert Raïola, directeur marketing senior pour Adobe Europe, ce mouvement vers les formats ouverts s'inscrit dans la continuité de ce qu'Adobe pratiquait déjà avec des sous-ensembles de PDF. PDF/A (format d'archive) et PDF/X (pour des échanges) sont ainsi déjà des standards ISO, et deux autres formats dérivés sont en cours de normalisation. La soumission de l'ensemble du format représente donc « l'étape naturelle suivante ». « Ces dernières années, explique Robert Raïola, il y a eu une grande accélération de l'usage du PDF par les grandes administrations pour les projets de mise en relation avec les citoyens. Tant pour les administrations centrales que pour les collectivités territoriales. Nous n'allions pas encore soumettre un sous-ensemble pour ce type d'utilisation. » C'est donc le format entier qui cette fois est soumis à la standardisation formelle, ce qui est aussi une manière de couper l'herbe sous le pied de Microsoft et de ses velléités d'imposer un nouveau format d'échange de documents, basé sur XML : XPS. « Là c'est clair, s'amuse Robert Raïola, non seulement PDF est un standard de fait, mais en plus il est normalisé. » Aucune intention de faire de même pour Flash Bien évidemment, la soumission à l'ISO implique qu'Adobe perdra le contrôle des évolutions du format, même si l'éditeur compte bien participer à ses futurs développements. Cette perte de contrôle ne l'inquiète pas. « Après 13 ans d'évolutions, explique Robert Raïola, PDF est capable de véhiculer n'importe quel type de contenu de façon fiable et sécurisée, il y a donc peu d'urgence sur les futures évolutions. » A l'inverse, Adobe n'envisage toujours pas de proposer Flash comme standard ouvert. « Il s'agit d'une technologie Internet, lequel est en mutation rapide, ce serait donc négatif pour le format, car il pourrait avoir besoin d'évoluer rapidement dans les trois ou quatre ans à venir. Le format a beaucoup évolué ces dernières années, et il y a encore beaucoup à faire, nous avons plein d'idées dans les labos. » (...)
(25/01/2007 18:01:10)Annuels 2006 de Cegid : les rachats ne propulsent pas son chiffre d'affaires
Exercice annuel 2006 Chiffre d'affaires : 228,2 ME (+1,7 %) Bénéfices nets : n.c. (non audité) L'activité de Cegid aura connu quelques turbulences en 2006. En dépit des acquisitions réalisées en cours d'année, l'exercice de l'éditeur lyonnais se clôt sur une hausse modeste de son chiffre d'affaires annuel. A périmètre courant, c'est-à-dire en incluant l'activité des éditeurs acquis en cours d'année, le chiffre d'affaires n'a progressé que de 1,7 %, à 228,2 millions d'euros. L'ensemble est tiré par les bons résultats du deuxième semestre (121,7 millions d'euros à périmètre courant, + 4,9 %), après un premier semestre en retrait par rapport à 2005 (-1,7 %, 106,5 millions d'euros de chiffre d'affaires). Depuis janvier dernier, Cegid a pourtant procédé à trois acquisitions (la quatrième, Comptanoo, faite en décembre, n'est pas incluse), des rachats certes modestes en comparaison de celui de CCMX en juin 2004. A la mi-mars, il a absorbé PMI Soft et GTI Industries, deux éditeurs qui totalisaient 6,5 ME de chiffre d'affaires, et fin mai, l'éditeur I&C, spécialisé dans les outils de gestion du monde viticole, qui réalisait 300 000 euros de chiffre d'affaires. Hausse des ventes de progiciels et services au deuxième semestre C'est sur le deuxième semestre que le chiffre d'affaires de Cegid a repris des couleurs. Au dernier trimestre, surtout, il a progressé de 5,8 %, à 68,9 millions d'euros, mais toujours à périmètre courant (seulement + 3 % à périmètre constant), après s'être établi à 52,8 millions d'euros sur le troisième trimestre (+ 3,7 %). Sur le quatrième trimestre, l'éditeur tient à souligner l'augmentation de 11,7 % de l'activité Progiciels et Services (8 % à périmètre constant). Une activité qui, selon Patrick Bertrand, DG de Cegid, représente « 40 à 45 % du chiffre d'affaires total». En début d'année, l'éditeur avait notamment expliqué la faible activité de ses mois de janvier et février par la mise au point des politiques de vente vis-à-vis de la clientèle CCMX. On se souvient par ailleurs des démêlés judiciaires auxquels l'éditeur avait dû faire face après l'acquisition de CCMX, le Conseil d'Etat n'ayant finalement statué en faveur de Cegid que le 13 février dernier. Des ventes et installations de matériel en baisse A la vue des chiffres annoncés sur 2006, on remarque que c'est en partie la baisse des ventes et d'installation de matériel qui a causé du souci à Cegid. Ce dernier fournissait aussi l'équipement aux petites entreprises qui souhaitaient n'avoir qu'un interlocuteur. Or, cette activité, qui se place en marge de son c?ur de métier d'éditeur, contribuait notablement à ses revenus. La société annonce en effet une diminution d'environ 10 millions d'euros sur ces ventes pour l'exercice 2006, en raison notamment de la baisse des prix généralisée sur le matériel. Un manque à gagner important donc, que les revenus sur les licences et les services n'ont guère pu contrebalancer en dépit des nouveaux contrats engrangés : notamment, Buffalo Grill (acquéreur d'un PGI pour la restauration), Hermès (client du PGI adapté au secteur de la mode), HSBC (sur les offres de finance et de fiscalité) ou encore KPMG (offre de PGI pour les professions comptables et libérales). Rappelons que Cegid dispose d'une offre de gestion en plusieurs volets qui s'adresse d'une part aux petites entreprises et aux professions comptables, mais aussi, d'autre part, aux moyennes et grandes entreprises, notamment avec ses solutions de gestion financière Etafi. A noter que ses contrats récurrents représentent environ 45 % de son chiffre d'affaires consolidé ; un revenu qui, par sa constance et son importance, garantit traditionnellement aux éditeurs la stabilité dont ils ont besoin pour poursuivre leur développement et leurs investissements en R&D. + 30 % sur le résultat opérationnel courant Le principal motif de satisfaction de Cegid sur ses résultats 2006 réside dans l'augmentation de 30% de son résultat opérationnel courant en 2006. L'éditeur estime à 12,5 % du chiffre d'affaires sa rentabilité opérationnelle courante consolidée, contre 9,5% en 2005. Une progression que l'éditeur espère voir se poursuivre en 2007, pour la troisième année consécutive. En revanche, aucune indication n'est donnée pour l'instant sur le résultat net de l'entreprise en 2006. Néanmoins, au regard de ses résultats opérationnels, on peut s'attendre à ce que le résultat net de Cegid soit lui aussi en forte progression, sachant, rappelle Patrick Bertrand « que la société est peu endettée ». Les chiffres consolidés annoncés hier par Cegid sont provisoires, estimés et non audités. Les résultats définitifs seront publiés le 20 mars prochain. A noter qu'en 2005, Cegid avait réalisé une année plutôt satisfaisante en dépit des procédures judiciaires qui faisaient suite du rachat de CCMX en 2004. (...)
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