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(31/03/2011 10:58:26)
Joyent choisit Neurones IT pour intégrer son offre Paas en Europe
Neurones IT est l'entité chargée de l'infogérance des infrastructures dans le groupe Neurones. Elle est donc directement préparée au Paas (platform as a service). « Nous travaillons depuis un an sur le sujet », nous explique Rémy Dumenil, en charge de l'offre cloud computing pour Neurones-IT. Les choix sont aujourd'hui très avancés.
Neurones IT vient d'opter en faveur de la société californienne Joyent comme partenaire technologique pour, d'une part, vendre les solutions de celle-ci, distribuées totalement en indirect, et, d'autre part, élaborer ses propres offres cloud de type Paas. Au préalable, la SSII a procédé à une étude technique et commerciale. Le choix de Joyent s'est imposé car leur produit est apparu plus mature que les autres. « Nous aurons moins d'efforts à fournir sur les offres Joyent que sur les autres qui ont encore des retards en matière d'interfaces, de suivi de la consommation en temps réel, d'auto-administration », souligne Rémy Dumenil.
Plusieurs clients sont en maquette
D'autres éléments ont fait pencher la balance. Joyent présente des retours d'expérience probants en Amérique du nord. Son offre est basée sur des web services et sur une consommation réelle. Joyent est certes encore peu présent en Europe, mais ce n'est visiblement pas un frein pour Neurones. L'intégrateur va bénéficier en Amérique du nord du support de Joyent qui lui enverra des clients. Plusieurs d'entre eux sont en maquette. Neurones-IT met d'ailleurs en place un centre de démonstration autour des solutions Joyent.
« Pour nous c'est d'abord une reconnaissance par un grand acteur du marché et une reconnaissance technique de nos solutions », nous explique Philippe Weppe, directeur général EMEA de Joyent qui recherche une quinzaine de partenaires, deux pour chacun des grands pays européens et quelques transnationaux.
Par ailleurs, Joyent Corp va revendre son activité d'hébergement, ses partenaires seront directement positionnés pour l'exercer. De grands clients américains de la société californienne -on parle d'un grand spécialiste mondial du e-commerce- souhaitent trouver en Europe des structures pour leur hébergement. Les partenaires intégrateurs européens de Joyent seront très bien placés.
Source illustration : Joyent (...)
Les cybercriminels vendent des kits d'attaques as a service
Ces kits vendus sont composés d'une variété de techniques de piratage, ou séquences de codes, capables de tirer parti des failles logicielles afin de les infecter par des programmes malveillants. Des chercheurs de Seculert ont trouvé au moins deux kits - Incognito 2.0 et Bomba - livrés avec leur propre solution d'hébergement et leur interface de gestion. « Le nouveau business model rend la tâche facile aux cybercriminels qui pouvaient avoir certaines difficultés à sécuriser leur hébergement ou à trouver des FAI prêts à héberger leurs serveurs malveillants, » dit Aviv Raff, CTO et cofondateur de Seculert. L'entreprise offre un service cloud spécialisé chargé d'alerter les clients sur les logiciels malveillants en circulation, les exploits et autres cyber-menaces.
Les offres globales sont destinées aux criminels qui souhaitent atteindre un grand nombre d'ordinateurs tournant sous Microsoft Windows. Une fois les ordinateurs piratés, les machines peuvent être utilisées pour voler des données personnelles, envoyer des spams, mener des attaques par déni de service ou à d'autres choses encore. C'est aussi moins cher. Les clients ne payent que le temps pendant lequel leurs attaques sont actives. « Autrement dit, si pour une raison ou une autre le FAI décide de fermer les serveurs pirates, ils n'ont rien à payer, » explique le CTO de Seculert. Celui-ci a estimé que ce type d'hébergement et de service coûtait entre 100 et 200 dollars par mois. «Tout est géré par le prestataire de services, » indique Aviv Raff. « Le client ne paye que pour le temps pendant lequel ses attaques sont hébergées. Nous ne connaissons pas les tarifs exacts, mais comme pour n'importe quel autre service cloud, il est clair que cette offre revient beaucoup moins cher que l'achat séparé d'un kit et de son hébergement, » a t-il dit.
Les clients doivent fournir leurs propres malware constituant les exploits à diffuser. Ils doivent également prendre en charge le piratage des sites web à partir desquels ils veulent rediriger leurs victimes vers le serveur malveillant hébergé par les opérateurs d'Incognito. Quand une victime potentielle visite l'un des sites web infecté, une balise iframe active le transfert de contenu à partir des serveurs Incognito d'où sont menées plusieurs attaques contre les machines en vue de réussir une ou plusieurs intrusions.
Les réseaux sociaux et l'actualité comme planche d'appel
Jusqu'à présent, Seculert a dénombré qu'environ 8 000 sites légitimes avaient été piratés et touchés par des exploits hébergés par Incognito. « Certaines victimes sont infectées quand elles vont visiter ces sites selon un mode de navigation normale, » explique Aviv Raff. Les pirates ont également mené des campagnes de spam pour tenter d'attirer les internautes vers ces sites infectés. Comme l'a récemment remarqué Seculert, un de ces messages prétendait venir de Twitter, manifestant son soutien au Japon et invitant les gens à cliquer sur un lien pour voir une vidéo des réacteurs de la centrale de Fukushima endommagée par le tsunami. En réalité, le lien de ce faux message ne débouchait sur aucune vidéo. Au lieu de cela, un cheval de Troie était téléchargé et installé sur l'ordinateur, dans le cas où celui-ci présentait une vulnérabilité logicielle.
« Incognito 2.0 fournit une interface de gestion basée sur le web qui permet aux clients de vérifier combien d'ordinateurs ont été infectés et quel type d'exploit a été utilisé, » ajoute le CTO de Seculert qui a posté des captures d'écran sur son blog. Incognito 2,0 semble en pleine croissance : les chercheurs de Seculert ont pu établir après analyse de son infrastructure, qu'au moins 30 clients utilisaient la plate-forme pour installer toute sorte de malware, depuis le Trojan Zeus de piratage des comptes bancaires, jusqu'aux faux logiciels antivirus et aux chevaux de Troie génériques qui provoquent le téléchargement et l'installation d'autres logiciels malveillants sur un ordinateur infecté. Sur une quinzaine de jours en janvier, au moins 150 000 machines ont été touchées : environ 70 % de ces ordinateurs ont été infectés avec un exploit utilisant une vulnérabilité dans l'environnement d'exécution Java, et 20 % en profitant d'une faille dans Adobe Reader.
BI : Speed recruiting chez Keyrus pour des consultants techniques et métiers
Keyrus mise sur le « speed recruiting » pour prendre contact avec des profils susceptibles de compléter ses équipes spécialisées dans les projets d'informatique décisionnelle et de e-business, sur le versant technologique et sur les aspects métiers. La SSII ouvrira les portes de son siège social de Levallois aux candidats intéressés par ces carrières le mardi 5 avril 2011 à partir de 18 h 30. « Nous avons un plan de recrutement assez ambitieux sur 2011 avec 300 postes ouverts, à la fois pour des jeunes diplômés et pour des profils expérimentés », expose Rébecca Meimoun, directrice des ressources humaines de la société en précisant que 30% des postes sont ouverts pour des juniors. « Nous avons mené depuis un certain temps des actions de communication en direction d'écoles d'ingénieurs ou de commerce et des universités ayant un master spécialisé en décisionnel, cursus que nous suivons et connaissons bien. »
La SSII recherche des consultants techniques en informatique décisionnelle et en e-business, ainsi que des consultants en test, évoluant du côté de la maîtrise d'ouvrage, détaille sa DRH. « Parallèlement, nous sommes intéressés par des profils de consultants métiers spécialisés sur les ressources humaines, la finance ou, encore, sur l'organisation et le management. » Sur ces postes, Keyrus demande une double compétence : d'une part, la connaissance du métier et d'autre part, celle du système d'information et de la Business Intelligence (BI). « Nous ouvrons des postes pour des chefs de projets techniques et fonctionnels, des directeurs de projets, ainsi que pour des profils experts sur les technologies SAS, Cognos, Microsoft et, d'une façon générale, sur l'ensemble des solutions de nos partenaires éditeurs ».
« Le marché redémarre bien »
En 2010, Keyrus a effectué environ 250 recrutements et souhaite renforcer cette dynamique cette année. « Le marché redémarre bien, note Rébecca Meimoun. Il nous faut donc mettre les moyens pour conserver un niveau de recrutement équivalent à celui de l'an dernier. Nos actions vers les écoles ont commencé à générer des retours assez importants et de qualité. Les jeunes diplômés sont en période de recherche de stages de fin d'études. Il s'agit de stages de six mois qui peuvent constituer des pré-embauches. Si nous les recrutons, ils seront déjà formés à nos technologies et à nos processus. C'est une formule que nous privilégions. »
Pour l'instant, la SSII n'a pas limité le nombre d'inscrits à la soirée du 5 avril. Elle a prévu de mobiliser trente personnes en interne, à la fois à la RH et dans les équipes opérationnelles pour réaliser les entretiens. « Nous avons la capacité de solliciter d'autres personnes ayant des rôles confirmés dans notre organisation si le nombre de candidats inscrits le nécessitait, ajoute la DRH. Nous menons ce type d'actions avec l'objectif de faire le maximum de recrutements possibles, même si le processus d'embauche ne va pas obligatoirement aboutir ce soir-là. Nous ne pourrons pas forcément voir tout le monde. »
Des entretiens de 20 à 30 minutes
Les candidats seront présentés aux équipes de management et aux équipes métiers de Keyrus. Suivront trois ou quatre ateliers thématiques qui seront axés sur les métiers « sur le pôle innovation, par exemple, précise Rébecca Meimoun, sur les projets réalisés, les outils innovants que nous utilisons. Les candidats pourront ensuite rencontrer les managers opérationnels sur l'espace « speed recruiting » pour des entretiens de 20 à 30 minutes, durée au-dessous de laquelle je considère qu'il n'est pas possible d'évaluer une personne. Néanmoins, comparés aux entretiens habituels d'embauche d'environ une heure trente, il s'agit tout de même de « speed recruiting ». Si nous n'arrivons pas à voir tout le monde en entretien, nous aurons de toutes façons récupéré les contacts des candidats. » (...)
Sage s'essaye au SaaS progressivement
Resté longtemps frileux sur le sujet, Sage engage une stratégie mondiale sur le Saas (software as a service). Annoncée depuis quatre mois en interne, celle-ci reste encore prudente. Elle repose sur la mutualisation des développements assurés dans un pays et réutilisables dans d'autres grâce à la technologie Sdata de Sage (**). Chaque pays évoluant ensuite à son rythme au plan commercial. La comptabilité en Saas par exemple, déjà engagée en Grande-Bretagne avec la solution SageOne, ne le sera pas tout de suite en France, le marché n'étant pas jugé suffisamment mûr.
Sage France conduit une stratégie en deux volets, d'un côté des « add on » en ligne, de l'autre des solutions de gestion complète. Dans le premier cas, il s'agit de modules, ce que Sage appelle des « services connectés », de l'autre des « solutions de gestion », soit pour TPE, soit pour ETI (entreprises de taille intermédiaire), par exemple une comptabilité ou une gestion des ressources humaines. Les services connectés sont des fonctionnalités complémentaires pour des clients de Sage possédant déjà des solutions sur site. Les services de gestion sont des solutions complètes pour des créateurs d'entreprise ou des PME de taille importante.
Sur le premier point, les services connectés, Sage France propose par exemple un fichier prospects et une solution de génération et de suivi de commandes pour compléter le logiciel de CRM Act ! Autres exemples : la visualisation en temps réel sur un smartphone des compteurs d'activité de l'entreprise (encours clients, portefeuille de commandes en cours), l'interfaçage d'un site de e-commerce avec la gestion commerciale Sage, le passage de déclarations fiscales ou sociales en ligne (en complément du logiciel de Sage directDéclaration). « On amène ainsi des services en ligne sur le poste client et on propose à nos utilisateurs des fonctionnalités nouvelles », souligne Antoine Henry.
La paye en SaaS pour les TPE
Quant aux solutions complètes de gestion, Sage France propose déjà Ciel e-service Paye pour gérer la paye avec une facturation au bulletin de salaire. Ce logiciel est destiné aux entreprises de moins de 20 salariés, plutôt des entreprises jeunes, peut-être venues à l'environnement Sage par le logiciel « auto-entrepreneur ». Sur 1 200 000 entreprises de moins de 20 salariés, 300 000 seulement sont équipées d'un logiciel de gestion. Le Saas sera peut être un moyen de leur faciliter le passage à la gestion informatisée, espère Antoine Henry.
Les entreprises de taille plus importante se voient proposer leurs logiciels habituels, Sage 100, FRP Treasury, Transport, en mode Saas et par les partenaires en indirect. L'éditeur a également mis au point une approche hybride. Dans ce cas, son client peut utiliser le même logiciel, soit dans la formule traditionnelle, soit dans une formule en Saas pour certains de ses utilisateurs. Deux produits sont actuellement concernés : Sage 100 Entreprise Etendue et Sage SalesLogix (CRM vendu aux Etats-Unis).
Sage a réalisé 315 millions d'euros de chiffre d'affaires l'an passé en France, en progression de 3%. Sur ce total, 10 millions d'euros venaient du Saas. En 2009, selon Pierre Audoin Consultants, l'éditeur britannique Sage réalisait 80 millions d'euros dans le monde dans le domaine du Saas. C'était le premier éditeur en Saas, devant son compatriote Misys (74 M€), Linedata Services (38 M€), SAP (14 M€) et Cegid 12,5 M€. Les chiffres 2010 sont en cours d'enquête.
(*) En remplacement de Pascal Houillon, parti diriger l'Amérique du nord.
(**) http://sdata.sage.com/sdatacore_covers.html
Elyazalée, une SSII bretonne dévoile son ERP
Faute de trouver une solution qui réponde à ses besoins, la petite SSII Elyazalée a développé il y a deux ans et demi son propre ERP. Initialement destiné à l'usage interne de cette société basée à Plérin, près de Saint-Brieuc (22), le progiciel en mode SaaS griffé Elya ERP s'est progressivement constitué une clientèle d'une dizaine d'entreprises. Aujourd'hui s'ouvre le deuxième chapitre de l'histoire commerciale de l'application. Son concepteur commercialise désormais le noyau de l'ERP avec des modules packagés, et non plus développés sur demande, qui sont de surcroît accessibles depuis un smartphone (Android, iPhone et BlackBerry).
De base, Elya ERP propose notamment un outil de gestion de contacts, de suivi des actions commerciales en cours ou à mener ainsi qu'un module emailing / SMS. Pour ne rien gâcher, l'interface utilisateur peut être personnalisée aux couleurs de l'entreprise cliente. Les modules optionnels comprennent quant à eux des fonctions de gestion et de suivi de projet, de réalisation de devis/acomptes/factures, de gestion de notes de frais et du temps ou encore des budgets.
A partir de 9,90€ HT par mois sans limitation d'utilisateurs
Il en coûte 9.90 € HT par mois et par entreprise (le nombre d'utilisateurs est illimité) pour utiliser les fonctions de base de l'ERP. L'usage de l'intégralité des modules fait passer le tarif à 35,90 € HT par mois. En 2010, la commercialisation d'Elya ERP a représenté environ un tiers des 56 K€ de chiffre d'affaires de la SSII. Une proportion qui devrait augmenter grâce à la création d'un site dédié au produit et à la mise en place de campagnes d'e-mailing. Pour l'heure, Elyazalée ne cherche pas de revendeurs même si la société se dit prête à étudier toute sollicitation.
Annuels Keyrus : La SSII lance son cabinet de conseil axé BI
Engagée depuis 2001 sur les projets de Business Intelligence pour les grands comptes, la SSII Keyrus se met en ordre de marche depuis trois ans pour construire des approches métiers lui permettant de s'adresser en amont aux directions opérationnelles de ses clients. La société présidée par Eric Cohen (en photo) concrétise cette approche en officialisant la création de son propre cabinet de conseil en management, Keyrus Management. La structure est présidée par Didier Taupin, directeur général délégué de Keyrus depuis avril 2008, ancien DG des activités conseil de Deloitte France et fondateur d'Ineum Consulting. Elle compte déjà 10 associés et 50 consultants.
Après une période de développement soutenu qui l'a conduit à multiplier son chiffre d'affaires par cinq entre 2000 et 2007, à 100 M€, tant en croissance interne qu'externe, Keyrus a créé autour de ses compétences technologiques une organisation orientée clients et secteurs d'activités économiques. « Nous avons mis en place des activités de conseil autour de la BI et la vision que j'avais de l'entreprise fin 2007 est aujourd'hui bien en place en termes de services et de positionnement, explique son PDG Eric Cohen. Nous allons travailler sur les aspects stratégiques, sur la performance, en nous adressant davantage aux directions financières, marketing et RH des entreprises. Nous intégrons beaucoup plus de métiers dans nos équipes parce que la BI concerne les métiers, même s'il faut aussi discuter avec les DSI. L'idée, c'est d'avoir un modèle intégré, et non d'avoir les consultants d'un côté et les techniciens de l'autre. Ma vision, c'est que nous soyons demain un petit Accenture ».
Une rentabilité améliorée
En 2010, c'est l'activité grands comptes qui a tiré les revenus de Keyrus (outre la BI, la SSII intervient sur le e-Business), avec une progression de 22% au 4e trimestre et de 17,3% sur l'année. Tandis que l'activité PME de sa filiale Absys Cyborg, intégrateur de solutions d'ERP et CRM, s'est légèrement rétractée (-2,2% au 4e trimestre, -0,6% sur l'année). Le chiffre d'affaires global de la SSII (dans lequel les activités PME pèsent 30%) s'établit à 119,7 millions d'euros sur l'exercice, en progression de 11,2%. Keyrus a amélioré sa rentabilité par rapport à 2009, avec un résultat opérationnel courant de 4,6 millions qui représente 3,8% de son chiffre d'affaires, contre 3% l'an dernier (le choix de comptabiliser la CVAE en impôt améliore ce résultat de 0,8 M précise Keyrus). Le résultat net de la société s'élève à 2,7 millions d'euros (+80%).
L'axe BI se renforce sur le secteur public et l'énergie
En 2010, la SSII s'est renforcé sur le secteur public et sur les acteurs de la fourniture d'énergie. « Notre croissance s'est plutôt faite sur ces terrains en 2010. Cela ne signifie pas que les autres secteurs sur lesquels nous évoluons n'ont pas progressé, mais nous avons fait des efforts depuis deux ans pour nous implanter dans l'énergie, les utilities et le secteur public où l'un des enjeux majeurs est le pilotage, souligne le PDG Eric Cohen. Nous avons fait des investissements et gagné des projets innovants, en développant par exemple une application basée sur les moteurs de recherche (search based) pour un grand acteur de l'environnement. » Keyrus a également remporté une très grosse TMA au ministère de la Justice. « Un gros contrat pour toute la partie maintenance évolutive des applications BI, rappelle Eric Cohen. Pour gagner ce genre de projets, il faut non seulement de la crédibilité en termes de savoir-faire, mais aussi être capable d'organiser le delivery en centre de services, ainsi que nous l'avons organisé depuis trois ans, notamment avec nos capacités de nearshore à Lyon et Nantes. »
Illustration : Eric Cohen, PDG de Keyrus (...)
Optimisation et automatisation des processus analysées
Décideurs métiers comme responsables IT s'accordent autour de l'intérêt d'optimiser et d'automatiser les processus au sein des organisations, tant publiques que privées. Les processus métier sont ciblés de façon prioritaire par rapport aux processus IT.
Les raisons invoquées sont multiples. On y compte : l'efficacité opérationnelle, la réactivité, la traçabilité, la satisfaction client, etc. L'agilité des organisations est l'un des motifs majeurs invoqués. Mais il ne faudrait pas oublier aussi la capacité à mieux maîtriser les coûts d'une organisation aux processus bien gérés.
Tout cela est d'autant plus vérifié que les processus sont en permanente évolution.
Pour optimiser les processus, les organisations ont recours, bien entendu, à des solutions dédiées de cartographie ou d'automatisation mais aussi à des acteurs de solutions métier. Ainsi, des outils de GED, de GRH, de dématérialisation voire même le PGI sont autant sollicités.
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