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(29/07/2010 12:07:35)
Trimestriels Dassault Systèmes : Forte croissance globale
Les résultats du second trimestre et du premier semestre de Dassault Systèmes sont bons. Le chiffre d'affaires pour les différents exercices sont respectivement de 385,6 millions d'euros en croissance de 24% et de 697,5 millions d'euros en hausse de 12%. La partie logiciel représente 346,4 millions d'euros (+28%) au deuxième trimestre et 626,1 millions d'euros (+15%) au premier semestre 2010. Bernard Charlès, Directeur Général de Dassault Systèmes explique ces résultats par « une bonne performance commerciale et opérationnelle ». Il ajoute que le trimestre a été marqué par l'intégration de l'activité PLM d'IBM, la mise en place de partenariats stratégiques avec des groupes comme Michelin ou Gap. Plus récemment encore, la société a acquis Exalead pour prendre pied dans le métier des « Search Based Applications ». Elle s'est emparée aussi de Geensoft, spécialisée dans les systèmes embarqués.
Sur le plan géographique, la croissance a été plus soutenue en Europe (+20%) et en Asie (+22%), qu'en Amérique (+12%). Sur les différentes activités, les logiciels PLM progresse de 24% au deuxième trimestre à 268,4 millions d'euros et la conception mécanique 3D croit de 14% à 78 millions d'euros.
Avec ses résultats, le bénéfice par action ressort à 0,40 euros soit une hausse de 82% sur un an. La trésorerie nette est de 714,1 millions d'euros. Sur les perspectives, Thibaut de Tersant, directeur général adjoint aux Affaires Financières a déclaré « nous visons une accélération de la croissance à un niveau d'environ 22% à 25% pour le second semestre 2010. Nous révisons à la hausse l'objectif de croissance de notre chiffre d'affaires dans une fourchette de 16 à 18% ».
Le CRM, service majeur de la place de marché Google Apps
Pas moins de 13 applications de gestion de la relation client sont déjà disponibles sur la place de marché Google Apps selon le blog officiel de la compagnie. La page liste les solutions CRM disponibles qui peuvent être installées sur un domaine Google Apps. Certaines offres sont basiques et se concentrent sur l'essentiel, à savoir le duo client/vente. Parmi ces fournisseurs, on retrouve Zoho (déjà partenaire de Google Apps), Applane, Capsule, Tactile et Timetonote. D'autres applications, telles que BatchBook et Bantam Live, sont plus orientés vers une niche : les "CRM sociaux" axés sur la surveillance des réseaux sociaux et la gestion du dialogue avec les clients. Un troisième groupe, qui comprend les produits d'Insightly et de Solve360, rassemble des logiciels destinés aux projets spéciaux.
Intégration à minima avec Apps
Toutes les fonctions de ces applications s'intègrent à des degrés divers à la suite Google Apps. Si à minima ils proposent l'authentification unique à partir de Google Apps, d'autres vont plus loin avec l'ajout de fonctionnalités comme la synchronisation de contacts et le partage de calendriers. La compagnie de Mountain View a créé cette place de marché pour étoffer l'écosystème de sa plateforme Apps, qui vient désormais concurrencer les solutions de Microsoft, IBM et autres. L'ambition affichée est bien de rassembler autour des Apps un tableau de bord de l'entreprise. Toutes les applications de gestion étant fédérées par la plate-forme cloud de Google.
Bien cerner les besoins des utilisateurs
Cette place de marché dédiée comprend également des applications complémentaires à la gestion de relation client, comme MailChimp pour l'email et FreshBooks pour la facturation et les relances. Mais cette plate-forme a peut-être besoin de mieux répondre aux intérêts des utilisateurs. Ces offres de CRM « sont efficaces en soi » soulignent des commentaires sur le blog, rapporte l'analyste Denis Pombriant de Beagle Research, joint par email. « Les utilisateurs demandent à leur direction une solution efficace pour leur usage propre et pour l'entreprise », précise-t-il encore. « Tout cela semble confirmer que le CRM est une méthodologie et une approche commerciale, et pas seulement une question de technologie. Certains fournisseurs et clients commettent encore l'erreur manifeste de rechercher une solution miracle. »
(...)(28/07/2010 15:33:23)
La solution 3D Vision de Nvidia arrive pour les pros
En octobre, Nvidia sortira sa solution 3D à destination du monde professionnel afin d'exploiter au mieux les capacités actuelles de ce mode d'affichage. La solution 3D Vision Pro s'adressera donc principalement aux métiers de précision, comme les architectes, ingénieurs, médecins ou même les designer de produits numériques.
Des lunettes actives avec liaison radio
Bien entendu, il faudra disposer d'une carte Nvidia Quadro (à partir de 179 € pour la FX580) e pour que la solution 3D Vision soit opérationnelle, ainsi que d'écrans LCD 120 Hz certifiés ou de projecteurs compatibles. Cette offre repose sur une paire de lunettes actives à obturateur et une interface radio ainsi qu'un pilote de conversion 3D. Si ce dernier inclue une compatibilité DirectX, à l'instar de la version grand public, il a néanmoins été optimisé pour pouvoir fonctionner avec le moteur de rendu 3D OpenGL et un ensemble d'applications dédiées au monde professionnel. L'introduction d'une liaison radio, là où la solution grand public utilise des faisceaux infra-rouges, souligne la volonté d'éviter les conflits rencontrés par ces derniers lors d'utilisations multiples et synchrones dans la même pièce par exemple. La 3D peut alors être regardée par différents utilisateurs, dans une salle de conférence ou dans un auditorium, sur une distance maximale de 45 mètres maximum. La représentation offerte par la solution offre au final une meilleure précision graphique, indispensable dans les milieux ciblés.
Un catalogue d'applications bien fourni
L'écosystème 3D Vision Pro est soutenu par un éventail relativement large d'applications professionnelles. On peut par exemple citer Siemens Healthcare et son syngo.fourSight à destination des services obstétriques, qui utilise les capacités de la solution pour offrir une manipulation interactive par déplacement d'objets 3D dans l'espace virtuel (la 4D). Des sociétés comme Dassault ou AutoDesk ont aussi conçu des logiciels de visualisation 3D compatibles, qui ouvrent la voie à la mise en perspective de prototypes ou de produits finis en les représentant en volume, mais qui peuvent aussi servir à de la CAO.
La solution coûtera 349 $, incluant donc une paire de lunettes et le relai radio. Des lunettes additionnelles pourront être achetées séparément, mais aucun tarif n'a encore été fixé pour l'heure.
Trimestriels SAP : L'éditeur surfe sur une reprise confirmée
L'éditeur allemand a annoncé des résultats trimestriels en forte hausse. Le chiffre d'affaires sur le deuxième trimestre 2010 affiche près de 2,9 milliards d'euros en hausse de 12% sur un an. Les bénéfices opérationnels croissent de 21% à 774 millions d'euros. Les recettes issues de l'activité logicielle progressent de 17% sur un an à 637 millions d'euros et celles combinées logiciel plus services s'établissent à 2,26 milliards d'euros. La marge opérationnelle est aussi en progrès avec 1,8 point de mieux. Le résultat net est de 491 millions d'euros contre 426 millions d'euros un an auparavant.
Arrêtés au 30 juin 2010, SAP a également présenté ses comptes semestriels. Le chiffre d'affaires est en hausse de 9% à 5,4 milliards d'euros et le bénéfice opérationnel progresse de 40% à 1,33 milliards d'euros.
Pour autant les résultats de SAP ne sont pas homogènes selon les territoires, la plus forte croissance réside aux Etats-Unis, +64% et en Asie +11%. Par contre l'Europe, marché historique de l'éditeur, marque un recul de 9% sur les revenus issus des logiciels. La reprise se confirme donc, même si sur certaines zones géographiques, elle est plus lente à se mettre en place. Autre indice de cette bonne santé retrouvée, SAP est payé plus vite, le délai était de 79 jours au 31 décembre 2009, il est maintenant de 73 jours.
Sybase, Business ByDesign et verticalisation
L'activité de Sybase n'est pas incluse dans les résultats de l'éditeur allemand. La Commission européenne a donné son feu vert à l'acquisition la semaine dernière et le groupe a annoncé lors de la présentation des résultats la fin de l'offre publique d'achat de Sybase, en disposant de 92% du capital. Ce dernier a présenté de bons résultats trimestriels avec un chiffre d'affaires de 302 millions de dollars en hausse de 9% sur un an. Jim Hagemann Snabe, co-PDG de SAP a rappelé que Sybase était un axe important de la stratégie de SAP « qui repose sur 3 piliers : fournir des solutions, sur site, à la demande et sur n'importe quel terminal ». L'aspect mobilité est clairement l'atout de Sybase, mais il faudra attendre la mi-août pour connaître les détails de l'après-fusion et le calendrier des produits.
Un autre axe majeur est le développement des solutions auprès du marché des PME. Pour cela et comme annoncé lors de Sapphire now 2010 (lien), la suite intégrée Business by design évolue en version 2.5 « multitenant » à partir de vendredi prochain, mais uniquement, pour l'instant, sur les six pays où elle est déjà commercialisée, dont la France. Business ByDesign s'adresse aux entreprises de taille moyenne qui veulent gérer en ligne, en mode Saas, l'ensemble de leur processus de gestion, en s'affranchissant totalement, donc, de la gestion de l'infrastructure informatique sous-jacente. Celle-ci est entièrement déléguée à l'hébergeur, SAP, en l'occurrence. L'accès à l'application est tarifé sur la base d'un abonnement mensuel, par utilisateur.
Prévisions en hausse
En complément, les partenaires de SAP vont pouvoir ajouter des compétences à la suite de l'éditeur pour verticaliser la solution. Ainsi Hybris propose la gestion du multicanal, des promotions et du merchandising pour les PME, spécialisé dans le e-commerce. Il a en effet annoncé avoir été retenu par SAP pour adresser ce marché.
Conforté par les résultats solides, SAP révise ses prévisions à la hausse comprise entre 9 et 11% (8,2 milliards d'euros en 2009). En excluant l'acquisition de Sybase, la croissance du chiffre d'affaires de SAP est estimée entre 6 et 8%. Le groupe prévoit aussi une marge opérationnelle de 30 à 31% pour 2010.
Crédit Photo: SAP
Un zeste de cloud pour les ClearPath d'Unisys (MAJ)
Un peu plus tard dans l'année, Unisys prévoit de proposer un environnement de test et de développement cloud pour les utilisateurs de ses systèmes mainframe ClearPath, préfigurant une future offre plus large d'environnements de production hébergés. L'offre initiale est destinée à des entreprises déjà sous environnement de test et de développement ClearPath qui ont besoin d'étendre leur environnement pendant une courte période. «Nous essayons de résoudre la question de la souplesse, afin de répondre à des besoins en ressources rapides et limitées dans le temps de certains clients. Cette option leur permet d'éviter de supporter le coût de l'achat d'un système supplémentaire», a déclaré Bill Maclean, vice-président de gestion du portefeuille ClearPath chez Unisys. "Le plus souvent, les utilisateurs de ClearPath sont de grandes entreprises comme des compagnies aériennes, des opérateurs de télécommunications ou des institutions financières. Celles-ci sont susceptibles d'être intéressées par une offre cloud pour tester de nouveaux logiciels ou rattraper leur retard sur certains projets laissés en attente," explique-t-il.
Une tarification unique
En partie en raison de la nature de l'offre, le système de tarification proposé est inhabituel. Alors que la plupart des plates-formes ou des offres de Software as a Service ont des prix en fonction des processeurs et de la mémoire utilisés, le ClearPath Cloud Development and Test Solution est proposé à un tarif unique pour une durée d'utilisation fixée à trois mois. "Nous vendons une licence d'utilisation pleine capacité pour une période limitée dans temps. C'est comme un serveur virtuel complet doté de toutes les technologies de développement," a déclaré le vice-président d'Unisys. Le prix d'entrée de gamme, qui se situe à 13 000 dollars pour la période, comprend un ensemble complet d'outils de développement comme des compilateurs, des éditeurs et des logiciels de base de données. Il comprend également la mémoire, les unités de stockage et le support technique. "Une tarification identique à celle pratiquée par les fournisseurs d'IaaS n'apporterait pas autant d'avantages parce que, dans l'environnement ClearPath, le logiciel est fourni avec la plate-forme,» a précisé Bill Maclean. Unisys proposera toutefois d'autres échelles de tarifs, notamment pour ajouter plus de ressources processeurs, même si Bill Maclean pense que la plupart des clients se satisferont de l'offre d'entrée de gamme, déjà très fournie selon lui.
Une offre déjà éprouvée en interne
L'entreprise a décidé d'offrir ce service aux clients après l'avoir elle-même utilisé et éprouvé en interne depuis environ deux ans sous forme de service à la demande pour les ingénieurs d'Unisys qui avaient besoin de disposer rapidement de plus de puissance de calcul. "Nous l'avons fait en interne pour résoudre un problème et répondre à une demande," a-t-il déclaré. "Nous avons réalisé que cela pouvait également être le cas chez nos clients." Dans l'avenir Unisys prévoit d'ajouter d'autres services Cloud ClearPath, notamment l'hébergement des environnements de production. "Un client de petite taille pourrait trouver logique de faire héberger tout son environnement de production chez Unisys, ou de grandes entreprises pourraient faire héberger une application en particulier," a estimé Bill Maclean. Unisys envisage également d'ajouter à son service la réplication et la récupération des données, et de sélectionner des offres d'Application as a Service. L'offre de test et de développement d'Unisys, qui devrait être disponible dans le monde entier en septembre, sera hébergée dans son datacenter d'Eagan, dans le Minnesota.
(...)(22/07/2010 11:55:46)IBM soutiendra 5 jeunes entreprises françaises dès septembre
L'incubateur de start-ups d'IBM, Global Entrepreneur, mettra en avant cinq créateurs d'entreprise le 24 septembre 2010 au siège français de la société durant un événement baptisé SmartCamp. Celui-ci voudrait réunir « l'écosystème de l'entrepreneuriat français » et mettre en relations investisseurs et sociétés. Lancé le 5 avril, et ce jusqu'au 5 septembre, le programme accueille les candidatures des start-ups désireuse d'obtenir une subvention de la part d'IBM, mais doivent en retour respecter des objectifs spécifiques.
Certains exigences pour l'éligibilité
L'entreprise souhaite en effet faire coïncider les projets avancés par les participants avec une volonté, un peu large, de « bâtir une planète plus intelligente ». IBM décrit donc les trois notions centrales autour desquelles les candidats devront s'aligner pour avoir un chance de remporter la dotation. L'équipement de la planète en capteurs ou autres dispositifs, l'interconnexion des données, et l'intelligence des solutions (le BI par exemple) forment le socle obligatoire des attentes du jury. Les participants doivent aussi, évidemment, démontrer une viabilité économique, et proposer des solutions réalisables.
Le programme est ouvert aux entreprises de moins de 5 ans ayant un chiffre d'affaires de moins d'un million de dollar. A l'issue de l'événement, les finalistes recevront donc une dotation à la fois financière, mais aussi sous la forme d'un tutorat de trois mois de la part d'IBM, qui comprendra aussi d'autres services pour aider la jeune pousse à se développer. Cela s'ajoutera donc à la visibilité acquise durant le SmartCamp.
Global Entrepreneur vs. BizSpark
Cette initiative rappelle un programme similaire, mis en place par Microsoft depuis deux ans. Dénommé BizSpark il concerne par contre 300 startups, et le soutien dure ici trois ans, fournissant des licences de produits Microsoft et un support en continu afin de les aider à s'adapter et à se développer sur le marché.
Crédit Photo : IBM
SAP et CA technologies combinent leurs efforts de GRC
CA Technologies et SAP vont faire cause commune pour accompagner les entreprises dans la gestion de la Gouvernance des Risques et de la Conformité. Les applications de GRC d'entreprise de SAP s'appliquent à l'entreprise, c'est-à-dire au niveau de la gestion du personnel, des processus métier et des commandes entre autres, tandis que CA Technologies fournit des produits de GRC IT, capables d'évaluer et de s'occuper des risques relatifs aux systèmes d'informations du client.
Une solution centralisée optimisant le monitoring
Or, les deux sont en général séparés, alors qu'un risque de l'un peut potentiellement en devenir un pour l'autre parti. D'où la mise en place de cet effort conjoint, à destination, en premier lieu, des clients de l'une ou de l'autre des solutions, ce qui pourrait augmenter le marché des deux éditeurs, et fournir une cohérence à leur clientèle. Tom McHale, senior adviser chez CA Technologies, et Katia Thomas, directrice des ventes GRC pour la zone France ont tout deux affirmé ne pas savoir à l'heure actuelle si des tarifs préférentiels étaient mis en place pour les entreprises déjà clientes de l'une des solutions. Mais ils espèrent toutefois l'ajout de ce type de procédés pour inciter au passage à la solution commune. Celle-ci offre au final la possibilité d'un monitoring centralisé. Le tout sera disponible par licence, et les cibles se comptent par centaines, soit la base installée des clientèles respectives, pour lesquelles l'intégration de la seconde solution sera facilitée. Elle ne nécessiterait que la mise en place de paramètres spécifiques par les DSI pour être opérationnelle en tant que solution centralisée.
Le support technique sera assuré par l'entreprise implémentant la solution, mais Tom McHale affirme que les deux supports seront transparents, et en mesure de répondre à toute interrogation concernant les soucis de l'outil de gestion.
Illustration : Tom McHale, senior adviser chez CA Technologies
Crédit Photo : D.R.
Guy Berruyer prend la tête de Sage monde
Un français accède à la présidence de l'éditeur mondial d'ERP de gestion pour les PME-PMI. Guy Berruyer, actuellement en charge des affaires européennes et asiatiques, a été nommé par le comité exécutif de Sage au poste de PDG, qu'il prendra à partir du 1er octobre prochain. Il remplacera Paul Walker qui était en activité depuis 16 ans. Il avait demandé en avril dernier à se retirer progressivement et à chercher un successeur.
Le groupe a choisi la voie interne. Guy Berruyer a débuté en 1997 chez Sage pour s'occuper de la branche française. Il a pris la suite de Pierre-Yves Morlet, fondateur de Ciel, éditeur racheté. Auparavant, il a eu des postes de direction auprès d'éditeurs comme Intuit et Claris et des SSII comme Bull et Data General .
Né en 1951, il est ingénieur de l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne et titulaire d'un MBA de l'université d'Harvard
Crédit Photo: Sage
(...)(16/07/2010 10:51:18)Les clubs utilisateurs de produits Oracle font cause commune sur le décisionnel
Par un communiqué commun, ces différentes associations ont annoncé avoir créé une commission commune sur le décisionnel.
Suite aux différents rachats opérés par Oracle, cet éditeur a affaire à trois associations d'utilisateurs en France : l'Association des Utilisateurs Francophones d'Oracle (AUFO), le Club des Utilisateurs PeopleSoft France et le Groupe Francophone des Utilisateurs J.D. Edwards. Ces associations restent distinctes et centrées chacune sur une ligne de logiciels en attendant le Graal unitaire de l'éditeur nommé Fusion.
Il se trouve que l'offre décisionnelle d'Oracle est commune aux trois lignes de produits au travers de l'ancienne offre Hyperion Essbase (également rachetée) et de la suite OBIEE lancée le 8 juillet dernier.
Meilleure pratique et évolutions
Assez logiquement, en réponse à cette offre transverse, les trois clubs ont décidé de créer une commission commune pour étudier les bonnes pratiques et pour partager leurs expériences autour de l'offre décisionnelle de l'éditeur. Le communiqué commun aux trois clubs précisent les thèmes qui seront abordés au sein de cette commission : la Performance, OBIEE et Essbase, la politique tarifaire, la mise en place du centre de compétence OBIEE, les évolutions à venir etc.
José Munoz, DSI au sein de la société PCAS, vice-président du Groupe Francophone des Utilisateurs JDEdwards, assurera la présidence de cette commission.
La première réunion de cette commission aura lieu le jeudi 30 septembre 2010. (...)
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