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(17/11/2009 17:49:35)

Open Text intègre l'offre de Vignette à sa suite de gestion de contenus

Trois mois après avoir acquis Vignette, Open Text a montré de quelle façon les solutions rachetées venaient compléter son offre de gestion des contenus d'entreprise (ECM). La suite Open Text ECM, qui permet de collecter, de gérer et d'archiver les données non structurées et de contrôler le cycle de vie des informations, complète maintenant ses outils d'édition des contenus sur le Web et de diffusion multicanale (WCM). Elle enrichit également ses fonctions de productivité Web 2.0.

Sur la feuille de route présentée par Open Text lors de sa dernière conférence utilisateurs, fin octobre à Orlando, l'intégration de la solution de WCM Vignette Content Management (version 8 attendue pour ce trimestre) avec la suite Open Text ECM est prévue pour le troisième trimestre 2010. Quant aux fonctions de 'social media', conçues pour faciliter les interactions avec les clients sur le Web (Vignette Community Applications), elles seront intégrées avec celles d'Open Text (davantage axées sur les interactions en intranet) au premier semestre 2010, avec la sortie d'Open Text Web Solutions 10.1.

Deuxième fournisseur sur le marché mondial de l'ECM, où il totalise désormais 18% des parts avec Vignette, selon Gartner, derrière IBM (22%) et devant EMC (14%), Open Text est le dernier grand indépendant du secteur (*). Il espère approcher l'an prochain le milliard de chiffre d'affaires (785,7 M$ sur son exercice clos fin juin 2009 sans inclure Vignette).

Partenariats stratégiques avec SAP, Microsoft et Oracle


Au fil des années, l'éditeur canadien aura progressivement étendu son offre, en lui ajoutant notamment les solutions d'archivage d'Ixos (conçues pour les applications de gestion de SAP), les logiciels de gestion des actifs numériques d'Artesia et les technologies de numérisation de Captaris. Sans oublier, en 2006, l'absorption de son concurrent Hummingbird.
Ces dernières années, il a scellé puis renforcé des partenariats avec SAP, aujourd'hui revendeur de son offre d'ECM avec trois solutions dont une ciblée sur la gestion des factures clients. Open Text travaille également étroitement avec Microsoft en s'appuyant sur son offre de collaboration SharePoint. L'éditeur dispose depuis cinq ans d'un bureau à Redmond au siège de Microsoft. Sa dernière annonce avec la société de Steve Ballmer concerne un couplage entre le serveur de fax RightFax (racheté avec Captaris) et la messagerie Exchange Server 2010. Des partenariats similaires ont été également engagés avec Oracle, qui dispose pourtant lui-même d'une offre d'ECM, rachetée avec Stellent.

En février 2010, Open Text présentera ainsi en Europe des solutions couplées avec Oracle (des produits déjà disponibles sur le marché américain). Open Text compte aujourd'hui 46 000 clients dans le monde auxquels s'ajoutent les quelque 1 800 clients de Vignette.

(*) Filenet et Documentum ont respectivement été rachetés par IBM et EMC.
(...)

(13/11/2009 16:24:19)

Informatica unifie l'accès à ses acquisitions dans la v9 de sa plateforme

Dans sa version 9, tout juste annoncée, la plateforme d'intégration de données d'Informatica rassemble maintenant six catégories d'outils, issus tant des investissements en R&D de l'éditeur (16 à 18% de son chiffre d'affaires) que des rachats technologiques qu'il a effectués au cours des derniers mois. « L'activité d'intégration de données d'Informatica a évolué bien au-delà du décisionnel depuis plusieurs années, vers les projets de consolidation, de migration et de synchronisation avec des données situées au-delà du firewall, avec des exigences de haute disponibilité, d'alimentation en temps réel des datawarehouses et la nécessité de prendre en compte les données semi structurées et non structurées dans les échanges B-to-B, rappelle Didier Guyomarc'h, directeur général d'Informatica France et vice-président des ventes pour l'Europe du Sud. En avril 2008, l'éditeur a acquis Identity Systems et sa technologie de réconciliation des données d'identité pour compléter son offre portant sur la qualité des informations. Ce type de projets représente aujourd'hui 30% du chiffre d'affaires de la société, selon Didier Guyomarc'h. En 2009, Informatica s'est offert l'offre de gestion du cycle de vie des données applicatives d'Applimation, ainsi que les solutions de traitement des événements complexes (CEP) d'Agent Logic. Ces trois catégories d'outils complètent ses fonctions d'intégration de données, d'échange de flux interentreprises et de synchronisation avec les applications hébergées comme Salesforce. Informatica dispose aussi d'une offre accessible sur le cloud EC2 d'Amazon. Des fonctions d'entrepôt virtuel « Avec la version 9, nous proposons une plateforme d'intégration d'entreprise, avec une interface unifiée, un environnement de développement unifié, et des moteurs de règles et d'orchestration des flux », expose Didier Guyomarc'h. Le dirigeant explique que 20% des clients d'Informatica ont évolué d'une intégration en mode projet à une plateforme d'entreprise. « Les entreprises sont de plus en plus soumises à des obligations réglementaires, de type Bâle 2 ou Reach, et à des contraintes métiers qui leur imposent une cohérence des données. » Pour une meilleure communication entre utilisateurs métiers et équipes IT, la v9 comporte des outils basés sur une interface Web permettant aux premiers de spécifier leurs besoins. Les outils de gestion de la qualité des données sont par ailleurs déclinés pour différents rôles d'utilisateurs dans l'entreprise. La plateforme comporte de nouveaux services Web, notamment pour renforcer les possibilités de synchronisation entre données du SI et données hébergées au-delà du firewall. « Dans la v9, nous offrons aussi des fonctions d'entrepôt virtuel, complète Didier Guyomarc'h. Elles permettent de constituer ponctuellement un datamart en s'appuyant sur plusieurs datamarts existants pour confronter des données à la volée et effectuer des simulations métiers. » Informatica dispose d'une base installée d'environ 190 clients en France (3 900 dans le monde) parmi lesquels figurent nombre de grandes entreprises telles que Printemps, Nestlé, BNP Assurances, Groupama ou Faurecia, mais aussi, depuis 18 mois à deux ans, des entreprises de plus petite taille, aux équipes informatiques réduites, tels que Resavacs, Vente-privee.com ou Gérard Darel. (...)

(30/10/2009 16:18:31)

SAP France gagne ses clients à la périphérie de l'ERP

« Les PME se sont relancées dans des projets d'investissement sur le troisième trimestre », a indiqué Pascal Rialland, DG de SAP France (photo ci-dessus), en commentant mercredi 28 octobre les résultats financiers de la filiale, légèrement moins en recul que ceux enregistrés globalement par le groupe. Sur l'Hexagone au troisième trimestre, les ventes de licences de l'éditeur ont baissé de 29%, contre 31% au niveau mondial(*). Et sur cette période, les ventes de logiciels aux entreprises de taille moyenne ont progressé de 49% dans la filiale par rapport à l'an dernier. Dans cette catégorie, SAP France place toutes les entreprises qui réalisent moins de 500 M€ de chiffre d'affaires (on y trouve donc de très belles PME) et a remporté ses principales signatures avec le haut du segment. « Il y a d'assez gros projets », reconnaît Pascal Rialland en citant notamment un contrat avec la PME française LaCie. Ce fabricant de périphériques de stockage (390 M€ de CA en 2008) effectue « une refonte complète de son système de supply chain », explique le directeur de SAP France. Parmi les clients gagnés en 'PME', il cite encore Raynet, la filiale informatique du groupe A Raymond, qui met en place une solution de consolidation financière (BFC) sur Netweaver, avec une couche de reporting, et les outils de contrôle d'accès aux applications, GRC Access Control. 60% des contrats signés en mode indirect sur le trimestre Entre début juillet et fin septembre, la filiale dit avoir signé plus de cent contrats, dont 60% en mode indirect. « L'essentiel de nos revenus vient de la vente d'applications qui sont périphériques à notre coeur de métier historique [axé sur l'ERP] », précise Pascal Rialland en énumérant les segments les plus porteurs en ce moment : « gestion de la chaîne logistique [SCM], gestion de la relation client [CRM], gestion des ressources humaines, Business Intelligence et consolidation financière ». Il rappelle que 51% des ventes de licences proviennent des solutions décisionnelles de Business Objects. Interrogé sur les secteurs d'activité qui tirent le chiffre d'affaires de la filiale, le directeur général cite la grande distribution, la santé et, toujours, le secteur public, même si le projet lancé par l'opérateur national de paye (ONP) vient de lui échapper au profit du consortium mené par Accenture. SAP n'en poursuit pas moins son offensive vers les pouvoirs publics et espère rebondir avec ses solutions de GRH (gestion des ressources humaines), « sur des points clés comme la gestion des collaborateurs, l'état ayant les mêmes problématiques de gestion des compétences qu'une entreprise privée », pointe Pascal Rialland. Sur le trimestre, la filiale a également remporté des contrats avec la Direction générale des impôts en Algérie et anticipe « un énorme relai de croissance sur le secteur public au Maghreb ». Elle affiche également de gros contrats avec Casino sur une application de CRM, avec la Macif sur des solutions BusinessObjects et à la Banque Postale avec la solution BFC. « Nous avons également vendu des utilisateurs supplémentaires à l'AP-HP avec Accenture ». La croissance externe sera ciblée pour étendre la couverture fonctionnelle Ces derniers mois, SAP a racheté plusieurs éditeurs pour compléter la couverture fonctionnelle de son offre, notamment le Français Highdeal, spécialisé dans les logiciels de tarification complexe. « Nous avons bien avancé dans l'intégration opérationnelle de cette spin-off de France Telecom qui a développé un produit performant », informe Pascal Rialland. Les capacités de facturation du service à la demande apportées par Highdeal vont permettre de répondre à une demande du marché, avec notamment des applications dans la logistique. Le patron français voit là un potentiel important fournissant pour SAP un scénario de croissance 'à la BO'. Autre relais de croissance évoqué par SAP, la fourniture de logiciels 'à la demande' (On Demand) aux grandes et moyennes entreprises « à condition de proposer des applications spécifiques », connexes à l'ERP, qui peuvent être choisies par des directions opérationnelles, par exemple sur la logistique ou la gestion de la relation client. Pour élargir un peu plus sa couverture fonctionnelle, SAP continue par ailleurs à envisager des acquisitions ciblées, comme il a pu le faire par exemple cet été avec l'éditeur suisse SAF, spécialisé dans les solutions de planification de la chaîne logistique et de réapprovisionnement, destinées au secteur de la distribution. Pascal Rialland mentionne que le groupe dispose d'une équipe qui se consacre à examiner le marché pour repérer, secteur par secteur, les fonctions intéressantes qui font encore défaut à l'offre de SAP et pourraient être acquises à profit. (*) Sur les ventes de logiciels et de services associés (maintenance), SAP France enregistre -3% sur son chiffre d'affaires trimestriel contre -5% au niveau mondial, par rapport à l'an dernier, sur les chiffres Non-Gaap à taux de change constant. (...)

(29/10/2009 15:44:43)

Le FSI va investir 117 millions d'euros au capital de l'éditeur français Cegedim

L'éditeur Cegedim, 5e au classement EuroSoftware des éditeurs français de logiciels, vient d'annoncer un projet d'augmentation de capital de 180 M€. Ce projet est soutenu par la famille Labrune et par le FSI, fonds stratégique d'investissement. Ce dernier prévoit d'investir un montant maximum de 117 M€ dans l'opération. Il deviendra ainsi le deuxième actionnaire de Cegedim derrière la holding contrôlée par la famille Labrune qui détient actuellement 67% du capital. C'est la troisième fois ce mois-ci que le FSI manifeste un intérêt pour une entreprise du secteur des TIC. Il y a une semaine, son entrée au capital de la plateforme de vidéos en ligne Dailymotion, pour 7,5 M€, avait déjà été remarquée. En septembre, ce fonds, détenu à 49% par l'Etat et à 51% par la Caisse des Dépôts, avait déjà investi 3 M€ dans l'opération capitalistique d'OpenPortal, éditeur de logiciels de gestion des ressources humaines. Conforter sa position sur le CRM pharmaceutique et relancer sa croissance externe Spécialisé dans les logiciels destinés au secteur de la santé, Cegedim édite des solutions de gestion pour les pharmaciens, médecins et paramédicaux, ainsi que des outils de CRM pour l'industrie pharmaceutique (à la suite du rachat de Dendrite en 2007). Le groupe a plusieurs autres activités : études de marché, prestations en marketing, externalisation de la paie et des ressources humaines ou encore, notamment, location financière pour les professionnels de la santé. En 2008, il a réalisé globalement 849 M€ de chiffre d'affaires. 136 M€ ont été générés par son activité de logiciel, 44% de ces ventes étant réalisées en France. Avec le renforcement de ses fonds propres et l'accueil de FSI dans son capital, Cegedim veut poursuivre son développement dans ses secteurs de prédilection : CRM pharmaceutique, données stratégiques, services pour le secteur de la santé. L'éditeur entend aussi relancer ses projets de croissance externe. Le FSI, qui a été constitué pour soutenir les PME de croissance, dispose de 20 milliards d'euros d'actifs, dont 6 milliards de liquidités immédiatement mobilisables. Il a signé en juin dernier un partenariat avec l'Afdel, association française des éditeurs de logiciels, qui lui a transmis plusieurs dossiers d'éditeurs, parmi les cinquante premiers du secteur en France. (...)

(28/10/2009 17:21:36)

Trimestriels SAP : chute de 9% pour le CA et de 31% pour les ventes de licences

Les trimestres négatifs se suivent et se ressemblent chez SAP, qui se montre de plus en plus pessimiste pour l'ensemble de son exercice 2009. En plus des mauvais résultats financiers trimestriels, l'éditeur d'ERP souffre d'un effondrement de ses ventes de logiciels. Dans les services, ses ventes sont également légèrement négatives. Le troisième trimestre fiscal de SAP s'achève en effet sur un chiffre d'affaires de 2,51 milliards d'euros, en baisse de 9%. Le bénéfice net est, lui, en hausse de 12% à 435 millions d'euros. Ce bon chiffre n'est pas dû aux résultats commerciaux mais à la compression des coûts. L'éditeur est par exemple engagé dans un plan de réduction d'effectifs qui porte sur 2 900 salariés dans le monde. La charge de la restructuration pour 2009 se monte à 200 millions d'euros. En plus de ces résultats financiers, SAP souligne la forte baisse de ses revenus de licences. Ils ont chuté de 31% sur ce trimestre à 525 millions d'euros. C'est la principale raison d'inquiétude quant à la santé de SAP. Les services fléchissent de 3%, ils représentent 1,9 milliard d'euros, soit près de 80% du chiffre d'affaires. Pour les trois premiers trimestres de 2009, le géant allemand affiche des résultats semblables. Le chiffre d'affaires baisse de 7% à 7,48 milliards d'euros, le bénéfice net augmentant de 2% à 1,06 milliard d'euros. Mais les revenus de licences baissent de 35% à 1,48 milliard d'euros, ceux des services de 3% à 5,6 milliards d'euros. Ces résultats trimestriels sont en deça des prévisions, alors qu'ils étaient supérieurs aux prévisions pour le deuxième trimestre. A cette occasion, Léo Apotheker, le Pdg expliquait que le pire de la crise était passé pour SAP. (...)

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