Flux RSS

Progiciels

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

2426 documents trouvés, affichage des résultats 861 à 870.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(28/10/2009 12:55:11)

Dassault Systèmes rachète à IBM la division des ventes de son PLM

Dassault Systèmes a signé un accord pour racheter pour 600 M$ la division d'IBM qui vend et supporte son offre de PLM (product lifecycle management). L'éditeur français, numéro un mondial sur ce marché, propose une gamme PLM v6 d'outils de gestion du cycle de vie des produits industriels depuis leur design et leur conception jusqu'à la fabrication, dans un monde 3D. Depuis 27 ans, IBM est son partenaire commercial privilégié. Mais voilà déjà quelques mois voire années que ce mariage de raison bat de l'aile. La réintégration des ventes PLM d'IBM devrait clarifier la situation. Dassault Systèmes reprend toute la maîtrise de sa clientèle grand compte qui, comme il le précise, devrait apprécier de dialoguer avec un interlocuteur unique. Mais le Français laisse aussi tout le loisir au géant américain de travailler plus librement avec ses concurrents, comme Siemens PLM Software ou PTC. Depuis 2005, Dassault systèmes a déjà progressivement récupéré la distribution de ses produits à destination des PME avant de transformer, en France, la division qui en a la charge en une société indépendante en 2008 . Par le biais de ce rachat, le Français devrait aussi devenir IBM Global Alliance Partner. 700 employés d'IBM viendront rejoindre les rangs de Dassault Systèmes qui hérite par ailleurs du support de 1000 clients IBM. Cette acquisition en cash devrait être effective au premier semestre 2010, sous condition d'acceptation par les autorités de régulation. Les deux entreprises devraient continuer de collaborer par ailleurs afin de proposer des offres de PLM en cloud. (...)

(21/10/2009 11:59:30)

Cegid propose des produits en Saas pour les experts comptables

L'éditeur Cegid lance deux produits en Saas pour les experts comptables : Cegid Expert et QuadraExpert. « Une offre complètement industrialisée qui s'adresse à toutes les tailles de cabinets en dessous de 50 collaborateurs » explique Sylvain Mossé, directeur de la business unit Cegid Interactive et par ailleurs DSI de Cegid. Les avantages de la formule Saas selon lui ? « La disponibilité permanente, l'assurance de mises à jour en temps réel (fiscalité et paye), le fait que ce soit un budget de fonctionnement (via une location sur 36 mois) et non pas un budget d'investissement ». Cegid réalisait sur 2008 5% de son chiffre d'affaires avec des formules en Saas, soit 13 millions d'euros(ME) sur un chiffre d'affaires total de 250. La société possède plusieurs offres en Saas. Historiquement, elle a débuté sur la paye et les RH, établissant aujourd'hui 250 00 feuilles de paye par mois via ce mode de fonctionnement Une offre TPE compte 8700 entreprises clientes, 3600 pour la comptabilité. Cegid compte également une offre retail qui concerne actuellement 650 points de vente. D'autres offres sont en phase de lancement, c'est le cas dans l'industrie, les experts comptables importants avec 7 ou 8 cabinets comme clients, le secteur public. Sur ce dernier secteur, Cegid a racheté Civitas il y a un an et travaille à une offre Saas pour les collectivités locales. (...)

(20/10/2009 16:59:24)

SAP BusinessObjects et Centrale Paris ont inauguré leur chaire de Business Intelligence

La Business Intelligence est devenue une discipline de recherche. Pour Bernard Liautaud, fondateur de la société Business Objects il y a dix-neuf ans (à droite sur la photo), l'inauguration le 14 octobre d'une chaire d'enseignement et de recherche dans le domaine de la BI, par SAP et l'Ecole Centrale Paris, c'est un peu une consécration. C'est ce qu'il a confié à cette occasion, avec un sourire, en appréciant que la BI ait acquis « ses lettres de noblesse ». Ce qui se présentait au départ comme « une innovation simple, une surcouche de 'requêtage' au-dessus d'une base de données, pour qu'un utilisateur dialogue avec son système d'information dans son langage de tous les jours (...) est devenue une manière d'optimiser le fonctionnement de l'entreprise. Des entreprises sur le point de faire faillite ont retrouvé une nouvelle vision avec la BI », n'hésite pas à affirmer l'entrepreneur français, qui siège depuis juin 2008 au directoire de l'éditeur allemand SAP, acquéreur de Business Objects en septembre 2007. Un professeur de classe internationale La chaire de Business Intelligence inaugurée la semaine dernière est opérationnelle depuis mai 2008. Elle est axée sur la gestion des données, méta-données et connaissances, ainsi que sur la visualisation de l'information et les interactions utilisateur/machine. Cette chaire est intégrée au laboratoire de Mathématiques Appliquées aux Systèmes de Centrale Paris. D'ici la fin de l'année, elle aura accueilli huit stagiaires de 3e année, six doctorants et trois post-doctorants et participé au dépôt de plusieurs brevets, ainsi qu'à plusieurs projets nationaux et européens. Les membres de la chaire travaillent avec l'entité Academic Research Center de SAP BusinessObjects. « Cette chaire nous permet de recruter un professeur de classe internationale qui nous apportera excellence et visibilité », a estimé lors de l'inauguration Hervé Biausser, directeur de Centrale Paris (à gauche sur la photo ci-dessus). Construites sur un modèle de co-innovation entre une entreprise, qui investit pendant cinq ans, et l'Ecole Centrale, ces chaires « sont extrêmement précieuses, car elles nous permettent de hisser la qualité de l'équipe d'enseignants de l'école », a insisté Hervé Biausser. Il rappelle par ailleurs que les projets de Centrale sont « tirés par l'aval, par les besoins des entreprises ». Prendre le temps de la recherche en BI A l'initiative de cette chaire de recherche, Hervé Couturier, vice-président exécutif de SAP Technology Development, y voit l'opportunité de renforcer la puissance de frappe intellectuelle de SAP et d'étendre ses possibilités de recrutement. Centralien lui-même, à l'instar de Bernard Liautaud, Hervé Couturier chapeaute 5 000 personnes, ingénieurs et développeurs, dont 500 en France. « Nous embauchons entre 250 et 300 ingénieurs par an. Ce que nous faisons en France est nécessaire, mais pas suffisant. Les ingénieurs en Inde, au Canada, en Bulgarie ou en Israël sont aussi bien formés que les Français. En nous associant à l'Ecole Centrale, je souhaite participer au rayonnement de l'ingénierie française ». Il rappelle aussi que, dans l'entreprise, il faut aller le plus vite possible, de l'idée à l'objet, pour arriver sur le marché et vendre un produit ». Cette chaire permettra à l'inverse de prendre le temps d'approfondir la recherche dans ce domaine. Quelques minutes plus tôt, Pascal Rialland, DG de SAP France, confiait que 50% des ventes de logiciels chez SAP sont désormais réalisées autour des technologies Business Objects, contre 1/5e seulement lors du rachat de BO en 2007. Pour Bernard Liautaud, si la BI est la ligne de produit qui a la plus forte croissance chez SAP, « nous sommes encore au tout début de cette transformation ». Le fondateur de BO évoque les perspectives que laisse entrevoir la fusion entre la BI classique et les moteurs de recherche, c'est-à-dire l'accès à l'information de type 'search' qui fait maintenant partie de la vie quotidienne des internautes. « Il y a énormément de sources disponibles à exploiter pour disposer d'informations en temps réel de façon quasi instantanée sur tout type de terminal ; des informations associées de telle façon qu'elles deviennent une vraie intelligence. » L'intérêt de la chaire de recherche accueillie par l'Ecole Centrale, a-t-il rappelé, c'est aussi de pouvoir travailler et avancer sans être entravé par « les considérations purement commerciales de l'entreprise ». L'un des défis de Business Objects, aujourd'hui, c'est de conserver « la capacité d'innovation que nous avions lorsque nous étions une start-up », reconnaît Bernard Liautaud. « On peut créer pour cela de petites structures dédiées, ou faire intervenir des stimuli externes comme avec Centrale. » Il serait d'ailleurs ravi d'étendre le partenariat noué avec l'Ecole Centrale à l'Allemagne ou aux Etats-Unis, avec Stanford ou le MIT. Une représentation sémantique unifiée des données structurées et non structurées La chaire SAP BusinessObjects de Business Intelligence est dirigée par Marie-Aude Aufaure (voir photo), professeur à l'Ecole Centrale Paris en science informatique, au sein du Laboratoire de Mathématiques Appliquées aux Systèmes. « La BI vise à aller de la donnée à la décision en générant de la connaissance », a-t-elle rappelé en préambule de la leçon inaugurale qu'elle a donnée ce mercredi 14 octobre. Elle a d'abord retracé, de façon générale, quels impacts avaient sur la BI les récentes évolutions de la société de l'information. Celles-ci impliquent de transformer toutes les données -y compris non structurées- en information, de favoriser la simplicité d'utilisation sur les nouveaux terminaux tels que l'iPhone, de faciliter la collaboration et de s'intégrer avec les processus métier. Autant d'évolutions qui fournissent des problématiques à explorer au niveau de la chaire de BI. Plus technique, la deuxième partie de l'intervention de Marie-Aude Aufaure s'est penchée sur l'élaboration d'une représentation sémantique unifiée des données structurées et non structurées. (...)

(19/10/2009 17:04:20)

Lawson Software accentue les approches métiers de l'ERP M3

La semaine dernière, l'éditeur américain a présenté à ses utilisateurs français sa nouvelle organisation, qui place un responsable global à la tête de chaque ERP métier. S3 est décliné pour le secteur de la santé, le secteur public et les industries de services (principalement la banque/assurance). M3, de son côté, dispose de solutions verticales pour l'agro-alimentaire, la mode et la gestion des équipements lourds (la location de véhicules de chantier, par exemple). Une quatrième version de M3, plus générique, cible les industries de fabrication (process et discrete) et la distribution. « Désormais, chaque organisation verticale dispose de ressources dédiées à l'échelle mondiale, tant au niveau des équipes de développement, que du conseil ou encore du marketing », explique Eric Verniaut, vice-président exécutif pour l'offre M3 Industries.

L'Europe représente 30 à 40% du chiffre d'affaires global de Lawson Software et en France, l'essentiel de l'activité repose sur l'ERP M3. La filiale hexagonale compte 320 clients sur M3, contre quatre clients seulement sur S3. La plupart d'entre eux sont restés fidèles à la plateforme iSeries d'IBM (ex-AS/400), qui avait fait le succès de Movex, « mais en migrant vers la version Java de M3 », souligne Frédéric Champalbert, nommé directeur général du secteur M3 Fashion dans le monde. « Chaque offre verticale a sa propre feuille de route de développement produit », précise Eric Verniaut. Lawson compte environ 600 développeurs au niveau mondial, dont 120 se consacrent à la verticalisation des lignes métiers M3, en intervenant principalement sur l'analyse des demandes.

Cinq contrats de 1 M$ sur le premier trimestre de l'exercice


La mise en place de la nouvelle stratégie verticale de Lawson semble avoir porté ses fruits sur le premier trimestre fiscal de l'éditeur, clos fin août 2009. Sur cette période, les ventes de licences (25,9 M$) ont progressé de près de 23% par rapport à l'an dernier (en revanche, les revenus de la maintenance et du conseil, en baisse, ont fait reculer le chiffre d'affaires global de 11%, à 169 M$). « Sur ce trimestre, nous avons réalisé cinq transactions de plus de 1 M$ au niveau mondial, soit autant que sur l'ensemble de l'exercice précédent », affiche Eric Verniaut. Il est vrai que l'an dernier, à l'automne, l'éditeur avait dû faire face, comme l'ensemble de ses concurrents, à une baisse de son chiffre d'affaires qui l'avait contraint à réduire ses effectifs. « Trois des transactions de 1 M$ réalisées entre juin et août 2009 concernent le secteur ESMR [equipement service management and rental], une solution M3 très spécifique, verticalisée depuis l'an dernier, que nous avons vendue à des concessionnaires de Caterpillar, face à des concurrents comme SAP ou Microsoft Dynamics AX, précise Eric Verniaud. Actuellement, nous comptons parmi nos clients sept des plus grands concessionnaires Caterpillar ». Parmi ces ventes figurent l'un des plus gros projets réalisés par l'éditeur depuis la fusion avec Intentia.

Lors de la conférence utilisateurs de Lawson, qui a accueilli 190 personnes dont 120 clients, jeudi 15 octobre à Paris, l'éditeur a également annoncé la version 1.1 de Lawson M3 for Fashion pour mars 2010. Lawson M3 for Food arrivera un peu plus tard, ce premier semestre. La prochaine évolution du coeur de l'ERP, la version 10.1, est également attendue pour 2010, avec une centaine d'améliorations, notamment sur la gestion de la chaîne logistique. Cette version intégrera l'outil Lawson Enterprise Search permettant aux utilisateurs de l'ERP d'effectuer des recherches sur les données structurées et non structurées. Parallèlement à ses ERP métiers, Lawson dispose aussi d'une offre de gestion du capital humain. Dans ce domaine, il vient de signer pour la France, l'Angleterre et la Suisse un partenariat avec Cegedim SRH pour la gestion de la paie. (...)

(16/10/2009 17:10:32)

L'USF veut conduire un dialogue constructif entre SAP et ses clients

L'USF, le club des utilisateurs de SAP francophones, a fêté son 20e anniversaire lors de sa convention annuelle, qui a réuni 1 600 participants cette semaine à Paris (14-15 octobre, La Défense). Après la récente crise de confiance entre les utilisateurs de SAP et l'éditeur autour de la hausse du tarif du contrat de maintenance (Enterprise Support), tout le monde semble -du moins publiquement- réconcilié après l'accord survenu au printemps dernier. Le programme de benchmark et de contrôle du ROI (retour sur investissement) semble aussi donner entière satisfaction aux utilisateurs. Le président de l'USF, Jean Leroux, s'est réjoui que SAP soit le premier éditeur à s'être ainsi engagé formellement à progresser sur des critères mesurables. Par ailleurs, Jean Leroux n'a pas souhaité donner un avis tranché sur la nécessaire (ou non) migration de modèle économique des éditeurs vers un modèle de revenu récurrent avec abandon de la licence initiale. L'essentiel est pour lui que le produit continue de faire durablement ce pour quoi il est acheté... « A 20 ans, on est adulte : si l'on a un point de désaccord, on peut se le dire sans se fâcher », a martelé Jean Leroux, président de l'USF. Le club se pose donc en « outil de dialogue constructif » entre SAP et ses clients, outil capable de structurer un discours commun avec ses homologues à travers le monde grâce au club des dirigeants de clubs utilisateurs (le Sugen). L'une des forces de l'USF est sa capacité à réunir des groupes de travail et à faire profiter l'ensemble de ses adhérents des meilleures pratiques constatées sur le terrain. Il publie ainsi régulièrement des livres blancs en collaboration avec des cabinets d'études, comme récemment celui sur le Support Utilisateur et celui sur la Business Intelligence. (...)

(16/10/2009 17:01:32)

SAP et HP intègrent le datawarehouse Netweaver BW à la plateforme Neoview

SAP et HP poursuivent leur collaboration autour des solutions décisionnelles. Sur SAP TechEd 2009 (Phoenix, Arizona, du 13 au 16 octobre 2009), ils ont annoncé travailler conjointement à l'intégration de l'application de datawarehouse de SAP, NetWeaver BW, avec la plateforme matérielle d'entrepôt de données Neoview d'HP, pour répondre aux besoins de rapidité d'analyse portant sur des bases volumineuses. Une version bêta de ce co-développement devrait être disponible au premier trimestre 2010, la première version de l'offre étant programmée pour la fin du deuxième trimestre. En avril dernier, SAP avait déjà engagé un partenariat avec Teradata dans le domaine du datawarehouse. Cette annonce intervient quelques jours après celle d'IBM qui a indiqué qu'il préparait un « Exadata killer » pour répondre à la solution Exadata d'Oracle qui combine logiciel et serveur de stockage pour les applications de datawarehouse. Oracle a récemment annoncé la version 2 d'Exadata qui utilise du matériel Sun. La première version s'appuyait sur des serveurs de stockage HP. En septembre, SAP a livré en France son offre BusinessObjects Explorer qui s'appuie sur des serveurs lames (HP, Sun, IBM ou Siemens) pour accélérer l'exploration du datawarehouse SAP Netweaver BW. A noter que l'édition européenne de SAP TechEd 2009 se tiendra à Vienne, en Autriche, du 27 au 29 octobre. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >