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(15/10/2009 17:41:29)
OpenWorld 2009 : Larry Ellison annonce Fusion Applications pour 2010
Oracle prévoit de lancer l'année prochaine la suite de gestion intégrée Fusion Applications qui doit rassembler le meilleur des différentes technologies développées ou acquises par Oracle. L'offre sera disponible en ligne (en mode SaaS) et dans une version traditionnelle à installer en interne. C'est ce qu'a annoncé hier son PDG, Larry Ellison, au quatrième jour d'OpenWorld, la grande conférence que l'éditeur tient chaque année à San Francisco (11-15 octobre 2009). Aux utilisateurs des applications de gestion de la relation client Siebel, ou encore des ERP JD Edwards ou Oracle e-Business Suite, le patron d'Oracle a pris grand soin d'assurer que, comme promis il y a déjà trois ans, leurs applications respectives continueraient, quoi qu'il arrive, à évoluer... sur les dix ans à venir et au-delà. « Nous pouvons nous permettre, non seulement de maintenir les logiciels que vous exploitez aujourd'hui, mais aussi de bâtir ceux que vers lesquels vous pourriez vouloir évoluer demain. » Il y a quelques jours, Larry Ellison, avait de la même façon affirmé aux clients de Sun qu'il allait poursuivre les investissements dans les produits qu'ils avaient achetés. Pour donner du poids à sa parole, il avait sollicité à ses côtés le co-fondateur de Sun, Scott McNealy, un autre 'showman' de sa trempe. Des fonctions de Business Intelligence embarquées La suite Fusion Applications est basée sur une architecture SOA reposant sur la couche Fusion Middleware. « Nous ne pensons pas que tous nos clients vont remplacer ce qu'ils ont aujourd'hui par Fusion, a reconnu Larry Ellison. Nous pensons qu'ils vont étendre ce qu'ils ont avec certains éléments de Fusion. C'est ainsi que Fusion sera déployé. » Les tout premiers éléments de Fusion avaient été dévoilés sur OpenWorld 2007. Conçus pour s'utiliser en ligne, ces premières briques étaient destinées à la gestion de la relation client (CRM). Les premiers modules de la suite Fusion Applications couvriraient la gestion financière, ainsi que la gestion du capital humain, des ventes, du marketing, de la chaîne logistique, des risques et de la conformité réglementaire, des projets et des achats. En revanche, le module de gestion de production arrivera plus tard. Hier, sur OpenWorld 2009, le patron d'Oracle a insisté sur l'intérêt de cette approche modulaire : « Vous assemblez les composants dans l'ordre où vous voulez les utiliser, de la façon la plus pertinente pour votre secteur d'activité. Nous avons travaillé de façon très très rapprochée avec les utilisateurs pour concevoir et tester Fusion Applications », a-t-il précisé. Ce qui, selon lui, a permis de déboucher sur une interface « de qualité supérieure ». Les fonctions décisionnelles embarquées sont un des autres bénéfices mis en avant sur la future suite de gestion. « Vous pouvez utiliser le système sans utiliser de Business Intelligence », n'a pas hésité à affirmer Larry Ellison à ce sujet. (...)
(12/10/2009 15:52:40)Prodware et Microsoft proposent un ERP en ligne aux TPE/PME, via la P-Box
L'intégrateur de logiciels de gestion Prodware vient de lancer officiellement, sur le salon ERP'2009 (6-8 au Cnit), l'offre hébergée P-box qu'il a réalisée en partenariat avec Microsoft. Une solution à exploiter en ligne, 'comme un service', que les deux partenaires avaient pré-annoncée en juillet dernier. Cette offre s'adresse à des entreprises de 5 à 100 collaborateurs, sans engagement de durée. Elle se décline sur différents domaines fonctionnels, de la suite collaborative à l'ERP en passant par le CRM, en s'appuyant sur les logiciels de Microsoft : la base de données SQL Server, le client léger TSE, la messagerie Exchange, la bureautique Office, les outils de collaboration Communicator, le portail SharePoint Services, l'ERP Dynamics NAV 2009 et la gestion de la relation client Dynamics CRM 4.0. L'une des particularités intéressantes de la P-box, et qui constitue d'ailleurs l'un des paris financiers de Prodware sur cette initiative, est d'inclure le coût du service (mise en route des applications, formation des utilisateurs) dans l'abonnement mensuel proposé. L'ERP est disponible à partir de 1 090 euros pour cinq utilisateurs, le CRM à partir de 890 euros et les outils de collaboration à partir de 590 euros. « Nous visons là un marché complémentaire à notre marché traditionnel », explique Isabelle Saint-Martin, chef produit Microsoft Dynamics de Microsoft France, qui précise que cet engagement au forfait est pré-paramétré pour quatre métiers : le négoce, l'industrie, le service et le BTP. Pour l'instant, seule la version négoce est livrée. Elle s'appuie sur le Pack Trade développé par Prodware. L'offre Industrie est prévue pour octobre, avec une gestion de production pré-paramétrée. En fin d'année, la P-Box Service comportera deux variantes : l'une sera adaptée aux bureaux d'études, à la gestion de projet (ou à l'affaire), l'autre conviendra plutôt aux sociétés de services qui placent des ressources en régie. Quant à la version BTP, elle est prévue pour le premier trimestre 2010. 90% des PME de moins de 50 personnes sont éligibles L'ERP Microsoft Dynamics NAV accessible avec l'offre P-Box est enrichi de bonnes pratiques par métier et il n'est pas bridé, explique-t-on chez Prodware. Mais toutes les problématiques ne sont pas couvertes. Il n'y a pas d'outils de consolidation, ni d'EDI normalisé par exemple. L'intégrateur estime toutefois que 90% des PME de moins de cinquante personnes sont éligibles à son utilisation. Sur le site de la P-box, un questionnaire permet aux PME de vérifier si elles sont concernées par l'offre, suivant leur type d'activité et leur taille. Si c'est le cas, l'entreprise sélectionne ensuite, par modules, les fonctions qu'elle souhaite mettre en marche, créant ainsi, en quelque sorte, son cahier des charges. « Nous livrons les modules préparamétrés », rappelle l'intégrateur. Une première TPE s'est déjà lancée, la tout jeune société française Ultima Displays, créée en juillet 2009. En huit jours, explique Prodware, elle a déployé les fonctions de comptabilité, d'achat/vente, de gestion des stocks et de gestion des emplacements dans le module magasin. Le tout, pour 1 290 euros par mois incluant l'accès à l'ERP Dynamics NAV, aux outils Office et au portail SharePoint. Il convient néanmoins de rappeler qu'il est toujours plus rapide d'installer un progiciel de gestion quand on démarre une activité et qu'il n'y a pas encore d'historique à récupérer. Outre les ventes qu'il effectuera en direct, Prodware compte aussi s'appuyer sur des partenaires qui seront considérés comme des apporteurs d'affaires et toucheront un pourcentage du loyer payé. Ils pourront même proposer des questionnaires à leur nom. Le client pourra rapatrier régulièrement la sauvegarde des données qu'il gère à distance sur un FTP sécurisé. S'il souhaite interrompre son abonnement et récupérer l'historique de ses données sur média, il lui en coûtera le prix d'un loyer. (...)
(09/10/2009 12:03:31)SAP France veut rallier de nouveaux partenaires autour de l'ERP Business ByDesign
Deux ans après son lancement, l'ERP en mode hébergé Business ByDesign de SAP ne compte qu'une dizaine de clients en France. Etonnant, lorsque l'on sait que ce progiciel de gestion intégré destiné aux sociétés de 100 à 500 postes devait représenter de 15 à 20% du chiffre d'affaires réalisée auprès des PME par SAP France en 2008. « Nous avons volontairement limité le nombre d'entreprises qui souscrivent jusqu'ici à notre offre, justifie Ludovic Lapeyre, le responsable de l'offre SAP Business ByDesign pour la filiale française. Cela nous a permis de constituer une base de belles références clients, avec, certes, des ventes réalisées en direct, mais auxquelles nous avons associé des partenaires ». Aujourd'hui, l'éditeur pense avoir suffisamment trouvé ses marques. Il se prépare à entrer dans une nouvelle phase de son offensive commerciale début 2010 en déployant une stratégie de « volume » dans laquelle les partenaires vont jouer un rôle central. Le logiciel fourni « comme un service » ouvre de nouvelles filières de partenaires «Notre objectif est de compter sur un réseau de plusieurs dizaines de prestataires. Nous ne pouvons pas adresser les PME sans leur proposer un réseau de proximité composé d'acteurs locaux ou nationaux présents en région », explique Ludovic Lapeyre. Rien n'empêche évidemment l'éditeur de les trouver dans son réseau de distribution existant. Toutefois, l'absence de prestation d'intégration à réaliser autour de la mise à disposition de son offre en mode SaaS (software as a service) lui ouvre de nouvelles perspectives en terme de cible de revendeurs. « Nous pourrions typiquement nous appuyer sur les experts comptables, indique Ludovic Lapeyre. Ils peuvent parfaitement assurer le paramétrage de l'application et, surtout, mener la conduite du changement qui sont les deux grandes interventions à pratiquer autour de Business ByDesign ». Les éditeurs indépendants constituent une autre des populations visées par SAP pour l'aider à augmenter les souscriptions à son offre hébergée. Par les applications spécifiques qu'ils proposent, ces derniers peuvent permettre à SAP de toucher les clients en misant sur une approche métier. Comme cela semble devenir la règle dans le monde du SaaS, le mode de rétribution que SAP devrait proposer autour de Business ByDesign relève du principe de l'apport d'affaires. Les partenaires devraient percevoir un pourcentage supérieur à 5% pour une souscription annuelle signée par un client, et toucher une nouvelle commission, inférieure à la première, en cas de renouvellement de contrat. (...)
(08/10/2009 11:55:27)Coheris cède son activité de SSII et se recentre sur son métier d'éditeur
Le Français Coheris se concentre sur son activité d'éditeur, ciblée sur les solutions de CRM et le décisionnel et qui pèse 78% de son chiffre d'affaires. Il vient en revanche de vendre son activité de SSII à trois sociétés. Cette cession était prévue depuis quelques mois. Sur son exercice 2008, Coheris a réalisé un chiffre d'affaires de 32,2 millions d'euros, en baisse de 1% par rapport à 2007. La partie SSII, dite 'Global Services' (CA de 7,85 M€) était moins rentable que la partie édition (24,33 M€). La décision fut prise d'en adapter les structures pour la rendre plus performante. Une autre hypothèse avait également été envisagée. En communiquant leurs résultats en début d'année, les dirigeants de Coheris avaient en effet indiqué qu'une opération de restructuration restait toujours possible, même si le contexte économique et financier ne s'y prêtait pas. Au 1er octobre dernier, c'est donc cette hypothèse qui s'est concrétisée puisque Coheris a cédé son activité « global services » à la SSII Sikia, en Ile-de-France, et à Aldheris, à Lyon. Une autre activité de services, dite de « support nomade » pour l'assistance et le dépannage des utilisateurs en mobilité, est vendue à la société DS-Line. 24e au classement EuroSoftware 2008 des éditeurs français Marc Stanciu, directeur général délégué de l'activité « global services » et membre du comité de direction quitte Coheris. La société se concentre donc sur son activité d'éditeur « où une partie du chiffre d'affaires est récurrent, contrairement à l'activité de SSII, plus variable, surtout en ce moment », nous explique le directeur financier de Coheris, Jean-François Ménager. L'éditeur s'est spécialisé depuis sa création en 1994 sur les solutions de centres d'appels et de gestion de la relation client (CRM), avant d'étendre ensuite son champ d'action aux logiciels d'analyse décisionnelle (Business Intelligence), par le rachat de Harry Software fin 2004, et au datamining, avec l'acquisition de Spad en mars 2007. La société figure à la 24e place au classement EuroSoftware 2008 des éditeurs français de logiciels. Elle développe en ce moment la commercialisation de ses produits en mode indirect. (...)
(01/10/2009 16:16:11)SAP et Salesforce.com montrent des applications exploitant Google Wave
La plateforme de collaboration Wave, de Google, suscite aussi l'intérêt d'éditeurs d'applications professionnelles tels SAP et Salesforce.com. Tous deux viennent en effet de montrer des prototypes d'applications qui exploitent cet environnement combinant des fonctions de partage de documents et de messagerie instantanée pour communiquer en temps réel. Comme prévu, Wave a été livré hier, mercredi 30 septembre, à quelque 100 000 utilisateurs. Jusque-là, seuls les développeurs pouvaient y accéder.
SAP Research, l'entité de recherche de l'éditeur allemand d'ERP, a ainsi créé avec l'équipe de développement de SAP NetWeaver une application, baptisée Gravity. Alexander Dreiling, directeur de programme au sein de SAP Research, a publié une vidéo en ligne pour en illustrer le fonctionnement.
Gravity permet de développer des modèles de processus dans le cadre d'une fusion entre deux entreprises (dans l'exemple choisi, une compagnie d'assurance et une banque). Les modèles sont ensuite exportés dans la solution de gestion des processus métier (BPM) de SAP pour y être peaufinés.
De son côté, Salesforce.com a conçu une extension à son offre qui se sert de Wave pour le service client. Là aussi, c'est une vidéo qui détaille l'information sur le blog des développeurs de l'éditeur californien, spécialisé dans les outils de CRM en ligne.
On y voit de quelle façon un client qui contacte un service de support va utiliser Wave pour engager un dialogue avec un robot. Dans la foulée, l'application ouvre un dossier d'incident dans Salesforce. Si le robot ne peut pas répondre à la question du client, ce dernier pourra demander à entrer en contact avec un agent qui rejoindra la « conversation ».
Wave n'est pas encore prêt pour l'épreuve du feu
Sur le blog de l'équipe de développement de Wave, Stéphanie Hannon, responsable produit, révèle que Google réfléchit déjà à une extension de la plateforme permettant de vendre ces applications en ligne.
L'analyste Stephen O'Grady, du cabinet RedMonk, reconnaît que la technologie Wave est plutôt intéressante, même si, en l'état actuel des choses, il considère qu'elle ne répond pas véritablement aux besoins des entreprises. « Sa prise en main doit être améliorée, tant pour les éditeurs indépendants que pour les entreprises », juge-t-il en ajoutant qu'il s'agit encore d'une technologie peu abordable pour des utilisateurs peu techniques. « Google devrait travailler avec des partenaires pour en extraire les éléments inutilement complexes et exposer uniquement les fonctionnalités métiers nécessaires ».
Google a admis, dans un blog interne, que Wave en était toujours au stade du développement et n'était pas encore prêt pour l'épreuve du feu. Certaines fonctionnalités doivent encore être ajoutées. (...)
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