Flux RSS

Progiciels

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

2426 documents trouvés, affichage des résultats 881 à 890.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(30/09/2009 11:20:20)

Oracle achète les logiciels de reporting financier de HyperRoll

Oracle a décidé d'acheter les actifs logiciels de l'éditeur HyperRoll pour renforcer l'offre de gestion financière de sa suite Enterprise Performance Management. La société acquise par le Californien propose des outils d'accélération du reporting financier utilisés par les grands comptes pour agréger les différentes données nécessaires à la clôture de leurs comptes en fin d'exercice. Parmi les outils du catalogue, Data Performance Management System sert à optimiser les performances des requêtes vers les datawarehouses et Livelink produit le reporting pour le logiciel de gestion financière Hyperion d'Oracle. L'offre d'HyperRoll fonctionne bien sûr avec la base de données d'Oracle mais aussi avec DB2 d'IBM, SQL Server de Microsoft, Teradata et Sybase ASE. Son acquéreur n'a cependant pas précisé si il continuerait d'assurer le support pour les SGBD concurrents du sien. Pas plus de commentaire en ce qui concerne certains des logiciels d'HyperRoll destinés aux clients SAP, concurrent d'Oracle dans le monde des ERP. (...)

(25/09/2009 16:22:48)

Le CXP résume l'apport des progiciels en cas de grippe A

Les problèmes d'organisation que sous-tend le risque annoncé de pandémie a conduit le CXP à rédiger un livre blanc sur le rôle du progiciel dans le plan de continuité d'activité (PCA) des entreprises. Les mesures à mettre en place, en cas de réduction importante d'effectifs, peuvent s'appliquer à d'autres situations exceptionnelles, telle qu'une inondation ou une grève prolongée des transports. Les réponses sont d'abord d'ordre organisationnel et réglementaire, rappelle le CXP, qui souligne le rôle de la DSI et du système d'information dans ce domaine et énumère ses principaux domaines d'intervention.

Dans le cas de la grippe A (virus H1/N1), ce ne sont pas les équipements qui seront touchés, mais les personnes. Les absences (*) entraîneront des dysfonctionnements, plus ou moins importants (perte de production, difficultés d'approvisionnement, perturbation des circuits financiers...). Les grandes entreprises ont déjà défini des PCA génériques comportant un plan de secours informatique, et certaines PME ont aussi mis en place des mesures générales. Mais le risque de pandémie requiert un PCA spécifique insistant davantage sur le volet prévention.

La DSI doit procéder à un inventaire des ressources informatiques, des applications critiques et de leurs utilisateurs, définir des priorités d'usage et développer de nouveaux moyens de communication (portail, centre d'appels, outils de télétravail). Elle doit établir quelles sont les contraintes techniques pour effectuer à distance les activités critiques, les contraintes matérielles, les risques (sécurisation des accès au SI notamment).

Décisionnel, Open Source, relation client, BPM et BAM, SIRH

Le livre blanc du CXP recense aussi, de façon générale, les outils facilitant le travail à distance et la communication entre les collaborateurs, ainsi que l'infrastructure à déployer (client léger, VPN, contrôle à distance...). Il s'arrête ensuite sur des outils qui ne pourront pas être mis en place dans l'urgence mais qui, s'ils sont déjà installés, « aideront le manager à réagir en fonction de l'évolution du contexte ». Les solutions décisionnelles serviront par exemple à établir des indicateurs pour analyser l'impact des absences sur les ventes, la production ou la gestion des stocks. Selon le CXP, pour remonter des alertes ou visualiser les données sous de nouveaux angles, il peut aussi être envisagé d'opter pour une solution de Business Intelligence en Open Source, moins onéreuse ou plus facile à mettre en oeuvre.

Particulièrement bienvenus aussi (s'ils sont déjà en place), les logiciels de gestion de la relation client (CRM) permettront de garder le contact avec la clientèle et les outils de BPM/BAM (gestion des processus métiers et supervision des activités métiers) soutiendront le plan de continuité d'activité, en permettant de modéliser et de faire évoluer le PCA (simulation du niveau de fonctionnement en mode dégradé, notamment, ou partage des règles métiers entre applications).

Le dernier chapitre du livre blanc est consacré au rôle du SIRH (système d'information des ressources humaines) dans la gestion de la pandémie, la DRH se situant au premier plan dans cette situation de crise. Certaines solutions seront plus particulièrement sollicitées : les outils de mise en conformité réglementaire (gestion des risques professionnels, des accidents de travail...), les outils permettant d'analyser les catégories de personnel exposés, les postes et les compétences clés, et, enfin, les logiciels de suivi des ressources humaines (gestion des temps et des plannings, notamment).

(*) Précision du livre blanc du CXP : Absence et indisponibilité d'une partie importante du personnel souffrant, en arrêt maladie et, pour les cas graves, dans l'incapacité de travailler. [...] On estime généralement qu'entre 30 et 60% du personnel pourrait localement manquer ou pourrait être contraint de rester à la maison. Le scénario le plus souvent évoqué (valable pour les grandes entreprises) : une vague de 10 à 12 semaines avec un taux d'absence de 25%. (...)

(24/09/2009 15:08:31)

Microsoft achète quatre solutions métiers pour son ERP Dynamics AX

Microsoft pousse un cran plus loin la politique de verticalisation métier qu'il a engagé autour de son ERP Dynamics AX, destiné aux entreprises de 200 à 7 500 salariés. L'éditeur vient de racheter quatre offres développées sur son ERP par des partenaires intégrateurs très bien implantés dans son écosystème. Ces solutions éprouvées sont spécialisées sur trois secteurs d'activités : les industries de fabrication par process, les services professionnels et les points de vente. Certaines faisaient déjà partie du catalogue Dynamics AX de Microsoft depuis un certain temps. C'est le cas de Process Industries, conçue par Fullscope pour les industriels travaillant sur des activités de mélange (typiquement la chimie, la pharmacie, l'agro-alimentaire, l'industrie du papier...). Désormais, le logiciel passe complètement chez Microsoft. « Nous n'achetons pas l'entreprise, mais la solution », précise Crispin Read, directeur général des solutions ERP de la division Dynamics.

De la même façon, Microsoft a racheté une solution de son partenaire Computer Generated Solutions, développée pour les acteurs des services professionnels qui doivent gérer des projets, affecter des ressources et facturer des interventions. Les deux autres produits acquis ont été mis au point par les partenaires LS Retail EHF et To-Increase Denmark A/S (une filiale de Columbus IT Partner A/S) pour le commerce de détail. La volonté de Microsoft de renforcer son ERP Dynamics AX sur certains secteurs d'activités remonte à plusieurs années. Cette stratégie avait en particulier franchi une étape en 2007, à l'occasion de plusieurs annonces faites lors de la conférence utilisateurs Convergence, déjà autour de l'offre de Fullscope. Outre les trois secteurs faisant l'objet des rachats annoncés cette semaine, Microsoft vise aussi le marché de la distribution et le secteur public avec son ERP Dynamics AX.

Les partenaires ont toujours un rôle à jouer

« Il y a cinq ans, on pouvait encore vendre à une entreprise un ERP générique que l'on personnalisait ensuite », évoque Crispin Read. Ce temps est révolu. Le marché demande davantage de profondeur métier dans les fonctionnalités. Le directeur de la division ERP de Microsoft note que Dynamics AX se retrouve souvent en concurrence avec des solutions ERP verticalisées comme SAP All-in-One, sur des projets comptant un millier d'utilisateurs. Avec les quatre acquisitions qu'il vient de réaliser, Microsoft peut désormais proposer sur trois marchés un moteur standard qui apporte toutes les fonctions requises à une typologie métier donnée. L'objectif est d'apporter aux clients une solution plus immédiatement adaptée à leurs besoins.

Pas question pour autant de diminuer l'importance des partenaires. Ils auront toujours un rôle à jouer, affirme l'éditeur, en apportant des personnalisations complémentaires à la solution, en fonction des besoins spécifiques des clients. Ou encore en réadaptant un module pour un autre secteur. Questionné sur l'implication future des éditeurs d'origine dans l'évolution des quatre solutions, Microsoft indique que plusieurs modèles vont être utilisés, du transfert de connaissance au contrat de développement. L'éditeur dit avoir acquis la propriété intellectuelle des produits. L'ERP Dynamics AX compte plus de 11 000 clients dans le monde dont 250 en France. L'autre ERP de Microsoft distribué en France, Dynamics NAV, vise une cible différente, plus large (les PME de 50 à 1 000 salariés). Il rassemble plus de 70 000 clients dans le monde dont 2 000 en France. (...)

(23/09/2009 16:29:48)

Oracle 11g R2 simplifiera les mises à jour de progiciel... ou pas

Deux ans après la sortie de la version 11g de sa base de données, Oracle a officiellement lancé sa mise à jour, la R2 (ou Release 2). L'édition pour Linux est d'ores et déjà disponible, tandis que les éditions pour Unix suivront d'ici à la fin de l'année, et l'édition Windows début 2010. Parmi les principales nouveautés, cette R2 donne la possibilité de procéder à des mises à niveau des progiciels en utilisant deux éditions de la base. Des déclencheurs dits de « cross-edition » propagent les modifications de données d'une édition à l'autre. Cela permet de procéder à la mise à jour des applicatifs sans stopper la base, de tester la nouvelle version en production, et de revenir à l'ancienne version en cas de souci. Toutefois, après cette belle annonce en plénière devant un parterre de clients et partenaires réunis hier à Paris, Mark Townsend, vice-président d'Oracle responsable du SGBD, a reconnu que cette fonction demandait à être supportée par les progiciels. Or, même ceux d'Oracle ne la prennent pas encore en compte. « Ce sera le cas au fur et à mesure des prochaines versions », nous a-t-il assuré. RAC One Node, une option pour ne payer que pour un noeud du cluster Mark Townsend est aussi revenu longuement sur RAC (Real application cluster), la technologie de type grid d'Oracle. RAC est la réponse de l'éditeur aux entreprises cherchant de la haute disponibilité et un accroissement continu des performances (en ajoutant des noeuds au cluster). Toutefois, les clients ont plus d'une base en production, et des besoins différents. 11gR2 inaugure donc un partitionnement dynamique du grid : les entreprises pourront constituer des pools de serveurs correspondant à des besoins précis, ainsi qu'un pool 'libre', dont les ressources pourront être allouées dynamiquement par le logiciel de gestion selon les besoins. A noter aussi l'apparition d'une option tarifaire : RAC One Node. Destinée à des bases trop petites pour nécessiter une distribution sur deux noeuds, l'offre permet de payer pour un seul noeud tout en bénéficiant des capacités de RAC : reprise après panne automatique sur un autre serveur de la grappe, ou bascule pour des opérations de maintenance. La version 2 d'Exadata tire parti des technologies Sun pour les systèmes OLTP Une grande partie de la présentation de Mark Townsend a porté sur Exadata, dont la version 2 avait été dévoilée quelques jours auparavant. Sans grande surprise, alors que la première version de cette « Oracle Database Machine » reposait sur du matériel HP, la v2 d'Exadata est conçue sur du matériel Sun (les processeurs restant des Intel Xeon 5500). Et cette fois, Oracle se sent autant en confiance dans le domaine des datawarehouses, qui était le marché de prédilection d'Exadata v1, que dans celui de la consolidation de bases transactionnelles (OLTP) : l'ajout d'une mémoire cache Flash, basée sur la technologie FlashFire de Sun, a apparemment permis de supprimer le goulet d'étranglement pour les entrées/sorties. [[page]]Oracle explique ainsi que la configuration peut aller jusqu'à 64 coeurs, environ 400 Go de RAM, 336 To de stockage par rack, 5 To de mémoire cache en Flash, et 1 million d'entrées/sorties par seconde. Et pour améliorer encore les performances, certaines requêtes sont traitées directement au niveau des systèmes de stockage, ce qui fait d'Exadata, a indiqué Mark Townsend, un système massivement parallèle. Du stockage vertical pour une compression améliorée dans Exadata Pour le décisionnel, Oracle inaugure une technologie de compression bien connue des éditeurs de SGBD verticaux comme Streambase ou Sybase, mais que l'éditeur californien préfère appeler « hybrid columnar compression ». Oracle affirme pouvoir ainsi atteindre des taux de compression d'un facteur 10 pour les données les plus souvent requêtées, et d'un facteur 15 à 50 pour les données en mode archivage. Le tout pour un prix ridicule, à en croire Mark Townsend, qui a comparé l'achat de deux de ces « appliances », pour 2,3 M$, à celui d'une configuration équivalente chez IBM (serveurs Power 595 et unités de stockage DS8300 Turbo), coûtant d'après lui 10,7 M$. Tout le discours de Mark Townsend s'articulait en effet autour des économies que les entreprises sont censées pouvoir réaliser en passant à 11g R2 ou, mieux, en passant directement à Exadata équipé de sa 11g R2 préconfigurée. Le vice-président d'Oracle a ainsi promis qu'on pouvait diviser par 5 ses coûts en matériel en mettant en oeuvre les technologies de grid offertes par RAC et les nouvelles techniques de compression. Objectif : faire migrer la moitié de la base en un an La migration elle-même d'une ancienne base Oracle vers la 11g R2 est censée ne coûter « qu'un quart du coût de la mise à jour de 9i à 10g ». Des possibilités de captures de transactions ont été ajoutées à 11g, qui permettent de jouer de vraies transactions lors des tests de la nouvelle base. Cela allié à des outils d'analyse et d'optimisation devrait grandement aider les clients, estime Mark Townsend. Qui veut croire que « au moins la moitié des 70 à 75% des clients des SGBD Oracle utilisant aujourd'hui la version 10g devrait migrer dans le courant de l'année suivant la disponibilité ». (...)

(22/09/2009 17:32:49)

Les projets de CRM sont davantage pilotés par les directions métiers

Dans les projets de CRM (gestion de la relation client), la DSI n'est plus toute puissante dans le processus de prise de décision. Les différentes directions métier ont l'initiative et pilotent le projet tout au long de son déroulement. C'est ce que fait apparaître un sondage mené auprès de cent entreprises entre février et mai 2009(*) par la SSII Micropole Univers. 59% des cahiers des charges et des appels d'offres sont d'ailleurs réalisés en interne. Le décisionnaire, c'est le responsable applicatif qui agit en maître d'ouvrage. Toutefois, la DSI garde un oeil et même un peu plus. C'est elle qui tient le budget CRM, donc la décision finale. « Désormais, dans ces projets CRM, on part d'un enjeu métier et d'un processus marché », note Patrick Sportouch, directeur de l'entité CRM de Micropole Univers. Le processus de décision s'est modifié et les intégrateurs en sortent renforcés. Au début des années 2000, les cabinets conseil jouaient un rôle majeur et prenaient une part importante dans les budgets. Conséquence : les prestataires devaient s'aligner tant bien que mal sur les projets définis par ces cabinets conseil. Une source de rigidité et d'échec. Aujourd'hui, les directions métier, devenues maîtres d'oeuvre, pilotent les projets de A à Z. Les éditeurs, dans leur grande majorité, laissent la mise en place de l'application aux intégrateurs. 48% des appels d'offre concernent d'ailleurs un couple éditeur/intégrateur. 14% seulement des projets étant réalisés par des éditeurs seuls, qui assurent également l'intégration. Des utilisateurs de plus en plus satisfaits Autre modification, la réussite des projets actuels est conditionnée par de nouveaux objectifs. Trois sujets recueillent dans le sondage un niveau de satisfaction positif : le dimensionnement du premier lot (55,2%), le respect du budget (51,7%) et la satisfaction des utilisateurs (même score : 51,7%). Sur ce dernier point, on rencontre même des « très satisfaits », dans 19% des cas. La même question a été posée a postériori, non pas sur les projets actuellement menés, mais sur ceux réalisés 2 à 5 ans en arrière. Dans cette optique, les sondés répondent que la conduite du changement a été le critère dominant de réussite. Il reste donc des traces de mécontentement dans les projets CRM. Sujet numéro un : le retour sur investissement. Il atteint le niveau de satisfaction le plus faible (32 ,8%), suivi du respect du planning (48,3% de satisfaits). Les utilisateurs, il est vrai, exigent désormais des délais très courts de rentabilité : de six mois à un an pour 35% des répondants, de un à deux ans pour 46%. Le CRM revient de loin. Trop de projets ont échoué au début des années 2000. Le sondage de Micropole Univers apporte un sérieux bémol à l'image négative venue du passé, puisque 26% seulement des sondés en ont une perception négative. « C'est une heureuse surprise », commente Patrick Sportouch. Pour cet intégrateur, trois critères sont importants : la mise en oeuvre, l'intégration avec le système d'information et la conduite du changement. (*) 100 entreprises interrogées en ligne à partir du mois de février dernier. 139 questionnaires remplis complètement. 60% des répondants venaient de direction métier (ventes, marketing), 25% des directions informatiques, 15% des directions générales. 69% appartenaient aux équipes projet CRM de leur entreprise. 60% ont déjà eu une démarche CRM, dont 23% prévoient de nouvelles évolutions, 29% des répondants sont en cours de réflexion sur une démarche CRM. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >