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(22/09/2009 11:17:16)
Tableaux de bord : SAP livre BusinessObjects Explorer en France
SAP livre en France l'offre décisionnelle SAP BusinessObjects Explorer qu'il a annoncée en mai dernier à l'occasion de sa conférence Sapphire d'Orlando. Cet outil d'exploration de données est l'un des premiers produits de l'éditeur allemand à combiner les fruits de sa R&D et de celle de BusinessObjects. Conçu pour que les utilisateurs élaborent eux-mêmes leurs indicateurs clés de performances, Explorer s'appuie sur Polestar, l'interface intuitive développée par Business Objects pour sa plateforme XI 3.0. Celle-ci se prend en main sans formation ou presque, a rappelé Thierry Pierre, spécialiste des solutions SOA et Netweaver chez SAP France. « De toutes nos offres décisionnelles, Explorer est celle qui a la cible la plus large », a-t-il précisé la semaine dernière à un auditoire de responsables informatiques français venus assister à une démonstration du nouvel outil.
De fait, l'interface Polestar présente à l'utilisateur une simple fenêtre de dialogue pour saisir les mots-clés de sa requête, sur le modèle d'un moteur de recherche (ici, pas de navigation dans des méta-données), et faire remonter les données des indicateurs à visualiser graphiquement sous différentes formes. Explorer s'adresse en particulier à tous les utilisateurs occasionnels qui veulent mener des analyses de façon interactive en se laissant guider par leur connaissance du métier. Au passage, les données remontées permettent de 'découvrir' des informations associées, ce qui pourra conduire à approfondir l'analyse sur d'autres axes. Les indicateurs réalisés peuvent ensuite être partagés entre utilisateurs. L'interface Polestar a été développée avec les technologies Flex d'Adobe. Pour fournir un aperçu de ses possibilités, SAP propose aux utilisateurs de tester l'outil sur le Web, avec leurs propres données.
Accélération de l'analyse en mémoire
L'un des grands intérêts d'Explorer, c'est aussi de pouvoir exploiter les capacités d'analyse en mémoire apportées par BW Accelerator, technologie issue cette fois de la R&D de SAP. Celle-ci recourt à une 'appliance' matérielle, exploitant des serveurs lames fournis par l'un des quatre partenaires de SAP sur cette offre, IBM, HP, Siemens ou Sun. « L'installation, sur un système existant, est de l'ordre de quelques heures, estime Vincent Taufflieb, directeur avant-vente BI chez SAP. La technologie d'accélération génère en mémoire les index pour procéder au requêtage. Ces index peuvent être sauvegardés sur disques pour un redémarrage rapide en cas de problème. »
Pour l'instant, seuls les utilisateurs de SAP BW, l'offre de datawarehouse de SAP, peuvent bénéficier de cette analyse accélérée en mémoire, pour autant qu'ils soient passés à Netweaver BI 7. Toutefois, l'offre décisionnelle acquise avec l'éditeur français Business Objects ayant vocation à rester totalement agnostique vis-à-vis des applications du marché, SAP prévoit de livrer, en 2010, un 'Accelerated Explorer' pour les solutions non-SAP. Actuellement, hors SAP BW, BusinessObjects Explorer peut déjà s'utiliser avec toutes sources de données, en passant par les univers traditionnels de BO, mais sans accélération.
(...)
TriviumSoft cède sa suite de gestion des compétences à OpenPortal
L'éditeur TriviumSoft a cédé son activité et ses solutions de gestion du capital humain à l'éditeur angevin OpenPortal Software, spécialisé dans les logiciels collaboratifs de gestion des plans de formation. En réalisant cette opération de près de 3 millions d'euros, avec le soutien de ses trois actionnaires (CDC Entreprises, Ouest Ventures et Pays de la Loire Développement), OpenPortal monte son effectif à 55 personnes et son chiffre d'affaires proforma à 5,4 M€ (CA 2008). OpenPortal reprend l'offre See-K de TriviumSoft, suite de gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC), des performances et des carrières. Cette solution permet en particulier de cartographier les emplois et compétences d'une entreprise. Déployée en mode Web, elle peut s'installer chez le client ou s'utiliser à distance, l'hébergement étant assuré par TriviumSoft ou par un partenaire. Parmi les offres reprises figure aussi le logiciel d'analyse décisionnelle appliquée aux ressources humaines, Talent Explorer, et son arbre des compétences. Destiné aux experts RH, dans les entreprises ou au sein de cabinets de conseil, cet outil permet de planifier les ressources et de simuler des recrutements et leurs impacts sur les compétences. Les collaborateurs de TriviumSoft spécialisés dans la gestion des compétences et des carrières rejoignent OpenPortal. En revanche, OpenPortal ne reprend pas le coeur technologique de TriviumSoft, c'est-à-dire le moteur de découverte qui permet de créer des cartographies de connaissances. Créée en 1992, TriviumSoft compte parmi ses fondateurs les philosophes Michel Serres et Michel Authier. Le Premier ministre d'alors, Edith Cresson, avait chargé Michel Serres d'une mission sur les rapports entre l'exclusion et la reconnaissance des savoirs. L'objectif était de réaliser un outil qui permettrait de représenter les savoirs sous la forme d'un arbre de connaissances. OpenPortal ne récupère pas non plus les produits commercialisés sous la marque Eagle (Themap et FTM -Full Text Mapper- qui permet d'analyser de l'information en texte libre et d'en réaliser une représentation cartographique). TriviumSoft continuera de développer et de commercialiser ces offres. (...)
(17/09/2009 17:12:44)Une entreprise sur cinq utilise les Google Docs
Selon une étude IDC publiée en juin, une entreprise sur cinq utiliserait Google Docs de façon significative contre une sur vingt seulement en décembre 2007. Même si, comme le précise le cabinet d'étude, ces sociétés emploient probablement la bureautique en ligne de Google en complément de Microsoft Office, cette évolution pourrait néanmoins constituer une vraie menace pour l'éditeur de Seattle. Le poids de l'utilisation professionnelle de Microsoft Office demeure en effet quasiment inchangé, avec plus de 97% des entreprises qui déclarent l'utiliser massivement. Par ailleurs, l'étude ne porte pas sur les utilisateurs payants des Google Apps et il est fort probable que les chiffres d'IDC incluent bon nombre d'utilisateurs qui ont décidé d'utiliser Google Docs de leur propre chef sans que cet usage soit forcément officialisé dans l'entreprise. Pour Melissa Webster, l'analyste d'IDC qui a mené cette étude à bien, quoiqu'il en soit, cette évolution pourrait bien accroître le pouvoir des clients bureautiques de Microsoft au moment de négocier des mises à jour, par exemple. Elle rappelle, par ailleurs, que le bond en avant des Google Docs pourrait aussi limiter les chances des outils en ligne de Microsoft (Office Web Apps). IDC a mené cette étude auprès de 262 personnes dont 64% appartiennent à la DSI et 80% travaillent aux Etats-Unis. 23% des répondants étaient soit vice-présidents soit directeurs dans des entreprises de tailles variées. (...)
(16/09/2009 09:59:01)Teradata 13 optimise stockage et traitement des gros volumes de données
Annoncée fin août, la version 13 de Teradata est disponible en France. La base de données relationnelle, conçue pour bâtir des datawarehouses et déployer des applications analytiques, y optimise tout d'abord le stockage des gros volumes de données en fonction de la fréquence d'accès aux informations. Avec les fonctions Teradata Virtual Storage, les données les plus souvent sollicitées seront automatiquement remontées sur les disques à accès très rapide, alors que les données plus 'froides' seront conservées sur des supports moins coûteux. Ces capacités sont particulièrement attendues « par les entreprises qui doivent, par obligation légale, conserver des historiques de données sur plusieurs mois ou années », rappelle Jean-Marc Bonnet, architecte consultant chez Teradata, pour l'Europe et le Moyen-Orient. C'est le cas des opérateurs de télécommunications, par exemple, qui doivent stocker sur un an le détail des communications de leurs clients, ou encore les acteurs du Web analytique ou le secteur de la finance. Orchestration des priorités de traitement sur une même instance Les fonctions intrinsèques du SGBDR ont été améliorées pour répondre aux exigences requises par les analyses au fil de l'eau, de plus en plus fréquentes chez les clients (pose de systèmes d'alerte, scoring en ligne...). Le traitement des requêtes a été sensiblement optimisé, tout particulièrement pour optimiser les interactions entre le datawarehouse et les outils de gestion de la relation client, utilisés dans les centres d'appels, les agences et autres guichets ouverts à la clientèle. Lorsqu'on effectue de la segmentation pour des campagnes marketing, on peut attendre quelques secondes. « En revanche, lorsqu'un agent dans un centre d'appels interroge le datawarehouse, les temps de réponse doivent se compter en millisecondes, alors même que des centaines de requêtes sont simultanément traitées », souligne Jean-Marc Bonnet. Il indique qu'aux Etats-Unis, certains clients de Teradata gèrent des centres d'appels de 20 000 personnes. Entre les tâches classiques de reporting, d'analyse et de datamining effectuées par les autres départements et les interactions effectuées par le centre d'appels avec le datawarehouse, « le système doit gérer les priorités de traitement sur une même instance de base de données ». La v13 assure cette orchestration. Selon Teradata, certaines charges de travail s'exécutent jusqu'à 20 fois plus vite que sur la version précédente de la base et les données sont transférées jusqu'à deux fois plus vite dans l'entrepôt. Le fournisseur explique que le chargement 'ultra-rapide' des données s'appuie sur des tables spécialisées pour prendre en charge les très gros volumes. Enfin, Teradata 13 accélère le traitement des données géospatiales. Il est possible d'effectuer, en standard, des traitements (une segmentation par exemple) incluant des dimensions géographiques. Un traitement qui nécessitait auparavant des développements spécifiques. « Cette fonction est désormais standardisée et optimisée dans notre environnement massivement parallèle », confirme Jean-Marc Bonnet. Cinq catégories d'offres de datawarehouse [[page]] Cinq catégories d'offres de datawarehouse La version 13 de Teradata sera mise à disposition sur les différentes déclinaisons proposées. « Nous avons essayé de démocratiser notre offre avec quatre types de plateformes », rappelle Jean-Marc Bonnet. Le premier produit, Software-Only Edition, permet de gérer les volumes de données allant jusqu'à 6 To pour adresser les besoins d'analyse limités à un département. Même cible et même capacité pour la Data Mart Appliance destinée à construire un petit datamart (pour un projet marketing, par exemple), ou à être exploitée à des fins de tests et de développement. En revanche, l'Extreme Data Appliance vise les volumes extrêmes (50 Po) pour des fonctions d'analyse très particulières. Cette offre peut s'adresser, par exemple, aux acteurs de l'analyse d'audience sur Internet. Elle présente l'intérêt d'un coût de stockage réduit au téraoctet. Quant à la Data Warehouse Appliance 2550, elle se présente comme un datamart départemental gérant jusqu'à 140 To de données et qui vient concurrencer des offres packagées comme celle de Netezza. Enfin, l'Active Enterprise Datawarehouse, l'offre phare de Teradata, est conçue pour construire des datawarehouses d'entreprise. Elle couvre à la fois l'analyse stratégique et opérationnelle et gère jusqu'à 10 Po de données. Teradata compte 900 clients dans le monde dont plusieurs dizaines en France. (...)
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