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(30/04/2009 12:08:57)

Gestion logistique : i2 Technologies accuse Oracle de violation de brevets

Une procédure judiciaire vient d'être intentée pour violation de brevets contre Oracle par le Texan i2 Technologies, éditeur de logiciels de gestion de la chaîne logistique (SCM, supply chain management). Onze brevets seraient concernés, déposés par l'éditeur texan entre juillet 1999 et mai 2008. i2 Technologies attend de son action une décision de justice qui bloque l'utilisation de ces brevets, mais il vise aussi le paiement de royalties et le versement de dommages et intérêts. L'éditeur rappelle que plus de 150 de ses logiciels de SCM sont protégées par des brevets. Oracle édite plusieurs gammes de solutions de SCM, mais les informations communiquées dans la plainte rédigée par i2 Technologies ne détaillent pas quels logiciels mettent en oeuvre indûment les onze brevets en question. Dans le document, le plaignant se borne à préciser les processus couverts par ses brevets. Il s'agit par exemple de fonctions de coordination de la planification, ou encore de méthodes permettant de dispatcher des produits manufacturés entre des distributeurs. En juillet dernier, l'éditeur allemand SAP, numéro 1 sur le marché des solutions de gestion de la chaîne logistique en 2007, selon Gartner, a accepté de payer 83,3 M$ à i2 Technologies pour clore un procès en violation de brevets. Les estimations de Gartner placent Oracle en 2e position sur ce marché SCM, suivi de JDA Software. Courant 2008, i2 avait fait l'objet d'une offre de rachat par JDA Software, opération qui n'a finalement pas abouti. En décembre, JDA a annoncé qu'il renonçait à son rachat en raison de la situation économique défavorable.

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(29/04/2009 16:49:15)

SAP et ses utilisateurs trouvent un compromis sur les tarifs de maintenance

L'USF (club des Utilisateurs de SAP Francophones), le Sugen (le club des dirigeants de clubs d'utilisateurs de SAP dans le monde) et l'éditeur SAP ont communiqué ce 29 avril autour de l'accord « de compromis » entre l'éditeur et les structures représentant ses clients. Depuis pratiquement un an, l'éditeur doit en effet affronter le mécontentement de ses clients lié à l'augmentation du taux de rémunération de la maintenance (22% des licences acquises au lieu d'un choix entre un contrat à 17% et un autre à 22%) dans le cadre d'un nouveau contrat nommé Enterprise Support. Certes, le service lié à ce nouveau contrat est censé être plus élevé que dans les contrats précédents mais les clients ne voyaient pas l'utilité de cette évolution tout en constatant la croissance de la facture. L'accord « de compromis » qui vient d'être conclu entérine l'augmentation tarifaire mais celle-ci ne sera pas totalement effective avant 2015 (à la place de 2010) pour les clients actuels (les nouveaux clients sont automatiquement aux nouvelles conditions). Au lieu d'une augmentation tarifaire de 8% par an, celle-ci passe donc à 3,1%. Rappelons que, selon les dires de Jean Leroux, président de l'USF et DSI d'Aelia, la tendance globale est plutôt de demander des baisses de factures aux fournisseurs... SAP parvient donc à abuser de sa position pour imposer sa volonté à ses clients. En contrepartie, ceux-ci obtiennent, outre l'étalement de l'augmentation, des critères de qualité de service, les « indicateurs clés de performance (KPI) ». Si ces indicateurs ne sont pas bons, l'augmentation sera davantage étalée. Habituellement, avec des fournisseurs moins puissants, la logique est plutôt d'obtenir des ristournes lorsque la qualité n'est pas bonne et non pas une moindre augmentation. Ces KPI appartiennent à quatre catégories : continuité d'activité, amélioration des processus métier, protection de l'investissement et coût total de possession. « Nous sommes convaincus que SAP Enterprise Support offre une valeur inégalée à tous les clients [de SAP] et, comme démonstration de notre engagement, nous fournirons des réductions tangibles des coûts d'exploitation sur un calendrier défini », a déclaré Léo Apotheker, co-PDG de l'éditeur. Pour justifier l'augmentation obligatoire de la maintenance, SAP a en effet inclus dans le paquet « maintenance » une série de nouveaux services et produits annexes. La croissance du tarif est donc censée être compensée par une baisse du coût d'exploitation courant lié à ces nouveaux services qui permettent d'éviter des travaux réalisés actuellement soit en interne soit sous-traités auprès de SSII. Si tous les clients ne recouraient pas à de tels services, tous devront cependant accepter de les payer indirectement dans le cadre de l'Enterprise Support. (...)

(29/04/2009 16:40:09)

Trimestriels SAP : baisse de 33% sur les ventes de logiciels, compensée par la maintenance

L'éditeur allemand SAP a réalisé des ventes mondiales de logiciels en retrait de 33% sur son premier trimestre 2009, à 418 M€, et un bénéfice net en baisse de 16%, à 204 M€, par rapport au premier trimestre 2008. En France, toutefois, les ventes de logiciels ont moins marqué le pas, reculant seulement de 18%. Malgré ce revers, prolongé par la baisse de son activité de services et conseil (-9% à 649 M€), le chiffre d'affaires mondial de l'éditeur d'ERP (progiciels de gestion intégrés) et de solutions décisionnelles ne recule que de 3%, à 2,397 Md€, sur le trimestre. SAP le doit aux revenus issus de sa maintenance logicielle (52% du total), naturellement alimentés par les contrats signés l'an dernier : ils ont progressé de 18%, à 1,25 Md€. A noter, dans ce domaine, qu'un accord a finalement été conclu entre l'éditeur et ses principaux clubs utilisateurs au sujet de l'augmentation de tarif de cette maintenance. La majoration du taux de support (qui passe de 17% à 22% du prix des licences achetées) ne sera plus échelonnée sur quatre ans, mais sur sept ans, jusqu'en 2015. Par ailleurs, elle sera associée à un système de critères permettant de mesurer la valeur qu'elle apporte effectivement aux clients. « Si les critères ne sont pas atteints, l'augmentation annuelle sera décalée », promet Pascal Rialland, DG de SAP France. 51 postes vont être supprimés en France L'éditeur allemand a engagé à la fin de l'année dernière un plan mondial de réduction de coûts. En janvier, il a indiqué vouloir supprimer 3 000 postes d'ici à la fin 2009 sur son effectif global de 51 500 personnes. Plus de la moitié de cet objectif est déjà atteint. A ce jour, 1 900 salariés ont déjà quitté l'entreprise, principalement aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. En France, la filiale supprime 51 postes (sur 1 600 salariés), notamment par le biais d'un plan de départs volontaires. « Dans une industrie comme la nôtre, l'attrition naturelle des effectifs est généralement de l'ordre de 10% et nos collaborateurs partent le plus souvent chez des partenaires intégrateurs ou bien chez des clients », tient à rappeler Pascal Rialland, PDG de SAP France. Sur le trimestre écoulé, SAP veut mettre surtout l'accent sur la préservation de sa marge opérationnelle. Celle-ci a certes subi l'impact de 160 M€ de charges de restructuration qui couvrent 2 200 suppressions de postes. Mais, note l'éditeur, elle recule de moins d'un point, à 13,9% du chiffre d'affaires, par rapport à celle de l'an dernier (qui était affectée par les investissements faits sur l'offre hébergée Business ByDesign). Sur l'année 2009, SAP maintient ses prévisions de marge opérationnelle située entre 24,5% et 25,5%. Le fournisseur souligne aussi qu'il dispose au 31 mars de 2,95 Md€ de liquidités qui lui permettent de réaliser des acquisitions s'il le souhaite. (...)

(27/04/2009 15:33:16)

SAP s'unit à Teradata dans le décisionnel

Sur l'air de "dis-moi qui est ton ennemi, je te dirai qui est ton allié", l'éditeur de PGI (ERP) SAP et Teradata, spécialiste des entrepôts de données (datawarehouse), s'associent pour proposer une offre intégrant matériel et logiciel dans le domaine du décisionnel. Un sujet qui tient à coeur à SAP puisqu'il avait déboursé 4,8 Md$ en novembre 2007 pour mettre la main sur le spécialiste Business Objects (BO). Selon les éléments communiqués par les deux sociétés, Teradata va revendre SAP NetWeaver Business Warehouse (SAP NetWeaver BW) et les outils décisionnels de BO en association avec son Active Enterprise Data Warehouse. Ce rapprochement vise bien sûr à contrer Oracle. En association avec HP, ce dernier a lancé à l'automne dernier sa "HP Oracle Database Machine", dite Exadata, une offre qui couple matériel et logiciel. Elle devrait probablement se décliner avec des ressources acquises à l'occasion du rachat de Sun. Ce dernier apportant à la fois des serveurs, un OS et des solutions de stockage haut de gamme. Teradata figure parmi les favoris du Gartner Group sur le secteur des entrepôts de données. En février dernier, cet éditeur a clos son exercice fiscal 2008 sur un CA en hausse de 4% à 1,7 Md$, assorti d'un résultat net de 250 M$, en augmentation de 25%. La baisse de l'activité de vente (-4% à 884 M$) a été plus que compensée par la hausse des prestations de services (+12% à 818 m$). Auparavant filiale de NCR, Teradata a pris son indépendance le 1er octobre 2007. Fin 2007, la société avait déjà tissé des liens privilégiés avec SAS, éditeur d'applications décisionnelles. (...)

(24/04/2009 17:48:12)

Les patrons de l'IT française face à la crise #1: Viviane Ribeiro, présidente de Lefebvre Software

Comment les entreprises IT françaises réagissent-elles face à la crise qui frappe l'économie ? Cette question, LeMondeInformatique.fr a décidé de la poser directement à leurs dirigeants, chaque vendredi, dans des entretiens vidéo. Les patrons de l'informatique hexagonale raconteront ainsi comment leurs sociétés vivent cette période difficile, comment elles font évoluer leur politique de ressources humaines en conséquence et enfin, comment elles utilisent les mesures mises en place par le gouvernement pour faire face. C'est Viviane Ribeiro, présidente de Lefebvre Software qui inaugure dès aujourd'hui cette série d'entretiens filmés. Le 16e éditeur français (Truffle 100), spécialiste du progiciel de gestion, va bien. Prudente et confiante à la fois, Viviane Ribeiro évoque la surveillance de chaque instant de son activité, et une année 2009 qu'elle et ses collaborateurs entament « fiers et droits ». Côté emploi, si elle tempère ses recrutements, elle s'enorgueillit d'une intégration réussie de la société ASGroupe achetée fin 2008, qui n'a donné lieu à aucun licenciement, ni suppression de postes. Enfin, elle se félicite des dispositifs gouvernementaux qui permettent aux PME de préserver leur trésorerie, même si elle regrette une certaine lenteur de leur mise en application. La semaine prochaine, ce sera au tour de Rafi Haladjian, patron et cofondateur de Violet, fabricant du célèbre lapin connecté Nabaztag, de partager ses idées sur la situation économique de 2009. La vidéo de l'entretien avec Viviane Ribeiro, présidente de Lefebvre Software. (...)

(21/04/2009 11:42:08)

Oracle-Sun : la meilleure solution pour Sun, un coup dur pour Microsoft, selon PAC

« Pour Sun, c'était clairement la meilleure solution, commente Mathieu Poujol, analyste senior chez PAC. Oracle, quant à lui, n'a jamais caché son ambition de délivrer des solutions globales, ce qui peut aller jusqu'à disposer du matériel. N'oublions pas que Sun avait racheté le spécialiste du stockage Storagetek. Désormais, Oracle maîtrise la totalité de la chaîne de valeur, y compris les couches les plus basses, de la fabrication d'infrastructures de cloud computing, d'autant plus que Sun avait beaucoup avancé sur l'architecture du cloud computing. Que Oracle possède aussi bien du matériel, des applicatifs, des environnements de développement et d'exécution, du système d'exploitation (Solaris), de la base de donnée, etc., c'est un coup dur pour qui ? Pour IBM qui a raté ce rachat ? Mathieu Poujol : Sans hésiter, pour Microsoft. Avec IBM, il y avait beaucoup de recouvrement, raison pour laquelle ce rachat n'aurait pas été une bonne chose pour Sun. Oracle possédait déjà du portail, de la messagerie, etc. Il récupère la bureautique OpenOffice, le système d'exploitation Solaris : ils ont désormais une pile complète comparable à l'offre de Microsoft. Avant le rachat de MySQL, Sun et Oracle étaient très proches et la fusion s'annonce donc sous les bons auspices de partenaires qui se connaissent bien. Le sel point obscur pour nous est MySQL. Il y a deux possibilité. La première, c'est qu'Oracle fait de MySQL son bas de gamme et d'Oracle Database 11g son haut de gamme. En tel cas, c'est très mauvais pour le SGBD de Microsoft, coincé entre deux feux et sous les tirs d'excellents vendeurs, ce que Sun n'a jamais été. S'ils tentent au contraire d'envoyer MySQL dans les limbes, aux côtés d'acteurs aujourd'hui secondaires comme PostGreSQL et autres, ce sera mauvais à la fois pour MySQL et pour le marché... mais bon pour Microsoft. « HP se retrouve bien seul » [[page]] Ceci dit, Oracle possède peut-être ainsi le système d'exploitation Solaris mais c'est un système pour serveurs. Peut-il concurrencer Windows sur le poste de travail ? Mathieu Poujol : Apple a pris un Unix comme base de son système d'exploitation et cela lui ouvre de plus en plus les entreprises qui peuvent ainsi s'appuyer sur la fiabilité Unix du sol au plafond. Alors Solaris peut très bien évoluer... ou pas. Car la tendance est, comme dit Sun, « Network is the computer ». Autrement dit : ce n'est pas le système d'exploitation du poste de travail, banalisé, qui est et sera important. Dans ce cas de figure, le prochain rachat d'Oracle pourrait-il être Apple ? Mathieu Poujol : Là, ce serait vraiment un très gros morceau pour Oracle, d'autant que la valorisation capitalistique d'Apple est énorme et rendrait sans doute la chose impossible. Dans l'affaire, un autre dindon est d'ailleurs HP qui se retrouve bien seul. La réponse à ce rachat de Sun par Oracle pourrait-il être un rapprochement entre deux partenaires de longue date, HP et Microsoft ? Il faut voir...

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