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(16/04/2007 14:15:30)

Meru Networks installe le plus grand réseau maillé de Belgique

Meru Networks, un des spécialistes américains des réseaux sans fil, poursuit son offensive sur le marché européen en général et sur le marché de l'éducation en particulier. Il vient ainsi de déployer avec l'intégrateur belge Multicap et le Centre d'informatique pour la région bruxelloise (CIRB) le plus grand réseau maillé de Belgique sur le campus regroupant l'Université libre de bruxelles (ULB, francophone) et la Vrije Universiteit Brussel (VUB, néerlandophone). Quatre-vingt dix points d'accès WiFi ont été installés sur le site pour fournir de l'accès haut débit aux étudiants et aux visiteurs des deux universités. En outre, le système WBS de Meru Networks a permis d'étendre ces services à des sites périphériques grâce à un backbone Wimax sans fil et à un système maillé à répétition. Le réseau offre également de la VoIP et des services vidéo à l'ensemble du personnel. « Ce réseau sans fil est impressionnant et pourra servir de modèle aux autres institutions », a commenté Guy Vanhengel, ministre de la région de Bruxelles-Capitale chargé de l'informatique et commanditaire du projet. « Le réseau maillé WBS nous a permis d'installer des points d'accès à des emplacements où il aurait été très difficile et très coûteux d'installer des câbles. De plus, il permet de mixer plusieurs technologies pour couvrir une superficie qui représente tout de même 1,2 Km2 et assurer des liaisons avec les sites distants. Ainsi, le centre de contrôle, situé hors du campus, est relié à la fois par une liaison fibre et par une liaison backup en Wimax », précise de son côté Glenn De Haes, ingénieur système chez Multicap. La technologie Air Traffic Control équilibre automatiquement le trafic du réseau entre les points d'accès sans fil. Certains d'entre eux ont été installés sur des lampadaires, des toits et des murs extérieurs. (...)

(11/04/2007 18:00:21)

Cisco, Sun et IBM poussent un standard pour le Fibre Channel

Neuf constructeurs impliqués dans les réseaux de télécommunications parmi lesquels Cisco, IBM (pourtant un des promoteurs de la technologie iSCSI), Brocade Communications, EMC, Intel ou encore Sun, viennent de demander au comité T11 de l'ANSI (American National Standards Institute), la mise en place d'un standard FCoE (Fibre Channel over Ethernet), destiné au stockage réseau (SAN). Il s'agit de concurrencer les solutions SAN iSCSI, réputées plus économiques, en permettant notamment l'utilisation de ports Ethernet standard à la place de cartes dédiées à la fibre, employées jusqu'ici par la technologie Fibre Channel. Autre avantage d'un tel standard : les temps de latence seraient raccourcis. Enfin, la nouvelle solution permettrait également d'abandonner le protocole TCP/IP jugé plus gourmand. Dans le même temps, les constructeurs ont soumis à l'IEEE (Institute of Electrical and Electronics Engineers) un projet pour améliorer l'efficacité du transport par Ethernet et d'éviter la perte de données en définissant jusqu'à 8 classes de transport. Le transport des paquets sur Ethernet nécessite en effet des étiquettes utilisées par les commutateurs du réseau pour définir les priorités et répartir les flux. L'étude des nouveaux standards par l'ANSI et l'IEEE devrait prendre entre 18 et 24 mois. En cas d'acceptation, il ne faut donc pas s'attendre à voir l'émergence de produits certifiés FCoE avant 2009 au mieux. (...)

(10/04/2007 18:21:35)

Marvell licencie la technologie 10 Gbit Ethernet de Sun

Sun Microsystems vient d'accorder à Marvell, une licence pour l'exploitation de sa technologie réseau Ethernet 10 Gigabit (10 GbitsE Networking Technology) basée sur les processeurs UltraSPARC. Annoncée en février dernier, cette technologie, plus connue sous le nom de Neptune, est destinée à optimiser les performances des applications en dopant le débit des entrées/sorties dans les environnements utilisant des threads parallèles. En offrant un environnement CMT (Chip Multithreading Environment) haute performance complet sur l'ensemble de la pile de réseau (depuis le système d'exploitation Solaris jusqu'aux câbles), Sun entendait ainsi répondre aux besoins de services comme le datawarehousing, la reprise après incident ou encore la virtualisation. La technologie accélère également les performances des systèmes x64 tournant sous Linux ou Windows, la tendance du marché des serveurs étant de doubler le nombre de coeurs de processeur par socket. Marvell va également fournir Sun en équipements basés sur la nouvelle technologie. Les deux fabricants envisagent ensuite de développer ensemble des produits multithreads grimpant jusqu'à 40, voire 100 Gigabit/s. Cet accord est le premier signé depuis le retour dans le giron le 27 mars du constructeur du Scalable Systems Group, le département microprocesseurs de Sun, à l'origine de la technologie SPARC. Ce dernier avait joui d'une certaine indépendance sous la houlette de David Yen, un des architectes des processeurs UltraSPARC. Il vient d'ailleurs d'être nommé vice président de Sun Microelectronics, nouvelle version. D'autres accords de licence avec d'autres fabricants pourraient être signés d'ici peu. (...)

(04/04/2007 17:49:08)

Bouygues Telecom lancerait en catimini la 3G

D'ici la fin avril, Bouygues Télécom devrait ouvrir en catimini son réseau 3G à sa clientèle entreprises. A priori sans offre 3G spécifique, les clients disposant d'une carte PCMCIA Edge/3G basculeraient sur le réseau 3G lorsque celui-ci est disponible. Cela ressemble fort à du développement technique sporadique, sur certaines zones, en attendant la 3G+. En effet, Martin Bouygues a toujours martelé que l'UMTS n'apportait pas de réelle valeur ajoutée à l'Edge, et qu'il choisissait l'HSDPA, véritable haut débit mobile. Quoiqu'il en soit, Bouygues arrive sur la 3G/3G+ avec un sérieux train de retard face à SFR et Orange. (...)

(30/03/2007 18:03:42)

Une peinture contre le piratage sans fil

Puisque les clés de cryptage peuvent se casser, le meilleur moyen pour une entreprise de s'assurer que personne ne pirate son réseau sans fil est de le contenir entre ses murs. Une utopie ? Selon la société américaine EM-SEC, plus vraiment. Celle-ci vient de mettre au point une barrière électro-magnétique liquide. Se présentant sous la forme d'une peinture pour les murs et les plafonds, ce EM-SEC Coating empêche la transmission d'ondes radio, qu'il s'agisse de Wi-Fi ou du réseau GSM, au-delà de la surface où il est appliqué. Cette barrière fonctionne dans les deux sens, empêchant les ondes de s'échapper des locaux, mais aussi d'y pénétrer. En revanche, à l'intérieur du local, les réseaux sans fil fonctionnent sans problème. Cette peinture - à l'eau - est basée sur un polymère breveté et peut s'appliquer sur tous les types de matériaux : maçonnerie, papier peint, bois, métal, plastiques, etc. Développé à l'origine pour répondre à la demande de l'armée américaine, le EM-SEC est désormais en vente libre pour les sociétés privées. D'après son fabricant, une seule couche de cette peinture suffirait pour transformer un local en « forteresse électromagnétique » imprenable. Outre la sécurité informatique, cette peinture pourrait également être utilisée dans les théâtres, les hôpitaux ou tout autre endroit utilisant habituellement des brouilleurs d'ondes. Etant une protection passive, elle ne pose pas les mêmes problèmes de légalité qu'un brouillage actif. (...)

(30/03/2007 16:45:12)

Un site pour tester l'éligibilité ADSL/SDSL/Fibre

Le grand public peut depuis longtemps tester gratuitement en ligne l'éligibilité d'une ligne téléphonique à l'ADSL. L'opérateur Celeste, qui revendique 10 000 utilisateurs en France et à l'étranger, propose désormais un service équivalent aux entreprises. Il s'agit cette fois de tester, sur Celeste.fr, l'éligibilité d'une ligne non seulement à l'ADSL mais aussi au SDSL et à la fibre. Le service se base sur la situation géographique du détenteur de la ligne pour déterminer son éloignement par rapport au DSLAM (pour le raccordement en ADSL et SDSL) et par rapport au réseau de fibres optiques. « On estime qu'une entreprise est éligible lorsqu'elle est à moins de 200 mètres d'un réseau de fibres optiques, explique le gérant de Celeste, Nicolas Aubé. Au-delà, le coût du raccordement est trop élevé. » Selon les politiques de subvention éventuelles de la part des collectivités locales, le coût du raccordement à la fibre peut se situer bien en dessous de 3000 euros, indique Nicolas Aubé. Donc clairement moins que ce doivent coûter les travaux de génie civil. (...)

(30/03/2007 11:11:27)

Alcatel-Lucent atteint 25,6 Térabits/s sur une fibre optique

Lors de la conférence OFC/NFOEC d'Anaheim en Californie, Alcatel Lucent a annoncé que ses équipes de R&D avait atteint les 25,6 Tbit/s sur une seule fibre, en utilisant 160 canaux en multiplexage en longueur d'onde WDM. Le test a été effectué sur 3 tronçons de 80km. L'équipementier pulvérise ainsi le record du monde fixé depuis septembre 2006 à 14 Tbit/s. "Les réseaux optiques représentent un facteur clé dans la révolution du haut débit sur IP à laquelle nous assistons aujourd'hui dans le monde entier," a affirmé Romano Valussi, président des activités optiques d'Alcatel-Lucent. "L'expérience que nous acquérons lors de ces essais aidera Alcatel-Lucent à concevoir les systèmes dotés de la plus grande densité spectrale d'information et de la plus large bande passante possibles dont nos clients bénéficieront lorsque des réseaux de ce type seront déployés », conclut-t-il. (...)

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