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(16/09/2011 11:02:59)

Semestriels Vision IT Group : 20% de croissance sur 6 mois

La SSII doit plus de 20% de sa croissance au premier semestre 2011 aux différentes acquisitions qu'elle a réalisées depuis l'an dernier. Sur six mois, ses revenus se sont établis à 60,9 M€, soit une hausse de 24,6% à période comparée de l'exercice précédent. Hors rachats, Vision IT Group affiche une croissance organique de 2,3%.

Pas de croissance en France

Sa meilleure performance semestrielle, la société de services l'a réalisé au Benelux où son activité a progressé 163%. Cette zone représente désormais le quart du chiffre d'affaires du groupe. Sa progression s'explique notamment par l'implantation de l'entreprise aux Pays-Bas suite au rachat de Qwise dont les résultats sont consolidés depuis le deuxième semestre 2010. Vision IT Group a aussi effectué quatre opérations de croissance externe en Allemagne où ses revenus se sont appréciés de 62% pour atteindre également 25% de ses facturations totales. La France reste néanmoins le territoire qui contribue le plus aux résultats de l'entreprise (38% du total) bien que le chiffre d'affaires n'y ait progressé que de 0,4% lors du premier semestre de l'année.

Pour le second semestre 2011, la SSII prévoit de dégager environ 60 M€ de revenus, ce qui lui permettrait de publier un chiffre d'affaires de 120 M€ pour l'ensemble de l'année.

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(16/09/2011 10:32:40)

Semestriels Ausy : La SSII poursuit son développement

Ausy présente ses résultats semestriels. Ils sont d'autant plus attendus que la société a réalisé plusieurs rachats, il faut donc bien distinguer la croissance organique de la croissance globale et vérifier si l'intégration pèse ou non sur les comptes.

Sur le premier semestre 2011, le chiffre d'affaires augmente globalement de 45,7%, pour atteindre 139,3 millions d'euros. En organique , cette croissance est de 14,2%. Le groupe a intégré Aptus (en février) et le fonds de commerce APX-AS. C'est 75 ME annuels supplémentaires qui tombent dans l'escarcelle d'Ausy. Une troisième acquisition, celle de l'allemand Elan, intégrée en juillet, n'est pas prise en compte dans ces résultats semestriels, Elan représente 25 ME de CA en rythme annuel.

De bons résultats

La rentabilité est forte sur ce semestre, avec un résultat opérationnel courant de 7,5 ME, en hausse de 15,4%, un résultat opérationnel de 10,4 ME (+60%), un résultat net part du groupe de 8 ME (contre 3,9).  Sur la France, la croissance organique atteint 11,4%. Elle est due pour 10,5% à la croissance pure, pour 0,9% aux hausses tarifaires (et au fait qu'Ausy, comme ses consoeurs, est arrivée à contenir les hausses de salaires).

Les résultats sont bons et surtout, martèle la direction, en ligne voire en avance par rapport au plan de développement sur trois ans. Lancé en mars 2010, après une année 2009 passable, (3,6% de croissance organique quand même) ce plan prévoit d'atteindre les 300 ME de CA annuel d'ici fin 2012. Moitié en organique, moitié par croissance externe. Ce cap est en passe d'être franchi avec un an d'avance. Ausy met en relief trois autres objectifs : l'implantation en région, celle à l'international et le développement des offres.

Le couplage organique / externe joue à plein
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Le couplage organique / externe joue à plein

En région, le développement d'Ausy s'effectue, là encore, autant par recrutement et développement direct, que suite aux rachats. L'Ile de France est ainsi passée de 800 à 1 400 collaborateurs entre janvier 2010 et juin 2011, essentiellement suite à la reprise d'Aptus et de ses équipes. En PACA, aux mêmes dates, Ausy arrive à 370 collaborateurs, contre 280 il y a dix huit mois, sur plusieurs implantations : Sophia, Aix, Marseille, soit avec les équipes d'Aptus et d'APX, soit par recrutement. En Rhône Alpes, Ausy souhaitait atteindre une taille critique, elle est passée de 30 à 180 collaborateurs pour tenir compte, comme en PACA, du potentiel de la région.

Sur Toulouse, cas particulier, Ausy double ses effectifs, de 210 à 450 collaborateurs, l'objectif de 500 a été fixé, pour traiter les grands clients de l'aéronautique. Ces grands clients sont déterminants. EADS, par exemple, guide une partie du développement d'Ausy. C'est pour accompagner de grands clients de ce type qu'Ausy doit se développer à l'international. En Allemagne, par exemple, la société avec le rachat d'Elan peut maintenant recruter parce qu'elle connaît mieux le marché de l'emploi des ingénieurs (salaires, profils, méthodes de recrutement) et que ses ingénieurs n'hésitent plus à travailler pour elle. Toujours avec le rachat d'Elan, Ausy va pouvoir vendre ses propres logiciels outre-rhin, le potentiel lui paraît énorme, par exemple avec les sous-traitants d'Eurocopter. Le tout est donc lié, accompagner les grands clients à l'international et ensuite procéder, soit par croissance externe soit en  organique.

Elan lui apporte aussi une petite implantation à New Delhi, de quinze ingénieurs. Ausy vient d'ouvrir une autre unité, à Bengalore, pour travailler sur du soft embarqué, avec  EADS. Cette dernière fait pression pour que ses fournisseurs l'accompagner en offshore. »Pour être référencé avec cette société, il faut être présent en Inde » souligne Philippe Morsillo directeur général délégué.

 

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(15/09/2011 15:26:25)

Cisco : après la restructuration, Chambers redistribue les coups

Lors de conférence annuelle destinée à la présentation des résultats de l'entreprise aux analystes financiers qui s'est tenue mardi à San Jose, Californie, les dirigeants ont donné davantage de détails sur les transformations de Cisco. L'entreprise, spécialiste et leader dans les réseaux, avait commencé à rationaliser ses opérations et à se recentrer sur son coeur de métier, plus tôt cette année, après la publication de résultats financiers décevants. La réorganisation conséquente qui s'en était suivie, avait démarré par l'arrêt de son unité de production de caméscopes grand public Flip et d'autres activités, la suppression de 12 900 emplois et la réaffectation de 23 000 salariés.

John Chambers reconduit et Mea Culpa

Finalement, le président du conseil d'administration et CEO, John Chambers, n'aura pas fait les frais de cette réorganisation, en dépit d'informations selon lesquelles il annoncerait sa démission. Au terme de la conférence, en réponse à la question d'un analyste, le CEO a déclaré qu'il avait accepté de rester « à la demande du conseil d'administration » de Cisco. Il a été reconduit pour 3 ans. John Chambers a reconnu que l'entreprise s'était un peu égarée et avait manqué d'efficacité dans certains domaines. « Nous étions trop gros, » a ajouté le CEO de Cisco. « Je veux dire que nous avions pris quatre ou cinq tailles de trop. » En particulier, la structure de Cisco est devenue trop lourde, compliquant la relation avec les clients. « Nous avons rendu nos rapport douloureux dans les négociations de contrats et de licences logicielles, » a ajouté John Chambers. En outre, « l'entreprise n'a pas suffisamment pris en compte les retours clients sur certains produits et n'a pas fait assez circuler l'information pour modifier sa feuille de route en conséquence, » a t-il précisé.

De plus, « les clients demandaient une meilleure intégration des produits afin qu'ils soient plus faciles à utiliser. Et certains départements ont pris du retard en terme d'innovation, » a encore reconnu le président. « Cette réorganisation a été l'occasion de désigner des personnes spécifiques pour répondre à ces lacunes, » a ajouté John Chambers. L'entreprise a également mis fin à une série de commissions et de conseils de gestion en nommant des responsables pour ses lignes de produits.

Autonomie, collaboration, rationalisation


Les dirigeants ont également donné quelques détails sur la façon dont Cisco pensait rationaliser ses activités. Par exemple, « l'entreprise va accorder aux commerciaux plus d'autonomie, et nous avons réduit le temps consacré à l'examen des contrats de 2/3, » a déclaré Gary Moore,  Chief Operating Officier (COO) de Cisco.

Illustration: John Chambers lors de l'intervention devant les analystes

Crédit Photo: IDG

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Selon le CEO, l'entreprise a également fait en sorte que les équipes travaillant sur les produits collaborent plus étroitement entre elles, au lieu d'être en concurrence. « L'entreprise prévoit d'intégrer davantage ses technologies et de se servir de ses composants comme levier pour d'autres produits, » a ajouté John Chambers.

De plus, Cisco prévoit d'utiliser les mêmes circuits ASIC (Application-Specific Integrated Circuits) dans plusieurs lignes de produits pour réduire les coûts de développement des processeurs. Les cinq domaines d'activité de Cisco sont désormais centrés sur le routage et la commutation d'entreprise, la collaboration, la virtualisation des datacenters, la vidéo et tout ce qui permet de relier ces éléments ensemble dans une architecture globale.

Optimisme retrouvé par rapport à la concurrence

Selon les dirigeants, après cette cure d'amaigrissement, l'entreprise peut afficher de fortes perspectives pour les trois années à venir, avec des prévisions de croissance moyenne de 5 à 7 % en revenus annuels. Selon Frank Calderone, le directeur financier, « le bénéfice par action devrait croître de 7 à 9 % par an, sans tenir comptes des éléments non récurrents. »

« Pendant ce temps, les concurrents commencent à peine à s'attaquer à leurs propres problèmes, » a déclaré John Chambers, citant Hewlett-Packard aux prises avec sa stratégie. Pour sa part, il considère que Cisco a surmonté la question de la compétition sur les prix en faisant la démonstration que ses propres produits étaient moins chers sur le long terme. S'adressant aux analystes après les principales présentations, John Chambers a estimé que « HP n'avait jamais été plus vulnérable qu'aujourd'hui. » Pendant la conférence, Cisco s'en est également pris plusieurs fois à Juniper, quelques jours après le début d'une campagne de publicité qui ridiculise l'entreprise, se moquant de ses produits toujours livrés en retard. « Notre rival de la Silicon Valley est trop éparpillé entre son activité principale de prestataire de services et celle, récente, de fournisseurs de produits pour l'entreprise, » a commenté John Chambers. « Nous n'avons jamais été en meilleure position par rapport à nos concurrents », a t-il encore déclaré.

Illustration: John Chambers lors de l'intervention devant les analystes

Crédit Photo: IDG

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(13/09/2011 16:44:10)

Semestriels Groupe Open : Retour à la profitabilité

Les résultats du 1er semestre 2011 de Groupe Open sont conformes à son plan de marche. La SSII a totalisé un résultat opérationnel courant en hausse de 69% à 5,9 M€ (soit 4,5% du chiffre d'affaires) contre 3,5 M€ (2,6% du chiffre d'affaires) en 2010. Le résultat net des activités poursuivies marque le retour à la profitabilité avec 2,4 M€ totalisés au cours du 1er semestre  2011, contre une perte de 0,6 M€ en 2010. Les coûts de structure ont été rationalisés et le TACE (Taux d'activité congés exclus) se porte à 88,2% contre 86,9% au 1er semestre 2010. Le TJM (Taux journaliser moyen) passe aussi à 406 euros, contre 388 euros en 2010.
A l'opposé, le  chiffre d'affaires de la SSII est en décroissance. Il a baissé de 3% sur la période (132 M€) en raison d'une mauvaise performance des activités internationales.
A l'étranger, le semestre a en effet été marqué par une baisse des revenus (- 31% , soit 13,8 M€,), conséquence de l'arrêt des activités d'Open en Ukraine, d'une réorganisation du groupe en Belgique et d'une restructuration en Hollande.

Un positionnement prudent en cas de crise

En France, Groupe Open se porte bien. Dans l'hexagone, le chiffre d'affaires s'est élevé à 118 M€ (+2%) et le résultat opérationnel courant a bondi de 110% pour atteindre 6,5 M€. En outre, l'acquisition de Qualitech, société de 40 consultants spécialisés dans le conseil et l'assistance à maîtrise d'ouvrage auprès des assurances et des mutuelles a permis à la SSII de se renforcer dans un domaine considéré comme stratégique. « Ces résultats sont le reflet de la dynamique de croissance observée dans l'ensemble des métiers du numérique », s'est réjoui Guy Mamou-Mani, président de Groupe Open, à l'occasion de la publication des éléments financiers. Il a ajouté qu'avec une structure stabilisée et optimisée, des indicateurs en hausse et une inflexion sur l'effectif net, la SSII pouvait aborder les prochaines années avec sérénité, et disposer d'une capacité de développement et de résistance face à  un retournement de marché éventuel.  « Depuis la rentrée, nous avons commencé à remarquer des signaux négatifs de la part de certains de nos clients qui évoquent des réductions de coûts ou d'effectifs », a noté le président d'Open. « Nous sommes contraints d'en tenir compte, même si nous estimons que cette méfiance n'aura pas forcément d'impact dans les entreprises du secteur. Reste que ces signaux nous conduisent à adopter un positionnement prudent, mais pas négatif. »

En guise de perspectives, Open estime que la progression du 1er semestre confortera les objectifs de son plan stratégique. La société table notamment sur une marge opérationnelle courante de 8% en 2013.

Illustration : Guy Mamou-Mani, président de Groupe Open. Crédit photo : D.R



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(08/09/2011 10:59:34)

Semestriels Computacenter : Retour aux bénéfices en France

Le premier semestre 2011 est à marquer d'une pierre blanche pour la filiale française du groupe de distribution britannique. Pour la première fois depuis des années, l'entreprise a enregistré un bénéfice opérationnel positif à 200 K€, à comparer à une perte qui atteignant 1,4 M€ l'an dernier. La consolidation des comptes de son homologue Top Info, racheté en février dernier, explique ce retour dans le vert. Sans son apport, Computacenter France aurait affiché une perte opérationnelle de 0,4 M€, ce qui constitue déjà en soi un redressement notable de sa situation. Pour ne rien gâcher, le chiffre d'affaires du revendeur est en hausse de 33,7% à 248 M€ dans l'Hexagone. La encore, l'entrée de Top Info dans le giron du groupe a pesé lourd puisque sa participation aux revenus issus de la vente de produits en France s'élève à 34,7 M€ sur un total de 214,5 M€ (+39,4% sur un an). L'activité services a dégagé quant à elle un chiffre d'affaires en hausse de 17,6%.

Forte hausse de l'activité en Allemagne, baisse Outre-Manche

En Allemagne (où les résultats de l'activité au Luxembourg sont désormais consolidés), l'activité du groupe Computacenter a également connu une belle envolée avec un chiffre d'affaires de 660 M€, soit une progression de 27% sur un an. Une croissance soutenue par la progression des ventes de services (+9,9%) et surtout par les ventes de produits qui se sont envolées de 36,8%. En termes de revenus, la filiale allemande est ainsi devenue la plus importante du groupe devant le Royaume-Uni au premier semestre 2011. Elle reste toutefois seconde en termes de résultat opérationnel (9,5 M€ contre 3,4 M€ au premier semestre 2010).

C'est en effet toujours Computacenter UK qui occupe la première place sur ce point avec 19 M€ de bénéficies opérationnels contre 20,6 M€ au premier semestre 2010. Une belle performance quand on sait que son chiffre d'affaires a reculé de 16% à 622 M€. Une baisse d'activité qui s'explique par la chute de 22,6% des ventes de produits et une croissance de seulement 0,7% pour les services.

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(06/09/2011 13:58:37)

Semestriels Lefebvre Software : +20% sur les ventes de licences

L'éditeur français Lefebvre Software, spécialisé sur les solutions de gestion financière et des RH, annonce un chiffre d'affaires en progression de 30%, à 19,3 millions d'euros, sur le premier semestre 2011 (clos fin juin). En septembre 2010, il avait racheté l'offre Arcole, vendue par Ares.

Présidé par Viviane Chaine-Ribeiro, le groupe Lefebvre Software ne communique pas de résultats détaillés, mais indique avoir enregistré sur ses ventes de licences une hausse de 20%, à périmètre constant, et de 29% au total entre début janvier et fin juin. Son activité services a également crû de façon sensible (+28% dans l'ensemble), la partie services récurrents progressant notamment de 65% sur le semestre. Cette dernière partie regroupe les offres d'externalisation, les contrats d'infogérance et d'assistance au paramétrage, ainsi que les solutions proposées en mode hébergé (en ASP).

L'éditeur signale sur la période une augmentation des projets portant sur les solutions d'aide à la décision, en particulier appliquées aux RH, avec 21 nouvelles signatures. La mise en conformité réglementaire et législative des produits a également contribué aux bons résultats, les solutions SEPA (Single Euro Payments Area) ayant généré 79 ventes. En dépit des événements conjoncturels de l'été, Viviane Chaine-Ribeiro envisage la fin de l'exercice avec confiance, « la poursuite d'une activité soutenue » semblant se confirmer.

En vue, des solutions dans le cloud public

Mi juin, Lefebvre Software a réuni ses utilisateurs pour la 5ème édition des Interactives, sa journée clients. A cette occasion, la société a annoncé sa stratégie dans le domaine du cloud computing. Un premier volet, orienté cloud privé, s'appliquera aux actuelles solutions de l'éditeur. « Nos logiciels seront modifiés ou adaptés pour supporter des déploiements mutualisés et sécurisés en environnements virtualisés », a expliqué Viviane Chaine-Ribeiro, lors d'un entretien accordé fin juin. Le second volet de la stratégie concernera le cloud public, avec un paiement à l'usage. « Nous avons annoncé la création d'un catalogue d'offres et de fonctions plus spécialisées », a rappelé la présidente de Lefebvre Software en précisant que le droit d'usage sera calculé au volume, à l'utilisateur. Dans un premier temps, l'éditeur mettra à disposition, sur Microsoft Azure, un outil destiné à gérer les écritures « interco » [intercompany], c'est-à-dire internes à une entreprise ou à un groupe. L'offre sera suivie d'une gestion des immobilisations (facturée suivant la taille de l'entreprise), une solution qui se prête aussi à un usage ponctuel.

Une offre rebaptisée Talentia

Avant l'été, l'éditeur a par ailleurs regroupé l'ensemble de ses offres sous un nouveau label, Talentia, avec des déclinaisons par produits : Talentia RH, Talentia Assets, Talentia SaaS et Talentia Finance. Cette dernière gamme a évolué vers une version 2.0, full web. Après le succès de son portail décisionnel RH, Lefebvre Software a annoncé la préparation d'un portail décisionnel pour la finance. Une première ébauche en a été présentée sur les Interactives avec une sortie prévue pour la fin de l'année. Ce portail vise tous les utilisateurs ayant besoin d'indicateurs financiers, principalement pour faire du contrôle et de l'audit. Le même module fonctionnera avec les offres des clients Lefebvre Software, quelle que soit leur origine : Iris Finance, Comptarel ou Arcole. Une équipe transversale travaille à leur intégration avec l'ensemble de l'offre. Cela signifie que les clients pourront les utiliser à l'avenir, même s'ils utilisent d'autres produits. « L'investissement du client ne sera plus lié à Lefebvre Software, ce qui nous permettra aussi de nous adresser à d'autres entreprises, souligne Viviane Chaine-Ribeiro. Nos produits seront prêts à fonctionner avec tout logiciel de finance et de paie comme une solution complémentaire. » Elle rappelle qu'en période de crise, les clients ne cherchent pas à révolutionner leur back-office.

Illustration : L'offre logicielle de Lefebvre Software est maintenant rassemblée sous le label Talentia (crédit : Lefebvre Software)

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(02/09/2011 09:54:55)

Résultats Econocom : un semestre renforcé par ECS

Intégrer les activités d'une entreprise rachetée n'est jamais simple, surtout lorsque celle-ci pèse à peu près le même poids que son acquéreur. Dans le cas de la SSDI Econocom, qui a racheté ECS en octobre 2010, les choses se passent bien. Pour le compte du premier semestre 2011, l'entreprise a publié un chiffre d'affaires de 763,7 M€, en hausse de 111% par rapport à l'année passée. Son résultat opérationnel s'est apprécié de 19,6% à 12,8 M€, tandis que son résultat net enregistrait un recul de 56% à 2,7 M€. Ce dernier intègre 10 M€ de coûts non récurrents dont la moitié est imputable à l'intégration d'ECS.

L'activité financement en hausse de 181%

Isolé par activité, le bilan d'Econocom montre une progression de 72% des revenus de sa division Managed Services (infogérance). La division Products and Solutions (distribution) a vu ses facturations croître de 16%. Enfin, le chiffre d'affaires de l'activité Financial Services (financement) s'est envolé de 181% grâce, notamment, au rachat avec ECS.

Au vue de la progression semestrielle de son activité qui a été réalisée avec un impact limité sur ses bénéfices, Econocom table toujours sur un chiffre d'affaires de 1,4 Md€ et un résultat opérationnel courant de 56 M€ pour l'ensemble de l'exercice 2011. Par ailleurs, la société compte poursuivre sa politique de croissance mixte (interne et externe). La fin du remboursement du prêt bancaire souscrit pour le rachat d'ECS et ses prévisions de retour à une trésorerie net positive en 2012 lui en donnent la latitude.

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(01/09/2011 16:49:15)

Semestriels Sopra : belle progression et séparation d'Axway réussie

Le PDG de Sopra, Pierre Pasquier, avait à juste titre plusieurs motifs de satisfaction ce matin en détaillant les résultats financiers de la SSII française. D'une part, le groupe qu'il dirige a réalisé une belle performance, avec un chiffre d'affaires semestriel en croissance organique de 11,4% par rapport à 2010, à 529,7 millions d'euros. D'autre part, la séparation-cotation de sa filiale Axway, prévue depuis plusieurs mois, s'est aussi fort bien déroulée.

De janvier à juin 2011, les marges opérationnelles de la société ont sensiblement progressé, avec une hausse supérieure à 26% pour le résultat opérationnel courant (8% du CA, à 42,5 M€) et de plus de 61% pour le résultat opérationnel (10,2% du CA), qui se trouve en partie bonifié par l'opération liée à Axway. Le résultat net part du groupe a augmenté de 83,3% à 36,3 M€ (retraité, il s'établit à 24,8 M€).

Sopra affiche donc de très bons résultats, dans l'absolu et comparativement à ceux communiqués cet été par d'autres SSII. Une réussite que Pierre Pasquier attribue notamment au « delivery model » de son groupe, qu'il juge « très anticipé, avec une équipe centrale très puissante ». Parmi les points en creux, le PDG reconnaît néanmoins une performance plus faible sur l'Europe (+7,7%) par rapport à la France (+12,2%), l'Hexagone pesant toujours plus de 80% du CA total. Fin juin, le groupe rassemblait un effectif global de 12 280 personnes, dont 8 800 en France (contre respectivement 11 395 et 8 215 en juin 2010).

Evoluer vers un modèle éditeur avec Evolan

L'outsourcing applicatif constitue la part la plus importante du chiffre d'affaires du groupe (32%), suivi par la délégation d'expertise (24%), les projets au forfait (15%), les solutions applicatives (15%) et, enfin, les activités de conseil (14%) que la SSII a regroupées sous la marque Sopra Consulting. A noter que plus de 50% du chiffre d'affaires se fait sur des engagements relativement longs (projets au forfait, solutions et outsourcing), courant sur 4 ans, 5 ans et plus. Concernant la répartition entre secteurs d'activité, environ 64% des revenus se répartissent entre les services financiers (25%), les services, les transports et l'énergie (21%) et le secteur public (18%), ce dernier restant « un vecteur de croissance pour le groupe » (le reste du CA se fait dans l'industrie, les télécoms et médias et la distribution).

Pierre Pasquier a par ailleurs souligné l'ambition de Sopra d'évoluer vers un modèle éditeur avec son offre Evolan spécialisée dans le domaine bancaire. « Nous avons également des offres sur le secteur des ressources humaines et de l'immobilier », a-t-il rappelé en ajoutant que disposer d'une offre applicative constituait un ticket gagnant. Dans cette optique, Sopra étudie la possibilité de faire des acquisitions afin de renforcer l'offre Evolan dans la durée pour des grandes et petites banques. « Nous aurons peut-être un jour un intégré bancaire comme Temenos », a notamment évoqué Pierre Pasquier.

A ce jour, Sopra maintient les prévisions de croissance fixées en début d'année pour l'ensemble de l'exercice 2011. Avec un bémol toutefois. « On ne voit pas d'effets de la crise boursière pour l'instant, mais il serait imprudent de dire qu'il n'y en aura pas. Nous verrons plus clair dans un mois et demi ».

Illustration : Pierre Pasquier, PDG de Sopra Group (crédit : Sopra)[[page]]

Axway peut financer sa croissance externe

Quant à la société Axway, coté sur Euronext depuis le 14 juin, elle a désormais acquis la capacité de financer sa croissance. Son directeur général, Christophe Fabre, décrit son marché d'une formule : « les réseaux d'interaction professionnelle ». Cela englobe tous les flux d'information entre les entreprises, leurs différentes entités, leurs clients et fournisseurs, etc. (EDI, commandes, factures, stocks...), ainsi que la gouvernance et la sécurité de ces flux. Sur le premier semestre 2011, Axway a réalisé un chiffre d'affaires de 100 millions d'euros, en croissance organique de 6,5%, et un résultat opérationnel courant de 9,4 M€ (9,4% du CA). La France pèse 37% du chiffre d'affaires (63% pour l'Europe au total) et les Etats-Unis 34%.

La société, dans laquelle Sopra détient toujours 26,27%, démarre son parcours solo sans dette. « Nous avons les moyens de grandir et nous recherchons activement », a confirmé Christophe Fabre. Des acquisitions de l'ordre de 100 millions de dollars sont dans les cordes d'Axway, voire au-delà, estime Pierre Pasquier, même s'il indique qu'il est plutôt prévu de réaliser de petits rachats. La société peut se développer de diverses manières, à la fois sur un plan géographique, sur sa base de clients ou pour enrichir son offre. Prendre du poids aux Etats-Unis, marché qui tire la croissance d'Axway, aurait du sens, reconnaît Christophe Fabre. De même que de disposer de nouveaux parcs pour vendre l'offre Synchrony ou encore, compléter l'offre BtoB. Tant le domaine du MFT (managed file transfer, gestion du transfert de fichiers) que celui des échanges de données BtoB comportent encore beaucoup de petits acteurs, souligne le DG d'Axway. « Nous pouvons participer à cette consolidation ».

Dans les années à venir, Axway prévoit une progression significative de sa marge. La société comptait un effectif total de 1 720 personnes au 30 juin 2011 dont 621 en France (contre 1 661 et 596 en décembre 2010).

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(01/09/2011 15:43:03)

Free mobile prêt pour début 2012 et la Freebox Revolution dynamise les résultats

Sur les résultats financiers, on retiendra qu'au premier semestre 2001, Iliad annonce un chiffre d'affaires en hausse de 2,6% à 1,041 milliards d'euros. Le résultat opérationnel progresse de 10,6% à 259,8 millions d'euros et le résultat net affiche une hausse de 7,9% à 145,9 millions d'euros. La raison de ces bons résultats est à chercher dans le succès de la Freebox Revolution. Le groupe Iliad (free et Alice) annonce 231 000 nouveaux abonnés gagnés en six mois. La récente Freebox, présentée en décembre 2010 et distribuée depuis le début de l'année, a déjà conquis plus d'un tiers d'entre eux.

Au 30 juin 2011, Iliad comptait 4, 717 millions abonnés (dont 4,245 chez Free et 472 000 pour Alice) dont 90,8% de dégroupés. Le 31 août, SFR et Bouygues annonçaient respectivement 4,983 et 1,023 million d'abonnés. Plus tôt cet été, Orange avait revendiqué un chiffre de 9,371 millions de clients haut débit.

L'offre mobile prévue au début de l'année 2012


L'offre mobile de Free est prête à être déployée au début de l'année 2012. Deux conditions étaient requises par l'Autorité de régulation des communications (Arcep) pour que Free puisse se lancer. La première impose à Free de couvrir 27% de la population, ce qui ne pose a priori pas de problème à l'opérateur. La seconde, c'est l'accord sur l'itinérance 3G avec Orange, qui ne sera pas valable avant le 1er janvier prochain. Ce n'est donc qu'à ce moment que Free pourra enfin officiellement se lancer sur le marché mobile et concurrencer Orange, SFR et Bouygues Telecom.

Free n'a en revanche toujours pas communiqué sur sa politique de prix, même s'il apparaît acquis que les premiers forfaits proposés seront à moins de 10€/mois. La volonté de Xavier Niel (actionnaire majoritaire et le dirigeant historique d'Iliad, maison mère de Free) est de diviser par deux le coût de la téléphonie mobile dans le budget des ménages.

Les autres opérateurs ont d'ores et déjà réagi face à l'arrivée prochaine de Free sur le marché et l'inévitable baisse des tarifs qu'elle va engendrer. Ainsi, Orange s'apprête à lancer dans quelques jours son offre low-cost « Sosh », dans la mouvance de B&YOU, proposée depuis le mois de juillet par Bouygues.

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(01/09/2011 14:47:28)

Semestriels Osiatis : La SSII porte sa marge opérationnelle à 7% du chiffre d'affaires

La SSII Osiatis (3500 collaborateurs) a enregistré un chiffre d'affaires consolidé de 137,0M€ au cours du 1er semestre 2011, en croissance de 14,1% dont 9,3% organique. Grâce à un bon taux d'activité et un redressement de la marge de l'ingénierie applicative, la marge opérationnelle a progressé de 0,4 point à 7% du chiffre d'affaires. Le résultat financier a baissé de 0,7M€ et le résultat net, à 5,4M€, a cru de 9,9% par rapport au 1er semestre 2010.
Le cash-flow généré de 6,6M€ a permis de financer les investissements (cloud) et acquisition (Alcion). « Nous avons pu tirer parti d'une organisation plus décentralisée et plus réactive, et de recrutements majeurs qui ont accompagné l'évolution de nos offres de services », a déclaré Jean-Maurice Fritsch, co-président d'Osiatis, à l'occasion d'un point presse. «  De plus, grâce à la signature d'importants contrats, notamment dans le domaine des transports et de l'industrie pharmaceutique,, nous avons pu élargir nos activités en termes de systèmes et de services autour des datacenters ».

Une croissance soutenue dans l'Hexagone

Les services aux infrastructures (86% du chiffre d'affaires consolidé) ont progressé, à 118,4M€, de 12,8% par rapport au 1er semestre 2010 (dont 9,8% organique). En France, la croissance a été particulièrement soutenue à 17,1% (dont 13,4% organique). A l'international (Autriche, Benelux et Espagne), la SSII a enregistré un chiffre d'affaires de 16,2M€, soit 12% du chiffre d'affaires consolidé, en recul de 8,3% sur le semestre. L'évolution observée au 2ème trimestre (-6,1%) laisse cependant envisager un infléchissement de tendance au second semestre. L'activité services aux applications est ressortie, à 18,6M€, en forte hausse de 23,4% dont 6,3% organique. Enfin, en mai, une opération d'augmentation du flottant a été réalisée : 10% des actions ont été reclassées et l'opération a été sursouscrite 1,66 fois. Elle a permis l'entrée d'une trentaine de nouveaux actionnaires au capital.

+7,5% de marge opérationnelle attendue en 2012

« Les résultats du groupe ont été payants tant sur le plan commercial, avec un développement sur les grands comptes, le mid market et le secteur public, que sur celui de l'évolution des offres, avec le lancement d'une plateforme Cloud, et celui de la productivité, avec le fort développement des centres de service », a précisé Bruno Grossi, co-président d'Osiatis  « Nous avons, par ailleurs, renforcé notre partenariat avec Microsoft en accédant à la certification Gold Virtualisation et en devenant le deuxième membre en France de V-Alliance (alliance Microsoft-Citrix).

En avance sur son plan de marche, Osiatis est confiant sur la poursuite d'un bon niveau d'activité sur le second semestre 2011 et renforce son ambition pour 2012, en augmentant son taux de marge opérationnelle attendue à plus de 7,5%. Le groupe a également réaffirmé son intention de finaliser d'autres opérations d'acquisitions en France et à l'international.


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