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Saas

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(04/10/2010 17:13:53)

Syntec Informatique aide les éditeurs à passer au mode locatif

Pour aider ses membres éditeurs de logiciels à migrer leur modèle économique vers la location  (SaaS - Software as a Service), le comité éditeurs de Syntec informatique annonce la création d'une offre baptisée PLE (Pack Location Editeurs), A partir d'aujourd'hui, et par l'intermédiaire de ce pack, un éditeur pourra proposer l'utilisation de son logiciel moyennant une redevance, tout en percevant immédiatement le montant total de la licence. De plus, et dans la mesure où il couvre un périmètre plus large que le SaaS, le PLE peut parfaitement convenir pour des typologies différentes. « Ce pack s'adresse à tous les éditeurs qui souhaitent louer une licence », indique David Vandenborght, délégué au comité éditeurs de Syntec Informatique et d'ajouter : « sur mesure, il prend aussi bien en charge des dossiers 100% logiciels que des services relatifs à la maintenance ou au matériel ».  

Création d'un contrat unique

Pour ce faire, le comité éditeurs de la fédération professionnelle a négocié pour ses adhérents  auprès des banques, en partenariat avec le cabinet  ASF Consulting, un package contractuel. « Nous avons demandé à une quinzaine d'établissements financiers partenaires de créer un contrat unique, de façon à ce que nos adhérents éditeurs ne se perdent pas dans les méandres des contrats financiers », souligne le délégué. Ainsi, les éditeurs ne perdront pas la main sur les contrats des refinanceurs et verront une valorisation immédiate de leur trésorerie, une disposition particulièrement intéressante pour les petites sociétés d'édition.
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(01/10/2010 11:16:25)

ESDI étend le SaaS à la ToIP

Depuis six ans, ESDI propose des ERP et du CRM (gestion des notes de frais par exemple) en mode Saas. Ce mode de distribution représente d'ailleurs le tiers de son chiffre d'affaires annuel (12 millions d'euros en 2009). « Nous réalisons du Saas de bout en bout, c'est ce qui fait notre force sur le marché » souligne Thierry Vonfelt, directeur cette activité chez ESDI. La société propose en effet non seulement l'accès à une plate-forme mais aussi un centre d'exploitation et un centre d'appels pour le client final.

Dans ce cadre, ESDI lance une nouvelle possibilité de travailler en Saas : la téléphonie. Il le fait avec Completel pour l'accès réseaux. Le but étant de supprimer tout investissement matériel dans l'entreprise et de louer les fonctions liées à la téléphonie. Les entreprises gagneront en souplesse pour le pilotage de leurs télécoms. La ToIP apportant en plus la gratuité des communications inter-sites (quand l'entreprise dispose d'agences par exemple), des gains sur la gestion de la téléphonie et sa maintenance. L'intégration prend de 2 à 6 semaines, suivant l'accès au réseau téléphonique.

ESDI est co-fondateur du Forum Saas au sein du club alliances d'IBM.

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(29/09/2010 14:20:35)

Microsoft propose des tableaux de bord pour rassurer ses clients BPOS

Avec ces outils, les clients BPOS peuvent plus facilement vérifier les performances et la disponibilité des applications de la suite, notamment dans le cas d'une défaillance des centres de calcul de Microsoft. "Nous franchissons aujourd'hui une étape dans notre prestation puisque le Microsoft Online Service Health Dashboard livre des informations rapides, précises et ciblées sur l'état du service BPOS," a écrit Morgan Cole, un officiel de Microsoft, dans un blog. L'annonce faite mardi arrive environ trois semaines après que l'éditeur de Redmond ait présenté ses excuses pour plusieurs pannes ayant affecté l'accès aux applications BPOS fin août et début septembre. La suite BPOS Standard, qui comprend Exchange Online, Office SharePoint Online, Office Communications Online et Office Live Meeting, hébergée par Microsoft et vendue par des partenaires, est fournie avec une garantie de disponibilité théorique de 99,9 %.

La démarche de Microsoft suit celle d'autres vendeurs de solutions logicielles hébergées, comme Salesforce.com et Google, qui offrent déjà des tableaux de bord d'état pour leurs applications. Avec une différence cependant : le tableau de bord Trust de Salesforce.com et le tableau de bord Google Apps Status sont accessibles en ligne pour tous les utilisateurs, alors que les trois dashboard BPOS de Microsoft - disponibles pour les régions Amérique, Asie-Pacifique, Europe, Moyen-Orient et Afrique (EMEA) - ne sont accessibles qu'aux clients possédant un identifiant de connexion.

Une demande des clients

Sur son blog, Morgan Cole a expliqué que la principale raison pour laquelle Microsoft avait lancé ces tableaux de bord BPOS reposait sur une demande générale de la part de ses clients de disposer de davantage de'informations quant à la disponibilité des applications hébergées. Cela semble en effet une préoccupation partagée par l'ensemble des responsables informatiques dont les entreprises ont adopté la solution du logiciel hébergé par les vendeurs. Car, lorsque les applications deviennent indisponibles en raison de problèmes au niveau des datacenters des vendeurs, les responsables informatiques se trouvent confrontés aux plaintes des utilisateurs finaux avec peu ou pas de moyen de remédier à la situation.

Le fait d'être informés de la gravité, de l'étendue et de la nature de l'interruption de service, et de disposer d'estimations sur le temps que prendra la remise en route, permet aux administrateurs de relayer l'information à leurs utilisateurs finaux et de les tenir informer au fur et à mesure de l'avancée des opérations de maintenance. Même si la question de la performance et de la disponibilité reste pour les clients des vendeurs d'applications hébergées une préoccupation importante, le modèle de provisionnement continue à gagner en popularité. Il a l'avantage de libérer les services informatiques des contraintes de la maintenance et de réduire les dépenses en matériel pour les entreprises.

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(29/09/2010 13:45:36)

Sortie de crise en vue chez l'éditeur Infor

Infor réunit ses partenaires distributeurs EMEA à Annecy ce 29 septembre. 370 d'entre eux seront au rendez-vous, contre 250 l'an passé (la conférence se tenait à Milan).  Tous les pays de la zone (qui va de la Scandinavie à l'Afrique du sud, de l'Irlande à la Russie) sont représentés. Thème principal : la croissance. « Nous avons traversé ces dix huit derniers mois sans trop de dommages, nous explique Jean-Philippe Pommel, vice président channel et alliances EMEA de Infor, nous voulons maintenant, atteindre 15% de croissance, une croissance agressive ».

Ces 15% seront possibles avec deux boosters :  l'accord signé avec Microsoft et l'extension géographique de l'éditeur et de son channel. L'accord avec Microsoft, signé début juillet, entre pleinement en application pour les partenaires. Ils vont pouvoir distribuer les produits Microsoft intégrés dans les solutions d'Infor : SharePoint 2010, Silverlight, SQL Server, Single-On service, Windows Server.

Trois pays émergents ciblés

Quant à l'extension géographique, elle porte sur les pays émergents, avant tout l'Afrique du sud, le moyen Orient avec Bahrein, la Russie. Eux permettront d'arriver aux 15%de croissance prévus, les pays comme la France, l'Allemagne, la Grande-Bretagne étant plus en retrait.

Côté produits, Infor va insister auprès de ses partenaires sur le Saas et l'ERP pour PME. Le Saas s'ouvre aux partenaires avec deux premiers produits ; la gestion d'actifs (enterprise asset management) et la gestion des frais (expensive management). Le cloud d'Infor s'appuyant sur la plate forme Azur de Microsoft.

L'offre ERP, elle, est centrée sur les entreprises réalisant entre 5 et 20 millions d'euros de chiffre d'affaires annuel, avec Visual ERP. Infor donne ainsi à ses partenaires la possibilité de s'adresser à des PME de plus petite taille. Cet ERP offre aussi un axe de recrutement à Infor.

Illustration : Infor EAM Business Edition, crédit D.R. (...)

(23/09/2010 09:04:27)

OpenWorld 2010 : Oracle se convertit à la religion du Cloud

A l'OpenWorld cette semaine, Oracle s'affiche bel et bien dans le train du cloud. Il faut dire qu'ici, impossible de faire un pas dans les allées du Moscone Center, où a lieu l'événement, sans se heurter à une pancarte faisant la publicité du cloud. Dans sa conférence, Thomas Kurian, le vice-président exécutif du Développement produits a déclaré qu'Oracle, "grâce à sa gamme complète de matériels, à ses applications et à ses technologies en sécurité et en management, était le mieux placé pour fournir des produits et des services dans le domaine du cloud computing." Selon lui, l'architecture des centres de calcul ne devrait pas reposer sur des séries de "petits blocs" parce qu'ils sont trop difficiles à gérer. Pour lui, la toute nouvelle machine Exalogic d'Oracle permet une approche plus intelligente en fournissant un guichet unique pour les logiciels et services cloud: "Cette solution "cloud in-a-box" combinant les matériels, les unités de stockage et le middleware nécessaires, permet de faire tourner tout type d'applications à grande échelle, cela avec une grande puissance de calcul", a-t-il dit. "Elle offre un environnement et une architecture uniques pour gérer les datacenters", a t-il encore déclaré. Celui-ci a également montré comment le logiciel de management d'Oracle pouvait "gérer le cloud tout entier, depuis les applications jusqu'aux disques" et fournissait aux administrateurs une photographie des indicateurs clés de performance (KPI), de même que des informations sur l'état des serveurs et sur le débit. "Les deux sont essentiels lorsque l'on passe au cloud", a-t-il souligné.

Davantage de contrôle utilisateur dans le cloud

L'intervention de Thomas Kurian concernait également la méthode utilisée par l'éditeur en matière de sécurité au sein du cloud, ce qui lui a permis, au passage, de faire la promotion de l'offre d'Oracle en matière de contrôle des identités et des niveaux de sécurité au sein de la base de données. Celui-ci a montré notamment comment les utilisateurs pourraient facilement configurer et modifier les processus de gestion dans les futures applications Fusion d'Oracle qui seront proposées sur site et à la demande. "Dans le passé, il était nécessaire de faire appel à un développeur pour apporter cette souplesse. Nous avons revu l'architecture de notre middleware pour modifier fondamentalement l'ancienne modalité", a-t-il expliqué. "Si Thomas Kurian a insisté sur les capacités d'Oracle en matière de sécurité et de gestion d'identité, c'est parce que ces fonctionnalités sont, pour le moment, généralement rarement offertes par la plupart des vendeurs de services SaaS (Software-as-a-Service)  pure-play", a relevé China Martens l'analyste du Group 451. La stratégie d'Oracle en matière de cloud computing ne semble pas inclure une offre d'IaaS (infrastructure-as-a-Service) public comme c'est le cas d'Amazon Elastic Compute Cloud (EC2). Thomas Kurian n'a pas non plus abordé des concepts tels que l'architecture SaaS multi-tenant qui permet à de nombreux clients de partager une application ou une fonction précise, sans mélanger leurs données.

Pas encore de SaaS multi-tenant

On ne comprend pas encore clairement si les Applications Fusion seront disponibles sous forme multi-tenant, une approche préférée par les fournisseurs de SaaS, car elle permet de réduire les frais généraux du système et facilite le déploiement des mises à jour pour de nombreux utilisateurs à la fois. Les applications SaaS sont généralement vendues par abonnement sur la base d'une par utilisateur. Mais Oracle semble croire qu'il sera plus rentable de s'en tenir à un modèle single-tenant pour Fusion et de maintenir le système traditionnel des licences séparément des bases de données et des autres technologies supportées. Selon Paul Hamerman, analyste chez Forrester Research, la stratégie Cloud d'Oracle apparaît comme une évolution de son service d'hébergement actuel Oracle On Demand, qui a fonctionné pendant des années. "Quand Oracle dit "Cloud", cela signifie hébergement", a t-il commenté. "Je pense qu'il y a une technologie nouvelle en jeu ici, mais la dernière du genre pour faire de l'hébergement."
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(20/09/2010 11:18:43)

OpenWorld 2010 : Les Fusion Apps d'Oracle attendues au 1er trimestre 2011

La première version tant attendue de la prochaine génération des applications Fusion d'Oracle sera disponible au premier trimestre de 2011. C'est ce qu'a déclaré hier son PDG, Larry Ellison, lors d'une allocution faite à la conférence OpenWorld 2010 à San Francisco. "Nous savions que nous devions réaliser une nouvelle génération de produits qui réunisse les meilleures fonctionnalités de PeopleSoft, de la suite E-Business et de Siebel," a-t-il dit. "Il nous a fallu cinq années et un énorme travail pour y parvenir. Cela continue à représenter un immense challenge en matière d'ingénierie." Oracle a du en effet ré-implémenter toutes les fonctionnalités "au sommet d'une infrastructure middleware moderne, et précisément au sein de notre propre middleware Fusion," a déclaré le PDG d'Oracle. "La Suite contient 10 000 processus intégrés uniques et la version finale comprendra 100 produits différents, tous disponibles simultanément," a-t-il ajouté. "Nous n'avions jamais fait cela auparavant, et j'espère que nous n'aurons pas à le refaire."

Selon Larry Ellison, Oracle "ne s'est pas réfugiée dans une grotte" pour développer son logiciel. L'entreprise a ainsi réalisé des tests à grande échelle avec certains clients tout au long du processus de développement de manière à offrir une interface utilisateur satisfaisante," a-t-il précisé. Le logiciel "ne ressemble pas beaucoup à la suite E-Business, il ressemble peu à SAP. Il apporte une interface moderne."

"Les applications sont disponibles auprès d'Oracle sur site ou à la demande," a-t-il indiqué. "Ce sera aux clients de décider. Ils peuvent aussi commencer à utiliser le logiciel à la demande et le déplacer ensuite facilement en interne s'ils le désirent." Le PDG d'Oracle a précisé que l'entreprise n'avait pas l'intention de pousser les clients qui utilisent des produits logiciels plus anciens à passer à Fusion. "Nous pensons que, pour la plupart des clients, la bonne chose à faire est de voir comment se passent les premiers déploiements... Ils pourront s'orienter vers Fusion quand ils le souhaitent. Ils sont les mieux placés pour savoir comment effectuer le déploiement de leurs ressources informatiques."

D'autres sessions de présentation des Fusion Apps sont prévues jusqu'à jeudi, date de la clôture de l'OpenWorld 2010.

Illustration : Larry Ellison, fondateur et PDG d'Oracle, crédit photo IDG NS

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(20/09/2010 10:24:16)

SaaS : Les revendeurs restent frileux

Commercialiser des formules Saas en mode direct buterait sur plusieurs obstacles. Deux principalement, selon René Causse, président du cabinet de conseil PAD (*) : les forces de vente directe sont coûteuses et elles ne couvrent pas la totalité du spectre. Pour autant, passer en indirect, nécessite une méthodologie bien appliquée et une volonté ferme de la direction générale d'un éditeur.

Le défi n'est pas mince. Même dans des formules classiques, les éditeurs ont du mal avec l'indirect. 84% des ventes des éditeurs, selon  Markess International,  se font en direct. Confirmation de Springboard International, pour qui, moins de 20% sont en indirect. Se référant à une étude de Booz Allen & Hamilton, René Causse note que 60% des stratégies partenaires échouent. En cause ? En apparence, les partenaires qui n'atteignent pas les objectifs fixés par les éditeurs. En fait, les éditeurs qui font « du partenariat à temps partiel » sans investissement et sans continuité suffisantes.

Le terreau de l'indirect est donc difficile. Et le passage au Saas rend méfiant. Plus de 40% des partenaires se disent réfractaires au Saas (toujours selon Springboard International). Les raisons sont  de l'ordre du traumatisme lourd : 20% citent des chiffres d'affaires et des marges insuffisantes, 20% la maîtrise du modèle (ils ne connaissent pas leurs parts de responsabilité), 5% le fait que les produits ne sont pas prêts.

Créer des unités dédiées aux offres SaaS

Dans ce contexte, René Causse conseille une méthodologie aux éditeurs : décider de passer en indirect au niveau de la « dg » (afin d'éviter les frictions), cartographier le marché et ses cibles (évident mas rarement réalisé), définir le « go to market », recruter les bons partenaires (et ne pas hésiter à se séparer de ceux qui s'engagent difficilement). Une fois le plan de marche mis au point, une équipe dédiée est indispensable. « On ne fait pas de l'indirect en intermittent du spectacle», lance  René Causse qui conseille, non seulement aux éditeurs mais à leurs partenaires en indirect, de créer des business unité dédiées au Saas.

Pour autant, la question cruciale restera en suspens, celle de la facturation. Il est difficile de mettre en place une structure et de miser sur le Saas tant que  les chaînes financières ne sont pas prêtes à fonctionner. Or, les questions non résolues ne manquent pas. Qui facture le client final et comment ? Est-ce l'éditeur ou son partenaire ? Autre question : la rémunération en Saas est mensuelle, donc porte sur des montants moins importants, mais réclamés de manière plus fréquente.  « Déjà qu'un éditeur peut avoir du mal à facturer 100 000 euros une fois, comment facturer, chaque mois,  1 000 euros ou moins » demande un intervenant.

Des commissions peu encourageantes pour les commerciaux

Question complémentaire : comment facturer le client final et en informer le partenaire ? Comment transformer une information strictement comptable à un partenaire en information et en levier commercial ? A partir de là, l'éditeur pourrait également bâtir une relation plus forte avec son partenaire, éviter sa volatilité. Encourager aussi sa capacité à garder le client. Un pari d'autant plus délicat que la rémunération n'est plus la même. Dans le modèle classique, le partenaire peut espérer de 25 à 40% de commissionnement, dans le modèle Saas, il est réduit à 10%.

Le type de relation, instaurée par l'éditeur avec son partenaire est donc un autre élément important. René Causse conseille de négocier, et de ne pas imposer, un business plan en début d'année afin de mieux suivre la relation commerciale.

(*) René Causse tenait une formation, à l'invitation d'IBM vendredi 17 septembre. Formation festinée aux éditeurs. IBM a lancé en France le Club Alliances qui regroupe des éditeurs sur des thématiques liées au Saas et au cloud.

Illustration : René Causse, président du cabinet de conseil PAD, crédit D.R.

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(16/09/2010 16:50:45)

La suite BI d'Actuate en route vers le cloud

Voilà déjà six ans que l'éditeur de solutions décisionnelles Actuate a créé son projet Open Source basé sur Eclipse. Celui-ci rassemble des outils de reporting et de visualisation de données pour bâtir des applications web en Java et J2EE. Selon Actuate, le nombre de développeurs travaillant avec ces technologies, en particulier avec le logiciel BIRT design, aurait maintenant dépassé les 750 000.

La suite intégrée ActuateOne que l'éditeur s'apprête à livrer s'appuie sur cet environnement de conception qui peut récupérer des données provenant de sources disparates (bases relationnelles, XML, web services, applications, fichiers plats, documents, flux d'impression, cubes multidimensionnels, datawarehouses...). Elle inclut les versions 11 des produits qu'Actuate a développés au-dessus de BIRT (Business Intelligence Reporting Tools), ainsi que la dernière mise à jour du serveur de rapports, iServer, qui supporte des déploiements en volume et qui peut s'installer en interne ou dans le cloud.

Analyse en mémoire pour l'utilisateur métier

La suite ActuateOne servira à générer du reporting ad-hoc, créer des tableaux de bord interactifs et effectuer des analyses en mémoire. Elle inclut les logiciels BIRT 360 et BIRT Data Analyzer, le premier mettant entre les mains des utilisateurs les outils pour constituer des tableaux de bord sans recourir aux équipes informatiques. Le logiciel utilise notamment Google Gadget, ce qui permet aussi aux éditeurs indépendants de créer des applications mashup.
L'outil OLAP Data Analyzer apporte de son côté la puissance de l'analyse croisée à travers une interface intuitive conçue pour faciliter l'exploration et la découverte d'informations.

Actuate BIRT Data Analyzer
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Les utilisateurs peuvent aussi créer de petites applications (widgets) AIR en Flash pour visualiser des données, et exporter sous forme de fonctions Excel des champs calculés et des données agrégées. Ils produiront également des documents Word, PowerPoint, PDF et XML.

Optimiser le traitement en réaffectant les instances

La suite ActuateOne s'appuie sur le serveur de rapports BIRT iServer pour gérer les déploiements, en interne et sur des clouds, privés ou publics, ou encore dans des environnements de cloud hybrides. La version 11 du serveur intègre des capacités d'évolutivité (baptisées Elastic Clustering) permettant de réassigner, ajouter ou supprimer une image 'stateless' de BIRT iServer, de façon dynamique et automatique au sein d'un cluster sans interrompre les traitements. Tous les paramètres de l'image sont configurés de façon externe, afin que l'instance mise en place prenne en charge un rôle prédéfini dans le cluster. La consommation des ressources s'en trouvera optimisée. Actuate cite en exemple un cluster optimisé pour un traitement en volume pendant la nuit tandis qu'il se concentrera, pendant la journée, à l'analyse des données en temps réel en mémoire pour l'alimentation des tableaux de bord.

L'éditeur souligne que l'architecture de BIRT iServer 11 supporte les déploiements multitenants et que des outils permettent aux clients de reconfigurer leurs environnements à tout moment au fur et à mesure de l'évolution de leurs besoins pour supporter tout type d'environnement virtualisé. Les capacités d'administration couvrent les déploiements en mode SaaS, PaaS, interne multi-tenant ou sur des systèmes départementaux multiples.

Plusieurs modes de tarification sont associés à la suite ActuateOne, facturée à l'utilisateur nommé ou sur la base d'un nombre illimité d'utilisateurs par CPU. D'autres modèles de licences, par 'unité de travail', sont également prévus pour les environnements de cloud.

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