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Saas

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(17/09/2009 17:12:44)
Une entreprise sur cinq utilise les Google Docs
Selon une étude IDC publiée en juin, une entreprise sur cinq utiliserait Google Docs de façon significative contre une sur vingt seulement en décembre 2007. Même si, comme le précise le cabinet d'étude, ces sociétés emploient probablement la bureautique en ligne de Google en complément de Microsoft Office, cette évolution pourrait néanmoins constituer une vraie menace pour l'éditeur de Seattle. Le poids de l'utilisation professionnelle de Microsoft Office demeure en effet quasiment inchangé, avec plus de 97% des entreprises qui déclarent l'utiliser massivement. Par ailleurs, l'étude ne porte pas sur les utilisateurs payants des Google Apps et il est fort probable que les chiffres d'IDC incluent bon nombre d'utilisateurs qui ont décidé d'utiliser Google Docs de leur propre chef sans que cet usage soit forcément officialisé dans l'entreprise. Pour Melissa Webster, l'analyste d'IDC qui a mené cette étude à bien, quoiqu'il en soit, cette évolution pourrait bien accroître le pouvoir des clients bureautiques de Microsoft au moment de négocier des mises à jour, par exemple. Elle rappelle, par ailleurs, que le bond en avant des Google Docs pourrait aussi limiter les chances des outils en ligne de Microsoft (Office Web Apps). IDC a mené cette étude auprès de 262 personnes dont 64% appartiennent à la DSI et 80% travaillent aux Etats-Unis. 23% des répondants étaient soit vice-présidents soit directeurs dans des entreprises de tailles variées. (...)
(03/09/2009 16:23:46)Salesforce.com lance une gestion de contacts pour TPE
Salesforce.com vient d'ouvrir l'accès à une application de gestion de contacts réservée cette fois aux très petites entreprises, comptant une ou deux personnes. L'abonnement à ce logiciel en ligne, qui porte le nom de Contact Manager Edition, est tarifé 7 euros par utilisateur et par mois. L'offre vise les petits entrepreneurs qui viennent de lancer leur activité. Ils pourront stocker en ligne les informations sur leurs contacts, en incluant les rendez-vous prévus, les documents partagés et des liens vers les flux Twitter et profils LinkedIn de ces contacts. Dans un récent rapport, le cabinet Gartner mettait la création de communautés d'utilisateurs (via Twitter ou via un réseau social) au nombre des stratégies permettant de valoriser la gestion de la relation client (CRM). En lien avec Outlook et les Google Apps L'application Contact Manager Edition permet de suivre les échanges réalisés à partir de diverses messageries (Microsoft Outlook, Gmail, Yahoo...). Elle est également intégrée avec la suite bureautique en ligne Google Apps qui fournit calendrier, traitement de texte, tableur, outil de présentation et messagerie instantanée. Elle propose par ailleurs des rapports préparamétrés pour faire le point sur les interactions réalisées. Pour faciliter la prise en main du logiciel, Salesforce.com met à disposition différents outils de formation et des listes de questions/réponses (FAQ). Il y a quinze jours, l'éditeur californien spécialisé dans les applications de CRM en ligne se montrait plutôt satisfait de l'évolution de son activité et revoyait à la hausse ses prévisions de chiffre d'affaires sur son exercice fiscal en cours (clôture fin janvier 2010). (...)
(24/08/2009 16:37:58)Malgré la crise, Salesforce.com revoit ses prévisions de chiffre d'affaires à la hausse
A contre-courant des autres acteurs de l'industrie informatique, Salesforce.com a revu à la hausse ses prévisions pour son exercice qui s'achèvera en janvier 2010. Le spécialiste du logiciel de gestion de la relation client en ligne table désormais sur un chiffre d'affaires annuel de 1,28 Md$, contre 1,27 Md$ auparavant. Fondé il y a 10 ans, Salesforce.com figure à la première position du "magic Quadrant" publié en juillet par le Gartner sur les logiciels destiné aux forces de vente (SFA, sales force automation). La société a su s'associer avec Amazon, Google et Facebook, qu'elle utilise comme bras de levier pour promouvoir ses offres. AMR Research décerne aussi un satisfecit au groupe. S'il occupe la dixième place au classement général des fournisseurs d'applications avec un chiffre d'affaires 2008 de 1,02 Md$, loin derrière SAP (15 Md$) et Oracle (8,5 Md$), il se hisse au troisième rang si l'on ne s'intéresse qu'au chiffre d'affaires généré par les ventes de licences ou d'abonnements. Marc Benioff, PDG du groupe, explique le succès de son entreprise par son modèle. Selon lui, il attire les entreprises par son rapport coûts/prestations. Au cours de son deuxième trimestre, clos fin juillet, l'éditeur a réalisé un chiffre d'affaires de 316 M$ (+20%) et plus que doublé son bénéfice net à 21,2 M$. A cette date, le groupe revendiquait 63 000 clients. (...)
(16/07/2009 12:05:23)Le marché mondial du CRM en croissance à deux chiffres
Le marché des logiciels de gestion de la relation client (CRM) n'est, pour l'heure, guère affecté par la crise. En témoignent les chiffres dévoilés par le cabinet Gartner, selon lequel les revenus issus du marché mondial du CRM ont atteint 9,15 Md$ en 2008, soit 12,5% de plus que l'année précédente. « En dépit de la volatilité du marché financier, note Sharon Mertz, directrice de recherche pour le Gartner, le marché mondial du CRM enregistre sa cinquième année consécutive de croissance à deux chiffres, profitant de ce que les entreprises ont continué à investir dans des solutions pour tous les segments d'activité. » Les revenus globaux de la gestion de la relation client reposent pour une large part sur des applications diffusées sur le mode Saas (Software as a service, services applicatifs accessibles en ligne). Elles représentent désormais 20% du marché total, contre 15% en 2007. Au palmarès des éditeurs, SAP reste campé sur la plus haute marche, avec 22,5% de parts de marché. L'éditeur allemand devance Oracle (16,1%), Salesforce (10,6%), qui s'appuie exclusivement sur le Saas, Microsoft et Amdocs. Si le Gartner table sur une évolution globale du marché qui restera positive en 2009, il anticipe néanmoins une progression moins fulgurante avec un taux de croissance ramené à un chiffre « en raison de l'incertitude économique persistante ». (...)
(09/07/2009 17:16:48)Licences logicielles : Forrester renforce sa charte des droits du client
Forrester vient de mettre à jour la « charte des droits des titulaires de licences logicielles » qu'il a établie en 2006 pour servir de base aux négociations menées par les entreprises avec les éditeurs lors de leurs achats de logiciels (*). Le cabinet d'études a jugé nécessaire d'ajouter onze droits à sa liste pour tenir compte, notamment, des nouveaux modes de commercialisation qui se développent ou s'annoncent, en particulier le mode Software as a service (Saas), les plateformes de développement en ligne (Paas), le cloud computing, les services managés et la virtualisation. La version 2 de la charte comporte au total 47 articles passant en revue les droits de base de l'acquéreur sur une dizaine d'années, depuis la prise de contact avec le fournisseur jusqu'à la fin de vie du produit. Les articles sont répartis en six rubriques : les règles d'engagement générales, la sélection du logiciel, la mise en place, l'utilisation, la maintenance et l'arrêt de la commercialisation. Parmi les dispositions déjà listées figuraient des dispositions aussi évidentes que la courtoisie montrée au client, l'obligation de fournir le contrat de vente dans son intégralité, le choix libre de l'intégrateur, la définition du niveau de service (SLA), le paiement en fonction de l'usage réel ou encore l'accès illimité au support en cas de sinistre. Mode SaaS : des garanties en cas de faillite du vendeur Les onze droits supplémentaires ont été ajoutés par Forrester après un sondage mené auprès d'une centaine d'utilisateurs et de 71 fournisseurs. Il s'en dégage quatre thèmes, constate Ray Wang, l'analyste qui a conduit l'étude : le support des nouvelles options de déploiement, les réductions de coût qu'il sera possible d'obtenir au-delà de l'actuelle récession, une indépendance renforcée vis-à-vis du vendeur et la possibilité pour le client d'intervenir davantage sur les bonnes pratiques. Les acheteurs doivent pouvoir bénéficier, par exemple, des réductions de coûts apportées par les technologies de virtualisation. A l'inverse, les entreprises choisissant le mode Saas doivent légitimement obtenir des garanties pour accéder au logiciel en cas de faillite du vendeur. Parmi les nouveaux droits inclus par Forrester figure aussi la nécessité d'indiquer précisément au client l'ensemble des fonctionnalités standards du logiciel, en renseignant sur celles qui nécessitent une personnalisation. Sur les questions de maintenance enfin, Forrester juge que le client devrait pouvoir choisir de recourir au support uniquement sur certains modules de l'application. En fin de vie du produit, le fournisseur devrait fournir un autre type de support, moins coûteux. Enfin, le cabinet d'études estime indispensable que l'entreprise puisse accéder à des programmes lui permettant de migrer sans douleur vers la nouvelle version. (*) Enterprise Software Licensee's Bill of Right (...)
(08/07/2009 11:26:27)Fin de bêta pour Gmail et les Google Apps
Après 5 ans, Google a annoncé le mardi 7 juillet que son service de messagerie en ligne n'est plus à l'état de bêta. Google Agenda, Google Docs et Google Talk ont eux aussi été débarrassés de leur étiquette bêta mardi, alors que Google mettait à jour les éléments de sa suite GAPE (Google Apps Premier Edition) vers un statut 'produit fini'. Pour autant, produit fini ne veut pas dire développement terminé. « Vous continuerez à voir ces applications évoluer et se doter de nouvelles fonctionnalités, mais ces dernières seront testées de manière très approfondies avant d'être implémentées », précise Rajen Sheth, chef de produit Google Apps. C'est au niveau entreprise que ce changement pourrait avoir le plus d'impact, l'étiquette bêta en refroidissant plus d'une. « Pour beaucoup trop d'entreprises intéressées commercialement par Gmail, la mention 'bêta' était comme un néon qui clignotait 'Amateur, amateur'... fait remarquer Matt Cain, analyste Gartner. Les entreprises ne veulent pas mettre les parties les plus critiques de leur communications sur un code bêta. Supprimer cette étiquette enlève l'un des plus gros obstacles qui empêchaient encore Google de s'attaquer aux entreprises. » Gmail et Google Agenda disposent depuis 6 mois d'un support hors-ligne, d'un accès BlackBerry, de l'intégration des listes de contacts et de la synchronisation avec le logiciel Outlook. D'un point de vue sécurité, l'acquisition de Postini en 2007 répond au besoin des entreprises. Google y ajoute aujourd'hui des fonctionnalités à but professionnel, telles que la réplication de messages. Dans les semaines à venir, il sera possible de déléguer son compte mail à des assistants, et de mettre en place des politiques de conservation de mails. Ces nouvelles fonctionnalités n'auront pas de conséquences sur le prix actuel de GAPE (50 dollars par utilisateur). « Bien qu'ayant commencé un peu lentement dans le marché de l'e-mail commercial, Google apprend vite et prend de l'inertie. Dans 2 ans, ça sera un vrai, crédible et agressif concurrent pour Microsoft et IBM », estime Matt Cain. (...)
(07/07/2009 12:23:29)SQLI se convertit au SaaS avec son offre de dataroom électronique
Destinée aux secteurs de la finance et de l'immobilier, l'offre de dataroom électronique de SQLI est désormais proposée en mode SaaS. Plusieurs formules de location ou d'abonnement sont déclinées pour accéder en ligne à une ou plusieurs salles virtuelles adaptées à la mise à disposition sécurisée de documents confidentiels. Ces datarooms en ligne sont par exemple utilisées par les banques d'affaires, les cabinets de conseil, les études notariales ou les fonds d'investissement dans le cadre d'opérations de fusion/acquisition, de cessions d'actifs immobiliers, d'appels d'offres, de LBO, etc. Il est possible de stocker, dans un de ces espaces sécurisés, de 1 000 à 50 000 documents, voire davantage, pour faciliter les échanges d'informations entre des vendeurs et des acquéreurs potentiels. Pour encadrer son entrée sur le marché des solutions en ligne, « SQLI a constitué en début d'année une agence SaaS qui travaille de manière transversale pour le groupe », explique Olivier Larribe, directeur du développement Solutions SaaS. La SSII française compte développer d'autres offres en ligne, pour ses propres besoins ou pour le compte de tiers. La mise à disposition d'une salle virtuelle en 48h La transposition de l'offre de dataroom vers le mode SaaS s'est faite en deux temps. Il y a eu d'abord une refonte ergonomique du logiciel, puis l'application a été portée dans une architecture multitenant. « L'application a fortement évolué. Les projets de dataroom se gèrent sur un seul écran, en utilisant notamment des fonctionnalités de glisser/déposer », détaille Olivier Larribe, précisant que le client peut désormais gérer seul des fonctions qui nécessitait auparavant une intervention de la SSII : ajouter des rubriques ou des dossiers, créer de nouveaux utilisateurs, ajouter des documents, ouvrir une dataroom pour un intervenant pendant une période déterminée, ou bien la désactiver. La mise à disposition d'une salle virtuelle se fait en 48 heures dès que le client a fourni l'arborescence des rubriques qu'il souhaite voir apparaître et précisé le nombre d'utilisateurs. Pour 3 990 euros HT, on accède pendant trois mois à une dataroom où peut être chargé un nombre illimité de documents. Le tarif est dégressif pour trois ou cinq projets. Quant à la formule d'abonnement, elle permet d'utiliser un nombre illimité de datarooms sur six ou douze mois, pour 3 750 €HT ou 3 250 €HT par mois. « Le client peut également acheter les sources de l'application pour l'installer en interne », rappelle Olivier Larribe. (...)
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