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(22/06/2009 14:56:32)

SQLI muscle son pôle formation avec le rachat d'Aston Education

Le pôle formation de SQLI s'agrandit avec le rachat d'Aston Education, un spécialiste des technologies Microsoft basé à Bagneux et à Boulogne-Billancourt. Ce rachat, d'un montant de 1,8 M€, permet à la SSII française d'enrichir son catalogue de formations de 200 cours supplémentaires, qui recouvrent diverses technologies comme le décisionnel, le Web 2.0, les ERP, l'Open Source, le SaaS, le Cloud Computing, Java et Microsoft. « Nous avons sélectionné Aston Education pour son expertise dans la gestion des formations et aussi parce qu'elle est la seule société à être agréée par Microsoft en France pour délivrer des formations concernant l'ensemble de l'offre de l'éditeur, des logiciels les plus basiques aux solutions les plus pointues (comme Sharepoint) », explique Nicolas Rebours, directeur administratif et financier de SQLI. Les deux dirigeants d'Aston Education, Marc Augier et Jean-François Castelluccia, prennent la tête de SQLI Institut, le pôle formation du groupe. Cette entité compte désormais 200 consultants (dédiés, comme le veut le modèle économique de SQLI, ou occasionnels, comme le pratique Aston Education en faisant appel à des prestataires externes) et devrait réaliser un chiffre d'affaires supérieur à 7 M€ en 2009. La SSII possède désormais douze centres de formation en France et en Suisse. Malgré un contexte économique difficile (résultat net en recul de 40% en 2008), la SSII maintient sa politique de croissance externe et réalise sa treizième acquisition depuis 2005. D'ici à la fin de l'année, SQLI n'exclut pas la possibilité de procéder à d'autres opérations pour se renforcer sur des marchés verticaux comme SAP (un pôle que la SSII a récemment agrandi avec l'intégration de Naga Conseils), la santé (plus particulièrement l'informatisation des processus de soins en hôpital) et le MCO (maintien en conditions opérationnelles), qui s'adresse essentiellement aux secteurs militaire, de l'énergie et du nucléaire. Pour l'ensemble de l'année, la SSII table sur un léger repli de son chiffre d'affaires. Au premier trimestre 2009, le CA (qui n'inclut pas Naga Services) s'établit à 38,9 M€, en baisse de 2,7% sur un an. (...)

(11/06/2009 16:44:32)

SAP lève le voile sur ses prochaines applications en ligne

SAP en dit un peu plus sur la prochaine génération d'applications en ligne qu'il destine à sa base installée. John Wookey, recruté par l'éditeur allemand en novembre dernier, avec le titre de vice-président exécutif chargé des solutions « à la demande » pour les grandes entreprises, vient de donner des détails sur les produits qu'il prépare. Et qui doivent arriver... « bientôt, bientôt ». Il est notamment intervenu hier, mercredi 10 juin, sur la conférence On Demand organisée à Amsterdam par la Software & information industry association. En embauchant cet ancien collaborateur d'Oracle, à ce poste et avec ce titre précis, l'éditeur allemand d'ERP avait clairement montré son intention de développer son offre en ligne au-delà des produits déjà proposés (CRM on-demand, BI on-demand, l'ERP pour PME Business ByDesign). La gamme SaaS en gestation a été conçue pour apporter des fonctions complémentaires aux utilisateurs de la SAP Business Suite, tant sur l'ERP que sur les autres composantes, telles que l'application de gestion de la chaîne logistique (SCM), par exemple. Ces futurs logiciels on-demand pourront s'utiliser à partir de la version R/3 4.6c de l'ERP jusqu'à l'actuelle version de la Business Suite. Les fonctions proposées seront hébergées par SAP sur une architecture 'multitenant', c'est-à-dire dans laquelle l'ensemble des clients accéderont à la même instance de l'application. A titre de comparaison, avec les produits CRM on-demand et Business ByDesign, chaque client dispose de sa propre instance. Une intégration directe avec la Business Suite Les nouvelles applications en ligne viendront s'interfacer directement avec la Business Suite, simplifiant les procédures d'intégration entre applications sur site et en ligne. Elles seront facturées aux clients sur la base d'un abonnement. Pour John Wookey, ce modèle va permettre à SAP de vendre de nouveaux logiciels à ses clients à un prix raisonnable tout en maintenant sa marge. Le vice-président voit dans le 'on-demand' la prochaine architecture pour concevoir et fournir les applications. Pour autant, il n'est pas question pour lui d'imaginer vendre un ERP en ligne à une grande entreprise, comme il est possible de le faire pour les PME avec un produit comme Business ByDesign. John Wookey considère que les grands clients vont surtout s'intéresser au mode SaaS (software as a service) pour accéder à des fonctions particulières. A noter que la date de la disponibilité générale de l'ERP Business ByDesign n'est toujours par fixée. Un nombre limité de clients l'utilisent déjà depuis plusieurs mois sur six pays, mais SAP ne l'étendra pas aux autres pays avant d'être assuré de la rentabilité du modèle. Le choix des méthodes agiles pour le développement Afin d'accélérer le délai de mise à disposition de ces futurs logiciels en ligne, SAP a choisi de conduire ses développements en s'appuyant sur les méthodes agiles (et notamment Scrum). Des méthodes jugées particulièrement adaptées au modèle 'on-demand' par John Wookey puisqu'elles permettent d'intégrer rapidement les remarques des premiers utilisateurs. SAP devrait livrer ces nouvelles applications par vagues. Les acquisitions d'éditeurs spécialisés dans le SaaS y contribueront. Dans ce domaine, le fournisseur allemand a notamment racheté Coghead et sa plateforme de développement en ligne, en février dernier. En mai, il a repris Clear Standards et sa solution de calcul en ligne des émissions de gaz à effet de serre, ainsi que SkyData et ses applications pour smartphones. Un peu plus tôt, en 2006, l'éditeur avait déjà mis la main sur Frictionless Commerce, à l'origine d'une application 'on-demand' de gestion des relations fournisseurs (SRM). C'est justement sur l'architecture 'multitenant' de ce dernier que s'appuieraient les nouvelles fonctions en ligne destinées aux utilisateurs de la SAP Business Suite. Outre différents spécialistes du SaaS issus de ces rachats, l'équipe de John Wookey rassemble aussi d'anciens collaborateurs de Salesforce et Siebel. (...)

(03/06/2009 10:44:13)

SAP France met en place un programme de benchmarking

SAP France attend 3 000 personnes sur deux jours (2-3 juin) à la Porte de Versailles pour son World Tour 2009, organisé trois semaines après sa conférence utilisateurs mondiale d'Orlando. Pour les clients français, c'est l'occasion notamment d'en savoir plus sur l'offre décisionnelle SAP Business Objects Explorer Accelerated dévoilée par l'éditeur sur Sapphire. En ouverture de la conférence, Pascal Rialland, directeur général de SAP France, a annoncé l'arrivée d'un programme gratuit de benchmarking qui permettra aux entreprises françaises de comparer leurs processus métiers à ceux des autres clients SAP de même taille ou évoluant dans le même secteur d'activité. Ce programme passe en revue 28 processus-clé. Il a été lancé il y a un an aux Etats-Unis et 4 000 entreprises américaines y ont déjà contribué. « Nous travaillons à sa mise en place en France avec l'USF [club des utilisateurs de SAP francophones] », a précisé Pascal Rialland.

Entre démonstrations d'applications et témoignages clients, SAP a programmé quelque 150 présentations dans le Hall 1 de la Porte de Versailles. Celles-ci sont réparties entre sept espaces suivant que les thématiques abordées s'adressent aux directions informatiques, aux directions financières, aux acteurs de la banque/assurance, au secteur public et au monde de la santé, aux autres secteurs industriels ou aux PME. Le dernier espace est consacré aux plus récentes évolutions de l'offre SAP : la Business Suite 7 qui unifie l'ERP avec les autres applications -en particulier avec la gestion de la relation client (CRM) et la gestion de la relation fournisseur (SRM), l'offre de maintenance Enterprise Support qui prévaut désormais et la solution décisionnelle Explorer Accelerated. Cette dernière sera d'abord livrée pour les utilisateurs de l'entrepôt de données SAP BW. Elle sortira plus tard pour les applications non SAP. Le nouveau produit associe l'interface de recherche intuitive de BO, jusque-là connue sous le nom de Polestar, et le logiciel SAP Netweaver BW Accelerator, qui exploite la technologie d'analyse en mémoire TREX de SAP et s'appuie sur une partie matérielle pour parcourir et indexer les données de BW. Elle a été conçue pour avoir la capacité d'explorer plusieurs téraoctets de données et délivrer une réponse en moins d'une seconde. Pour la partie matérielle, livrée sous forme de serveurs lames, SAP s'appuie sur des partenaires (HP, IBM, Sun et Siemens). Avec l'interface d'Explorer, l'affichage de la réponse livre aussi d'autres informations associées aux éléments de la requête, qui peuvent fournir un éclairage complémentaire pour prendre une décision.

En dépit des importants remous générés depuis un an par l'augmentation du tarif de la maintenance, la session qui a été consacrée hier aux services apportés par Enterprise Support n'a guère attiré les participants du SAP World Tour. Dans la grande salle plénière, une trentaine de personnes seulement y ont assisté, tandis qu'au même moment, à la mi-journée, les espaces thématiques faisaient le plein : une soixantaine de personnes sur le village Direction financière, par exemple, où l'on expliquait comment réduire les cycles de clôture, et une cinquantaine sur le village Direction informatique, où l'exposé portait sur l'industrialisation des tests logiciels.

Les limites des critères de performance

Plus tôt dans la matinée, en ouverture de la conférence, SAP avait convié des orateurs plus inhabituels. Les analyses de l'économiste Daniel Cohen et du philosophe et ancien ministre de l'Education nationale Luc Ferry ont montré les limites des critères de performances imposés aux entreprises. Le premier a rappelé les risques de la sous-traitance à outrance. « Quand on externalise tout, on n'a plus aucun contrôle de ce qu'on met sur le marché », a-t-il notamment argumenté au fil de son exposé. « L'immatériel pur ne peut pas se substituer à la chaîne de valeur traditionnelle de l'entreprise. Le curseur va revenir, on va sans doute réinternaliser un certain nombre de risques pour s'assurer de la qualité de cette chaîne de valeur. » Quant à Luc Ferry, il a rappelé que nous avancions à toute vitesse mais sans savoir où ni pourquoi. Poussées par la concurrence, « il faut que les entreprises tournent, sinon elles tomberont. Mais cela ne constitue pas un projet. Le monde nous échappe de toute part, mais comment reprendre la main et à quel niveau ? », interroge le politique, en précisant que ce ne peut certainement pas être au seul niveau national.

En proposant à ses utilisateurs une vision élargie par rapport aux problématiques de gestion qui les ont attirés sur cette conférence, SAP rappelle aussi sa nouvelle ligne. Depuis quelques semaines, l'éditeur met l'accent sur ses solutions de développement durable appliquées à la gestion des risques sanitaires et de l'environnement, ainsi que sur son propre engagement dans cette voie. A l'occasion de Sapphire Orlando, il a publié son rapport de développement durable pour l'année 2008. Il vient également de racheter l'éditeur Clear Standards qui a développé une solution en ligne de calcul des émissions de gaz à effet de serre. (...)

(25/05/2009 15:42:14)

Prelytis donne accès à ses outils de tableaux de bord en ligne

L'éditeur de solutions décisionnelles Prelytis décline en version SaaS son logiciel de constitution de tableaux de bord. L'offre permet de construire en quelques jours les indicateurs pertinents pour l'entreprise (marge brute, chiffre d'affaires par produits ou par régions, etc.). « L'une des grandes tendances de la BI [Business Intelligence] en ce moment, ce sont les projets courts, rappelle Alexandre Schneider, président et fondateur de Prelitys. Les entreprises n'ont plus le temps d'investir dans des projets trop structurants, mais sans verser pour autant dans le 'Quick and dirty'. Elles veulent du 'Quick and Pretty' ».

Créée en 2002 par trois fondateurs issus de différentes sociétés de services, l'offre de reporting de Prelitys a été d'emblée développée en mode Web en privilégiant la facilité de déploiement, y compris vers des terminaux mobiles comme le BlackBerry. La nouvelle offre SaaS « est avant tout une déclinaison commerciale de notre solution, précise Alexandre Schneider. Si au bout d'un an, le client veut revenir à une offre classique, il retrouve exactement le même produit. »

En version SaaS, deux modes de chargement sont proposés pour alimenter LiveDashboard en données. Celles-ci peuvent d'abord être périodiquement téléchargées au format Excel dans la base de données de Prelytis. Ensuite, si les mises à jour sont plus fréquentes, l'éditeur propose un accès sécurisé à sa base. « Nous ouvrons sur notre serveur sécurisé [un VPN] une porte pour l'adresse IP du client qui nous envoie ses données avec l'ETL de son choix, explique le patron de Prelytis. Ce peut-être, par exemple, l'ETL de Talend avec lequel nous travaillons souvent. »

Un ballon d'essai avec LiveDashBoard 4Team

L'an dernier, Prelytis avait tâté le terrain du SaaS en proposant avec LiveDashBoard 4Team une offre d'essai en ligne, restreinte à cinq utilisateurs, mais sans limite de temps, à utiliser en conjonction avec le tableur en ligne de Google (une offre allégée, sans Balanced ScoreCard, ni mécanismes d'alerte, notamment). « En un peu moins d'un an, nous avons dépassé le millier d'utilisateurs sur ce produit, indique le président de Prelitys. Nous estimions jusqu'alors que le marché n'était pas mûr pour l'utilisation de solutions de BI sous cette forme. » Mais le contexte a changé. Les entreprises sont à la recherche de solutions légères, collaboratives et rapides à mettre en place pour un suivi tactique des données. Il n'est qu'à voir, par exemple, le récent succès d'un Qliktech.

Pendant sa phase de lancement, LiveDashBoard SaaS est proposé au tarif de 29 euros par utilisateur et par mois, pour les 1 000 premiers utilisateurs (quel que soit le profil : administrateur ou utilisateur). L'abonnement mensuel passera ensuite à 59 euros. L'offre concerne toute taille d'entreprise, PME comprises. A noter que, dans sa version licence, Live Dashboard est notamment exploitée dans de grands comptes sur plusieurs milliers de postes (15 000 chez Cofinoga, par exemple). (...)

(18/05/2009 15:37:26)

BlueKanGo ajoute un ultraportable à son offre en ligne de BPM qualité

L'éditeur français BlueKanGo a constitué pour les responsables qualité cinq solutions packagées de BPM - gestion de processus métiers - proposées en mode SaaS. L'une des originalités de cette offre est de s'accompagner d'un volet matériel, le BlueNetBook, destiné à faciliter l'usage mobile de l'application. Le prix de l'abonnement mensuel (à partir de 90 euros par mois) comprend la fourniture d'un ultraportable équipé d'une carte 3G et fourni avec une clé USB pour transférer l'existant. Les cinq solutions de BPM WeKanGo Qualité s'appliquent à la gestion des risques, à la conduite des audits et des enquêtes de satisfaction, à la gestion des EPP (évaluation des pratiques professionnelles), à la certification ISO 14001, ainsi qu'à la gestion des non-conformités. Elles s'ajoutent à la cinquantaine de solutions de BPM en mode SaaS déjà présentes au catalogue de l'éditeur dans les domaines de la gestion des ressources humaines, des achats, du SAV, de la paie et de la comptabilité. La plateforme applicative hébergée de BlueKanGo donne accès à des outils de modélisation graphique des processus et à un moteur d'exécution qui comprend un générateur de formulaires et un moteur de workflow (Blue/Business Process Execution language, BPEL). Elle comprend également des interfaces de programmation (API) et des connecteurs pour intégrer les solutions de BPM au système d'information de l'entreprise cliente. Cette dernière bâtit ses processus à la carte en choisissant dans la liste de composants que lui propose BlueKanGo. Pour le BPM Capital humain, par exemple, l'utilisateur peut choisir entre sept composants : recrutement, dossier du salarié, suivi des activités et des absences, suivi des activités et frais, postes et compétences, conduite des entretiens individuels et formation. Un millier de clients BlueKanGo n'est pas tout à fait un nouveau venu. La société, installée à Rennes et créée en 1998, a été connue jusqu'en 2008 sous le nom de QSMS Medi Système. Elle s'est initialement spécialisée dans le secteur de la santé avant d'investir aussi l'agroalimentaire, l'industrie et les services. Sa base installée compte aujourd'hui un millier de clients, tant grandes entreprises que PME et administrations. Parmi ses investisseurs figurent des fonds institutionnels comme la Région Bretagne, Bretagne Participation et Bretagne Jeunes Entreprises. La société a également bénéficié de l'aide financière d'Oseo. A noter que sur le marché français des éditeurs spécialisés sur les solutions de BPM en mode SaaS figure aussi RunMyProcess qui a récemment été distingué par Gartner. (...)

(13/05/2009 14:39:03)

SAP se renforce dans le green avec le rachat de Clear Standards

SAP vient de procéder au rachat de Clear Standards, un jeune éditeur américain spécialisé dans les outils de mesure des émissions de gaz à effet de serre et de maîtrise de la consommation d'eau. En marge de la fusion Sun/Oracle ainsi que des spéculations autour d'une future grosse acquisition par Microsoft, l'éditeur allemand poursuit ses petites emplettes, pour se renforcer dans les technologies vertes cette fois. Pour Leo Apotheker, PDG du groupe allemand, il ne s'agit pas d'un simple phénomène de mode : « Il est essentiel que les entreprises aient une vision de l'impact de leurs émissions de carbone et de leur consommation d'eau sur l'environnement. » Les solutions de Clear Standards seront intégrées dans SAP Business Suite 7 ainsi que dans les applications métiers de l'éditeur (SAP environnement, santé et gestion de la sécurité). Elles seront disponibles en mode Saas (software as a service). Fondé en 2007, Clear Standards a levé 4 M$ auprès de deux fonds d'investissement, Kinetic et Novak Biddle Venture Partners, un an après sa création. L'éditeur américain a par ailleurs développé Carbon Tracker, son logiciel phare, de manière à pouvoir l'adapter à l'iPhone. Depuis le début de l'année, SAP a racheté plusieurs sociétés, dont le Français Highdeal, spécialisé dans les logiciels de tarification complexe. Lors de la publication de ses résultats trimestriels, l'éditeur allemand a précisé qu'il disposait de 2,95 Md$ de cash pour réaliser diverses acquisitions. (...)

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