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(24/11/2010 17:22:11)
Alerte Enlèvement arrive sur Blackberry et Android
Conformément à ce qu'elle avait annoncé, la Fondation Casques Rouges étend aujourd'hui ce dispositif à d'autres plateformes mobiles. Après l'iPhone, ce sont donc les smartphones sous Google Android et les Blackberry qui peuvent recevoir cette application gratuite. Une fois téléchargée sur les boutiques d'applications de Blackberry ou d'Android, cette application permet aux utilisateurs de recevoir une notification d'alerte contenant le signalement de l'enfant disparu ou enlevé. Ils pourront ainsi apporter leur témoignage par email ou par téléphone, mais aussi diffuser cette alerte sur les réseaux Facebook et Twitter.
La Fondation Casques Rouges avait déjà créé en mai 2009 l'"e-@lerte enlèvement" sur les ordinateurs connectés à Internet. Au total, "ce sont plus de 15 millions d'internautes qui peuvent désormais être avertis en instantané de l'enlèvement d'un enfant", précise un communiqué. "Depuis sa création, l'Alerte Enlèvement a largement fait ses preuves mais le dispositif doit aujourd'hui s'adapter à de nouveaux usages. Si tous les Français ne sont pas devant leur poste de télévision en plein après-midi, la grande majorité d'entre eux ne quitte jamais son téléphone portable. Grâce à la diffusion massive de l'Alerte enlèvement, c'est désormais l'ensemble de la communauté nationale qui pourra se mobiliser et dissuader ainsi les ravisseurs de passer à l'acte" déclare Nicole Guedj, ancienne Secrétaire d'Etat aux droits des victimes et Présidente de la Fondation Casques Rouges.
Depuis sa mise en place en 2006, le dispositif français de l'Alerte Enlèvement a été déclenché à neuf reprises et permis de sauver la vie de dix enfants.
(...)(24/11/2010 17:07:11)
Intel ajoute un circuit programmable Altera à ses puces Atom E600C
Intel va intégrer des coprocesseurs configurables FPGA (field-programmable gate array) Altera Arria II GX dans ses puces Atom E600C, destinées à des usages intégrés tels que des applications industrielles, militaires, médicales et de transport. Précédemment connus sous le nom de code Stellarton, les processeurs Atom E665CT, E645CT, E665C et E645C sont attendus début 2011. Avec l'ajout de l'Altera, il sera plus facile pour les fabricants d'appareils de concevoir et de mettre à jour des puces spécifiques pour leurs clients. Par ailleurs, l'intégration de l'Atom E665CT et de l'Arria II GX dans une seule enveloppe permet de réduire la taille de la puce ce qui permettra de concevoir des appareils plus petits a déclaré Jonathan Luse, directeur marketing de l'activé produits embarqués chez Intel.

La série E600 (nom de code Tunnel Creek), qui avait été présentée au dernier IDF en septembre 2010 a été conçue pour une utilisation dans les systèmes informatiques embarqués tels que les réseaux intelligents, les équipements automobiles et les systèmes d'information. Intel a utilisé un pont PCI Express à deux voies pour relier sa puce Atom E600C et le circuit Altera. Jonathan Luse a refusé de préciser si ou quand Intel fabriquerait une puce avec coeur unique intégrant Atom et circuit FPGA. La série E600C sera commercialisée en janvier prochain à des fréquences allant de 1,0 à 1,3 GHz pour répondre à différentes plages de température. Destinée à un usage commercial pour des produits grand public, la puce à 1 GHz pourra résister à des températures allant de zéro à 70 degrés Celsius et coûtera 72 $ par lot de 1 000 unités. La version à 1,3 GHz, conçue pour des applications industrielles, supporta des températures comprises entre -40 à 85 degrés Celsius, et coûtera 106 $. La consommation électrique maximale de ces processeurs Atom est estimée à 3,6 watts. Pour celle du coprocesseur FPGA, cela dépend de la configuration explique Intel.
Un peu plus tard au premier trimestre 2010, le fondeur de Santa Clara devrait introduire une version à 0,6GHz, commercialisée 61 $ pour le modèle supportant des températures allant de zéro à 70 degrés et 65 $ pour celles allant -40 à 85 degrés Celsius. Ces puces consommeront 2,7 watts au maximum (pour le composant Atom seulement).
Le gouvernement veut simplifier « le paysage numérique de l'Etat »
Lors du Conseil des ministres, le porte-parole du gouvernement, a annoncé une simplification du paysage numérique de l'Etat. Cela signifie une division par 10 des sites Internet des administrations centrales dans les deux prochaines années, peut-on lire dans un communiqué. Au total, l'ensemble des informations et des services de l'administration sera regroupé dans une soixantaine de sites.
En échange, le gouvernement va développer des services plus personnalisés sur ces sites. Ainsi, d'ici début 2012, le compte de « mon.service-public.fr » sera étendu au compte fiscal et à Pôle emploi, permettant aux Français de se connecter avec un même authentifiant à l'ensemble des principaux services en ligne de l'administration. François Baroin a vanté les mérites de la e-administration, avec 10 millions de contribuables ayant télé-déclarés leur impôt sur le revenu et 1,2 millions de formulaires téléchargés par mois sur service-public.fr
En matière de prospective, le gouvernement va nommer prochainement un directeur de projet sur le programme « Etalab », un portail unique des données publiques. Il favorisera la réutilisation des données publiques par des acteurs privés. Ce portail doit être mis en ligne d'ici fin 2011
Un concours unique pour 14 grandes écoles d'ingénieurs
Pour simplifier les modalités d'accès des étudiants universitaires à leurs formations, neuf écoles d'ingénieurs ont décidé, en 2010, de mutualiser leur procédure de candidatures et épreuves d'admissions sur titre. Il s'agit des écoles du groupe ParisTech (Ensta, Télécom, Pont, Arts et MétierS? Mines de Paris) des Mines de Nancy et de Saint Etienne, de Telecom Bretagne et de l'Isae-sup Aero, En 2011, la procédure, baptisée « Admission universitaires», regroupera cinq établissements supplémentaires : Chimie, école polytechnique, Ensae et Espci ParisTech et l'institut d'optique Graduate School. Sont concernés les étudiants titulaires d'une licence scientifique (ou d'un titre jugé équivalent) pour une intégration en première année, ou d'un master 1 pour une entrée en seconde année. L'intérêt pour les étudiants : présenter une seule candidature en ligne auprès de plusieurs grandes écoles, sans frais de dossier, dans différents domaines : l'informatique et les sciences de l'ingénieur, les mathématiques, la physique, l'électronique, l'électricité et l'automatique, la mécanique et le génie civil.
Test scientifique et examen de français
Dans le formulaire en ligne, les candidats devront indiquer la liste de toutes les écoles auxquelles ils postulent et le centre où il souhaitent passer l'épreuve écrite (le centre choisi pourra se situer dans une école à laquelle les élèves ne postulent pas). Après un premier niveau de sélection sur dossier, ceux qui sont retenus devront se présenter aux épreuves écrites. Ils passeront un test scientifique (trois heures en mathématique et physique) et un examen de français (deux heures) dans l'un des centres régionaux de leur choix. Après avoir passé écrits, oraux et entretiens, les postulants pourront être admis dans différentes écoles. Ils n'auront plus qu'à choisir leur établissement de prédilection.
Les inscriptions et les candidatures pourront être déposées jusqu'au 21 mars 2011. Les épreuves écrites auront lieu le 6 mai 2011 et les entretiens oraux du 30 mai au 17 juin 2011.
Illustration : les locaux de l'Ensta ParisTech. Crédit photo : ParisTech
(...)
Les acteurs de la TNT se liguent contre à Google et Yahoo
La charte portant « sur les modalités d'affichage des contenus et services en ligne sur les téléviseurs et autres matériels vidéo connectés » a été rédigée afin que ses signataires conservent la maîtrise de leur diffusion de flux face à l'arrivée de nouveaux acteurs dans le secteur comme Google ou Yahoo. Via cette charte, les chaînes françaises « demandent le respect de l'intégrité du signal de chacune des chaînes signataires reçues sur les téléviseurs afin que les éditeurs puissent continuer à exercer un contrôle total et exclusif sur les contenus et services affichés en surimpression ou autour de leurs programmes diffusés ».
Avec ce nouveau service associé au petit écran, les signataires craignent de perdre des téléspectateurs incités à se diriger « vers d'autres contenus et services sans accord préalable de la chaîne concernée ». La charte commune a été signée par les 20 chaînes de la TNT françaises, TF1 et ses filiales TMC et NT1, les antennes de France Télévisions, M6 et W9, Canal+ et i>Télé, Arte, Direct 8 et Direct Star, NRJ 12, BFM TV, LCP, Public-Sénat et Gulli.
Les téléviseurs connectés permettront aux téléspectateurs d'accéder à Internet et de nombreuses applications depuis leur écran de télévision. Les utilisateurs auront accès au web pour visionner des vidéos sur des sites comme YouTube, des galeries photo, écouter des radios en ligne, ou télécharger de la musique. Un moteur de recherche permettra de retrouver rapidement des programmes dans la grille des chaînes TV.
La télévision connectée est arrivée cet automne aux Etats-Unis avec Google TV. Ce service sera disponible courant 2011 en Europe.
TomorrowNow : SAP condamné à verser 1,3 milliard de dollars à Oracle
Cette somme est un coup dur pour l'éditeur allemand, qui avait estimé la réparation du préjudice à 40 millions de dollars. Oracle a souligné que cette condamnation est « la plus élevée jamais accordé pour le piratage de logiciels. » Les dernières plaidoiries ont été présentées lundi après-midi, de sorte que le jury a pris moins d'une journée pour prendre sa décision. Il ne s'agit pas du montant maximal demandé par la firme de Redwood, mais elle représente toujours plus que la proposition de SAP. Lors de son témoignage, il y a deux semaines, le PDG d'Oracle Larry Ellison avait réclamé 4 milliards de dollars. En fin de compte, la sanction s'approche de la somme suggérée par l'avocat d'Oracle soit 1,7 milliard de dollars.
« Nous sommes, bien sûr, déçu par ce verdict et nous sommes attentifs à toutes les options disponibles, y compris un procès en appel » a déclaré dans un communiqué la firme de Walldorf. Le verdict intervient après un procès de 11 jours qui a captivé la Silicon Valley. Il a mis en scène les des deux plus grands fournisseurs de progiciels. Des dirigeants comme Larry Ellison, Safra Catz le co-président d'Oracle et Bill McDermott co-CEO de SAP sont venus à la barre des témoins.
Un revers financier et une réputation ternie
La bataille ne semble donc pas être entièrement perdue, cependant, car SAP peut encore faire appel. Cette procédure pourrait prendre beaucoup de temps. « Ce sera malheureusement un long processus, mais nous continuons d'espérer que le litige puisse se résoudre rapidement et de manière appropriée »souligne l'éditeur allemand.
Le jury disposait d'une grande latitude sur le montant de la sanction. Il aurait été convaincu par l'argument d'Oracle sur le coût d'une « licence hypothétique » qu'aurait dû payer SAP pour les logiciels volés. La société allemande avait déposé quelques recours avant que le verdict n'ait été rendu. Une des requêtes demandait au juge, dans le cas d'une décision élevée du jury, d'examiner si les dommages sont justes et appropriées. On ne sait pas si le juge Phyllis Hamilton avait prévu d'étudier ces propositions.
Un observateur a déclaré que le verdict est plus un revers financier pour SAP. « Le plus gros des dommages se traduira probablement sur le marché, où Oracle propose Fusion Apps et des mises à jour de ses applications, et SAP a peu à offrir, et une réputation encore un peu plus ternie », a déclaré l'analyste Rebecca Wettemann, vice-présidente de Nucleus Research. Elle conclut que « SAP a aujourd'hui douloureusement appris que le vol est une mauvaise chose et que même les grands éditeurs de logiciels peuvent être punis pour cela ».
Enquête lecteurs LMI
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Vous avez déjà été très nombreux à répondre à cette enquête, mais si vous ne l'avez pas encore fait, nous vous invitons à le faire de ce pas. Nous ne pourrons que mieux répondre à vos besoins.
Merci pour votre participation, Serge Leblal, directeur de la rédaction
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