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(14/10/2010 11:24:43)

Les français majoritairement 'accros' aux réseaux sociaux

Lors du précédent baromètre, publié en janvier 2010, la part des internautes français membres d'au moins un réseau social était de 77%. Ce taux a donc peu évolué en neuf mois, puisqu'il n'augmente que d'un point (78%), et ce, en dépit d'une offre de sites plus élargie. En revanche, la marge de progression des réseaux sociaux parmi le public déjà conquis est plus importante. En moyenne, un internaute français est aujourd'hui membre de 2,9 réseaux sociaux, contre 1,9 il y a un an.

En matière d'inscriptions, c'est Windows Live de Microsoft (autrefois appelé MSN) qui pointe en tête avec 52% des internautes interrogés qui disent en être membres (+ 6 points). Il devance Copains d'avant, relégué au deuxième rang avec 46% d'inscrits (- 3 points). Facebook est troisième avec 43% d'internautes membres (+ 6 points). Suivent Trombi.com (22%), YouTube (21%), Picasa (16%), Dailymotion (12%), Viadeo (10%), MySpace (9%), Skyrock.com (8%), Twitter (7%), Badoo (6%), Meetic (6%), etc.

Une distinction par classe d'âge


Ce classement varie néanmoins selon la catégorie d'âge étudiée. Ainsi, chez les 18-24 ans, 84% des sondés sont membres de Windows Live, et 77% sont inscrits sur Facebook. Chez les 35-49 ans, c'est Copains d'avant, dont la vocation est de mettre en relation d'anciens camarades de classe, qui est le plus plébiscité (50%), alors que Facebook est troisième avec seulement 39% de membres. Chez les étudiants, Windows Live culmine à 93%, tandis que Facebook réalise son meilleur score avec 85% d'inscrits.

En termes de notoriété, Facebook est le réseau social le plus connu des internautes français. Ainsi, 94% (- 3 points) des sondés connaissent le fameux site aux 500 millions d'amis dans le monde, 92% ont déjà entendu parler de YouTube, et 88% de Copains d'avant (- 5 points). Twitter, dont le taux d'inscription reste relativement marginal (7%), est connu de 80% des internautes français (contre 63% en 2009). Enfin, ce baromètre souligne la préoccupation des internautes en matière de vie privée. 43% des sondés ont déjà essayé d'effacer des données personnelles visibles de tous, une fois (20%), voire plusieurs fois (23%).

Ce sondage Ifop a été réalisé en septembre 2010 auprès d'un échantillon de 2 015 personnes représentatif de la population internaute française âgée de 18 ans et plus.

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(14/10/2010 11:02:43)

Internet et téléphonie, le consommateur européen insatisfait

Selon cette enquête Eurobaromètre, menée auprès de 27 000 ménages à travers l'Union européenne, 61% des utilisateurs de téléphone mobile et 49% des abonnés à une ligne fixe limitent leurs appels téléphoniques pour des raisons de coût. Parmi les ménages souscripteurs à un abonnement Internet haut débit, 30% déclarent que leur vitesse de téléchargement fluctue, 36% disent subir des interruptions de connexion, et 24% affirment que les performances de leur connexion ne correspondent pas aux conditions prévues dans leur contrat.

Autre sujet de préoccupation, la protection des données numériques. 84% des ménages souhaiteraient être informés en cas de perte, de vol ou de modification de leurs données à caractère personnel, et 45% redoutent une utilisation abusive de ces données sur les réseaux sociaux en ligne. Dans un communiqué, la Commission européenne rappelle que la stratégie numérique de l'UE doit garantir l'accès de tous les Européens à une connexion Internet de 30 Mbit/s d'ici à 2020, et faire en sorte que, pour la même date, au moins 50% des ménages européens disposent d'une connexion très haut débit (100 Mbits/s ou plus).

Par ailleurs, Bruxelles précise que le "paquet Télécom" de 2009, mis en oeuvre à partir du 26 mai 2011, contient plusieurs dispositions qui obligent les fournisseurs d'accès à Internet à informer soit les autorités réglementaires nationales, soit les abonnés, de toute violation des données à caractère personnel. Autres enseignements de l'enquête, les Européens sont de plus en plus nombreux à opter pour des offres groupées combinant au moins deux services (Internet, télévision numérique ou téléphonie). 38% des ménages interrogés avaient souscrit ce genre d'offre à fin 2009, contre 29% deux ans plus tôt.

Enfin, 43% des ménages européens n'ont toujours pas accès à Internet. Face à ce constat, Bruxelles rappelle que la stratégie numérique pour l'Europe vise à mettre en place des mesures pour renforcer la concurrence, la confiance et la sécurité dans ce secteur.

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(14/10/2010 11:06:57)

Les utilisateurs francophones de SAP planchent sur l'innovation

Comme tous les ans, l'USF (Utilisateurs de SAP Francophones) a réuni sa convention annuelle pour présenter ses activités et permettre une rencontre entre SAP, l'écosystème de prestataires (une soixantaine d'exposants) et leurs clients. Cette année, l'association avait choisi la ville de Nantes et sa Cité Internationale des Congrès, les 13 et 14 octobre 2010.

La fusion BO/SAP reste une actualité pour les utilisateurs et leur club tandis que l'éditeur promet de multiples innovations pour des lendemains qui chantent. 900 inscrits (environ 60% de clients, le solde de prestataires et de représentants de SAP) étaient attendus à la convention. Malgré les mouvements sociaux, notamment dans les transports ferroviaires, et la concomitance du TechEd de SAP à Berlin, la fréquentation de la rencontre était assez importante : allées de la partie exposition et salles étaient correctement remplies. Les chiffres exacts de participation ne sont pas disponibles à l'heure où nous écrivons ces lignes. Mais aucun des 70 ateliers n'a été annulé.

Des ambitions pour l'éditeur et sa filiale française

Si la convention comprend chaque année une dimension de culture générale qui sonne comme une récréation (ici des interventions de Dominique Wolton, du paléoanthropologue Pascal Picq et de l'économiste Daniel Cohen), l'essentiel reste dans les ateliers pratiques et les interventions en plénières responsables de SAP ou de l'USF.

Nicolas Sekkaki, directeur général de SAP France, a ainsi pu insister auprès de ses clients sur la nécessité pour cette filiale de l'éditeur d'être davantage qu'une simple succursale de vente. La fonction d'écoute des clients a été valorisée. Au sein de la partie exposition de la convention, SAP présentait d'ailleurs ses récents produits pour recueillir les avis des utilisateurs. Après mise au point et sélection, les innovations présentées n'arriveront dans les logiciels en production que d'ici un an environ. La consultation portait en particulier sur l'ergonomie. L'innovation reste fortement présente dans les discours de l'éditeur. Après le rachat de Sybase, la mobilité est mise en avant. Et la prochaine « révolution » pourrait venir du traitement en mémoire vive (le « in memory »).

« Trois ans après la fusion de SAP avec Business Object, nous commençons à constater celle-ci dans les produits, pour le in memory nous devrons donc sans doute attendre un peu » tempère Claude Molly-Mitton. Le rachat de Sybase comme le début d'intérêt pour l'exécution en mémoire sonne-t-il (encore une fois) le glas de la relation « je t'aime moi non plus » entre Oracle et SAP, à la fois partenaires et concurrents ? Si l'essentiel des installations SAP sont sur bases de données Oracle, ce dernier édite aussi le seul vrai concurrent au progiciel de l'Allemand. Les membres de l'USF présents sont plutôt dubitatifs : l'exécution en mémoire est plutôt vue comme complémentaire à une « vraie » base de données transactionnelle, pour accélérer certains traitements ou gérer des alertes en temps réel.

Etudes, partenariat et internationalisation

L'USF a également profité de sa convention annuelle pour publier deux livres blancs. L'un est sectoriel : « SAP au sein du service public », avec des retours d'expérience, un guide pratique et des facteurs clés de succès. Le second est plus technique puisqu'il concerne SAP Solution Manager en tant qu'outil dans une approche de gestion du cycle de vie des applications.

Annoncée il y a déjà quelques mois, la première communauté régionale des utilisateurs SAP a été officiellement lancée, bien entendu pour la région Grand Ouest. Cette communauté est dirigée par le directeur des centres de compétences applicatifs d'Yves Rocher, Thierry Perret. La communauté « PME » est, elle, encore en constitution sous l'impulsion d'Alexis Beck-Djevaguiroff, finance manager chez Sequans Comunications. Les attentes de cette population doivent en effet être mieux saisies avant de développer l'offre de service de l'USF et une enquête est en cours à ce sujet.

L'USF a également initié un travail commun avec le Cigref sur la définition de bonnes pratiques pour bien gérer ses relations commerciales avec SAP. Un livre blanc devrait paraître début 2011 pour tirer les conclusions de ce travail. Démarré en mars 2010, les travaux de ce groupe ont associé une vingtaine d'entreprises. En échos aux travaux du Cigref sur le Green-IT, l'USF a lui aussi créé un groupe « développement durable » au sein de sa commission « Organisation et Gouvernance ».

Par ailleurs, si la guerre de la maintenance est bien terminée, elle a tout de même permis de développer les relations de l'USF avec ses homologues d'autres pays et le « club des clubs », le Sugen, qui regroupe tous les dirigeants des clubs d'utilisateurs SAP dans le monde. L'USF s'implique notamment fortement dans le travail international réalisé sur le plan de développement à long terme de SAP.

Business Object, objet de ressentiment

L'ancien éditeur Business Object étant d'origine française, l'USF est également en première ligne pour ce qui concerne l'intégration de l'offre BO dans l'offre SAP. De mai 2010 à mars 2011, une enquête mondiale sur le ressenti des clients et leurs attentes est menée. 135 entreprises françaises y ont participé. La plupart des répondants appartiennent cependant plutôt aux fonctions IT et très peu aux directions utilisatrices. Les premiers résultats ne sont guère favorables. En termes d'évolution des produits, du support et de la politique de licences et de prix, seulement 57% des utilisateurs se sont déclarés satisfaits, la France n'atteignant qu'un petit 44%. Cependant, le recouvrement des clients BO et SAP et la convergence est loin d'être évident. En effet, 63% des clients BO ne l'utilisent pas sur SAP et 51% des clients SAP ne possèdent pas BO.

La moitié des répondants à l'enquête n'appartenaient pas à un club d'utilisateurs. Parmi les non-membres, un tiers considère que ce serait une perte de temps. Et un quart ignorait même l'existence de clubs dans leurs pays ! La marge de progression des clubs (aussi bien de BO que de SAP) semble donc considérable. Or modifier l'image des clubs et accroître leur nombre de membres, c'est aussi renforcer leur possibilité d'influence sur l'éditeur.

Suite au rachat de Business Object par SAP, la logique aurait sans doute voulu que l'USF absorbe le club utilisateur de BO. Les modules décisionnels de SAP sont en effet amenés à converger avec les produits de BO. Claude Molly-Mitton a donc fait une offre de rapprochement lors de la dernière AG du club BO, fin septembre 2010. Cette offre devrait connaître sa réponse d'ici la fin 2010. « Le contenu des discussions reste confidentiel d'ici là » insiste le président de l'USF. Ceci dit, il faut rappeler que, dans une situation similaire, les clubs des utilisateurs d'Oracle, de PeopleSoft et de JDEdwards n'ont toujours pas fusionné.



Crédit Photo: Bertrand Lemaire

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(14/10/2010 11:06:42)

IBM met ses intégrateurs au régime cloud

Big Blue déploie toute son énergie pour entraîner son écosystème dans le cloud. Les éditeurs sont sollicités à travers le «club alliances » organisé par IBM pour les regrouper. Les partenaires intégrateurs ne sont pas en reste.  « Ils vont par exemple pouvoir  faire le lien entre l'existant et les solutions clouds » explique Eric Taillard, vice-président, division PME et partenaires d'IBM France. Le constructeur a acheté la société Cast Iron, spécialiste de cette intégration, dont les solutions sont désormais disponibles en France.

Le but est d'aider les partenaires intégrateurs dans toutes les briques nécessaires au cloud computing, par exemple en matière de facturation (le « billing ») ou d'allocation de ressources     (« provisionning »).  IBM va également miser sur la dimension métier, une conférence est ainsi organisée début décembre sur la banque et la finance. Il a par ailleurs mis sur pied une certification, pour  son offre « cloudburst », pour le cloud privé.  Mais la démarche certifiante n'est pas au coeur de l'accompagnement des partenaires, le cloud donnant une perspective beaucoup plus large que les offres habituelles.

Plus original, IBM va mobiliser sa filiale de financement, IBM global financing, IFG, pour aider les intégrateurs, qui veulent financer leur propre datacenter.

IBM et son club alliances (qui comprend ses partenaires éditeurs) se réunissaient hier, pour une journée entière au siège d'IBM France. 280 partenaires étaient attendus, un peu moins étaient au rendez-vous compte tenu des problèmes de transport. Une dizaine d'exposants présentaient également leurs solutions.

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(14/10/2010 11:15:47)

3 classes de stockage dans les outils Symantec Veritas

Veritas Operations Manager 3.1 et Storage Foundation High Availability 5.1 ont été enrichis de « storage templates », autrement dit de modèles qui permettent aux administrateurs d'automatiser leurs modalités de stockages selon des critères de performance et de protection des données.Chacun des trois modèles Or, Argent et Bronze, peut ainsi être utilisé pour déterminer le type de disque, le niveau de RAID et  pour choisir une allocation des données soit par « thin provisioning » (approvisionnement dynamique) soit par une méthode plus classique de surallocation.

Par exemple, si un administrateur décide qu'aucun e-mail ne doit contenir d'informations financières sensibles sur l'entreprise avec un niveau « Bronze », le système propose de stocker les données sur des disques Serial ATA (SATA) au sein d'un NAS avec une protection de type RAID 6. L'administrateur peut également mettre en place un niveau « Or » pour toutes les bases de données SQL, de manière à stocker automatiquement tous les datas sur des systèmes haute performance, beaucoup plus chers, de type Solid State Drive (SSD), avec réplication et protection de niveau RAID 10.


Simplifier le travail des administrateurs


Selon Niraj Zaveri, senior product marketing manager chez Symantec, les administrateurs système doivent généralement prévoir des espaces de stockage pour héberger les applications serveur, puis qualifier ces machines en fonction des exigences des applications dans une base de données, et ensuite créer un volume de stockage ou un système de fichiers dédié dans zone de stockage réseau (SAN) ou un NAS. Ce processus exige, en particulier dans les environnements de serveurs virtualisés, l'écriture de nombreux scripts manuels. « Avec ces outils, il suffit simplement de définir l'ensemble des services de stockage disponibles pour les applications, » explique-t-il. « Le processus automatise l'identification des périphériques de stockage en fonction des services de stockage disponibles... et industrialise la gestion complexe du SAN sous-jacent. »

« Aujourd'hui, dans la plupart des centres de calcul, il n'existe pas de politiques visant à adapter les données en fonction du stockage, » ajoute Niraj Zaveri. « En général, chaque business unit correspond à un type particulier de stockage et de capacité. Les administrateurs en effectuent le remplissage, souvent par surallocation de stockage, d'où un certain gaspillage. » La dernière offre de Symantec permet aux administrateurs d'estimer l'importance de chaque application, de faire les choix de manière à adapter le besoin chaque fois que c'est nécessaire. «Il s'agit de s'appuyer, autant que possible,  sur ces modèles, » explique-t-il. « Les nouvelles fonctionnalités de Veritas Operations Manager permettent d'établir des passerelles entre le serveur, la base de données et la gestion du stockage pour optimiser l'utilisation des capacités, les opérations d'allocation, maintenir la conformité, en assurer la disponibilité sous Unix, Linux, Windows et les environnements VMware. » Ils contribuent aussi à effacer la limite entre l'administration serveurs et l'administration de stockage. « Le métier de l'administrateur, très spécialisé, a évolué vers un rôle plus général dans lequel il peut être à la fois administrateur Unix et gérer les applications de stockage dans l'environnement Unix, » a-t-il dit.

Test de panne pour vérifier le système


Symantec a également ajouté à ses logiciels Operations Manager un outil de reporting capable de générer des rapports selon des critères prédéfinis, comme identifier automatiquement quelles sont les ressources de stockage sous-employées, suivre l'utilisation en analysant les fichiers des bases de données, effectuer des comparaisons par disques et par RAID. A noter que les capacités de stockage non utilisées peuvent être réaffectées par l'administrateur dans un autre espace. Parmi les nouveaux outils de surveillance en temps réel, la fonction Fire Drill permet aux administrateurs de simuler une panne système afin de tester les configurations de continuité de service et de reprise après un crash. Fire Drill prend une photographie instantanée du serveur de production, qu'il soit physique ou virtuel, et transfère les données vers un système de récupération après sinistre, qui remet les données en ligne pour tests.

Si Veritas Operations Manager 3.1 est d'ores et déjà disponible, Veritas Storage Foundation HA 5.1 ne sera livré qu'en novembre. Symantec informe par ailleurs que son logiciel Veritas Operations Manager est fourni sans frais supplémentaire aux clients qui achètent Storage Foundation HA.

Illustration : Approvionnement dynamique dans Veritas Operations Manager 3.1

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