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(04/02/2010 16:03:20)

HP réduit la taille et le prix de son conteneur pour serveurs

Hewlett-Packard lance une version plus petite de son centre informatique portable, de la moitié de la taille de son premier modèle. HP espère que la baisse de prix grâce à l'option petit système aidera à attirer plus de clients. Le constructeur a baptisé son rack « Performance Optimized Datacenter » ou POD. Il peut accueillir 10 racks de matériel informatique, comparativement aux 22 racks du grand modèle. Des sociétés, dont Microsoft, utilisent ces containers comme un bloc de base afin de construire un centre informatique, car ils leur permettent d'ajouter de nouvelles capacités rapidement, et parce que leur conception fermée les rend très éco-energétiques. Le prix démarre à 600.000 dollars, sans le matériel informatique à l'intérieur, soit la moitié du prix du conteneur grand modèle. Totalement configurés, les conteneurs peuvent facilement atteindre plusieurs millions de dollars. HP affirme que son conteneur peut fournir une moyenne de 29 kilowatts par rack, et au maximum 34 kilowatts. Cela se compare aux 12 kilowatts délivré par rack dans un centre informatique de dernière génération. Chaque rack est desservi par quatre ventilateurs à vitesse variable. Le POD a un ratio PUE de 1,25, comparativement à 2,1 pour un centre informatique moyen. Le sigle PUE, ou efficacité de l'alimentation électrique, est un ratio qui mesure la puissance totale fournie à une installation par rapport à la quantité d'énergie servant réellement à alimenter le matériel. (...)

(04/02/2010 15:41:25)

750 M d'euros pour le fonds d'aménagement numérique des territoires

La loi du 17 décembre 2009 relative à la lutte contre la fracture numérique avait entériné la proposition du Sénateur Pintat de créer un fonds d'aménagement numérique des territoires. Il restait à doter ce fonds, ce qui devrait être bientôt chose faite. Michel Mercier, ministre de l'Espace rural et de l'aménagement du territoire, a confié à « La Gazette des communes » que ce fonds recevrait une partie des deux milliards d'euros prévus dans l'Emprunt national pour accélérer le déploiement des infrastructures à très haut débit. Le ministre évoque un montant de 750 millions d'euros. La loi précise que les aides de ce fonds « ne peuvent être attribuées qu'à la réalisation d'infrastructures et de réseaux accessibles et ouverts » dans des conditions précisées par l'Arcep (autorité de régulation des communications électroniques et des postes), « après avis des associations représentant les collectivités territoriales et de l'Autorité de la concurrence et consultation des opérateurs de communications électroniques ». La gestion comptable et financière de ce fonds est assurée par la Caisse des dépôts et consignations. (...)

(04/02/2010 12:56:22)

Le PDG de Sun Jonathan Schwartz annonce son départ par Twitter

Dans un « tweet » diffusé hier soir, mercredi 3 février, le PDG de Sun, Jonathan Schwartz, a annoncé son départ, explicitant sous la forme d'un haïku (forme poétique japonaise) que la crise financière a stoppé net trop de clients : « Financial crisis/Stalled too many customers/CEO no more ».

Jonathan Schwartz annonce son départ par Twitter

PDG de Sun depuis avril 2006, lorsqu'il remplaça à ce poste Scott McNealy, co-fondateur de la société, Jonathan Schwartz était déjà président de l'éditeur de Solaris et Java depuis 2004. La probabilité de son départ s'était précisée il y a plusieurs jours. Dans son dernier billet de blog, daté du 27 janvier, il suggérait à ceux que ses prochaines initiatives pourraient intéresser de le suivre sur Twitter, à l'adresse openjonathan. Il fut déjà l'un des premiers dirigeants d'une grande société à tenir son propre blog.

Larry Ellison, PDG fondateur d'Oracle, n'avait pas caché ces derniers temps, qu'il espérait que Jonathan Schwartz allait démissionner plutôt que de le voir jouer un rôle au sein de l'entité fusionnée Oracle/Sun.

Crédit photo : D.R.

(...)

(04/02/2010 11:51:05)

Faut-il séparer infrastructures et services pour assurer l'avenir du très haut débit ?

(Source EuroTMT) Depuis 1998, pour justifier l'ouverture du marché des télécoms à la concurrence, un dogme a été imposé : la concurrence se fera par les infrastructures. Cela favorisera la création d'emplois (et la croissance économique) non seulement chez les opérateurs, mais aussi chez les équipementiers (sous-entendus européens). Comme tous les opérateurs historiques détenaient une infrastructure nationale couvrant l'ensemble des foyers et des entreprises, le cadre réglementaire mis en place obligeait ces anciens monopoles à ouvrir leurs réseaux pour faciliter le développement de la concurrence. Douze ans plus tard, en 2010, ce dogme a été largement contourné tant dans le fixe que dans le mobile. Et les effets annoncés n'ont pas été au rendez-vous. Il suffit pour s'en convaincre de constater l'état de délabrement de l'industrie high-tech européenne. Pour autant, le dogme de la concurrence par les infrastructures ne semble pas devoir être remis en cause. La Commission européenne a bien ajouté, à la caisse à outils des régulateurs nationaux, la possibilité d'organiser la séparation fonctionnelle de leur opérateur historique en séparant les « tuyaux » d'un coté et les applications transitant par ces tuyaux de l'autre, à l'image de la séparation réalisée entre la SNCF qui gère le trains et Réseau Ferré de France qui gère les voies. Mais les rares pays européens à l'avoir mise en oeuvre, l'ont réalisée pour soulager financièrement l'opérateur historique, à l'instar de la Grande-Bretagne avec BT. En fait, une grande majorité de pays ne considère pas ce remède comme devant être mis en oeuvre. Comme en France où le succès du dégroupage est considéré comme une preuve de la bonne santé du marché. Pourtant ce modèle a atteint ses limites et de nombreux arguments plaident en faveur de la séparation fonctionnelle. [[page]] La situation du haut débit en est un : si les opérateurs alternatifs couvraient, à la fin du troisième trimestre, 76% de la population, ce taux de pénétration est en grande partie à mettre au compte des investissements réalisés par les collectivités locales dans les réseaux de collecte, permettant aux opérateurs alternatifs d'accéder aux NRA (Noeuds de Raccordement d'Abonnés) de France Télécom. Autrement dit, sans les 3 milliards d'euros dépensés par les pouvoirs publics locaux, la concurrence serait dans un état embryonnaire. Deuxième problème dans le DSL : seulement deux-tiers des abonnés « dégroupables » ont accès au triple-play, l'autre tiers en étant exclu en raison d'un débit trop faible. Et ce tiers devra attendre l'arrivée du FTTH (si les réseaux en fibre optique arrivent, un jour, jusqu'à lui) pour y avoir accès, l'avis de l'Autorité de la Concurrence ayant quasiment coulé le projet de montée en débit préparé par l'Arcep. D'autre part, les scénarios de développement du très haut débit montrent aujourd'hui que la seule solution passe par une mutualisation des infrastructures. De même dans le haut débit mobile, des acteurs plaident en faveur de l'attribution de la bande 800 MHz à un seul acteur qui fournirait une offre de gros aux opérateurs mobiles. D'ailleurs de manière plus générale, dans la téléphonie mobile, l'heure est aux accords de partage d'infrastructures prouvant ainsi que la concurrence ne passe pas par la détention en propre d'un réseau, mais par les services et les contenus. Alors que le développement du très haut débit est présenté par le gouvernement comme une priorité, le cadre actuel est très insuffisant pour éviter une double fracture territoriale et sociale. Il serait donc peut-être temps d'ouvrir le dossier de la séparation fonctionnelle et d'étudier les conditions dans lesquelles elle pourrait être mise en oeuvre. (...)

(04/02/2010 11:48:39)

Mémoire flash 8 Go en 25 nm chez Intel et Micron

Cofondée en 2005 par Intel et Micron, l'entreprise IM Flash Technologie a annoncé la production prochaine de puces flash NAND 8 Go gravées en 25 nanomètres. Cette première mondiale devrait permettre de doubler les capacités de stockage des disques SSD, mais également celle des appareils de types smartphones et baladeurs MP3, sans les rendre plus gros. Depuis 2006 - où elles mesuraient 72 nm - les puces Intel-Micron n'ont cessé de se perfectionner. Cette quatrième génération mesure 167 mm et permettra, dés sa production, de construire des produits en utilisant moitié moins de composants qu'avec les puces 34 nm. Un disque SSD d'une capacité de 256 Go pourra donc être conçu avec 32 puces NAND 8 Go au lieu de 64; un smartphone 32 Go n'en contiendra que quatre et seulement deux seront nécessaires pour un appareil de 16 Go. Les analyses ont estimé que le coût de production des composants 25 nm serait d'environ 0,50 $ par Gigabits contre 1,75 $ actuellement. « L'introduction de la technologie 25 nm devrait accélérer l'adoption des disques flash (SSD) dans la plupart des ordinateurs » affirme Tom Rampone, vice-président et manager de la section NAND d'Intel. « Nous avions un an d'avance sur le marché avec le 34 nm, nous pensons avoir augmenté cette marge grâce au 25 nm » confie également le directeur marketing NAND de Micron, Kevin Kilbuck Les deux fabricants de semi-conducteurs ont cependant affirmé que la production des composants 25 nanomètres ne débuterait pas avant fin 2010. Une fois commercialisée, cette mémoire devrait utiliser la version 2.2 de l'interface Flash Open NAND (ONFI), qui garantit un taux de transfert de 200 Mbit/s. Kevin Kilbuck a tout de même annoncé qu'IM Flash Technologies (IMFT) travaillait actuellement sur la version 3.0 de l'interface ONFI qui devrait offrir un taux de transfert de 400 Mbit/s. Enfin, le site Digitimes rapporte qu'Apple aurait déjà commandé 100 millions de puces NAND de 8 Go. (...)

(04/02/2010 15:16:18)

Google a basculé ses serveurs YouTube sur IPv6

Google vient d'activer dans la plus grande discrétion le support d'IPv6 sur Youtube, son service de streaming vidéo. C'est Hurricane Electric, un FAI californien très impliqué dans le déploiement de ce protocole, qui en a fait le constat la semaine dernière. « Le trafic IPv6 en provenance des datacenters de Google a brusquement été multiplié par 30, le 28 janvier dernier », affirme Martin Levy, directeur de la stratégie IPv6 chez ce FAI. Il ne s'agissait apparemment pas d'un simple test mais d'un véritable passage en production puisque depuis cette date, le trafic s'est maintenu au même niveau. Une migration nécessaire et annoncée dès novembre 2009 Cette montée en charge est d'autant plus spectaculaire que Google prenait déjà en charge IPv6 pour la plupart de ses services : recherche, finances, Gmail, iGoogle, Picasa, Maps ou Wave. Pour autant, il ne s'agit pas d'une surprise puisque dès novembre 2009, des ingénieurs Google avaient annoncé que l'implémentation d'IPv6 sur Youtube était une priorité et qu'elle était moins difficile et moins coûteuse qu'on pourrait le penser. Même si de nombreux FAI et opérateurs à travers le monde en restent encore à IPv4, d'aucuns déduisent que cette mise à niveau d'un des services Internet les plus consultés au monde doit être interprétée comme une preuve de la dynamique croissante d'IPv6. (...)

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