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(02/02/2010 15:01:03)
La Cour de Cassation limite singulièrement l'exonération de responsabilité des hébergeurs
La Loi sur la Confiance dans l'Economie Numérique a tracé en France une limite claire entre les simples hébergeurs techniques, irresponsables pénalement des contenus hébergés sous condition de réaction rapide en cas de problème, et les responsables du contenu. Mais il reste parfois, malgré tout, des surprises. Ainsi, les services participatifs de type wikis ou blogs posent de vraies questions sur la nature et donc la responsabilité de tel fournisseur de service. Dans une affaire opposant Dargaud et Tiscali, la Cour de Cassation vient de prendre une décision précisant encore la limite de responsabilité. En l'occurrence, des planches de bandes dessinées avaient été reproduites sur des pages personnelles hébergées par Tiscali. Mais Tiscali proposait un service complet de mise en page, au delà de la seule prestation d'hébergement, et intégrait de son propre chef les bandeaux publicitaires qu'elle gérait totalement. Pour ce motif, la Cour de Cassation a rejeté la qualité de simple hébergeur technique pour Tiscali, faisant basculer du coup celui-ci dans le camp des éditeurs de contenus responsables juridiquement de ce qui est proposé en ligne. Ajoutons que Tiscali était incapable de déterminer et de communiquer l'identité de l'internaute ayant ouvert l'espace en cause, en violation de ses obligations légales, mais ce point n'a pas été jugé par la Cour de Cassation, les tribunaux de rangs inférieurs ayant d'ailleurs tous condamné Tiscali sur ce point. (...)
(02/02/2010 12:33:01)L'éditeur DL Software rachète Juxta pour renforcer son pôle médical
Le Français DL Software (34,5 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2008), éditeur de logiciels métiers pour les PME, rachète la société nancéenne Juxta qui a réalisé 4,2 M€ de chiffre d'affaires en 2009. Cette dernière qui développe des logiciels pour le monde paramédical : les opticiens, audioprothésistes et centres dentaires mutualistes. DL Software se renforce ainsi dans la santé, où il est déjà présent sur les logiciels laboratoires d'analyses médicales. « Notre stratégie consiste à acheter des éditeurs de logiciels de gestion dans un métier donné », nous explique Patrick Lemaire, directeur général délégué de DL Software. « Nous aidons chaque éditeur racheté à se développer, on garde la culture maison et les développements, on accélère le marketing et le commercial et on renforce la direction ». Le groupe assure 44% de son chiffre d'affaires par des activités récurrentes, maintenance et ASP, les services représentent 25%, de même que les licences. 6 à 7 % se font par les ventes de matériels. La société estime ainsi échapper aux soubresauts de la crise. « 2010 devrait être une bonne année, souligne Patrick Lemaire, avec des résultats à deux chiffres que ce soit pour la marge brute ou le résultat d'exploitation ». D'autres acquisitions sont prévues. (...)
(02/02/2010 12:37:59)3Com décroche l'homologation « Certified Green » pour ses commutateurs 10 Gigabit
Cette certification, la première du genre octroyée à des équipements pour datacenters, concerne aussi bien le commutateur de coeur H3C S12508 que le « top of rack » H3C S5820X. L'évaluation de Miercom s'est faite sur plusieurs facteurs : la conception des solutions H3C, adossée à une technologie ASIC basse consommation et d'une grande richesse fonctionnelle, des alimentations et des composants d'entrée/sortie modulaires et à haut rendement, ainsi qu'un ensemble de fonctions d'économie d'énergie pouvant être configurées par l'intermédiaire d'une interface d'administration. Rob Smithers, CEO de Miercom a confirmé que « dans le cadre des essais effectués, ces commutateurs ont fonctionné à un débit maximum tout en consommant moitié moins d'énergie que les modules 10 Gigabit Ethernet concurrents. » Au final, ces commutateurs contribuent aussi à une baisse du coût d'exploitation des centres informatiques. Cette efficacité énergétique et la précision des données relatives à la consommation d'énergie vont devenir dans un avenir proche des paramètres essentiels. En effet, d'ici à fin 2010, plus de la moitié des datacenters de grande taille auront atteint leur niveau de consommation d'énergie maximum. Ce phénomène risque de confronter les entreprises à une crise énergétique majeure, dans la mesure où elles seront dans l'incapacité de faire évoluer leurs activités de traitement des données en fonction de leurs besoins. « Pour éviter cela, les entreprises doivent non seulement mesurer leur propre consommation d'énergie mais aussi exiger des fournisseurs qu'ils publient les données relatives au rendement énergétique de leurs produits, » indique le communiqué de 3Com. Ces informations représentent un critère clé pour les clients à la recherche d'outils leurs permettant d'assurer la durabilité de leurs centres informatiques. Jérome Larchet, Directeur de 3Com.France, voit dans ces produits une opportunité "pour réaliser une nouvelle génération de datacenters durables et évolutifs." Car, « réduire la consommation d'énergie et maximaliser la capacité sont deux axes de travail majeurs pour les DSI. C'est tout particulièrement vrai en ce qui concerne les datacenters où les dépenses d'énergie augmentent rapidement et où les limitations de puissance peuvent empêcher l'évolution de la capacité informatique nécessaire pour répondre aux besoins de l'entreprise, »précise t-il. Le rapport, fait par Miercom, salue aussi la technologie H3C IRF (Intelligent Resilient Framework) comme étant une autre innovation « écologique » de 3Com. En effet, la technologie IRF contribue à réduire la consommation d'énergie en aidant les utilisateurs à simplifier et à réduire leur architecture réseau en une infrastructure plus « plate » à deux niveaux qui requiert un nombre réduit de plates-formes et couches réseau discrètes tout en diminuant les exigences de consommation et de refroidissement. (...)
(01/02/2010 17:50:22)Annuels Informatica : l'éditeur clôt 2009 en beauté et rachète Siperian
A ce jour, Informatica ne peut que se féliciter de la politique de croissance externe qu'il mène depuis 2005 et qui vient cette fois de s'illustrer par le rachat de Siperian, éditeur d'une offre de MDM (Master data management, gestion des données de référence). Au gré de ses acquisitions - sur la qualité et le cycle de gestion des données, ou sur le traitement d'événements complexes -, l'éditeur américain a étendu son catalogue en restant focalisé sur l'intégration de données. Cette stratégie lui a permis de clore son dernier trimestre 2009 sur des ventes de licences en hausse de 25% (+9% sur l'année complète), à 71,55 M$ (contre 57,19 M$ au 4e trimestre 2008). Son activité services n'est pas en reste : elle progresse de 18% sur le trimestre, à 79,35 M$, soit un peu plus de 52% du chiffre d'affaires total qui s'élève à 150,89 M$ (+21%). Sur la période, l'éditeur dégage une marge opérationnelle de 23% et son bénéfice net s'élève à 25 M$ (+19%). Sur l'ensemble de l'exercice fiscal, le chiffre d'affaires et les ventes de licences ont respectivement progressé de 10% et 9% (la marge opérationnelle représente 18% des revenus). Des projets de MDM jusque-là menés en partenariat En ce début d'exercice, l'éditeur américain a donc décidé d'étendre ses compétences vers la gestion des données de référence, un terrain sur lequel il avait préféré jusque-là travailler en partenariat avec d'autres acteurs, en particulier avec le Français Orchestra Networks. A noter que cette annonce intervient quelques jours après la présentation de l'offre de MDM d'un autre spécialiste de l'intégration de données, Talend (français lui aussi), qui se pose en concurrent d'Informatica, avec des offres en Open Source. Les autres concurrents de l'Américain ne sont autres que les grands acteurs généralistes, comme IBM et Oracle (qui vient d'acquérir Silver Creek Systems, un spécialiste du nettoyage de données). Et Microsoft fera bientôt son entrée sur le marché, avec ses Master data services inclus dans la prochaine version de SQL Server. « La stratégie d'Informatica consiste à construire pour l'entreprise une offre de gestion globale des données, rappelle Didier Guyomarc'h, directeur général d'Informatica France et vice-président des ventes pour l'Europe du Sud. Et de rappeler la prise en compte des données non structurées, la validation d'identité en mode temps réel, ou encore la synchronisation avec les plateformes situées au-delà du pare-feu de l'entreprise (notamment si cette dernière recourt au BPO, par exemple en externalisant ses fonctions Achat ou RH). « Jusqu'à présent, nous étions à la marge des projets de MDM. Mais dans tous ceux où nous étions retenus pour nos outils de gestion de la qualité des données, on nous demandait pourquoi nous n'avions pas d'offres en propre pour gérer les données de référence ». [[page]] D'ici fin mars ou début avril, la solution de Siperian sera disponible au catalogue d'Informatica sous forme de brique, indique le dirigeant français. En Europe, cette solution de MDM n'était vraiment présente qu'en Angleterre. Des formations techniques sont donc planifiées sur le produit pour les forces commerciales avant-vente, notamment en France. « La philosophie de l'offre est proche de celle d'Orchestra Networks, ajoute toutefois Didier Guyomarc'h, et nos équipes avant-vente ont déjà acquis une bonne compréhension de la typologie de projets et des mécanismes du MDM.» Aujourd'hui, si les projets de Business Intelligence représentent toujours 50% du chiffre d'affaires d'Informatica, 30% sont désormais générés par les logiciels de gestion de la qualité des données. « En France, l'an dernier, un certain nombre de clients ont mis en place un référentiel en utilisant ces outils », confirme Didier Guyomarc'h en citant en exemple Conforama, Printemps et Monoprix. Les 20% restants du chiffre d'affaires sont réalisés par l'éditeur « avec les autres composantes de l'intégration de données, en complément de la BI », dans le cadre de projets « de migration, de consolidation et de synchronisation de données », explique le directeur d'Informatica France en citant aussi les échanges B-to-B, ainsi que le recours aux fonctions de 'capture des modifications' (change data capture) ou d'anonymisation des données, ou encore les modules Temps réel et Haute disponibilité. Parmi les clients gagnés sur des projets décisionnels en France en 2009 figurent le CNRS et System U. En tout, la filiale a gagné douze nouveaux clients sur l'année (dont Meetic, Aviva et Maïf). Elle en compte 180 au total. (...)
(01/02/2010 17:36:51)Le Gartner contredit par IDC sur le marché mondial des mobiles 2009
Il s'est vendu 1,13 milliard de téléphones mobiles dans le monde en 2009 selon le cabinet IDC. Une baisse de 5,2% par rapport à 2008 (1,19 milliard d'unités vendues). IDC est plus pessimiste que son grand rival, le Gartner. Ce dernier évaluait ce marché 2009 à 1,21 milliard d'unités vendues, contre 1,22 en 2008, soit une quasi stagnation. Pour le seul 4ème trimestre, ce marché a progressé de 11,3%, par rapport au 4ème trimestre 2008. Il restait sur 5 trimestres consécutifs de baisse. Les Etats-Unis et la région Asie-Pacifique forment l'essentiel de cette progression trimestrielle. Les smartphones ont permis de profiter d'une croissance traditionnellement forte au 4ème trimestre. Pour 2010, IDC prévoit une reprise basée sur le renouveau économique global et l'intérêt des consommateurs pour les mobiles en général, les écrans tactiles et les appareils de convergence en particulier. LG et Samsung se taillent la part du lion sur le marché des mobiles basics En Europe, IDC observe un rebond par rapport au 4ème trimestre 2008, mais aussi de manière séquentielle par rapport au 3ème trimestre 2009. Plusieurs constructeurs se distinguent sur le vieux continent : LG Electronics et Samsung tirent le marché sur les mobiles traditionnels, Apple et Nokia sur les appareils convergents. Par constructeurs, le classement est édifiant. Nokia, toujours n°1 perd 7,8% de parts de marché avec 38,3% des parts (431,8 millions d'appareils vendus), contre 39,4% (468,4 millions d'appareils vendus). Ses deux poursuivants sont nettement à la hausse. Le n°2 Samsung progresse de 15,6%, il occupe désormais 20,1% du marché (227,2 millions d'appareils vendus) contre 16,5% en 2008 (196,6 millions d'appareils vendus). LG, troisième, s'offre une progression de 17%, il occupe 10,5% des parts (117,9 millions d'appareils vendus) contre 8,5% (100,8). Derrière, c'est la chute brutale. Sony Ericsson affiche -40,9%. Il occupe 5,1% des parts (57,1 millions de ventes) contre 8,1% (96,6). Motorola fait pire : 44,9% de baisse. L'américain se situe à 4,9% des parts (55,2 millions d'appareils vendus) contre 8,4% (100,1). Sony Ericsson affiche son 6è trimestre de pertes, Motorola son 12 è trimestre consécutif négatif. (...)
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