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(08/12/2009 17:38:11)
LeWeb 09 fait son show annuel à Paris
Cette semaine, Paris redevient pour deux jours la capitale mondiale de l'Internet en accueillant le mercredi 9 et le jeudi 10 décembre la sixième édition de la conférence LeWeb. De Facebook a Twitter en passant par Google, plusieurs grands noms de la Toile se réuniront au "Cent Quatre" (19e arrondissement) pour évoquer l'avenir d'Internet. Toujours organisée par Loïc Le Meur, cette manifestation est cette année placée sous le signe du "Web en temps réel". L'essentiel des conférences abordera donc le succès des réseaux sociaux tels que Facebook et Twitter, mais aussi de l'écosystème qui en découle : partage des données, accessibilité depuis les smartphones, paiement en ligne, etc. Jack Dorsey, le fondateur de Twitter, Chad Hurley, cofondateur de YouTube, ou encore Marissa Mayer, vice-présidente de Google, feront notamment partie des intervenants. Au total, pas moins de 2.170 intervenants (entrepreneurs, blogueurs, porte-paroles de sites Internet, patrons de start-up, etc.) prendront par à cet événement. Plusieurs conférences, ateliers, débats et tables-rondes sont programmés durant ces deux journées. Cette année, la conférence sera retransmise en direct par vidéo sur iPhone, par le biais d'une application développée spécialement pour l'occasion. (...)
(08/12/2009 17:24:39)Les réponses en temps réel arrivent sur Google
Google a présenté de nouvelles améliorations autour de son moteur de recherche, dont une fonction apportant des réponses en temps réel, ainsi qu'une application permettant d'effectuer une recherche à partir d'une photo prise avec son téléphone mobile. Jusque-là, il fallait plusieurs heures voire plusieurs jours pour que de nouvelles pages soient indexées sur un moteur de recherche. Désormais, les délais d'indexation sur le moteur de recherche le plus utilisé au monde seront considérablement raccourcis. Grâce à la mise à jour instantanée sur les réseaux sociaux ou sur les blogs, Google va intégrer des résultats en temps réel dans sa page de résultats. Dans les prochains jours, un internaute effectuant une recherche sur Google verra apparaître dans la page des résultats un encadré proposant les résultats issus du réseau Twitter, mais aussi Facebook, MySpace et FriendFeed. Exemple, en entrant "concert fête de la musique" sur Google, un message fraîchement diffusé sur Twitter ou un statut mis à jour sur Facebook sera proposé en guise de réponse complémentaire. Microsoft a devancé Google sur ce concept en proposant l'intégration des résultats issus de Twitter en temps réel sur son moteur Bing.com. Rechercher des images similaires Autre nouveauté de taille présentée par Google, l'application de recherche visuelle. Baptisé Google Goggles, ce service permet de photographier avec son mobile un objet, un lieu ou un code barre, puis de lancer une recherche sur Google. En photographiant par exemple une église, l'utilisateur peut voir apparaître quelques instants plus tard sur l'écran de son terminal l'article Wikipédia sur cette église, mais aussi la localiser sur Google Maps. En photographiant la couverture d'un livre dans une bibliothèque, il peut aussi retrouver la boutique la plus proche où il peut acheter cet ouvrage. Cette application, qui repose sur l'analyse et la comparaison des clichés avec les images indexés sur les serveurs de Google, est téléchargeable sur l'Android Market et fonctionne uniquement sur les smartphones équipés du système d'exploitation Android de Google (version 1.6). (...)
(08/12/2009 16:29:11)L'application collaborative EtherPad sera proposée en Open Source
EtherPad, l'application collaborative en ligne que vient de racheter Google, poursuivra son parcours sous la forme d'un logiciel Open Source, au lieu d'être arrêtée comme cela avait été prévu dans un premier temps.
En annonçant, vendredi 4 décembre, qu'il venait d'acquérir AppJet, éditeur EtherPad, Google avait décidé de fermer à la fin du mois de mars l'accès à ce traitement de texte permettant un partage de document et une collaboration en temps réel. Le tollé suscité par cette décision parmi les utilisateurs du logiciel a amené l'acquéreur à changer son fusil d'épaule. Au lendemain de l'annonce, Google les a assurés qu'ils pourraient finalement continuer à créer des documents partagés en ligne ('pads' selon la terminologie propre à AppJet) au moins jusqu'à ce qu'EtherPad soit livré sous la forme d'un logiciel Open Source.
EtherPad existe en trois versions dont deux sont hébergées (la Starter Edition, gratuite, et la Professional, tarifée 8 dollars par mois et par utilisateur) et la troisième se télécharge pour s'installer sur un serveur local (Edition Private Network, vendue 99 dollars par utilisateur). Lors de l'annonce du rachat, vendredi dernier, Google avait précisé qu'il cesserait de faire payer les utilisateurs de la version Professional dans la perspective d'un arrêt du produit. Son changement de cap ultérieur laisse du coup quelques questions en suspens. Maintient-il sa décision de gratuité sur la version Professional ? Conservera-t-il un service EtherPad hébergé après le passage en Open Source ?
« Nous avons commencé à évaluer comment nous allions ouvrir le code d'EtherPad et le framework sous-jacent, AppJet Web, a confirmé de son côté Aaron Iba, co-fondateur et dirigeant d'Appjet sur le blog d'EtherPad. Nous allons maintenir la possibilité de créer des 'pads' en ligne au moins jusqu'à ce que nous ayons ouvert le code. »
Google a choisi d'acquérir AppJet pour renforcer Wave, sa plateforme de collaboration en temps réel qui combine le partage de documents et l'envoi de mails avec une messagerie instantanée. Une plateforme actuellement en test, accessible uniquement sur invitation. Et Aaron Iba admet que Google Wave n'est pas parvenu au même degré de maturité qu'EtherPad. (...)
L'utilisation de MySQL pourrait fléchir avec Oracle, selon le 451 Group
Si Oracle parvient à racheter Sun Microsystems et la base de données Open Source MySQL, l'utilisation de celle-ci pourrait se tasser. C'est ce que laisse entendre un sondage conduit par le cabinet d'étude 451 Group auprès de 347 utilisateurs de logiciels Open Source répartis sur les différentes zones géographiques, secteurs d'activités et tailles d'entreprises. Sur les 82% d'entre eux qui travaillent avec MySQL, seulement 72,3% continueraient à le faire d'ici 2014. 15% de l'échantillon estiment que si Oracle achète Sun, ils seraient moins enclins à recourir à MySQL. Seuls 6,3% se voient davantage susceptibles de le faire sous l'intendance d'Oracle (seulement 5,6% parmi les utilisateurs de MySQL). Cependant, près de 58% des personnes interrogées disent qu'elles continueront, quoi qu'il arrive, à se tourner vers MySQL à chaque fois que son usage sera le plus approprié. Parmi les utilisateurs de la base Open Source ayant répondu au sondage, ils sont 64% à l'affirmer. MariaDB et PostgreSQL devraient y gagner des partisans Oracle a jeté son dévolu sur Sun en avril dernier, mais le processus d'acquisition ne peut toujours pas se faire en raison de l'enquête antitrust menée par les autorités européennes. L'Europe s'inquiète de la destinée de MySQL si le produit passe dans le giron d'Oracle. Certains observateurs, au contraire, jugent que la base Open Source n'est pas en concurrence directe avec celle d'Oracle, ce qui signifie que ce dernier aurait fort peu de raisons de l'étouffer. De surcroît, le code de MySQL devrait poursuivre sa route au travers de nouvelles branches du projet, telle que MariaDB, promu par Monty Widenius, le père de MySQL. Evidemment, la branche MariaDB n'a pas encore d'utilisateurs parmi les personnes interrogées par le 451 Group, mais d'ici 2011, elle pourrait en compter 3,5%, si l'on en croit les réponses fournies. Quant à PostgreSQL, sur l'échantillon sondé, il passerait de 27 % d'utilisateurs à 30,5% en 2011. Le sondage du 451 Group indique aussi que 17,6% des répondants jugent qu'Oracle devrait être autorisé à conserver MySQL. 34% des utilisateurs de MySQL considèrent qu'Oracle devrait constituer une fondation indépendante pour que la base Open Source puisse continuer à se développer. Il est également intéressant de voir que 4% seulement des personnes interrogées estiment qu'Oracle devrait être obligé de vendre MySQL à un autre fournisseur. Une option qui, pourtant, est celle que plébiscitent les opposants les plus vindicatifs à l'imminent transfert de MySQL vers Oracle. (...)
(08/12/2009 12:05:30)Pulsar, 1er SSD d'une future gamme de Seagate pour les serveurs
Avec beaucoup de retard sur ses concurrents, Seagate annonce enfin ses premiers SSD d'une capacité de 50, 100 et 200 Go, destinés aux serveurs et plus particulièrement aux blades. Au format 2,5 pouces, les modèles Pulsar utilisent des composants Flash NAND SLC et offriront une vitesse d'écriture de 200 Mo/s et un débit de 240 Mo/s en lecture. Avec le benchmark spécifique aux disques durs, Seagate annonce un résultat en crête de 30 000 IOPS en lecture et 25 000 IOPS en écriture. Ce SSD utilise une interface SATA 2.0 à 3Gbit/sec. Comme les produits SSD d'Intel et d'autres fabricants, le Pulsar utilise une architecture multicanale pour augmenter le débit. Rich Vignes, responsable produit chez Seagate, nous a précisé que ce disque dispose de 16 canaux pour le stockage. En comparaison, le SSD X25 d'Intel n'en dispose que de 10 canaux. Seagate a également indiqué que ses SSD consomment 50% d'énergie en moins que ses disques durs traditionnels. Comme d'autres produits à base de mémoire flash, le Pulsar est dimensionné pour environ 100 000 cycles de lecture-écriture. Pour plus de sécurité, le Pulsar est doté d'une technologie Seagate qui assure la protection des données en cas de panne de courant. Sûr de la qualité de son produit, Seagate assurera d'ailleurs une garantie de 5 ans. Le bon moment pour attaquer un marché de volume Seagate est aujourd'hui le dernier des cinq grands constructeurs de périphériques de stockage - une liste qui comprend Fujitsu, Hitachi, Samsung et Western Digital - à entrer sur le marché du SSD. Un retard en partie expliqué par le choix de développer il y a deux ans, des disques durs hybrides combinant plateaux traditionnels et mémoire flash. Les Momentus au format 2,5 pouces (5400 t/m) embarquaient 256 Mo de mémoire Flash en cache et étaient censés limiter à 10% l'usage des plateaux traditionnels. Le succès n'a pas été au rendez-vous chez les professionnels. "Seagate propose ses solutions quand cela semble logique de le faire, c'est à dire quand nos clients nous font savoir qu'ils sont prêts", a déclaré Teresa Worth, directrice du marketing produit chez Seagate. «Nous avons été prudents sur l'intégration du SSD dans notre gamme. Maintenant, que le business SSD approche du milliard de dollars, cela nous semble le bon moment pour attaquer un marché de volume." [[page]] "Nous avons été le leader incontesté du marché mondial du stockage d'entreprise pendant 15 ans. Nous sommes aujourd'hui le premier vendeur de disques durs à arriver sur le marché des entreprises avec son propre SSD », a ajouté Teresa Worth. Western Digital, par exemple, est entré un peu plus vite sur le marché du SSD grâce au rachat de SiliconSystems en mars dernier. Pour expliquer son retard à l'allumage, Seagate a simplement indiqué qu'il attendait que le marché soit mûr pour proposer des produits bien adaptés aux besoins des clients. Le Pulsar est ainsi un SSD conçu et fabriqué par Seagate. Rich Vignes a indiqué que Pulsar sera le nom de toute la ligne de produits SSD, qui finira par cibler un grand nombre de segments du marché. Les baies de stockage externe, par exemple. «Nous avons un grand nombre d'ingénieurs qui travaillent sur le firmware et les technologies relatives au contrôleur et à la mémoire Flash », souligne-t-il. Pas de vente directe Le SSD Pulsar, qui a été livré aux constructeurs de serveurs classiques et de blades depuis septembre dernier, ne sera pas proposé en vente directe. Teresa Worth a également déclaré que Seagate n'indiquerait pas de prix au détail pour ce disque et que les constructeurs communiqueraient directement le prix de cette option pour leurs serveurs. Teresa Worth estime toutefois qu'elle ne s'attendait pas à un impact significatif sur ses ventes de disque dur. «Nous comprenons le stockage d'entreprise, nous travaillons depuis des dizaines d'années avec les organismes de normalisation ... et nous avons une présence mondiale dans ce secteur », conclut Teresa Worth. « Pour résumer la vision globale de Seagate, les disques durs et les SSD vont cohabiter longtemps sur le marché et nous aurons ces deux types de produits dans notre portefeuille ." (...)
(08/12/2009 10:15:00)Twitter teste son site pour mobile avant lancement
Pour son réseau social et son service de microblogging, Twitter a développé un site compatible avec les téléphones mobiles en partant de zéro. Le support mobile est en effet important pour Twitter, dont le système est conçu pour permettre l'envoi de messages texte de moins de 140 caractères en utilisant différentes méthodes, y compris la technologie SMS des appareils mobiles. Mais l'entreprise reconnait que son portail actuel, bien que fiable, présente une interface utilisateur désuette et pauvre en fonctionnalités. «Beaucoup de gens accèdent à Twitter via leurs téléphones mobiles en passant par notre bon vieux serveur qui transmet les tweets fidèlement. Mais celui-ci n'a pas tout a fait le sentiment d'être un Twitter. Il pourrait aussi faire plus de choses pour vous, » écrit dans un blog officiel Leland Rechis, l'un des concepteurs à s'être penché sur le cas "mobile" chez Twitter. Depuis, les utilisateurs peuvent accéder à nouveau site en pointant leur navigateur mobile vers http://mobile.twitter.com . Pour l'instant, le nouveau site, entièrement développé avec les propres API de Twitter, fonctionne mieux avec les navigateurs mobiles basés sur le moteur open-source WebKit comme ceux de l'iPhone et des appareils de type Android par exemple. «Le nouveau site a une interface très attractive et présente quelques aménagements qui rendront l'utilisation de Twitter via un mobile, plus agréable et plus pratique. Faites nous savoir si il vous plait et surtout dites nous comment nous pouvons l'améliorer», écrit encore Rechis. Car l'entreprise a décidé d'attendre les avis des utilisateurs avant de faire de mobile.twitter.com son site mobile par défaut. (...)
(08/12/2009 09:56:57)Un bogue informatique à la sécu des indépendants creuse un trou de 400 millions d'euros
15 000 à 20 000 indépendants (commerçants, artisans, professions libérales...) sur un total de 1,6 million d'actifs, hors retraités, en France subissent depuis deux ans des dysfonctionnements graves dans la collecte de leurs cotisations et l'ouverture associée de leurs droits sociaux. La cause est un bogue informatique lié à la réorganisation des organismes sociaux qui leur sont dédiés : le RSI, régime social des indépendants. Même si le bogue ne touche que 1% à 1,5% des affiliés, il provoquerait un « trou » de 400 millions d'euros. En effet, le Régime Social des Indépendants (RSI) a vu le jour par une ordonnance publiée le 9 décembre 2005 au Journal Officiel. Celle-ci a fait fusionner l'AMPI, l'AVA et l'ORGANIC, la gestion de l'assurance maladie-maternité et l'assurance vieillesse de toutes les professions indépendantes relevant, depuis ce moment-là et de ce fait, d'un seul organisme. Cependant, une partie de la perception des cotisations continuait de relever des URSSAF. Le 1er janvier 2008, un « interlocuteur social unique » (ISU) a été mis en place au sein du régime social des indépendants pour faciliter les opérations administratives des professionnels. A partir de cette date, l'ensemble des perceptions de cotisations a été réalisé par le RSI. Cette mise en place de l'ISU s'est évidemment accompagnée d'un rapprochement de l'ensemble des fichiers d'affiliés. Cependant, le calcul de toutes les cotisations a été confié aux URSSAF tandis que le RSI obtenait la collecte de l'ensemble, y compris la CSG et la CRDS. Une incroyable complexité informatique et procédurale « Si, en front-office, les affiliés ne voient que le RSI, ce qui était la logique de la simplification administrative, le back office est constitué du SI des URSSAF pour toute la partie calcul des cotisations » indique ainsi une porte-parole du RSI. Comme dans d'autres cas de « simplification administrative » (Chèque emploi associatif, Chèque emploi service...), l'apparente simplification perçue par l'usager dissimule en fait une surcouche couvrant les complexités des multiples organismes publics ou para-publics où aucune réorganisation de fond n'est opérée. Or nos confrères du Parisien ont signalé que l'intégration des systèmes informatiques n'a pas suivi celle des organismes, créant, depuis deux ans, de multiples erreurs dans la perception des cotisations avec un « trou » estimé à 400 millions d'euros. Les commentaires déposés sur l'article en ligne du Parisien par des internautes mentionnent autant des sur-facturations que des sous-facturations voire des absences totales d'appels à cotisations. [[page]] Les indépendants que nous avons interrogés se plaignent de la grande complexité de ces régimes et de l'impossibilité pour un indépendant de faire lui-même les calculs pour vérifier ceux du RSI. Des surprises (bonnes ou mauvaises) semblent bien avoir lieu de temps à autre. Mais même un remboursement d'un trop-perçu est en fait une mauvaise nouvelle : de nombreux indépendants ont des trésoreries très limitées et ne peuvent se permettre le luxe de trop payer quoi que ce soit. La cause des bogues constatés serait liée au mauvais rapprochement des fichiers d'affiliés. Ces derniers seraient d'ailleurs dans le brouillard le plus total, les agents du RSI étant souvent incapables de répondre à leurs questions sur les erreurs constatées. Deux ans pour détecter et régler les problèmes informatiques Selon la porte-parole du RSI, « il y a un seul avis d'appel de cotisations par an, au mois de décembre, avec un calendrier prévisionnel des paiements à effectuer (trimestriel, mensuel... selon les cas), une régularisation étant effectuée en octobre. Si une erreur a eu lieu lors de l'affiliation en 2008, on peut ne s'en apercevoir que dans le courant 2009 et ne pouvoir le régler qu'en fin d'année. La totalité des soucis seront corrigés début 2010. Notre priorité a été de préserver les droits sociaux des affiliés, quitte à régulariser ultérieurement les prélèvements de cotisations. » L'affectation incohérente dans tel ou tel régime (artisan, commerçant, profession libérale...) selon l'organisme (URSSAF, RSI...) d'un même assuré serait une des sources d'incidents. (...)
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