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(04/12/2009 10:02:36)

Les SSII tunisiennes entament une tournée hexagonale pour vendre leurs compétences

Les sociétés informatiques tunisiennes membres du GetIT proposent différentes compétences, du très classique : services desk, TMA, infogérance, ou des compétences web : Web: développement, eCommerce, référencement, contenu, architecture SOA. Elles travaillent en régie ou au forfait et misent sur un offshore de services. En clair, elles privilégient les partenariats, notamment avec des éditeurs français, pour des contrats de offshore ou parfois des joint venture. Le offshore marocain raisonnerait différemment en essayant d'attirer les investissements et la création de plateformes au Maroc. Au cours de sa présentation, ce jeudi 2 décembre à Paris, le GetIT a permis de mieux comprendre les compétences offertes par ses membres. La société Hotix par exemple, assure plusieurs métiers : du développement en offshore, du développement spécifique pour ses propres clients et de la distribution, celle de l'ERP Amedeus Hospitality destiné aux hôtel restaurants. Hotix compte plusieurs filiales au Maghreb. Un centre spécialisé sur la TMA L'autrichien KopiLeft, lui, effectue, dans sa filiale située à Bizerte, une partie de ses développements, son support 2ème niveau et de l'intégration. Il travaille par exemple avec une filiale de Gazprom, mais se tourne vers les entreprises françaises pour leur proposer ses services. Tout autre exemple, celui d'Oxia qui assure des prestations en nearshore pour des éditeurs de CRM et d'ERP. Il effectue ainsi une partie de l'infogérance du portefeuille applicatif d'Orange Business Services, ou la TMA d'une filiale du Gan. « Nous avons également créé un centre spécialisé sur la TMA ou la TRA, deux des marchés les plus porteurs dans les logiciels et services en France », souligne Imed Ayadi, directeur général de la division services. Prochaine étape, Oxia va créer une joint venture avec Cassiopée Soft. [[page]] Les société tunisiennes n'attendent pas d'être démarchées mais viennent se présenter directement. En démontrant leurs compétences, elles soulignent que le facteur coût n'est plus le seul argument pour les sociétés françaises qui envisagent de passer à l'offshore. Le différentiel de salaires est quand même de 30 à 50% note l'un des membres de GetIT. « Ce différentiel de coûts, c'est toujours le facteur déclencheur d'une décision de offshore appuie Jean-François Renault, consultant chez Offshore Boosting. Toutefois, ce n'est pas le seul argument. Il y a les coûts directs, les économies sur salaires, et les coûts indirects. Dans cette dernière catégorie, figure par exemple le « time to delivery ». En passant en offshore, certains projets sont réalisés plus vite, 18 mois au lieu de 36 par exemple. C'est également bénéfique en terme d'organisation de la DSI et de l'entreprise. » Le potentiel de l'offshore est de toute façon est considérable. L'offshore, ou sa variante le nearshore, représentent 4,8% du marché des logiciels et services en France (soit 1,2 milliards d'euros selon le cabinet PAC, dont 10 à 15% se porte vers le Maghreb), contre 20% en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis. La crise a eu son effet. Des projets de développements ont été stoppés en France comme dans leurs prestataires en offshore. En revanche des activités en pleine ascension en France, comme la TMA ou l'infogérance, ont un effet positif sur les sociétés spécialisées. (...)

(04/12/2009 09:42:51)

Baisse prononcée pour les ventes mondiales de baies de disque

Bien que ce chiffre traduise une baisse de 7,3% du marché comparé à la même période en 2008, il n'en demeure pas moins une donnée positive pour Donna Taylor, analyste au Gartner : « L'impact de la crise économique sur ce marché s'atténue. Durant les deux trimestres précédents, la baisse des revenus avait atteint des valeurs à deux chiffres. Les résultats du troisième trimestre 2009 sont un premier signe de la sortie du tunnel ». Durant cette période, le classement mondial des fournisseurs est resté inchangé. EMC reste en tête avec une part de marché en hausse de 0,7 points à 26,7%. Il forme avec IBM puis HP le trio de tête des vendeurs en valeur de baies de disques dans le monde. Comme l'ensemble de ses concurrents, EMC, numéro un mondial, a vu ses revenus en dollars chuter (-4,9%). Mais ce recul reste relativement limité comparé à ceux des chiffres d'affaires de HP (-14,3%), d'Hitachi Data Systems (-16,5%), de Dell (-9,8%) et surtout de Sun (-23%). NetApp est celui qui tire le mieux sont épingle du jeux avec une baisse de ses ventes en valeur de seulement 1,1%. (...)

(04/12/2009 09:38:42)

Nec EA222WMe : un écran LED vraiment très vert

Avec son EA222WMe, Nec se lance, comme Apple avec son dernier 24 pouces, dans la technologie LED et met en avant les qualités très écologiques de son produit. Tout d'abord, avec 250 cd/m², ce 22 pouce diffuse la même quantité de luminosité qu'un moniteur traditionnel, tout en réduisant sa consommation d'énergie de 52% pour rayonnement de chaleur 61% moindre. Cet écran est aussi plus léger de 25% et utilise 15% d'emballage - fait de matériaux recyclés, faut-il le préciser - en moins. Pas étonnant que cet écran arbore un Energy Star 5.0, un TCO 5.0 et un Epeat Gold. C'est même le moniteur le plus vert proposé par Nec à ce jour. Mais ce n'est pas tout. Le EA222WMe, permet même de mesurer son empreinte carbone, grâce à un outil unique intégré à l'écran, avec possibilité de remise à zéro. Enfin, il dispose d'une fonction présente depuis peu sur tous les téléviseurs de la marque, un compteur de coûts qui affiche la quantité d'électricité économisée ! A côté de cela, le Nec affiche en 1680 x 1050 natif pour 22 pouces et supporte l'image panoramique en 16:10 avec un rapport de contraste dynamique de 30.000:1. En matière de connectivité, le EA222WMe, qui repose sur un support ergonomique orientable, dispose de ports vga et dvi, et d'un connecteur usb. Il intègre enfin une batterie de haut-parleurs multimédia. Prix annoncé aux US : 340 $. Il est disponible depuis décembre. (...)

(03/12/2009 17:20:37)

Coherence en vedette de l'offre middleware d'Oracle

Oracle a organisé courant novembre à Paris une session de rattrapage pour ceux qui n'auraient pas su apprécier toutes les annonces middleware de cet été. L'éditeur a ainsi pu présenter tranquillement à ses clients et partenaires français le travail réalisé en un an sur l'offre Fusion Middleware 11g R1, suite à l'acquisition de BEA et à l'élaboration de la feuille de route commune. Des présentations de clients ont illustré le discours ; en particulier, il fut ainsi possible de voir un cas d'utilisation concret de l'offre Coherence, autrement dit le « inMemory data grid » (grille de données en mémoire) d'Oracle. Responsable de la stratégie produit au niveau EMEA, Régis Louis a articulé son discours autour de « 5 axes majeurs : le développement, avec Jdeveloper, la SOA, avec SOA Suite, les interfaces utilisateurs, avec Web Center Suite, le déploiement, avec Application Grid et WebLogic Suite, et la gestion des identités, avec Identity Management ». Surtout, Régis Louis a montré les muscles, afin de bien souligner les efforts permis par la puissance d'Oracle : « 1987 projets de développement individuels, 7350 années/homme d'ingénierie, 13 millions d'heures d'assurance qualité et tests, 4500 ingénieurs dans l'équipe middleware soit trois fois plus que pour la base de données, 5420 améliorations axées sur les besoins clients... » Parmi ces améliorations, justement, on peut noter une nouvelle version du framework ADF (Application Development Framework), qu'Oracle utilise lui-même, a souligné Régis Louis, pour développer les Fusion Apps (l'offre progicielle en architecture de services). Un portail pour les mash-up des utilisateurs métier Toujours sur le chapitre de la productivité des développeurs, Régis Louis a rappelé le rôle du Web Center Framework : « Une structure unifiée pour portail, sites Web, RIA [Applications Internet riches], applications mobiles... » Au-delà, dans cette version, il s'agit aussi de donner une certaine latitude aux utilisateurs métier. Ils ont ainsi la possibilité de puiser dans un catalogue de services pour réaliser des mash-up, activer des services communautaires, etc. « sans passer par le département informatique ». Côté SOA, les efforts ont notamment porté sur une intégration transparente de la gestion des événements, tant pour mettre en place des solutions de type CEP (Complex event processing, traitement des événements complexes) que pour des solutions de type BAM (Business activity monitoring, supervision de l'activité métier). La gestion des identités et des autorisations est également vue comme un élément de SOA, puisqu'il s'agit d'un service disponible pour l'ensemble du système d'information. A noter que l'outil de gestion des identités « enregistre toutes les informations liées à la sécurité dans un datawarehouse, y compris en ce qui concerne la base de données, de façon à pouvoir réaliser des audits ». A la DSIV de la SNCF, Coherence fait le lien entre le mainframe et les PDA sous Windows [[page]] A la DSIV de la SNCF, Coherence fait le lien entre le mainframe et les PDA sous Windows Du point de vue du déploiement, la nouveauté la plus spectaculaire est l'ouverture d'Oracle Coherence à des applications C++ et .Net en plus de Java. Issue du rachat de Tangosol, Coherence est une des plateformes de cache distribué les plus abouties du marché, selon Massimo Pezzini, analyste de Gartner, qui l'a évaluée par rapport aux offres notamment de Microsoft et d'IBM. Le rôle d'un cache de ce type est à la fois de garder les données en mémoire vive pour diminuer les temps d'accès, et d'offrir un front unique à une application désirant accéder à ces données, qui peuvent ainsi être réparties sur plusieurs serveurs. Des responsables de la DSI Voyageurs (DSIV) de la SNCF ont illustré cela avec un exemple tiré de leur programme de dématérialisation. Le but de la SNCF étant de permettre aux gens de voyager sans billet imprimé, il est essentiel que les contrôleurs puissent retrouver n'importe quel billet électronique dans le système d'information. Or, sur un mois, la branche Voyages de la SNCF traite quelque 30 000 trains et 9 millions de passagers... Impossible donc de laisser les contrôleurs interroger le mainframe de façon anarchique. La DSIV a alors choisi de déployer une plateforme de cache distribué. Une fois les données en mémoire, d'autres applications deviennent possibles C'est Coherence 3.5 qui a été retenu, a expliqué David Huguet, architecte SI de la DSIV, car il répondait aux différentes attentes : « Réparti, distribué, compatible Java, et indépendant des technologies amont (le mainframe) et aval (les terminaux Windows Mobile). » Les contrôleurs peuvent ainsi synchroniser leurs PDA avec une base SQL Server, elle-même alimentée par le cache de données contenant les informations issues du mainframe. De cette façon, la DSIV estime avoir réduit le nombre d'accès au système central de 500 000 à 50 000 appels. En outre, sachant maintenant que les données sont en mémoire, il devient possible de les exploiter dans d'autres applications. « Par exemple un rappel des informations liées au voyage par SMS la veille du départ », indique David Huguet. Et si on pouvait en profiter pour avertir d'une grève ou d'un retard... (...)

(03/12/2009 16:46:23)

Intel dévoile une super puce 48 coeurs qui soulève de nombreuses interrogations

Jusqu'à 48 coeurs dans un processeur gravé en 45 nm, c'est la performance technologique dévoilée par les chercheurs d'Intel. Cette démonstration préfigure les serveurs de demain qui pourront être de type « single-chip cloud computer ». Avec un oeil sur les datacenters et un autre sur le cloud, Intel envisage de produire des processeurs multicoeurs d'un genre nouveau au sein d'un programme baptisé « terascale ». « Avec des puces de ce type, vous pouvez imaginer un cloud reposant sur un data center très performant et consommant beaucoup moins d'énergie que les systèmes actuels, ce qui signifie économiser des ressources quant à la surface occupée et aux frais de fonctionnement (refroidissement et consommation électrique) », explique Justin Rattner, responsable des laboratoires de recherche et CTO d'Intel. Un point très important quand on sait que 100% de l'énergie consommée par un datacenter est convertie en chaleur et qu'il est ensuite nécessaire de réguler la température (22° recommandés aujourd'hui) avec des systèmes de refroidissement par air ou par eau, également énergivore. Justin Rattner envisage également de produire des puces de ce type pour des usages très grand public comme les calculateurs automobiles pour contrôler des systèmes électroniques comme l'injection, l'ABS ou le déclenchement des airbags. Des performances de l'ordre du téraflop Deux ans après avoir exhibé une puce expérimentale 80 coeurs, qui n'était pas totalement fonctionnelle, Intel franchit un grand pas avec ce prototype de processeur 48 coeurs. Certains problèmes comme la communication entre les coeurs ont pu être améliorés et les ingénieurs ont exploré de nouvelles architectures pour concevoir des cores design plus efficaces. Aujourd'hui, la puce 48 coeurs offre des performances de l'ordre du téraflop, mais avec la consommation électrique d'un processeur quad core (de 25 à 125 W). Ce processeur intègre 4 contrôleurs mémoire DDR3 (64 Go max) et un réseau de communication offrant une bande passante de 256 Go/s. Pour fonctionner efficacement, les systèmes d'exploitation et les applications pourront utiliser certains coeurs en priorité et répartir d'autres tâches sur des coeurs annexes. Comme certains processeurs déjà sur le marché, cette puce multicoeurs peut adapter la tension et la fréquence d'horloge des unités de calcul. Une condition sine qua non pour régler le niveau de performances en fonction des besoins et utiliser le minimum d'énergie nécessaire. [[page]] À l'occasion de cette annonce, Intel explique qu'il prévoit de distribuer une centaine de puces 48 coeurs expérimentales à des centres de recherches universitaires travaillant sur les applications et les modèles de programmation multicoeurs. Le professeur Tim Roscoe, du département d'informatique de l'École Polytechnique de Zurich, a déjà indiqué être très intéressé par le « single-chip cloud computer ». « Dans le cadre du projet Barrelfish, nous concevons en effet des architectures de système d'exploitation pour les futurs systèmes multicoeurs. Le contrôleur mémoire de cette puce et le système de transmission des informations sont donc parfaits pour nous. C'est le véhicule idéal pour tester et valider nos idées». Plusieurs questions sans réponses Plus mesuré, Dan Olds, analyste chez Gabriel Consulting, indique que cette puce expérimentale est une étape importante pour le développement de nouvelle génération de processeurs, mais qu'Intel devrait livrer plus de détails sur cette technologie. "Les puces multicoeurs sont devenues la norme avec des processeurs bi et quadri coeurs utilisés dans presque tous les systèmes. Le nombre de coeurs va certainement augmenter avec le temps, mais cela arrivera à petits pas - de deux à quatre coeurs, de quatre à six, puis de huit et dix dans les prochaines années. Cette puce 48 cores est un objectif important qui place le marché dans une certaine perspective. " Dan Olds poursuit en indiquant qu'Intel devrait expliquer ce que signifie vraiment 48 coeurs 'pleinement fonctionnels'. « Nous avons besoin de plus d'informations de la part d'Intel pour comprendre exactement comment un tel bond en avant a pu être possible, ajoute-t-il. Par exemple, peut-elle gérer le jeu d'instructions x64 standard ? C'est un point très important pour déterminer si un logiciel existant sera capable de tourner sur cette plateforme ou s'il sera nécessaire de le porter. Avec un volume de seulement 100 unités, c'est plus un projet scientifique qu'un prototype réel. Il s'agit d'un projet scientifique important, qui pourrait apporter beaucoup à l'industrie, mais cela reste un projet scientifique. " (...)

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