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(04/12/2009 17:10:58)

Insistantes rumeurs sur un rachat de Vente-privée.com par Amazon

La rumeur courait depuis quelques heures, et le site TechCrunch, souvent bien informé dans ce domaine, estime qu'elle est fondée : Amazon pourrait racheter Vente-privée.com pour environ 2 Md€. Il s'agirait d'un montant record pour une entreprise française du secteur (si on excepte BO, racheté 4,8 Md€ par SAP). Vente-privée.com,créée en 2001 par Jacques-Antoine Granjon, son actuel PDG, organise des ventes à des clients sélectionnés pour le compte de grandes marques. L'entreprise, qui s'est développée ces dernières années en Europe, a réalisé un chiffre d'affaires de 510 M€ en 2008, et vise les 620 M€ en 2009. Elle constituerait donc une bonne tête de pont européenne pour Amazon. Les deux entreprises démentent, pour l'instant. (...)

(04/12/2009 16:59:12)

Bouygues Immobilier reçoit le 1er Grand prix de la croissance verte numérique

Bouygues Immobilier, Watteco, Alcatel-Lucent, l'Ecole des Mines de Nantes et Greenext sont les premiers récipiendaires des Prix de la croissance verte numérique, remis ce vendredi matin à Paris. Ce nouveau trophée a été imaginé et mis sur pied par Acidd (Association communication et information pour le développement durable), le Medef (Mouvement des entreprises de France) et la Fédération française des télécoms afin de distinguer les entreprises s'appuyant sur les NTIC pour oeuvrer à la fois dans le sens de l'écologie (réduction des gaz à effet de serre, diminution de la consommation de ressources naturelles, etc.) et dans celui des affaires. Comme l'a précisé sur la scène de l'amphithéâtre du Medef le maître de cérémonie Gilles Berhault, président d'Acidd, « il ne s'agit pas seulement de réduire l'empreinte carbone, mais aussi de proposer des produits, de créer de la valeur ». Sous le haut patronage de Michèle Pappalardo, commissaire générale au développement durable (qui dépend du ministère de l'Écologie, de l'Énergie, du Développement durable et de l'Aménagement du Territoire), se sont succédé les représentants des diverses organisations patronales et industrielles partenaires de l'événement : le président de Microsoft France Eric Boustouller en sa qualité de co-président du comité développement durable de Syntec Informatique, Gabrielle Gauthay, présidente d'Alliance TICS, Joël Karecki, vice-président de la Fédération des industries électrique, électronique et communication (Fieec), Marc Dufau, responsable du pôle environnement, énergies, transports d'Oseo, Yves Le Mouël, directeur général de la Fédération française des télécoms, Daniel Clément, directeur de la recherche de l'Ademe, Marie Nouvel, chargée de communication de la Direction générale de la compétitivité, de l'industrie et des services (DGCIS), Henri Verdier, directeur de la prospective de l'Institut Télécom et président du pôle de compétitivité Cap Digital et Charles Beigbeder, président de la commission recherche, innovation et nouvelles technologies du Medef. Quatre prix, plus un « coup de coeur » Ce bel aréopage s'est assez maladroitement évertué à faire comprendre - à quelques jours de la réunion de Copenhague - que l'industrie et le gouvernement sont conscients des enjeux et font tout ce qui est en leur pouvoir pour y répondre. Il fut donc beaucoup question de futurs « capteurs intelligents », « réseaux intelligents » ou « smart grids », « transports intelligents »... Seul le bâtiment n'a pas eu l'heur de recevoir ce qualificatif d'intelligent ; il dut se contenter d'être « à énergie positive ». Heureusement, le jury, présidé par Claudie Haigneré (ex-spationaute, ex-ministre de la Recherche et des Technologies, aujourd'hui présidente de la Cité des sciences et de l'industrie de La Villette), a retenu, sur les 98 dossiers soumis, 11 cas franchement exemplaires de ce que l'alliance entre écologie, business et NTIC peut donner (autrement dit, du Green IT). Le Grand prix numérique et développement durable de cette première édition a ainsi été décerné à quelqu'un qui n'est pas un inconnu pour LeMondeInformatique.fr : Christian Grellier, directeur de l'organisation et des systèmes d'information de Bouygues Immobilier, nous avait déjà exposé son « Green IT Center », un datacenter pensé - et facturé par l'hébergeur - en fonction de sa consommation énergétique. Christian Grellier explique qu'un datacenter représente environ 25% de la consommation d'un bâtiment de bureaux. « Et cela montera à 50% avec les immeubles à énergie positive. » Pour réduire la facture, le DSIO de Bouygues Immobilier a choisi la solution du container, où deux rangées de machines (serveurs, alimentation, climatisation) forment un corridor fermé protégé par un toit et équipé de portes à chaque bout. Combiné à « un pilotage temps réel de la performance énergétique », Christian Grellier estime atteindre les 30% d'économies d'énergie. [[page]] Le prix PME de l'innovation numérique pour le développement durable est revenu à Watteco, qui a inventé des micromodules permettant d'échanger des informations entre appareils sur le réseau électrique. Cette utilisation intelligente du concept de courant porteur en ligne laisse entrevoir des possibilités étonnantes : avec des capteurs intégrés dans les appareils électriques, les prises ou les compteurs électriques, Watteco se fait fort de pouvoir indiquer en temps réel la consommation électrique tant au consommateur, pour qu'il adapte ses comportements, qu'au fournisseur, pour qu'il régule au mieux la distribution. La PME sortira d'ailleurs d'ici peu un « barowatt », baromètre de la consommation électrique destiné aux particuliers, qui a fait sensation parmi le public de l'événement. Le prix Entreprise du numérique et développement durable, qui visait à récompenser une démarche « éco-engagée », a été décerné à Alcatel-Lucent, pour son projet de stations de base mobiles alimentées par énergies alternatives (solaire, éolien...). L'équipementier offre ainsi aux opérateurs une solution pour déployer des antennes relais dans des zones jusqu'alors impossibles à couvrir, ou « de rénover leurs sites existants avec des solutions permettant de réduire leur impact environnemental ». Alcatel-Lucent estime qu'il s'agit d'un marché de plus de 100 000 stations à déployer d'ici à 2012, « permettant d'économiser environ 7 millions de tonnes de CO2 par rapport à l'utilisation de groupes électrogènes ou de réseaux électriques classiques ». Mais il s'agit aussi d'une opportunité de business conséquente : ces 100 000 stations représentent quelque « 3 à 5 milliards d'euros ». Le prix Enseignement supérieur et recherche est revenu à l'Ecole des Mines de Nantes, pour le projet Entropy, fruit des travaux de Fabien Hermenier, post-doc, et Jean-Marc Menaud, maître assistant. Le but du logiciel Entropy est de réduire l'empreinte énergétique d'un datacenter grâce à une manipulation très fine des machines virtuelles. La première étape est déjà franchie : il s'agit d'allouer au mieux les ressources, et cela réduirait déjà de moitié la consommation électrique des serveurs. Le logiciel est actuellement testé en ce sens chez Orange, chez Bull et à la Direction générale des finances publiques. Beaucoup plus originale, la seconde étape, en cours, consistera à déplacer les charges des serveurs en fonction de la carte thermique du datacenter, de façon à réduire au maximum les besoins en climatisation. Le jury, qui avait initialement prévu quatre prix, a tout de même décerné un cinquième prix, « coup de coeur », à une start-up qui a su concilier questions environnementales et outils informatiques pour créer un nouveau métier. Fondée en 2007, Greenext a en effet anticipé l'obligation qui sera faite aux industriels et distributeurs d'afficher l'impact environnemental des produits de consommation dès 2011 (loi Grenelle de juillet 2009). La start-up a mis au point à leur intention une méthode de calcul du coût carbone des produits, « en s'appuyant sur une base de données unique comprenant le profil carbone de 500 000 produits de consommation courante ». Il n'est pas sûr que la mention « équivalent CO2 » sur les paquets suscite davantage l'intérêt que celle de la quantité de glucides ou de lipides, mais c'est déjà un début. (...)

(04/12/2009 15:34:01)

Constellation, le projet de BI collaborative de SAP

Sous le nom de Constellation, SAP prépare une application collaborative d'aide à la décision, qui se présenterait comme une « salle d'opérations » virtuelle ('war room'), cellule de veille où l'on partage des informations pour engager des actions dans la foulée. Cette application associera un outil accessible dans le cloud, depuis un navigateur Internet, et des composants installés en interne dans l'entreprise. C'est ce qu'a récemment expliqué David Meyer, vice président responsable des technologies émergentes pour SAP BusinessObjects, lors d'une présentation sur le Web à certains membres très impliqués de la communauté SAP. L'outil qui doit fonctionner dans le cloud est actuellement en test bêta privé sous le nom de code 12Sprints. On peut s'enregistrer sur le site qui lui est consacré pour le découvrir.

En mai dernier, à l'occasion de la conférence utilisateurs Sapphire d'Orlando, le PDG de SAP, Léo Apotheker, avait lui-même évoqué, le développement de Constellation, en décrivant une application combinant des fonctions de business intelligence et des outils de type Web 2.0. On en sait maintenant un peu plus. David Meyer a montré comment des utilisateurs pouvaient collaborer en temps réel autour d'un problème donné en s'appuyant sur différents outils d'aide à la décision et de gestion de projets. « Il ne s'agit pas seulement d'un espace de discussion, explique-t-on sur le site 12Sprints.com. On rassemble les personnes concernées par un dossier, on leur présente les données correspondantes et l'on choisit les actions à mener avec l'aide d'outils interactifs intégrés. »

Lors de sa présentation, David Meyer a par exemple déroulé un scénario utilisant la méthodologie Swot (strengths, weaknesses, opportunities, threats) consistant à définir une stratégie en analysant conjointement les forces, faiblesses, opportunités et menaces associées à une situation.

Streamworks de SAP

Idéalement, de 5 à 30 personnes peuvent intervenir dans l'un de ces groupes de travail. Mais l'éditeur allemand a prévu de fournir les moyens de publier des activités vers des wikis, ou vers d'autres plateformes comme SharePoint afin de toucher une audience plus large, a précisé David Meyer. Quant aux composants de Constellation situés hors du cloud, qui en sont à un stade de développement moins avancé, ils permettront aux utilisateurs de puiser de façon sécurisée et à partir d'un seul point, dans les différents entrepôts de données et contenus non structurés de l'entreprise.

Une ouverture prévue vers Google Wave
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Un cadre ouvert mais contrôlé

Parmi les applications possibles, David Meyer a cité notamment les processus de décisions d'achat qui se règlent aujourd'hui par téléphone, avec une déperdition d'informations et de connaissance. Sur le plan de la sécurité, Constellation offre un cadre ouvert mais contrôlé. Les utilisateurs pourront travailler comme ils l'entendent, mais un contrôle sera opéré sur la façon dont les choses se passent pour corriger certains points, un risque de fuite de données par exemple. « On pourra empêcher certaines actions », a précisé David Meyer. La tarification de Constellation est toujours à l'étude. Néanmoins, on sait déjà que l'offre devrait comporter trois volets. Il y aura une option gratuite, qui donnera accès à un nombre limité d'activités, et deux versions payantes. Des portions de code seront fournies pour connecter les logiciels BI de BusinessObjects à Constellation. En complément, les utilisateurs de SAP ERP depuis la version 4.6c pourront afficher des contenus vers Constellation dans le cadre de réunions virtuelles.

Une boutique d'applications et une intégration avec Google Wave


David Meyer a également indiqué que SAP prévoyait de créer pour cette plateforme une boutique d'applications sur laquelle les développeurs pourront mettre en vente les méthodes ou les intégrations spécifiques qu'ils auront mises au point. Constellation peut s'adapter à de nombreuses technologies. « Vous pouvez développer dans n'importe quel langage, a affirmé David Meyer. Un peu comme pour un Facebook. » SAP planche aussi sur l'intégration de Constellation à des plateformes de collaboration comme Google Wave. « Il est évident que nous avons besoin de travailler ensemble, a confirmé David Meyer. Il sera possible de partager des contenus entre nos plateformes. » En octobre dernier, SAP Research avait déjà montré une application exploitant Google Wave, baptisée Gravity. Créée avec l'équipe de développement de SAP Netweaver, celle-ci permet de développer des modèles de processus dans le cadre d'une fusion entre deux entreprises. Dès janvier prochain, SAP en dira davantage sur Constellation. L'outil destiné au cloud sera disponible au cours du premier semestre. La partie hors cloud devrait entrer en version bêta en avril et être livrée courant 2010. (...)

(04/12/2009 11:08:35)

Pour étoffer App World, Rim soigne ses développeurs

Pour étoffer App World, Rim soigne ses développeurs App Store, Android Market, Windows Market, Ovi et depuis peu App World, toutes les plateformes mobiles proposent avec plus ou moins de succès un service de téléchargement d'applications gratuites ou payantes. Si la base installée est une des conditions du décollage, le nombre de développeurs travaillant sur une plateforme est également à prendre en compte. Pour attirer les talents sur son environnement Blackberry OS, Rim a mis en place un programme ambitieux avec des services spéciaux portant sur la publicité, le paiement, la distribution de contenus et la géolocalisation. Mike Kirkup, responsable des relations avec les développeurs, était de passage à Paris pour nous détailler les ressources mobilisées pour fédérer et animer cette communauté. « D'octobre 2008 à octobre 2009, 1,6 million de SDK ont été téléchargés sur nos serveurs. Notre communauté a ensuite grossi très vite. Nous avons réussi à recruter 200 000 développeurs » précise d'emblée Mike Kirkup. « Nous avons mis en place un réseau social pour stimuler les échanges entre nos ressources internes et les développeurs externes afin de régler plus rapidement certains bugs ou développer de nouvelles fonctions ». Trois programmes ont été lancés pour soutenir le travail des développeurs. Une académie gratuite pour fournir un support et un accès à la base de connaissance de Rim. Le BlackBerry Application Development Training et le Blackberry Certification Program avec le concours de Prometrics pour améliorer les compétences des développeurs sur la plateforme maison. Mais pour attirer les talents, il est également nécessaire de proposer des ressources et des solutions de vente en ligne. « App World est une opportunité mais les ventes peuvent également se faire ailleurs » explique Mike Kirkup. Crackberry.com par exemple propose déjà un certain nombre d'applications et d'accessoires pour les terminaux de Rim. [[page]] Second axe mis en oeuvre par la société, les outils de développement. Une mise à jour du JDE est par exemple disponible depuis peu tandis qu'un accord a été conclu avec Adobe pour intégrer des outils de développement Flash. De nouveaux services sont également proposés avec notamment une API pour développer plus facilement et unifier les interfaces d'applications. Les demandes des publicitaires n'ont pas été oubliées avec la disponibilité d'Advertising Service API. « Un outil unique selon notre point de vue pour étoffer et mieux intégrer les formats publicitaires auprès de notre communauté de développeurs. Nous offrons par exemple une meilleure intégration à la plateforme AdMob », signale Mike Kirkup. Différents modules sont proposés aux développeurs pour travailler la pub sur mobile. Un clic sur le bandeau publicitaire d'un film peut par exemple lancer la lecture en streaming d'une bande-annonce puis automatiquement proposer les horaires de ciné dans les salles avoisinantes. Un autre clic sur une pub Bank of America et on arrive sur l'application BOF à télécharger dans App World. Ces différents services sont bien sûr proposés aux opérateurs et aux partenaires de Rim qui désirent déployer des publicités contextuelles mieux ciblées. « Il n'y a pas encore de développement avec les Français mais des choses vont arriver en 2010 » précise Mike Kirkup. Une plateforme de micro paiement pour développer les services Rim fonde également de grands espoirs sur Paiement Service API pour faciliter le micro paiement sur Blackberry pour débloquer par exemple les niveaux d'un jeu vidéo ou accéder à un flux d'informations premium comme celui de Bloomberg Mobile. La facture serait ensuite débitée sur un compte Blackberry alimenté par PayPal ou un virement bancaire ou CB. Pour satisfaire tous les nouveaux services mobiles, Rim propose une API de géolocalisation et une autre de push. Extension de solutions déjà existantes, QuickFix améliore la vitesse de localisation d'un mobile, notamment dans un bâtiment. « Si le push existe bien sûr depuis longtemps chez Rim, nous avons amélioré le concept en proposant un service plus sophistiqué avec par exemple la réception des derniers messages seulement quand un mobile est resté déconnecté très longtemps » explique Mike Kirkup. Il est également possible d'affiner son push pour ne recevoir que les messages prioritaires, Toujours pour améliorer le service de messagerie, Rim annonce l'arrivée sur ses mobiles du célèbre plug-in Xobni qui fonctionne aujourd'hui avec Outlook, Yahoo et Gmail. Le prochain App Planet, un évènement réservé aux développeurs, se tiendra lors du Mobile World Congress 2010 à Barcelone (du 15 au 18 février). (...)

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