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(23/03/2010 10:10:55)

Les clubs utilisateurs d'Oracle veulent du concret

L'Aufo, l'association des utilisateurs francophones d'Oracle, a tenu ce lundi 22 mars sa conférence annuelle, à Paris. Les sujets liés à l'intégration de Sun ne sont pas encore à l'ordre du jour, le club préférant aborder des préoccupations plus immédiates (les impacts de la crise sur les départements IT, les retours d'expérience...) ou revenir sur certaines problématiques propres à l'offre d'Oracle (la dématérialisation dans l'E-Business Suite, le support, AIA, CRM On Demand ou encore, la technologie 11G). Le feu vert donné pour le rachat de Sun ne remonte qu'à deux mois et l'Aufo attend que le rapprochement se concrétise pour en parler. « C'est encore récent, il faut d'abord que l'on nous prouve qu'il y a quelque chose au-delà des annonces », considère Jean-Jacques Camps (photo), DSI d'Air Liquide Ingénierie et président du club. Pour autant, l'Aufo est loin de se désintéresser de la question et l'association n'a pas attendu que l'autorisation de rachat soit accordée par Bruxelles pour essayer de créer un groupe d'utilisateurs Sun ; sans succès encore, mais c'est l'un des objectifs de l'année en cours.

Des groupes Sunopsis, Hyperion et bientôt BEA

En 2010, le club souhaite étendre l'activité de sa communauté. Un groupe BEA va notamment se constituer qui s'ajoutera aux autres groupes déjà créés au sein de l'Aufo pour accueillir les utilisateurs des offres rachetées par Oracle, comme Siebel, Sunopsis ou Hyperion. Seuls les clubs JD Edwards et PeopleSoft gardent une indépendance de fonctionnement tout en s'appuyant sur la même délégation générale. Ils participent notamment à la conférence annuelle. « Nous avons longuement discuté de la fusion de nos trois groupes, mais nous aurions risqué de perdre une partie de l'implication des personnes », explique Jean-Jacques Camps. Favoriser l'échange entre ses membres reste l'une des priorités de l'Aufo, en restant centré sur « la vraie vie et pas forcément sur la dernière version d'un produit ou le PowerPoint sur lequel tout va bien, alors qu'en réalité le spécifique reste souvent obligatoire », rappelle le président de l'association qui insiste sur la totale indépendance de son organisation vis-à-vis de l'éditeur de Redwood Shores.

Photo : Jean-Jacques Camps, président de l'Aufo

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Le club compte 800 personnes représentant une centaine d'entreprises et d'administrations, les deux tiers situées en Ile-de-France, un quart dans les autres régions et le reste hors de France (en Belgique et en Suisse). En 2009, un nouveau groupe a été lancé en Algérie. Le Maroc devrait être le prochain objectif d'extension. « Plus nous serons nombreux, plus fructueux seront les échanges. Du moment que l'on utilise la même langue de travail, que l'on se trouve dans une zone géographique qui n'oblige pas à des déplacements trop longs pour participer aux événements et que l'on se retrouve autour de préoccupations métiers communes », souligne Jean-Jacques Camps.

Des formations pragmatiques

En pratique, les membres se voient proposer une vingtaine de commissions par an sous forme de deux demi-journées thématiques ponctuées de témoignages. « Nous n'évoquons pas les lendemains qui chantent mais les mises en oeuvre qui existent ». Parmi les sujets récurrents : Comment produire un projet international et comment effectuer une montée de version. Parallèlement, des groupes de travail rassemblent des utilisateurs toute l'année autour d'une problématique commune : le CRM dans le secteur pharmaceutique, le secteur public, les systèmes géographiques... Enfin, tous les 3e jeudis du mois, une webconférence propose de découvrir un produit pendant l'heure du déjeuner (récemment, le User Productivity Kit, un logiciel de formation).

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Pour la troisième année, la remise des trophées a constitué le point d'orgue de la conférence annuelle des utilisateurs francophones d'Oracle. « Ils viennent apporter reconnaissance et visibilité aux projets efficaces et astucieux qui ont fait leur preuve depuis trois à six mois », met en avant Jean-Jacques Camps. Sur les douze dossiers finalistes du crû 2010, les quatre retenus l'ont été sur des critères de création de valeur, de mesure du bénéfice pour les utilisateurs, d'innovation et de créativité, a rappelé Françoise Hemery, la présidente du club JD Edwards en les présentant.

Un trophée pour une architecture Oracle RAC 11g Extended

Le Groupe Hospitalier du Havre s'est vu décerner le Prix de la technologie. Avec l'aide de la SSII Digora, il a mis en place une architecture Oracle RAC (Real application cluster) 11g 'étendue', composée de trois clusters (un de six noeuds et deux de deux noeuds), répartis sur deux datacenters et permettant une réplication totale. Chaque serveur dispose de son propre SAN. Cette application à haute disponibilité, en production depuis un an et demi pour traiter le dossier médical du patient, est désormais utilisée aussi par le SAMU.

24 mois pour déployer l'ERP E-Business dans une PME

Le trophée Application a été remis à Altis Semiconductor pour son application de GMAO (gestion de maintenance) transactionnelle et décisionnelle centralisée sur PeopleSoft et intégrée au SI de gestion.
Le Coup de coeur du Jury est allé à Teisseire, pour son déploiement « rapide et pratique » de l'ERP JD Edwards. Enfin, le Grand Trophée d'Oracle est revenu à l'éditeur de logiciels Bodet, une PME de 500 personnes qui, en 2004, alors que son SI reposait sur de nombreux développements spécifiques, a décidé de migrer vers un ERP. L'entreprise a déployé tous les modules de la E-Business Suite en 24 mois.

Chaque année, le lauréat du Grand Trophée est invité à se rendre à la grand'messe d'Oracle, OpenWorld, qui se tient à San Francisco, au Moscone Center. L'édition 2010 se tiendra du 19 au 23 septembre prochain. L'an dernier, le trophée avait été remporté par Webhelp et en 2008, par Soletanche-Bachy (voir ci-dessous son témoignage sur OpenWorld).

(...)

(19/03/2010 09:32:00)

Après Twitter, Digg abandonne MySQL au profit de Cassandra

L'équipe de développement du site de partage de contenus Digg a arrêté d'utiliser la base de données MySQL. Il emboîte ainsi le pas à Twitter qui vient de prendre une orientation similaire. Dans un billet de blog, John Quinn, le vice-président du développement de Digg explique l'abandon de la base Open Source en faveur d'un environnement 'NoSQL', Cassandra en l'occurrence, en raison des difficultés croissantes à construire une application exigeante en ressources (écriture intensive) sur un volume de données qui grossit rapidement, à l'infini. Digg procède à plusieurs autres changements et refond le code de son application en s'éloignant du modèle Open Source LAMP (Linux, Apache, MySQL, PHP, Python et Perl).

Mais c'est l'abandon de MySQL qui constitue le revirement le plus significatif. « Pour quelqu'un qui, comme moi, a travaillé quasiment exclusivement sur des bases de données relationnelles depuis près de vingt ans, c'est une démarche plutôt audacieuse », concède John Quinn. [[page]]MySQL est passé sous le contrôle d'Oracle, depuis que ce dernier a été autorisé à racheter Sun, ce qui soulève un certain nombre d'inquiétudes. Le créateur de la base Open Source, Michael Widenius, s'en est particulièrement ému, parmi d'autres. Toutefois, cet état de fait n'a pas été mentionné par John Quinn comme un facteur déterminant dans la décision de Digg.  

Cassandra, créée par Facebook et versée dans l'Open Source

Le site communautaire a donc jeté son dévolu sur Cassandra, un SGBD distribué, originellement mis au point par Facebook, qui l'a versé dans l'Open Source en 2008, et désormais développé par la communauté Apache. Dès à présent, Digg a redéveloppé la plupart de ses fonctionnalités avec Cassandra, tout en procédant à ses propres améliorations sur la base de données, explique John Quinn. « Digg s'est engagé dans l'utilisation et le développement d'outils Open Source et nous préférons éviter d'investir dans les coûteuses solutions propriétaires capables de supporter de gros volumes.

Cassandra est orientée colonnes et permet de stocker des données relativement structurées. Elle propose un modèle entièrement décentralisé et présente une forte tolérance aux pannes. Les données sont répliquées sur de multiples noeuds et entre les datacenters. Elle est également très flexible, ses capacités de lecture/écriture augmentent linéairement au fur et à mesure de l'ajout de nouveaux serveurs. » Digg se focalise désormais sur la finalisation de sa prochaine version.

(...)

(15/03/2010 10:34:46)

Infotel marque le pas en 2009

Spécialiste de la gestion de bases de données, Infotel a publié, fin janvier, un chiffre d'affaires (CA) à peine positif, en croissance de 0,8% à 89,2 millions d'euros en 2009. Il publie maintenant d'autres chiffres concernant sa rentabilité. Le résultat opérationnel baisse de 22,5% avec 7 millions d'euros, représentant 7,8% du CA 2009. Le résultat net se monte à 5,2% en baisse de 22,9%. La société souligne que ses marges se sont redressées au second semestre, la marge opérationnelle passant de 4,4% du CA à 10,9% entre le 1er et le second semestre. Le taux de marge nette est passé, lui, de 3,4% à 8,2%. La société a maintenu en 2009 son plan d'investissement : nouveaux centres de services, nouvelles qualifications, recrutements (l'effectif est passé de 677 à 727 collaborateurs). (...)

(15/03/2010 10:55:44)

DataFlux réunit intégration, qualité des données et MDM

Alors que deux éditeurs de la gestion des données de référence (MDM) viennent d'être rachetés par Informatica et IBM, attestant de l'intérêt du marché pour le sujet, Dataflux vient de regrouper ses produits dans une solution unifiée. Celle-ci donne accès, au sein de la même interface utilisateur, à ses outils d'intégration, de mise en qualité des données et de MDM. Face à des offres concurrentes qui se construisent par rachats, l'éditeur américain fait valoir que sa plateforme DataFlux Data Management est entièrement issue de sa R&D. Il insiste surtout sur la capacité de sa solution à faire coopérer les utilisateurs métiers et les équipes informatiques. « C'est un outil de collaboration avant tout », pointe Marc Daverat, directeur France et Europe du Sud de DataFlux (photo ci-dessus), en rappelant que cette dimension existait déjà en partie sur l'offre Data Quality Integration. Différents degrés de maturité sur la gouvernance des données Gérer les données de référence consiste à rassembler de façon cohérente dans un référentiel les informations sur les produits, les clients, les fournisseurs (ou autres) utilisées dans les différents départements de l'entreprise. Pour en constituer une vue consolidée, il faut pouvoir créer et piloter transversalement les règles métiers qui les régissent. « L'IT n'a pas forcément la connaissance de ces règles ; ce sont les acteurs métiers qui l'apportent, rappelle Marc Daverat. De leur côté, les acteurs technologiques vérifient la cohérence des données. Les projets de gouvernance nécessitent une double direction avec une vraie maîtrise d'ouvrage et une maîtrise d'oeuvre, d'où la mise à disposition d'outils intégrés. Avec cette plateforme, nous répondons aux problématiques de nos clients qui doivent maîtriser leurs coûts, optimiser leurs processus et se conformer aux régulations de plus en plus fortes. » Le dirigeant rappelle néanmoins que les entreprises ont différents degrés de maturité sur la gouvernance de données. Il distingue quatre catégories : les indisciplinées (chez lesquels aucun processus de qualité n'est défini), les réactives (des règles existent, mais les problèmes sont résolus quand ils se présentent), les proactives et les gouvernées. En Europe, elles sont plutôt indisciplinées et réactives, estime Marc Daverat en précisant que « certains clients sont très en avance sur certains points et en retard sur d'autres ». [[page]] La plateforme unifiée DataFlux Data Management rassemble quatre produits. Les deux premiers permettent de concevoir les règles métiers à appliquer aux données (Data Management Studio), de les industrialiser et de les déployer transversalement dans l'entreprise (Data Management Server). Le troisième (Federation Server) fournit une vue intégrée sur des données stockées dans différents référentiels sans obliger à les agréger physiquement. Il propose des fonctions de recherche et facilite ainsi la compilation et les rapprochements entre les sources, ainsi que les corrections. Le quatrième produit (Connect) réunit des composants pour intégrer les régles de gestion de la qualité des données avec les applications de SAS, SAP et Oracle/Siebel. Des projets peuvent être concentrés sur une règle métier Une entreprise pourra choisir de mener un projet de MDM concentré sur l'une de ses règles métier susceptible de générer un retour sur investissement rapide. Il peut s'agir, donne en exemple Marc Daverat, de « s'assurer que l'ensemble des produits bruts, semi-finis ou finis rentrant dans la fabrication d'un produit ont un coût associé, et à jour. En cas de respect de cette règle, le risque de factures bloquées et d'achats bloqués est maîtrisé, explique-t-il. Ce qui améliore les liquidités de l'entreprise et la mise en production rapide dans le cas d'un nouveau produit ». Il estime qu'une entreprise peut gérer de bout en bout deux à trois règles métier en un an, en rappelant que ces projets peuvent générer des dizaines de millions de retour sur investissement. L'an dernier, l'éditeur a livré deux solutions complémentaires à son offre. L'une, DataFlux for Spend Analysis, pour identifier les problèmes d'approvisionnement à partir des données sur les fournisseurs (et disposer d'éléments pour renégocier les contrats, par exemple), l'autre DataFlux for Materials Data Improvement, pour organiser des informations descriptives et non standardisées sur les achats (pièces détachées, fournitures...). Dataflux compte 1 200 clients au niveau mondial et dit avoir réalisé une progression de 30% sur son chiffre d'affaires l'an dernier, mais sans en communiquer le montant (non cotée, sa maison mère, SAS, ne livre pas le détail de ses résultats financiers). (...)

(01/03/2010 12:59:53)

SOA : IDS Scheer dope les revenus de Software AG

Dans deux semaines, l'Allemand Software AG (2e éditeur outre-Rhin derrière SAP) réunira ses clients français à Paris, le 16 mars prochain, pour sa conférence utilisateurs annuelle, Business Innovation Forum. Avec le rachat de son compatriote IDS Scheer, en août 2009, il possède désormais Aris, plateforme d'analyse et d'optimisation des processus métiers. Celle-ci vient s'ajouter à sa solution de gouvernance SOA (CentraSite) et aux logiciels de BPM, de BAM et d'intégration qu'il a acquis en 2007 avec l'Américain webMethods. « Si jusque-là, nous nous placions davantage au niveau de l'exécution, avec IDS Scheer, notre objectif est de nous situer en amont du projet et de nous rapprocher du métier », souligne Frédéric Fuchs, directeur France et Italie de Software AG, en rappelant que sa société cible les grandes entreprises qui exploitent plusieurs ERP, notamment à la suite de fusions ou d'acquisitions. De gros projets sur l'offre webMethods au 4e trimestre Sur l'exercice fiscal 2009, la contribution d'IDS Scheer a déjà permis à Software AG de stabiliser, ou presque, le niveau de ses ventes de licences par rapport à l'an dernier, à 270 millions d'euros (272 M€ en 2008). Alors que sur ses deux autres activités, webMethods et ETS, seuls les revenus de maintenance ont augmenté (+16% au total sur l'ensemble de l'exercice). ETS, Enterprise transaction systems, couvre l'offre historique, la base de données Adabas et l'environnement de développement Natural. En 2009, l'activité traditionnelle autour des mainframes a décrû. En revanche, au quatrième trimestre, l'éditeur a signé plusieurs gros projets sur l'offre webMethods, notamment avec DHL et la Standard Chartered Bank de Singapour. Lors de la présentation des résultats, le PDG Karl-Heinz Streibich a indiqué que le nombre de contrats de plus de 100 000 euros portant sur webMethods avaient grimpé au 4e trimestre, de même que leur valeur moyenne. Néanmoins, ce sont les services professionnels, au premier plan chez IDS Scheer (avec un effectif de 2 000 consultants), qui ont tiré la progression de Software AG en 2009. Ils lui ont permis d'afficher une hausse de 18% sur son chiffre d'affaires global, à 847,4 millions d'euros. Le fournisseur d'Aris réalise 75% de ses revenus avec les services et 25% avec les produits. Alors que chez Software AG, la proportion est exactement inverse. « Nous avons clairement une stratégie 'éditeur', rappelle Frédéric Fuchs, le DG France et Italie. Nous laissons nos partenaires prendre les projets. C'est un élément différentiateur vis-à-vis de nos concurrents Oracle et IBM qui, eux, les prennent ». Enfin, en 2009, le résultat d'exploitation de l'exercice a augmenté de 21% à 218,2 millions d'euros, ce qui correspond à une marge opérationnelle de 25,8% (25% en 2008). Le bénéfice net atteint 140,8 M€ (+22%). Au 31 décembre, la société comptait 6 013 salariés dans le monde. En 2010, Software AG table sur une belle progression de son chiffre d'affaires : entre +25 et +30%, avec une hausse de 10 à 15% sur les produits et de 8 à 12% sur le bénéfice net. Pour y parvenir, l'éditeur compte en partie sur l'offre Aris, encore peu implantée aux Etats-Unis. A l'inverse, l'offre SOA de webMethods sera poussée vers les clients d'IDS Scheer, avec l'aide des partenaires. Des projets démarrent désormais avec la gouvernance SOA En France, parmi les chantiers importants signés en 2009, Frédéric Fuchs cite la refonte du système d'information de la CNAV sur quatre ans pour permettre le calcul de la retraite avant 50 ans (un projet qui requiert d'intégrer les données de sociétés liées à ce calcul). La filiale française a gagné des clients tels que Malakoff Mederic, groupe paritaire de protection sociale, le Ministère de l'Education et le Ministère de l'Agriculture. Pour Software AG et ses offres de SOA (architectures orientées services), le secteur social et l'administration restent parmi les plus porteurs en 2010, avec les compagnies d'assurance et la finance, en raison notamment du rapprochement entre banques, explique Frédéric Fuchs. « Il y aura des besoins de services réutilisables ». [[page]] Sur ce terrain, le directeur général évoque aussi la modernisation des applications sur mainframe qu'il faut rendre « plus agiles ». Il rappelle que Software AG figure parmi les chefs de file de la gouvernance SOA avec CentraSite, « tant sur la partie repository, où l'on conserve l'ensemble des services, que sur la partie orchestration. Nous avons une solution de gouvernance complète dans laquelle nous avons intégré nos deux solutions, celle de Software AG et celle de webMethods ». Une offre indépendante des plateformes, souligne-t-il. « Dans ce domaine, notre plus grand client au niveau mondial est France Télécom. Poussés par la concurrence, les opérateurs télécoms ont été les premiers à avoir besoin d'agilité. Maintenant, ce sont les compagnies d'assurance. » Le dirigeant confirme par ailleurs qu'il y a aujourd'hui des entreprises qui démarrent par la gouvernance SOA. « Auparavant, elles commençaient avec l'ESB (Entreprise service bus), montaient vers le BPM, puis le BAM, pour s'apercevoir ensuite qu'il fallait gouverner ces services. Désormais, on nous pose d'emblée des questions sur la gouvernance ; c'est nouveau. Les DSI savent qu'elles en ont absolument besoin. Beaucoup de choses sont actuellement poussées par les métiers. D'où l'importance, avec la gouvernance, de partir vers le haut, les métiers et les besoins, pour que chacun ne réinvente pas dans son silo », pointe Frédéric Fuchs. Il précise qu'il ne s'agit pas forcément de chantiers de grande envergure. « Il peut y avoir des projets bien définis sur des processus, par exemple sur la gestion de la chaîne logistique ». Le 16 mars prochain, sur sa conférence utilisateurs, outre ses clients EDF et RCI Banque qui viendront témoigner de leur utilisation des outils webMethods, Software AG a invité Michel Serres pour parler des enjeux des nouvelles technologies face aux bouleversements de la société, et des impacts sur l'évolution de l'homme. Ce n'est pas la première fois que le philosophe se déplace pour un rendez-vous IT. En juillet 2008, notamment, il avait ouvert la première édition de l'Université des SI (USI 2008), organisée par Octo Technology. (...)

(18/01/2010 14:09:19)

Trophées Le Monde Informatique / CIO 2010 : déposez votre candidature !

Les Trophées Entreprises et Société de l'Information récompensent chaque année l'apport de l'informatique aux métiers de l'entreprise. Cette manifestation est organisée par les rédactions du Monde Informatique, de CIO et de Réseaux et Télécoms. Sur le site suivant, vous pouvez télécharger le dossier de candidature à l'édition 2010. La saisie des informations prend moins d'une heure. Le dossier est à transmettre avant le 21 février 2010, au format PDF exclusivement pour en simplifier la lecture. Une caractéristique importante de cet événement réside dans la diversité des profils des nominés et des lauréats. Qu'une organisation soit de petite ou de grande taille, qu'elle soit une entreprise privée, une administration, une association ou une structure parapublique, ce qui compte avant tout est la valeur ajoutée apportée au métier par l'informatique. Plusieurs axes peuvent être mis en avant par les candidats dans leurs dossiers, par exemple : - La stratégie du SI et son alignement sur le métier et la stratégie générale de l'entreprise, de l'association ou de l'administration ; - La transformation de l'entreprise, de ses méthodes et de son organisation, grâce au SI, notamment pour gagner en agilité ou réduire ses coûts ; - Le développement de la responsabilité sociétale de l'organisation (moindre empreinte carbone, recyclage des déchets électroniques...) ; - L'innovation au service des métiers. Une amélioration de rupture dans un processus déjà bien établi. - La conduite du changement : suite à une transformation du SI, il est nécessaire d'accompagner l'évolution des métiers avec les formations adéquates. Un fournisseur de solutions informatiques ne peut pas être candidat mais peut encourager l'un de ses clients à postuler. (...)

(06/01/2010 12:19:40)

Décisionnel, l'Open Source guère prisé selon le baromètre Decideo.fr

Le portail Decideo.fr a interrogé 273 de ses visiteurs (70% d'utilisateurs et 30% de consultants, intégrateurs et éditeurs) entre octobre et novembre derniers pour dresser son baromètre 2010 du décisionnel en entreprise. Premier constat, la plus grande partie des sociétés(1) interrogées (32%) déclarent que le nombre de leurs collaborateurs utilisant des systèmes décisionnels pour faire des choix se situe entre 10 et 15 personnes. Le plus souvent synonyme d'utilisateurs multiples, le décisionnel est également synonyme de solutions multiples. En effet, 84% des entreprises (1) indiquent qu'elles utilisent plus d'une application décisionnelle. Ce qui n'a rien d'étonnant, tant le nombre de domaines auxquels ces solutions sont appliquées sont variés. Ainsi, 78% des entreprises font usage d'un outil décisionnel dans le domaine de la finance / contrôle de gestion, tandis que 70% d'entre elles l'appliquent au secteur commercial / analyse des ventes, et 58% à la problématique marketing / gestion de la relation client. A noter que 61% des entreprises (1) utilisent des outils décisionnels transversaux. Et, dans le cas où elles ne devraient appliquer un outil d'analyse décisionnelle qu'à un seul domaine, il s'agirait de celui de la finance / contrôle de gestion pour 33% d'entre elles. Un bon intégrateur n'est pas un facteur clé du succès d'un projet Pour qu'une entreprise tire profit des fonctions d'une solution décisionnelle, encore faut-il que sa mise en oeuvre soit réussie. Selon les sociétés interrogées, l'adhésion des utilisateurs (79% des réponses), une bonne analyse des besoins (81%) et la qualité des données sources (70%) sont les trois facteurs principaux de succès. Seuls 22% des répondants ont estimé que le choix d'un bon intégrateur garantit la mise en place réussie d'un outil décisionnel. Pour les fournisseurs, les principaux facteurs clé de succès restent globalement les mêmes. De façon un peu étonnante, ni les entreprises utilisatrices ni les fournisseurs ne font du choix de l'outil décisionnel un facteur clé de succès d'un projet. Pour autant, ils ne sont pas prêts à opter pour n'importe quel type de solution. En effet, 60% des entreprises utilisatrices et 65% des intégrateurs considèrent qu'il est préférable d'opter pour une solution décisionnelle modulaire (basée sur les outils de plusieurs fournisseurs) plutôt que pour une solution intégrée. Les mentalités évoluent donc de façon importante puisqu'il y a un an, seulement 30% des entreprises utilisatrices montraient une préférence pour les solutions modulaires. [[page]] L'Open Source ne crée par l'enthousiasme En termes de bases de données, les produits d'Oracle et d'Hyperion (racheté par le premier) sont les plus utilisées par les entreprises interrogées (2) pour stocker leurs données décisionnelles. Les réponses se portent sur les bases de données de Microsoft et d'IBM (D2B) pour, respectivement, 24 et 9% d'entre elles. La base de données en Open Source MySQL recueille quant à elle 6% des réponses. Le Raz de marré du logiciel libre dans le décisionnel n'est donc pas encore là, que ce soit sur le plan des bases de données comme sur celui des applications elles-mêmes. 52% des entreprises utilisatrices se disent moyennement intéressées par les outils décisionnels en Open Source, 11% sont très intéressées et 13% sont déjà équipées. Chez les intégrateurs, on constate que 41% d'entre eux sont moyennement intéressés et que 12% sont déjà équipés. Concentration et hausse des prix Pour réaliser son baromètre, Decideo.fr s'est également penché sur l'impact de la consolidation du marché du décisionnel. En terme de conséquence sur le prix des licences, 57% de l'ensemble des répondants (3) déclarent que la réduction du nombre d'éditeurs a entraîné une augmentation des prix. On constate le même phénomène dans le domaine de la maintenance où les prix ont augmenté pour 55% des entreprises interrogées (3). Mais la consolidation du marché et l'évolution des applications au fil des années ont aussi apporté leur lot d'aspects positifs. Environ 90% des entreprises (3) estiment que les solutions décisionnelles sont meilleurs d'un point de vue technologique. En outre, 78% d'entre elles pensent que ces outils répondent mieux aux besoins des entreprises. Elles restent en revanche une majorité (55%) à penser que les applications ne sont pas plus simples à mettre en oeuvre que par le passé. (...)

(05/01/2010 12:07:20)

Oracle acquiert Silver Creek Systems, spécialiste du nettoyage de données

La première emplette d'Oracle pour 2010 a lieu dans le domaine de la qualité des données : l'éditeur rachète Silver Creek Systems, un spécialiste du nettoyage de données produits, pour un montant non communiqué. L'éclosion du marché de la gestion des données de référence (MDM, Master Data Management), surtout représenté par le PIM (Product Information Management, gestion des données produits), son segment le plus porteur, a porté une attention particulière sur ces outils capables de nettoyer et réconcilier les données. De fait, sans cette étape visant à renforcer la qualité des données d'une base, son exploitation n'aura aucun intérêt. La plupart des outils de ce domaine savent ainsi comparer les identités entre deux systèmes, et détecter les doublons potentiels. Il s'agit de la fonction la plus simple, les identités étant déterminées par des champs précis et des noms se retrouvant facilement d'une base à l'autre. En revanche, pour ce qui est des produits, les appellations peuvent varier beaucoup plus considérablement. Dans un rapport écrit en mai dernier, Bloor Research indiquait que très peu d'acteurs savaient composer avec cette difficulté. Dans ce domaine, peut-on lire dans le document, Silver Creek Systems « dépasse le reste du marché de la tête et des épaules ». L'éditeur s'est en effet spécialisé dans ce domaine spécifique de la qualité des données, grâce à une technologie d'analyse sémantique. Son plus proche concurrent à cet égard est Zoomix, qui a été racheté il y a un an et demi par Microsoft, pour son offre MDM intégrée à SQL Server 2010. Oracle compte inclure le fruit de son acquisition, DataLens System, à son outil de PIM et quelques autres offres progicielles. Mais cela ne devrait pas changer grand chose pour ses clients, Oracle proposant déjà le logiciel de Silver Creek en OEM. (...)

(29/12/2009 15:51:12)

7 entreprises qui ont choisi des alternatives aux solutions Microsoft

Au cours des deux dernières années, les alternatives aux solutions de Microsoft se sont multipliées, qu'il s'agisse de Windows, Office ou Exchange. La concurrence avec l'éditeur a atteint un paroxysme en mai dernier, lorsque Red Hat a poursuivi la Suisse en justice (et gagné), invoquant le fait qu'elle avait signé un contrat de trois ans avec Microsoft, sans avoir préalablement lancé d'appel d'offres, alors qu'il existait bien d'autres possibilités. 1 - La ville de Los Angeles a financé ses Google Apps avec l'argent de Microsoft En octobre dernier, la municipalité de Los Angeles a signé avec Google un contrat visant à déployer la messagerie Gmail, ainsi que certaines applications Google Apps. Le coût de ce contrat étalé sur 5 ans est de 7,25 M$. Ironie du sort, une partie de cette somme, soit 1,5 M$, provient d'une amende versée par Microsoft, suite a un procès qui l'avait opposé en 2006 à la ville (qui représentait également six comtés de Californie et d'autres villes), pour abus de position dominante. Microsoft avait alors été condamné à verser un total de 70 M$. 2 - De 100 serveurs Windows à 30 sous Ubuntu chez Equitec En début d'année, le fournisseur de services financiers Equitec exécutait ses applications critiques sur une centaine de serveurs Windows, lorsque des problèmes de performances sont apparus. La société a alors décidé de migrer vers une solution reposant sur Ubuntu Server 8.04 LTS. Dans la foulée, le moteur de base de données Sybase a été remplacé par MySQL, livré avec Ubuntu. Les problèmes de performances ayant disparu, le nombre de serveurs a pu être ramené à 30. 3 - Avago Technologies a migré 4000 utilisateurs d'Exchange vers Google Apps Le CIO d'Avago Technologies a décidé de migrer la totalité des employés de la société, soit 4000 utilisateurs, de Microsoft Exchange vers Google Apps. La principale motivation était financière, l'économie étant estimée à 1,6 M$, essentiellement liée au coût de stockage. Sa décision a été prise lorsque Google a annoncé App Sync, qui permet de connecter Outlook à Gmail. C'était selon lui le dernier point d'achoppement. [[page]] 4 - Serena Software économise 750 000 $ par an en migrant vers Google Apps Serena Software est un autre client emblématique de Google Apps. Le basculement de Microsoft Exchange vers Google Apps a été réalisé brutalement, l'été dernier, en moins de six heures. La principale motivation était la difficulté à administrer les espaces de stockage, à gérer les sauvegardes et à garantir la continuité de fonctionnement. Pour résoudre tous ces problèmes, le service informatique a calculé qu'il était nécessaire d'augmenter de 1,5 Go l'espace disque alloué à chaque boîtes aux lettres, de déployer une solution de disaster recovery et d'installer de nouveaux serveurs Exchange. Le coût aurait augmenté de 1 M$ par an. L'adoption de Gmail et Google Apps permettra d'économiser 750 000 $ par an. 5 - Allianz Insurance Australia délaisse Windows pour un mainframe sous Linux Allianz Insurance Australia, qui emploie 3000 personnes, avait pour objectif de réduire de 20 % ses émissions de gaz à effet de serre d'ici 2012. Pour y parvenir, le groupe a entamé en 2009 une refonte de son infrastructure, qui reposait sur des machines Intel sous Windows Server. Elles ont été remplacées par un mainframe IBM System z10 sous Red Hat Enterprise Linux. Parallèlement, les serveurs d'applications WebSphere, qui tournaient également sur une plate-forme. Intel, ont migré vers JBoss Enterprise Middleware, installé sur un serveur HP Proliant. La consolidation et la virtualisation ont permis de réduire la consommation électrique tout en réalisant 500 000 € d'économies sur le coût des licences. 6 - La Poste de Nouvelle-Zélande abandonne Microsoft Office Au début de l'été dernier, la Poste de Nouvelle-Zélande a entamé avec Microsoft ce qui devait être de simples renégociations du parc de licences Office. Mais les discussions se sont mal passées et la Poste a finalement décidé d'adopter l'offre de Google, pour ces 2100 employés. Sur les trois prochaines années, l'économie réalisée, essentiellement sur la maintenance des serveurs, devrait atteindre 2 M$. 7 - La ligue de base ball américaine expulse Silverlight La MLB américaine (Major League Baseball), avait dans un premier temps opté pour la technologie Silverlight de Microsoft, afin de diffuser ses matchs sur son site Web. Mais celui-ci a souffert d'importants problèmes, dès le début de la saison 2008. La MLB s'est finalement tournée vers la technologie d'Adobe, éditeur avec lequel elle a signé un contrat de deux ans. (...)

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