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SGBD

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(15/01/2008 16:44:28)

Deux administrateurs Oracle sur trois ne patchent pas leur SGDB

Quatre fois par an, régulièrement, Oracle poste son CPU (Critical Patch Updates) qui rassemble toutes les mises à jour de sécurité les plus importantes pour sa base de donnée. Et que font les administrateurs de ces bases ? Pour les deux tiers d'entre eux, strictement rien. C'est en effet le résultat d'un sondage mené par Sentrigo, revendeur américain de solutions de sécurité pour bases de données, auprès de 305 administrateurs Oracle provenant de 14 Oracle user group américains. Et dans le lot, seuls 10 % installent régulièrement les CPU, alors que 90 % d'entre eux n'ont pas installé le dernier lot de patches. Et 67,5 % des répondants n'ont même jamais installé un seul patch. Pour expliquer cette absence d'intérêt, Steve Markovich, directeur technique de Sentrigo a noté trois tendances majeures parmi les répondants. Primo, la plupart d'entre eux ne sont pas sensibilisés aux vulnérabilités pouvant affecter des bases de donnée. Deuxio, l'absence de certifications CPU pour les applications extérieures devant travailler avec une base Oracle est également un frein. Tertio, la sécurité n'est pas la préoccupation majeure de leurs employeurs qui les jugent sur la disponibilité et la performance de la base de donnée. « Au final, patcher une base de données est une opération complexe en soi », explique Steve Markovich. « Et si Oracle peut toujours rendre les choses de plus en plus facile, il faut que du côté client on reconnaisse que la sécurité doit faire partie d'une routine d'administration de base normale. » (...)

(08/01/2008 12:36:17)

Tension sur l'emploi des spécialistes des bases de données, selon Freelance.com

Le début d'année 2008 semble se singulariser par une tension accrue sur le marché des bases de données. En effet, cette spécialité concentre près de 40% des demandes de compétences à elle seule. Elle est emmenée par Oracle, qui représente près d'une demande sur cinq, notamment sur des profils DBA (Administrateur de base de données) et analystes programmeurs. SAP reste stable mais n'arrive qu'à la 3e position des demandes, après plusieurs semaines sur les deux plus hautes marches du podium. Les demandes en spécialistes de .Net ont également augmenté, marquant ainsi le retour des professionnels des environnements Microsoft, alors que le marché était plutôt fluide jusqu'à présent, les compétences Microsoft étant de loin les plus proposées par les freelances. Freelance.com relève parallèlement une progression notable des tarifs de prestations pour des profils multi-spécialisés, avec une dominante forte axée sur la programmation et les bases de données. (...)

(03/01/2008 13:35:48)

Bases de données embarquées : +11% d'ici 2011, Oracle en tête, selon IDC

Selon une étude publiée en décembre 2007 par IDC, le marché des bases de données embarquées devrait enregistrer une modeste progression annuelle moyenne de 11,1%. L'analyste Carl W.Olofson, auteur de l'étude, note la domination d'Oracle sur ce marché, avec 23,2 % des 1,775 Md$ de chiffre d'affaires mondial du domaine en 2006, devant Progress Software, son premier poursuivant avec 14,1% des parts. Derrière eux se tiennent IBM, avec 11,8% des ventes de bases de données embarquées, Sybase, 10,3% et InterSystems Corp, 10,2%. En 2006, le chiffre d'affaires d'Oracle a progressé sur ce marché de 23,3% par rapport à 2005, soit une augmentation deux fois plus importante que la moyenne du secteur, tandis que celui de Progress Software reculait de 0,4%. Quant aux ventes d'IBM et de Sybase, elles avaient respectivement augmenté de 11,9 et 14,6%. (...)

(31/12/2007 13:12:24)

En 2008, les DSI ont les moyens de briser le joug financier des éditeurs

Dans la lutte entre éditeurs de logiciels et utilisateurs, la roue pourrait tourner dans le bon sens en 2008. Tous en coeur, des analystes du Gartner Group, de Forrester Research et de PricewaterhouseCoopers s'accordent à distinguer une conjonction de facteurs favorables à une baisse des prix. On aurait pu croire que la vague de concentration et de retraits de la cote boursière allait avoir pour effet de renforcer les positions des éditeurs de logiciels dominants. Si des géants comme Oracle ou Microsoft continuent d'accroître leurs parts de marché, ce dernier est soumis à la concurrence de nouvelles façons d'utiliser les logiciels. Les logiciels en ligne (SaaS, Software as a service) arrivent en tête de cette nouvelle donne. Avec SalesForce.com en figure de proue, qui attire les regards sur la gestion de la relation client (GRC, CRM), ils vont profondément modifier le paysage. Il convient aussi de se tourner vers la bureautique en ligne. La vache à lait de Microsoft Office est trop grasse pour laisser indifférents les DSI. Sur ce créneau, c'est Google, avec Google Documents, qui occupe l'espace médiatique. Mais il ne faut pas oublier que les communautés du logiciel libre proposent une alternative aux logiciels surfacturés par Microsoft. Toutefois, la bureautique ne figure pas dans le coeur de cible des partisans du logiciel libre. Leur domaine de prédilection demeure l'infrastructure. Là, le succès de Linux estompe ceux obtenus sur les créneaux des SGBD et du middleware. A eux tous, les logiciels à code ouvert mettent sous pression les fournisseurs traditionnels. Ces derniers sont aussi mis sur la sellette avec l'émergence d'une véritable industrie de la tierce maintenance applicative. Pouvoir obtenir du support pour un logiciel auprès d'un autre que le fournisseur de ce dernier fait s'effondrer tout un pan du mur d'enceinte de la prison dans laquelle les clients s'étaient fait enfermer. Enfin, la virtualisation fait aussi souffler un vent de liberté là où l'on s'y attendait le moins : au coeur même des serveurs. Au couple processeur - application, par essence monogame et que l'on croyait indéfectible, succède un esprit libertaire qui préside à une cohabitation communautaire et hétérogène. Une douzaine de machines virtuelles qui se partagent un seul serveur est en passe de devenir monnaie courante. Même s'ils font tout pour verrouiller leurs contrats de licence, les éditeurs sont bien obligés de prendre en compte cette nouvelle souplesse. L'antithèse du carcan dans lequel ils cherchent à enfermer leurs clients. (...)

(21/12/2007 09:37:41)

IBM doit racheter l'éditeur de SGBD Solid Information

IBM a signé un accord pour racheter Solid Information, éditeur d'une base de données hautes performances. Son produit, SolidDB, est une base qui se charge entièrement en mémoire vive - on parle en anglais de « in-memory database » - afin d'accélérer le temps de réponse. Tout la comme la solution concurrente de Kabira, SolidDB est surtout utilisée dans le domaine des télécoms, afin de réduire les temps de latence. En tant que partenaire d'IBM, Solid a déjà mené des tests montrant que son moteur pouvait considérablement augmenter les performances de DB2, la base d'IBM. D'après Solid Information, un test mené dans les laboratoires d'IBM a démontré que « les accès aux données stockées dans IBM DB2 ont été accélérés d'un facteur 40 ». La base était sur un serveur quadri-processeur sous AIX, et « alimentait en temps réel quatre instances de SolidDB 6, chacune tournant sur une lame IBM BladeCenter T HS20 ». Ce qui a permis de traiter « plus de 15 000 transactions par seconde (tps) et par lame avec un temps de réponse moyen d'une milliseconde, pour un total dépassant les 60 000 tps, soit plus de 40 fois le taux que le serveur de données IBM DB2 pourrait traiter seul ». A noter que le moteur SolidDB est aussi disponible pour MySQL. Le montant de la transaction n'est pas dévoilé, dans la mesure où l'éditeur appartient aujourd'hui à des fonds privés, dont les principaux sont Apax Partners et CapMan. D'après Reuters, Solid Information aurait réalisé un chiffre d'affaires de 14,4 M$ en 2007. (...)

(20/12/2007 12:37:44)

Les applications tirent le 2e trimestre d'Oracle vers le haut

Oracle continue d'impressionner la bourse par la réussite insolente de sa massive politique de croissance externe. Tous les indicateurs sont au vert. Les bons résultats affichés traduisent le fait qu'Oracle est en passe de réussir son pari d'ajouter un gros morceau de logiciels applicatifs à l'imposant gâteau de son SGBD. C'est ainsi que le CA des nouvelles licences sur les applications a progressé de 63% contre seulement 28% pour les SGBD et le middleware. Sur le deuxième trimestre, le CA généré par les nouvelles licences SGBD a représenté 66% du CA licence, le reste revenant aux applications. Il y a un an, le rapport était de 72% pour les SGBD et de 28% pour les applications. Cerise sur le gâteau, Oracle conduit sa mutation en améliorant encore sa rentabilité. (...)

(18/12/2007 11:49:09)

Amazon lance la bêta de sa base de données SimpleDB

Amazon confirme son arrivée dans le domaine des services applicatifs. Après son offre de stockage S3 et son Web Service de calcul EC2, le géant de la vente en ligne se lance dans la base de données. Si Amazon n'entend pas concurrencer les leaders du marché tels qu'Oracle, IBM ou Microsoft, il n'en prévoit pas moins d'offrir une alternative à tous les utilisateurs du Web qui ont besoin d'espace pour stocker et traiter des informations structurées dans une base de données relationnelle. Baptisée SimpleDB, cette base, encore en version bêta, offrira des services limités en termes d'espace de stockage et de traitements. Elle s'adresse en priorité aux développeurs qui ont besoin d'aller au delà du simple stockage de fichiers. Avec SimpleDB, ils pourront effectuer des recherches et des requêtes sur leurs informations sans perdre de temps en gestion et administration d'une base de données relationnelle. Calquée sur les offres précédentes, SimpleDB est commercialisé à la durée et à la volumétrie : 1,50 dollar par Go et par mois, une somme à laquelle il faudra ajouter 14 cents par heure de traitement machine (pour l'exécution des requêtes) et entre 10 à 18 cents par Go transféré. Comme pour son service de stockage en ligne, pourtant localisé en Europe depuis peu après pression des développeurs qui ne voulaient pas que leurs données soient transférées sur des serveurs américains, Amazon n'a pas établi de tarif en euros. Quoique ciblée et limitée en fonctions, SimpleDB s'inscrit en complément des offres déjà existantes chez Amazon et elle est surtout la preuve d'une réelle ambition du géant de la vente ligne sur le marché des environnements hébergés. (...)

(22/11/2007 15:25:25)

Une étude confirme l'ampleur croissante d'Oracle

Pas de doute, Oracle prend chaque jour une place plus importante dans les entreprises. Au-delà de ses résultats en forte croissance qui attestent visiblement sa progression, sur le terrain, les analystes prennent concrètement la mesure de l'adhésion des décideurs à son offre, qu'il s'agisse de sa base de données, de ses outils de middleware ou de ses applications. En octobre, l'enquête menée par le cabinet américain ChangeWave Investing sur les prévisions d'investissement en logiciel et sur les solutions installées, auprès de 1 780 membres de son réseau (constitué de 13 000 professionnels et experts issus de différents secteurs industriels), fait apparaître qu'Oracle est le seul fournisseur à gagner des parts dans plusieurs domaines. Principalement sur les applications décisionnelles (ou Business Intelligence, BI), la gestion de la relation client (GRC, en anglais CRM) et les progiciels de gestion intégrés (PGI, en anglais ERP). Par rapport à sa précédente enquête, conduite en juillet 2007, ChangeWave Investing ne note pas de changement dans les prévisions globales d'investissement pour les trois mois à venir : 18% des responsables interrogés prévoient de dépenser davantage sur leur poste « logiciel » et 14 % pensent plutôt débourser moins. En revanche, ce qui frappe le cabinet d'analyse, c'est la proportion croissante d'entreprises prévoyant d'investir dans des solutions éditées par Oracle. Actuellement, dans le domaine du décisionnel, Oracle arrive en tête des logiciels utilisés avec 36% de parts de marché, progressant ainsi de 8 points par rapport à l'enquête de juillet dernier. Microsoft le suit de près avec 35%. Un zoom sur les solutions Hyperion permet de constater une augmentation de cinq points, à 19 %. Le rapprochement opéré entre les sociétés semble donc leur profiter à toutes les deux, rassurant sans doute sur la pérennité des offres. Sur le marché de la GRC, Oracle conserve son leadership (gagné avec le rachat de Siebel). Comme en juillet, 36% des professionnels sondés ont déclaré utiliser une solution vendue par Oracle. SAP, en revanche, perd deux points, à 17%, et Salesforce en perd 4, à 15%. Microsoft, lui, ne bouge pas, à 16 %. Le plus fort potentiel Sur le marché des PGI, ChangeWave Investing note une progression d'Oracle et de Microsoft sur les autres fournisseurs. Evidemment, SAP tient toujours la corde, mais il a perdu huit points depuis l'enquête de juillet, à 38%. Derrière, Oracle gagne deux points, à 32%. Toutefois, sur ce terrain, c'est Microsoft qui réalise la meilleure performance, prenant jusqu'à quinze points de plus, à 29%. Le cabinet d'analyse a également mesuré les tendances dans les domaines du stockage de données et des logiciels d'administration. Là, Microsoft est clairement en tête avec 30%, suivi de Symantec, avec 20%, et d'Oracle et EMC, avec 17% chacun. Mais ce qui surprend le plus ChangeWave Investing, [[page]]ce sont les intentions d'achats à 90 jours des entreprises interrogées. Alors que l'échantillon proposé n'était pas assez large pour englober tous les fournisseurs de solutions verticales pressentis, le cumul des choix désignait clairement Oracle comme l'éditeur ayant le plus fort potentiel, au détriment de Microsoft. Les positions de SAP, elles, ne bougeaient pas par rapport à l'enquête de juillet 2007. La technologie tire les applications et vice-versa Il apparaît nettement que la société de Larry Ellison reprend de la vitesse sur tous les terrains, alors qu'elle avait pu un temps se laisser distancer. Et son fondateur n'entend certes pas en rester là. Ses récentes annonces, à l'occasion de sa conférence OpenWorld (San Francisco, 11-15 novembre) l'ont confirmé : livraison d'une solution de virtualisation de serveurs, Oracle VM, renforcement des solutions middleware, présentation de la nouvelle génération d'applications (Fusion). Parallèlement, Oracle a également indiqué avoir gagné 1 500 clients en un an sur son offre de support autour des systèmes d'exploitation en Open Source Red Hat Enterprise Linux et Oracle Enterprise Linux. « Nous avons dépassé nos prévisions dans toutes les catégories de produits et nous n'avons pas l'intention de nous arrêter là », déclarait Safra Catz, vice-présidente et directrice financière d'Oracle, devant un parterre d'analystes financiers, à l'issue d'OpenWorld. « La technologie tire les applications et les applications tirent la technologie », a-t-elle rappelé pour expliquer comment les différentes gammes d'Oracle autogénéraient des ventes. Et pour justifier la succession des rachats opérés par l'éditeur et qui n'est sans doute pas près de s'arrêter, notamment sur les applications métiers : « Ce que nous faisons est très évident. Nous recherchons ce que nos clients souhaitent que nous prenions en charge pour eux. Et ce qui nous paraît financièrement possible et utile pour eux, nous le faisons. » Ce qui a conduit, notamment, au récent rachat d'Agile, acteur du PLM (gestion du cycle de vie des produits). Ce qui dirige, aussi, les prises de position sur les marchés verticaux avec les rachats de Portal Software, pour les opérateurs de télécommunications, ou d'i-flex, pour les banques. Des produits qui, estampillés Oracle, acquièrent une nouvelle visibilité. En retour, les acheteurs de produits métiers Oracle seront plus enclins à s'intéresser à sa base de données, à ses offres middleware, à sa déclinaison de Linux ou à sa solution de virtualisation. Le 'sondage flash' en cours sur notre site montre toutefois que les entreprises clientes ne sont pas forcément enclines à tout acheter chez le même acteur. Alors s'agit-il vraiment d'un cercle vertueux ? Larry Ellison en est persuadé. Devant le même parterre d'analystes la semaine dernière, il a déclaré ne craindre ni une récession, ni une baisse des prix. « Si les prix baissent, nous nous en sortirons très bien et si l'économie se porte mal, je pense, qu'au pire, nos performances seront étales. » (...)

(16/11/2007 16:32:23)

Un comité SDO au sein de l'Oasis

SDO dispose désormais de son propre comité au sein de l'Oasis. Les spécifications Service Data Objects visent à donner une vue unifiée, logique, des données, quelles que soient les sources considérées : bases de données relationnelles, fichiers XML, etc. L'organisme de standardisation estime qu'il s'agirait d'une aide appréciable dans la mise en place d'architectures orientées services (SOA). Un modèle de programmation unifié simplifierait en effet énormément la tâche des développeurs. C'est le souhait des promoteurs de SDO : Adobe, BEA Systems, IBM, Progress Software, SAP, et le Français Xcalia. Le comité technique sera affilié à la section 'OASIS Open Composite Services Architecture', qui accueille déjà les comités travaillant sur les spécifications SCA (Service component architecture), un modèle de développement unifié pour des applications conformes aux canons de la SOA. (...)

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