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SGBD
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(14/02/2008 16:47:05)
Annuels Teradata : en progression sur l'Europe et l'Asie
Exercice fiscal 2007 (clos au 31 décembre) Chiffre d'affaires : 1,7 Md$ (+10%) Ventes de produits : 884 M$ (+9,54%) Ventes de services : 818 M$ (+10,5 %) Bénéfices nets : 200 M$ (+4,16%) Quatrième trimestre : 466 M$ (+3%) Dont ventes de produits : 240 M$ (+0,4%) Ventes de services : 226 M$ (+5,6%) Bénéfices nets : 79 M$ (+27,4%) 2007 a été pour Teradata l'année de la prise d'indépendance. Le 1er octobre dernier, cet acteur américain du décisionnel, spécialisé dans les technologies d'entrepôts de données (datawarehouses) et les applications analytiques, s'est en effet séparé de sa maison mère NCR, dont l'activité reste concentrée autour des solutions de paiement, distributeurs de billets et terminaux de points de vente pour la distribution. Cette séparation était prévue depuis plusieurs mois, les modèles économiques des deux sociétés étant sensiblement différents et Teradata s'étant à ce jour construit une image suffisamment forte sur le marché de l'entrepôt de données pour larguer les amarres. Ses solutions analytiques permettent de traiter en quasi temps réel de très importants volumes d'informations, notamment pour des applications de gestion de la relation client, dans le secteur de la banque et de l'assurance, de la grande distribution ou encore des télécommunications. Les clients évoluent vers « l'Active Datawarehouse » Plus de la moitié (56,6%) du chiffre d'affaires de Teradata provient toujours du continent américain (+ 5% en 2007). Comparativement, les ventes des régions EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique) et Asie/Pacifique ont l'une et l'autre progressé de 18%, à 424 M$ pour la première et 314 M$ pour la deuxième. Elles pèsent respectivement 24,9% et 18,5% du chiffre d'affaires annuel total. [[page]] En France, l'année a notamment été marquée par « l'évolution des clients vers l'Active Datawarehouse », explique Michel Bruley, directeur marketing de Teradata France. Les données sont analysées en quasi temps réel, la mise à jour des informations du système opérationnel vers le datawarehouse s'effectuant en quelques minutes. Parmi les clients ayant avancé dans cette voie figure Air France dont l'entrepôt, « véritable usine de données, s'appuie sur quinze domaine fonctionnels, regroupant les informations sur les clients, les avions, le personnel, etc., sur lequel quinze flux de données sur cent cinquante s'effectuent désormais en temps réel ». En octobre dernier, le fournisseur a conclu un partenariat avec SAS, acteur américain du décisionnel, l'un des derniers éditeurs indépendants avec Teradata et Information Builders, notamment, depuis le rachat de Cognos par IBM et de Business Objects par SAP. L'objectif de cette collaboration est de permettre aux entreprises d'exploiter les solutions analytiques de SAS directement dans l'entrepôt de Teradata afin de limiter au maximum les migrations de données vers des datamarts (bases à vocation plus limitée) externes. (...)
(08/02/2008 17:02:01)Microsoft attend 10 000 personnes à ses TechDays
Les TechDays organisés par Microsoft France à Paris de lundi à mercredi prochains s'annoncent encore plus imposants que ceux de 2007. Avec plus de 15 000 inscrits ce vendredi, les organisateurs attendent plus de 10 000 visiteurs uniques sur les trois jours, en se référant au succès de l'an dernier. Marc Jalabert, responsable de la division Plateforme et Ecosystème de Microsoft France, cite ainsi les statistiques de la première édition : « 8 000 visiteurs uniques pour 13 000 inscrits ». Le nombre de sessions passe à près de 300, dont près de la moitié seront animées par des experts travaillant pour des laboratoires ou des partenaires de Microsoft. Cette deuxième édition de l'événement, qui fait jeu égal avec les conférences européennes - payantes et en anglais - reste gratuite pour les visiteurs. Selon Marc Jalabert, le financement vient pour la moitié environ des partenaires, dont le nombre a été augmenté. Il y en a une centaine cette année, à tel point que l'événement tient désormais salon sur deux étages du Palais des congrès de la Porte Maillot. Parmi les partenaires, on note la présence de « coopétiteurs » comme Sun, IBM ou EMC, et dans l'Open Source celle de Talend, récemment admis dans le laboratoire Open Source de Microsoft, mais pas celle de JBoss, pourtant lié à Microsoft par un accord spécifique - dont on voit décidément mal la concrétisation sur le terrain. Fait étonnant pour un événement parisien, d'autant que toutes les sessions seront disponibles en vidéo, « 35 à 40% des inscrits viennent de province », précise Marc Jalabert. Toutefois, même si la tournée en province des DevDays n'existe plus, Marc Jalabert promet qu'il y aura « des sessions TechNet et MSDN avec des partenaires dans cinq ou six grandes villes ». (...)
(05/02/2008 12:28:14)Sun encourage à essayer la version 8.3 de PostgreSQL
Même en cours d'acquisition de MySQL, Sun encourage ses clients à essayer la version 8.3 de PostgreSQL, qui vient de sortir. De fait, PostgreSQL était jusqu'à présent la base de données Open Source de prédilection de Sun, qui l'avait incluse dans son système d'exploitation Solaris 10. Sun propose aussi des offres de support spécifique pour ce SGBD, tout comme il compte le faire pour MySQL. Sun saisit donc l'opportunité, avec la sortie de cette nouvelle version de PostgreSQL, de montrer que l'achat de MySQL ne remet pas en cause ses choix, tant en termes techniques - même si on imagine mal que MySQL ne remplace pas sous peu PostgreSQL comme SGBD standard dans Solaris - qu'en termes de soutien aux projets libres : « La base de données PostgreSQL donne aux utilisateurs un choix de SGBD non propriétaire, leur permettant d'économiser de l'argent, d'améliorer leurs performances et d'accroître leur productivité. Sun croit que le choix est important et est impliqué dans la réussite de PostgreSQL », écrit Rich Green, vice-président exécutif de Sun responsable de l'offre logicielle. Toujours sous licence BSD, PostgreSQL met dans sa version 8.3 l'accent sur les performances. Le temps de maintenance et l'impact des points de vérification sur les performances ont été réduits, écrivent les responsables du projet. Associés à d'autres améliorations, « ces changements accélèrent également de manière significative le débit de traitement des transactions, de 5% à 30%, selon la charge ». Parmi les composants optionnels arrivés en version 1.0, on notera le support de SNMP et un débogueur graphique de procédures stockées. (...)
(28/01/2008 11:41:43)SQL Server 2008 retardé
Prévu à l'origine pour le printemps, SQL Server 2008 ne sera finalement pas disponible avant l'été. Cette décision a été prise alors que la version bêta a été téléchargée plus de 100 000 fois. Toutefois, l'éditeur veut rester dans son timing visant à sortir la nouvelle version de SQL Server « 24 à 36 mois après le lancement de SQL Server 2005. » Même si le calendrier se resserre. L'éditeur prévoit le lancement d'une release candidate au second semestre avant la version finale durant l'été. En revanche, les dates officielles de sortie pour Windows Server 2008 (durant les Techdays du 11 au 13 février) et de Visual Studio 2008 (le 27 février) sont maintenues. (...)
(18/01/2008 15:31:46)27 correctifs Oracle pour ce mois-ci
Le tout dernier lot de correctifs d'Oracle (ou Critical patch update, CPU) totalise 27 rustines, donc 8 colmatant des défauts de la base de données, et 6 concernant le serveur d'applications. Les trous de sécurités les plus importants concernent de sérieux risques d'attaques par injection SQL et par exploitation d'inconsistances dans XML DB (le danger pouvant provenir des stations « clientes »). Coté serveur d'application, Oracle précise que 5 des défauts sont potentiellement exploitables à distance. Rappelons à cette occasion l'étude publiée par Sentrigo qui laissait apparaître que 67% des utilisateurs d'Oracle, sur un échantillonnage de 300 installations, n'avaient jamais appliqué un CPU, chiffre qui démontre non pas « l'inconscience » des administrateurs Oracle, mais la difficulté et les risques supposés liés à l'application d'un code - correctif ou non - sur une application aussi stratégique qu'un SGBD ou qu'un outil métier. (...)
(18/01/2008 10:42:26)Le rachat de MySQL par Sun bien accueilli par la communauté
Pour Sun, son rachat de l'entité commerciale du SGBD libre MySQL ne peut être que positif. Mais quel accueil réserve le monde du Libre à ce rachat ? Il est plutôt positif, d'après les premiers retours. La communauté est tout d'abord rassurée par le passé récent de Sun. Sous l'influence de son actuel PDG, Jonathan Schwartz, cette société n'a cessé de s'engager plus avant dans la voie du logiciel à code ouvert en mettant à disposition OpenOffice, OpenSolaris, OpenSparc et, dans une grande mesure, Java. Pour les tenants du logiciel libre, l'affaire semble être perçue comme gagnante pour les deux parties. Et, surtout, elle s'inscrit dans le sens de l'histoire. Pour Eben Moglen, président du Free Software Law Center à New York, ce rachat indique une tendance forte pour les mois à venir au cours desquels il s'attend à d'autres annonces du même ordre. Pour lui, ce rachat souligne même le poids croissant que le Libre peut acquérir dans des entreprises capitalistes qui comprennent l'intérêt de partager du code. Sun écoutera-t-il davantage la communauté ? De manière plus précise, MySQL avait depuis longtemps adopté un modèle mixte, où cohabitait communauté libre et développement interne avec des lignes de produits qui différaient. Dans ce contexte, le rachat par Sun ne peut avoir qu'un impact mineur. Même si, au final, l'avis des communautés libres n'a que peu d'influence sur la réalité économique ; il suffit de voir le peu de retombées concrètes de la réprobation qu'avait suscité l'accord Novell - Microsoft. Voire, le rachat par Sun pourrait améliorer la façon dont les avis de la communauté sont pris en compte, espèrent certains utilisateurs. L'un d'eux cite ainsi dans un blog les problèmes de performance rencontrés avec InnoDB, le moteur transactionnel le plus utilisé avec MySQL, sur des architectures multi-coeurs. Plusieurs patches ont été écrits par des utilisateurs (dont Google), mais MySQL ne les a pas inclus dans la version officielle. Si l'on garde à l'esprit l'attention toute particulière que Sun porte à Ubuntu, une distribution Linux qui tourne sur toutes ses architectures matérielles, l'acquisition de MySQL confirme bien que Sun conteste le rôle central que joue Red Hat dans le monde du Libre. Quant à Patrick Bénichou, PDG d'Open Wide, SSLL française spécialiste de l'intégration et de l'infogérance qui devrait atteindre 100 salariés au cours de cette année, il n'est pas étonné. En rappelant les précédents des rachats de Suse par Novell et de Xen par Citrix, il souligne que MySQL est, avec Red Hat, un éditeur qui sait gagner de l'argent avec des services autour de l'Open Source. Pour lui, Sun s'attache désormais à avoir du retour sur les investissements qu'il a faits dans le libre. MySQL est un modèle en la matière. (...)
(16/01/2008 18:39:19)Sun-MySQL : interview de Zack Urlocker, vice-président de MySQL
LeMondeInformatique.fr : Jusqu'à présent, MySQL n'avait levé que quelques millions de dollars. Comment expliquez-vous que Sun ait dépensé un milliard de dollars pour racheter MySQL ? Zack Urlocker : Du point de vue de MySQL, c'est un aboutissement, pour nos clients et pour nous. Et cela marque aussi un engagement significatif de Sun envers l'Open Source et la couche LAMP. Cela s'intègre aussi parfaitement dans la stratégie Open Source de Sun, avec OpenSolaris, Java, NetBeans, OpenOffice, etc. Certes, mais comment expliquer que Sun ait dépensé un milliard de dollars ? Sun ne commente pas sur les détails financiers. Quel message voulez-vous faire passer à votre communauté ? Je crois que c'est un grand engagement envers l'Open Source. Nous voulons être clairs sur le fait que Marten Mickos, CEO de MySQL, continuera de diriger les opérations au sein de Sun. MySQL fera partie de la division Software de Sun, et Marten Mickos sera sous la responsabilité de Rich Green. L'équipe de management et les fondateurs de MySQL sont tous à bord. Ce que je voudrais ajouter, c'est que cette acquisition nous donne plus de ressources que ce que nous avions en tant que société indépendante. Cela nous permet de viser un public plus large, car l'expertise de MySQL était vraiment sur les entreprises du Web et les petites et moyennes entreprises, tandis que Sun s'adresse aux grands comptes. C'est un grand vote de confiance qui va nous permettre de faire croître notre business à un rythme bien plus grand que ce qu'on aurait pu connaître en tant qu'indépendant. Toutefois, il y avait des avantages à être indépendant. Désormais, vous faites partie d'un grand groupe qui vend aussi des solutions logicielles, un système d'exploitation, du matériel... Je comprends l'objet de cette question. Mais depuis quelques années, Sun a vraiment opéré une transition. Sun supporte désormais Linux et Windows, travaille avec Intel, AMD, IBM, Dell... C'est une entreprise très ouverte aujourd'hui. Il n'y aura aucun changement pour nous, MySQL continuera de supporter Linux, Windows, PHP, Perl, Python... mais il y aura des améliorations dans le futur : support de Solaris, de Dtrace [outil d'administration, ndlr], et d'autres élément du portefeuille Sun. Prévoyez-vous des évolutions prochaines de la feuille de route produits, ou cela se fera à plus long terme ? Pas de changement à court terme. Les équipes de management et d'ingénierie de MySQL continueront comme avant, mais désormais nous bénéficions de davantage de ressources. Nous donnerons plus de détails sur la feuille de route dans quelques mois. De même, les nouvelles offres de support de Sun seront dévoilées à ce moment ? Oui. Les deux sociétés ont des modèles de souscription déjà en place. Donc je ne pense pas qu'il y ait de changement radical. (...)
(16/01/2008 16:03:52)Sun rachète MySQL pour 1 Md$
Contrairement à ce que prédisait une rumeur qui courait depuis le début de 2007, MySQL, éditeur de la base de données Open Source la plus populaire, n'entrera finalement pas en Bourse. MySQL a préféré accepter une offre d'achat de Sun. Qui, pour un milliard de dollars (dont 800 M$ en cash), s'offre une place de choix aux côtés d'Oracle, IBM et Microsoft, sur un segment dont il était absent. Il fut un temps où Sun disait être le point de .com. Aujourd'hui, Jonathan Schwartz, patron de Sun, revendique le M de LAMP, l'acronyme derrière un grand nombre de sites Web : L pour le système d'exploitation Linux, A pour le serveur Web Apache, M pour MySQL et P pour les langages de script PHP/Perl/Python. Dans son blog, Jonathan Schwartz explique : « MySQL est de loin la plateforme la plus populaire sur laquelle les développeurs modernes créent des services en réseau. De Facebook, Google et Sina.com aux entreprises de la finance et des télécoms, les architectes cherchant performance, productivité et innovation se sont tournés vers MySQL. » Sun va étoffer les services de support de MySQL pour séduire les grands comptes Jonathan Schwartz assure que la transition sera extrêmement simple, dans la mesure où « Sun s'est déjà engagé dans le modèle économique qui est au coeur du succès de MySQL : d'abord investir afin de faire croître les communautés d'utilisateurs et de développeurs, puis proposer des services commerciaux qui attirent - sans emprisonner - les clients payants ». Sun s'engage ainsi à proposer des services de support propres à décider des grandes entreprises qui auraient pu, jusque-là, avoir des réticences à contracter avec MySQL pour des projets critiques. Avec des accents lyriques, le patron de Sun estime que cette acquisition marque « le début d'une nouvelle ère de l'Internet ». Pour Jonathan Schwartz, Sun est désormais « positionné au centre du Web ». Si MySQL n'a pas (pas encore ?) délogé les Oracle, IBM ou autres Sybase ou Teradata des départements clés des grandes entreprises, la base a connu une croissance fulgurante, et est extrêmement populaire dans le domaine universitaire. Ce qui convient parfaitement à Jonathan Schwartz. Il est temps, dit-il, d'arroser la racine des arbres. « C'est une chose de dire qu'on est très attaché à l'éducation, c'en est une autre que d'y investir de l'argent. » (...)
(16/01/2008 14:19:19)Bulletin : Sun rachète MySQL
Sun vient d'annoncer son intention de racheter MySQL, leader des bases de données Open Source, pour 1 Md$. La rédaction vous tiendra informé d'ici à la fin de la journée. (...)
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