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(28/04/2008 15:05:30)
Qualité des données : Informatica s'offre Identity Systems pour 85 M$
L'éditeur américain Informatica, spécialiste des solutions d'intégration de données, a annoncé l'acquisition d'Identity Systems pour 85 M$ afin de renforcer son expertise sur la gestion de la qualité des données. Cette filiale de Nokia Identity Systems a développé une technologie permettant de rechercher et réconcilier des données multilingues d'identité ou d'identification relatives à des personnes, des entreprises ou des produits. Cette technologie peut être mise à profit pour de multiples projets d'intégration de données, ainsi que pour la gestion des données de référence, les applications de GRC (gestion de la relation client), de commerce électronique ou encore financières, par exemple dans le cadre de la lutte contre le blanchiment d'argent. Les logiciels d'Identity Systems acceptent une soixantaine de langues et automatisent les rapprochements d'identité sur d'importants volumes de données. Des projets qui, selon Informatica, sont encore souvent codés à la main par les équipes informatiques. Une problématique primordiale des projets décisionnels et de l'intégration de données La qualité des données est une problématique récurrente et primordiale dans les projets d'intégration de données et les applications décisionnelles. Elle est résolument prise en compte par les principaux acteurs du secteur. Outre Informatica et son présent rachat, rappelons que Dataflux, filiale à 100% de SAS, est spécialisée sur ces questions. Informatica a annoncé par ailleurs un partenariat avec Orchestra Networks, cette fois dans le domaine de la gestion des données de référence. En combinant leurs solutions, les deux acteurs permettent de construire des systèmes complets de MDM (Master Data Management). (...)
(18/04/2008 18:33:37)MySQL Conference et Expo : polémique autour de la fermeture partielle du code
Connu pour sa mainmise sur les développements open source de ses produits phares - Java et Solaris - Sun était surveillé de près par les développeurs de MySQL depuis l'annonce du rachat de la base données libre. Et la sixième MySQL Conference & Expo, qui s'est terminée hier à Santa Clara (Californie) leur a permis de se faire entendre. Une décision prise avant le rachat, plaide Sun Au coeur de la controverse, MySQL 6.0, attendue pour la fin de l'année. Cette version comprendra des outils de restauration et de sauvegarde. Et certains d'entre eux seront réservés à la version payante de MySQL Entreprise (vendue de 479 à 3 999 euros par serveur et par an suivant les versions). Une annonce qui a conduit Vadim Tkachenko, ancien employé de MySQL devenu consultant chez Percona et toujours utilisateur, à s'interroger : « Est-ce que MySQL ne croit plus en l'open source ? Ou n'y croit-elle que partiellement ? Je comprends qu'il ne s'agisse que d'une question d'argent, et chacun fait ce qu'il veut avec son produit, mais MySQL ne semble pas faire jeu ouvert dans cette histoire. » Et Slashdot, le blog qui appartient au même groupement de sites que SourceForge, accusait même hier Sun de vouloir fermer le code source de cette base de données. Pour Bertrand Matthelié, directeur marketing EMEA de MySQL pour Sun et qui travaille depuis sept ans pour MySQL, cette polémique est sans fondement. « A 100 %, cette décision a été prise par MySQL, avant le rachat par Sun, affirme-t-il. De plus, le coeur des outils de back-up sera disponible pour tous en GPL. Seul des plug-in particuliers seront réservés à nos client MySQL Entreprise (cryptage à la volée ou pilote pour certaines baies de stockage). » [[page]]« Nous n'avons pas encore décidé de la licence qui les protégera. Dans tous les cas, la communauté pourra elle aussi, si elle veut, développer ses propres add-on. » Une nouvelle interface de modélisation Outre des précisions sur MySQL 6.0, cette conférence a aussi vu le lancement d'un logiciel, MySQL Workbench, un outil graphique pour modéliser simplement ses bases de données. Il est disponible dès aujourd'hui sur le même modèle que MySQL. A savoir une version gratuite à télécharger, la Community Edition ; et une version payante, la Standard Edition, à 79 euros par serveurs et par an. Cette version payante bénéficie de modules supplémentaires pour accélérer le travail des développeurs de base de données. La prochaine mise à jour majeure, MySQL 5.1, a également été annoncée pour fin juin. « Nous attendons 15% de gain de performance avec cette version », précise Bertrand Matthelié. Elle proposera également quelques nouveautés comme un partitionnement de la base, des options nouvelles de réplication ou encore un programmateur de tâches, que celles-ci soient récurrentes ou non. (...)
(10/04/2008 15:30:41)Oracle propose de monter en mémoire cache les données les plus utilisées
Oracle vient d'annoncer la disponibilité de « Oracle In-Memory Database Cache », nouvelle option pour son offre Oracle Database Entreprise Edition. Il s'agit d'une solution de cache automatique, dynamique et de type « lecture/écriture » pour des sous-ensembles de données nécessitant des temps de réponse optimisés. En rapprochant les données fréquemment utilisées de la couche applicative, le cache ramène en effet la communication à quelques millisecondes entre la base et l'application, cette dernière se servant directement dans le cache, monté en mémoire vive. Cette technologie vaut essentiellement pour les données en lecture. En écriture, elle n'a d'intérêt que si les données enregistrées en cache sont aussitôt réutilisées par l'application. Ce type de base en cache suppose que l'application utilise toujours le même jeu de données, son volume ne pouvant excéder la taille du cache. Toutefois, Oracle propose des mécanismes automatiques pour faire monter en mémoire des données fréquemment utilisées, et en faire sortir les données les moins demandées. La solution de cache d'Oracle s'appuie sur la base de données « en mémoire » TimesTen (technologie acquise par Oracle en Juin 2005). Les requêtes SQL sont donc réalisées par cette base de données « en mémoire » sur les données mises en cache. Des mécanismes de réplication transparents pour les applications sont automatiquement mis en oeuvre entre la base Oracle Database et la base TimesTen. Oracle prévoit aussi un enregistrement des transactions afin d'en assurer l'intégrité au cas où le lien entre le cache et la base serait rompu. Compatible avec Oracle Database Enterprise Edition, Oracle Real Application Clusters, Oracle Entreprise Manager, Oracle SQL Manager et les composants middleware d'Oracle Fusion, l'option « Oracle In-Memory Database Cache » est facturée 36 000 dollars par processeur. (...)
(03/04/2008 17:37:24)Xcalia passe dans le giron du groupe Progress
Editeur français de produits de connectivité des données, Xcalia a accepté une proposition de rachat de la part de Datadirect, une des divisions du groupe Progress Software. Close en février dernier, la transaction a été rendue publique il y a quelques jours. Pierre Violo, ancien PDG et actionnaire de Xcalia, explique que les discussions duraient depuis l'été 2007 : « Progress voulait s'engager plus avant dans SDO [Service data objects, spécifications de l'Oasis pour un modèle de programmation unifiée fournissant une couche d'abstraction pour l'accès aux données, NDLR]. En faisant leurs études, ils ont jugé que Xcalia avait la meilleure solution, et ils nous ont approchés. » Eric Samson et l'équipe de développement restent en place Pierre Violo est resté actif environ deux mois avant de passer définitivement la main. « Je ne voyais pas quel rôle j'aurais pu jouer, dit-il, l'activité française devenant un pôle de R&D. » L'ancien PDG explique que l'éditeur avait justement pris la décision de lever le pied sur le développement à l'international pour favoriser la R&D. La quinzaine de collaborateurs, « essentiellement en R&D », continuera de travailler pour Datadirect, et devrait être rejointe par d'autres personnes. D'ailleurs Eric Samson, cofondateur de Xcalia en 2000 (sous le nom Libelis, la société proposait alors une implémentation de JDO, standard Java d'accès aux données), rejoint Datadirect au poste de directeur technique pour les services de données. Comme le souligne Charles Gold, vice-président marketing de Datadirect, « nous avons été impressionnés par la technologie de Xcalia mais aussi par les développeurs et les architectes ». [[page]] Comme il se doit, Pierre Violo considère que ce rachat par un éditeur d'envergure mondiale est une bonne chose pour les employés, les clients et la technologie. Seul hic, alors que Xcalia propose une plateforme d'intermédiation des données adaptable avec tout middleware, la solution risque de perdre en neutralité, dans la mesure où Progress est lui-même un vendeur de middleware, concurrent de Tibco, Oracle, BEA. « Absolument pas, répond Charles Gold. C'est tout l'héritage de Datadirect, nous travaillons en toute autonomie par rapport à Progress. Regardez notre pilote ODBC, il n'a aucune extension propriétaire. Si vous êtes un Business Objects et que vous voulez que votre solution fonctionne avec toutes les bases de données, vous choisirez notre logiciel. Trois cents éditeurs embarquent nos pilotes de connexion aux bases de données. Et vous verrez que tous les produits que nous proposerons respecteront cette neutralité. » Charles Gold souligne par ailleurs la proximité culturelle entre Datadirect et Xcalia, les deux sociétés étant extrêmement présentes dans les instances de normalisation ; Xcalia participait ainsi aux comités travaillant sur SDO et SCA. Les solutions Xcalia seront progressivement introduites dans l'offre logicielle globale, et prendront à terme le nom Datadirect. Xcalia était l'un des éditeurs du programme Idées de Microsoft. Le montant du rachat n'a pas été communiqué, Xcalia étant majoritairement détenu par des fonds d'investissement (notamment Innovacom, Iris Capital, I-Source et Cap Decisif). (...)
(27/03/2008 16:14:37)Sun annonce une offre MySQL-Glassfish
Quinze jours à peine après la finalisation du rachat de MySQL, Sun annonce une distribution du serveur d'application Java EE Open Source GlassFish associée à la base de données MySQL. Le 14 mars dernier, Jonathan Schwartz, PDG de Sun, avait déclaré sur son blog que les équipes R&D de la société, composées de plus de 10 000 personnes, s'étaient lancées dans de multiples projets. Il semble donc que les travaux aient bien avancé. Mise en ligne aujourd'hui, la distribution GlassFish-MySQL fait moins de 150 Mo dans sa version complète. Disponible pour les plateformes Solaris, Linux, Windows et Mac, elle comprend la V2 du serveur d'application, MySQL Community Server 5.0 et le pilote JDBC MySQL 5.1.6. Cette initiative s'inscrit dans les objectifs que Jonathan Schwartz s'était fixé lorsqu'il déclarait sur son blog : « À partir d'aujourd'hui, nous lançons au niveau mondial des programmes visant à promouvoir MySQL dans les entreprises afin qu'il soit adopté à plus grande échelle ». (...)
(26/03/2008 18:35:44)IBM injecte de l'argent dans EnterpriseDB
EnterpriseDB, éditeur de bases de données (dont certaines en Open Source), a profité de la conférence Open Source Business Conference de San Francisco pour dévoiler l'arrivée d'IBM parmi ses investisseurs. EnterpriseDB a en effet bouclé un tour de table de 10 M$, auprès de Charles River Ventures, Fidelity Ventures, Valhalla Partners et IBM. Le montant total des fonds récoltés par l'éditeur s'élève donc à 37,5 M$. Dans un communiqué, IBM explique que cet investissement relève d'une stratégie continue de soutien à l'Open Source, qu'il s'agisse d'Eclipse, d'Apache, de Linux. On pourrait objecter que cette fois, IBM soutient un concurrent, puisque EnterpriseDB, qui a bâti son offre sur PostgreSQL, propose des bases pour les serveurs Unix et mainframe du constructeur. Néanmoins EnterpriseDB a jusqu'à présent axé son discours marketing sur sa capacité à remplacer au pied levé les bases Oracle dans les entreprises pour une petite fraction du prix, ce qui n'est pas spécialement embêtant du point de vue d'IBM. (...)
(10/03/2008 17:27:24)Microsoft ouvre la bêta de son SQL Server en ligne
Chez Microsoft, le 'cloud computing', ou l'informatique à la demande via Internet, prend corps petit à petit sous forme de services applicatifs. Dans son allocution la semaine dernière au Mix, conférence pour les développeurs Web et designers, Ray Ozzie, architecte en chef de Microsoft, a ainsi annoncé le lancement d'une offre basée sur SQL Server, proposée dès aujourd'hui en version bêta. Ce service de base de données en ligne, ou « in the cloud », a été baptisé SQL Server Data Services (SSDS). Il permettra de stocker en ligne des données, pour une tarification à l'usage (pas encore dévoilée). A priori, sont concernées des applications 1) capables de supporter des temps de latence dus à Internet, et 2) nécessitant surtout d'accéder aux données en mode lecture. Dans une foire aux questions sur le site de SSDS, Microsoft cite quelques exemples d'applications possibles : archivage de données, gestion des ressources humaines, partage de photos... L'utilisation de ce service ne sera pas limitée aux seuls utilisateurs des technologies Microsoft, l'accès aux données étant assuré au travers de deux interfaces standards, Soap et Rest, utilisées dans le cadre des services Web et des mashups. La quantité de stockage possible est quant à elle « virtuellement illimitée ». (...)
(28/02/2008 16:12:17)Microsoft lance officiellement sa famille de serveurs 2008
Habitué aux lancements de produits tonitruants, Microsoft n'a pas dérogé à la règle en rassemblant développeurs et administrateurs systèmes pour un grand show à Los Angeles, à l'occasion du lancement de SQL Server 2008, Visual Studio 2008 et Windows Server 2008. Mais Steve Ballmer, CEO de Microsoft, a bien pris soin de mettre en avant non pas ces produits eux-mêmes, mais leurs utilisateurs, qu'il a appelés « le coeur et l'âme de l'industrie informatique ». Le show était d'ailleurs sous-titrés « heroes happen here », et des vidéos un tantinet larmoyantes ont émaillé le lancement, afin de montrer comment des utilisateurs pouvaient devenir des héros en recourant aux technologies Microsoft. Côté produit, il faut préciser que ce lancement simultané est surtout symbolique : il s'agit de montrer que Microsoft franchit une étape dans l'informatique d'entreprise. Car ce lancement a aussi quelque chose de fictif, dans la mesure où seul l'atelier de développement Visual Studio est véritablement disponible. Il manque en effet à Windows Server une pièce essentielle, à l'heure où la virtualisation constitue un argument de poids, justement, dans la décision de déployer un système d'exploitation serveur : l'hyperviseur Hyper-V n'arrivera que dans quelques mois. Steve Ballmer lui-même a insisté sur l'importance de cet élément, en expliquant que Microsoft s'engageait à « démocratiser la virtualisation ». Pour le CEO de Microsoft, la virtualisation devrait pouvoir être adoptée « par 90 à 100% des serveurs, et non 5 à 7% comme actuellement ». Quant à l'évolution de la base de données, on ne l'attend que cet automne. Les détails des produits eux-mêmes ayant été largement dévoilés, les démonstrations sur scène étaient presque superflues. Surtout pour le public français, qui a eu droit à un lancement en avant-première lors des TechDays. Dans un entretien vidéo exclusif avec LeMondeInformatique.fr, Steve Ballmer estime que les ventes de Windows Server 2008 pourraient dépasser celles de Windows Server 2003 d'ici un an ou deux. (...)
(19/02/2008 11:35:40)Un prototype du MIT pour prouver l'obsolescence des SGBDR
Michael Stonebraker, le papa d'Ingres et Postgres, ne désarme pas. Déjà en septembre dernier, il avait décrété l'obsolescence des bases de données relationnelles (SGBDR), et dénoncé la taille unique (« one size fits all ») pratiquée par les éditeurs. Il revient aujourd'hui avec les résultats d'une expérience menée au MIT (Massachusetts Institute of Technology), démontrant les performances d'une base spécifique, H-Store, dans un contexte transactionnel. Les auteurs de l'expérimentation estiment que des moteurs spécialisés peuvent dépasser les performances des outils actuels par un ordre de grandeur de 1 à 2. Pour eux, il faut distinguer les applications scientifiques, décisionnelles, liées à du texte, etc. et utiliser des moteurs adaptés. En d'autres termes, il faut cesser de vouloir utiliser du relationnel, et le langage SQL, à chaque fois. Dans la mesure où les couches d'abstraction entre applications et données, de type SDO, se multiplient, ces idées pourraient bien faire leur chemin sans être entravées par les habitudes de développement. En l'occurrence, les résultats de H-Store, conçu pour optimiser les transactions sur une architecture en grille, ont été mesurés à l'aide du protocole TPC-C, généralement utilisé pour évaluer les performances transactionnelles - mais aussi régulièrement décrié car il ne couvre qu'un aspect, et ne peut rendre compte de la complexité d'une exploitation normale dans une entreprise. (...)
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