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Smartphones
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(14/06/2010 17:12:39)
Y- a-t-il encore un avenir pour Windows Mobile 7 ?
Pour consulter l'intégralité de ce sujet, rendez-vous dans notre rubrique Dossiers (...)(11/06/2010 15:09:55)
L'iPhone 4 est-il prêt pour l'entreprise ?
Dans les mois qui viennent, Matt Morse, principal administrateur informatique de Varian Medical, un fabricant californien d'appareils médicaux et de logiciels pour les hôpitaux et les cliniques présent dans 60 pays, prévoit de vivre une valise à la main et de parcourir le monde dans le seul but de mettre en place l'utilisation de l'iPhone (et peut-être de l'iPad) dans son entreprise. Il va consacrer du temps à élaborer, pour l'iPhone, une stratégie qui s'inscrive dans l'infrastructure informatique existante et réponde aux exigences de sécurité et de budget. Il a même prévu de faire suivre cette mise en place par des tests pratiques. Et si tout va bien, l'an prochain, il commencera à déployer l'iPhone auprès de ses employés qui travaillent sur le terrain, en remplacement du BlackBerry. « Je pense que cette phase d'expérimentation et de validation du concept prendra au moins six mois, » a déclaré Matt Morse. « Il y a tellement de choses à apprécier dans une nouvelle plate-forme ! »
Lorsque Steve Jobs, le PDG d'Apple, a dévoilé l'iOS 4, anciennement iPhone OS 4.0, les PDG et les analystes techniques se sont réjouis des fonctionnalités que ce système d'exploitation apporterait au monde de l'entreprise. Il offre la possibilité de distribuer en interne des applications en mode sans fil, le multitâche, la protection des données pour les applications et le courrier électronique, la possibilité de réaliser les mises à jour des appareils mobiles, et le support du SSL VPN via des applications Juniper et Cisco, entre autres. Mais l'iOS 4 qui sera livré au grand public cet été ne suffira pas à ouvrir immédiatement les portes de l'entreprise à l'iPhone. Au contraire, ce ne sera que le début de la longue marche que le smartphone de la pomme va devoir entreprendre pour conquérir le monde professionnel. Et pour des spécialistes comme Matt Morse, « il reste encore beaucoup à faire. »
L'équation de la sécurité
Au cours des cinq dernières années, les salariés de Varian ont eu des BlackBerry à leur disposition pour les aider dans leur travail. En première ligne sur le terrain, aussi bien pour les ventes que pour le service, ils se sont appuyés sur le système de messagerie collaboratif Microsoft Exchange, réalisant quelques incursions dans SharePoint, Office Communicator et VoIP. Par ailleurs, grâce au logiciel propriétaire de services mobiles en ligne appelé MSO (Mobile Services Online) qu'a développé Varian, les techniciens de terrain équipés de BlackBerry peuvent se connecter en toute sécurité à leur back-office SAP. Avec MSO, ils peuvent notamment gérer les billets émis pour le service à la clientèle sans avoir à ouvrir un ordinateur portable, consulter les plannings, les ordres d'expédition, répartir les ressources, pour finalement assurer un temps de réponse « dans les 10 minutes. »
« Il y a trois ans, lorsque l'iPhone est arrivé, les cadres de Varian ont été séduits par l'interface. Et chaque année, les employés ont réclamé de plus en plus d'iPhone, » raconte Matt Morse. Avec la sortie de l'iPhone 3G, lui et son équipe ont dû officiellement assurer la prise en charge du mobile d'Apple. Aujourd'hui, chez Varian, un mobile sur trois est un iPhone. Mais aucun des techniciens travaillant sur le terrain - soit environ 1 600 dans le monde - n'est autorisé à remplacer son BlackBerry par un iPhone. Du moins, pas pour l'instant. Essentiellement parce que, pour travailler, les techniciens dépendent impérativement de MSO et celui-ci n'existe pas encore sur iPhone en raison de questions de sécurité persistantes, de fiabilité et de problèmes de gestion. « Avec EBS, le BlackBerry permet l'intégration aux systèmes de l'entreprise, et nous procure le niveau de sécurité nécessaire comme il nous permet de gérer les mobiles à distance, » explique Matt Morse. « Nous pouvons modifier nos politiques d'accès, garantir une plus grande disponibilité de service et assurer une meilleure surveillance que nous ne le pourrions avec un dispositif de type Active Sync pour l'iPhone. »
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« Mais avec ses promesses de sécurité et de fonctionnalités de gestion, iOS 4 place potentiellement l'iPhone à parité avec le BlackBerry, » estime Matt Morse. Bien sûr, il faudra attendre la sortie de la version finale pour le savoir avec certitude. « J'ai évalué une préversion du SDK, mais ici nous ne jouons pas avec les versions bêta, » a-t-il convenu. « L'iPhone 4.0 nous offre l'occasion de démarrer une véritable expérimentation des possibilités de ce matériel. » Autre facteur qui va dans le sens de ce déploiement : Varian a utilisé MobileManager de Zenprise pour effectuer la gestion des BlackBerry, qui permet aux départements informatiques d'identifier l'utilisateur de l'appareil mobile, comment il accède au réseau, et avec quelle version de l'OS il travaille. Or MobileManager de Zenprise prend désormais en charge l'iPhone.

Avant que Matt Morse ne donne le feu vert à ses techniciens sur le terrain les autorisant à utiliser le smartphone d'Apple, il devra également généraliser l'iPhone 3GS en raison de son dispositif de cryptage, la normalisation en cours sur l'iPhone 3G ne suffisant pas aux techniciens de terrain qui ont besoin d'un niveau plus élevé de sécurité.
Objectif final : des Web Apps rapides à déployer
Cependant, la sécurité et la gestion ne sont qu'une partie de l'enjeu pour le choix de l'iPhone dans l'entreprise. Ce terminal mobile propose une plate-forme très riche en matière de développement et d'architecture de services. Et Matt Morse explique qu'il doit considérer non seulement ce que l'iPhone apporte, mais aussi « ce qu'il pourra permettre de faire à l'avenir « (et si Apple et l'iPhone seront en mesure d'y faire face). « C'est une vraie question. »
Mais il n'hésite pas à s'emballer, par exemple, sur le potentiel de l'iPhone comme débouché pour les applications en ligne « Ce qui est très attractif avec les applications web, c'est leur possibilité de développement rapide et donc de mise à jour. Imaginez un logiciel MSO dynamique : les iPhone et les iPad deviendraient des rock stars en matière de solution, » assure-t-il. «Nous ne parlons pas seulement d'appareil mobile avec une technologie dotée d'une interface glamour, nous parlons d'un appareil qui permet aux gens de faire leur travail, de résoudre des problèmes, et pour lesquels nous pouvons constamment faire évoluer l'outil principal. »
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D'ici là, Matt Morse devra rencontrer les managers de terrain, les ingénieurs et les installateurs de son entreprise partout dans le monde pour apprécier dans quelle mesure un iPhone ou un iPad peuvent améliorer leur travail. Est-ce que la géo-localisation de l'iPhone permettra de mieux répartir les ressources? Est-ce que les réseaux sociaux mobiles seront plus efficaces ? Quelles sont les données que l'iPhone devra traiter ? Va t-il faciliter l'interaction avec le client ? «Il y a un nombre de choses étonnant à découvrir parce que les capacités de l'iPhone sont énormes,» dit-il. « Cela nous oblige aussi à réduire notre champ à des applications viables, et à ne pas nous laisser disperser, où nous ne réussirions jamais à réaliser ce déploiement. »
Orange Business Services optimise l'usage des mobiles en entreprise
Manager les flottes de mobiles
Dans le détail, Orange Business Services lance deux offres d'administration en mode SaaS, il s'agit d'« un service managé pour les smartphones BlackBerry ou les flottes multi-constructeurs ». que les terminaux répondent à un usage de type messagerie ou applications métiers. Cette solution permet à la DSI d'obtenir une visibilité totale du parc, de créer en temps réel des comptes utilisateurs et d'en gérer la sécurité. Les terminaux peuvent être dotés d'un mot de passe utilisateur, afin d'être protégés en cas de vol ou de perte du mobile. En pratique pour les Blackberry, un système de tunnel de protection des données est mis en place, 450 politiques de sécurité peuvent être enclenchées.
Des applications métier B2E
Pascal Ancian, directeur Mobile France chez Orange Business Services, est convaincu qu'« aujourd'hui les mobiles sont des micro-PC ultra communicants ». Face à ce constat, les entreprises doivent repenser leurs processus et leurs systèmes d'informations. Les smartphones peuvent désormais agir comme des outils à valeur ajoutée au-delà de la réduction des déplacements et de l'optimisation de la gestion du temps. A ce titre, Pascal Ancian ajoute qu' « au lieu de faire des saisies papiers, les smartphones permettent de tout synchroniser en temps réel ». Il estime le gain de temps moyen à 20 minutes par jour et par personne. Pour présenter cette solution, il donne l'exemple d'EDF Corse, qui a doté ses techniciens de PDA. Ces outils ont permis au personnel d'améliorer la prévention, la qualité d'intervention et d'acquérir une vision globale géolocalisée du territoire. Avant le déploiement de ces assistants personnels, à chaque intervention les techniciens remplissaient des questionnaires papier. Aujourd'hui, ces derniers sont dématérialisés.
Autre exemple, la société Avenance spécialisée dans la restauration d'entreprise et dans les distributeurs a adopté ce type de solution. Il suffit qu'un salarié envoie un SMS pour que les techniciens soient prévenus d'une défaillance et interviennent sur le site. Ils ont ainsi gagné en réactivité et évitent de se déplacer inutilement.
Photo : Vivek Badrinath, Directeur exécutif d'Orange Business Services
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Un autre axe est le développement de la technologie du "sans contact". Afin de la mettre au service des entreprises, Orange Business services a lancé une offre principalement pour les services à domicile. Aussi, lorsqu'un salarié arrive à destination, il passe son smartphone, doté de la technologie NFC, devant un badge qui enregistre son heure de passage. L'agenda de chaque intervenant se met ainsi automatiquement à jour et l'entreprise sait où chaque salarié se trouve. Pour l'occasion, Orange reconnaît qu'il n'existe qu'un seul mobile intégrant le NFC, le Samsung Player One, Nokia ayant stoppé cette gamme de smartphones, trouvant le marché trop restreint.
Applications B2B2C
Orange Business Services propose en parallèle la solution « Plateforme Mobile Web Edition » permettant à l'entreprise de développer elle-même son site mobile. Ainsi, un client pourra visiter un musée doté d'une telle application, il aura des informations complémentaires, lors de ses déplacements. Par ailleurs, l'ensemble de ces offres prennent place dans un contexte où la mobilité devient centrale. Alors que de plus en plus de personnes s'équipent à titre personnel desmartphones, les entreprises doivent s'adapter. Comme le précise Vivek Badrinath, « la mobilité devient un sujet stratégique pour les DSI ». Le smartphone n'est plus réservé aux seuls managers mais se démocratise à tous les niveaux, depuis les organes de direction jusqu'aux techniciens en passant par les commerciaux. Le directeur exécutif constate : « avec l'arrivée des applications, l'usage des mobilités a été modifié ».
Les salariés ont désormais accès à des applications métiers directement depuis leur terminal. Mais avec l'utilisation croissance de ces outils à des fins personnelles (24% des Français sont équipés d'un smartphone), il constate une « interpénétration des usages mobiles personnels et professionnels ». La question de la sécurité devient cruciale. Car si le PC est doté d'outils de sécurité, le mobile n'en est quant à lui qu'à ses prémisses. Dans ce contexte, les DSI doivent désormais apprendre à gérer l'hétérogénéité de leurs flottes de mobiles, garantir la sécurité et la confidentialité de leurs données, s'assurer de la disponibilité des terminaux et optimiser les coûts.
WWDC 2010 : Steve Jobs dévoile l'iPhone 4
Comme à son habitude, le mentor de la firme californienne a tenu son keynote au Moscone Center de San Francisco, où se tient jusqu'à vendredi la conférence annuelle des développeurs d'Apple, la WWDC. En revanche, la marque à la pomme n'est cette fois pas parvenue à garder secret le contenu de cette traditionnelle "keynote". Les clichés d'un prototype perdu dans un bar par un employé de la société ont en effet été diffusés dès le mois d'avril par le site Gizmodo, qui avait récupéré le terminal égaré.
Esthétiquement, l'iPhone 4 conserve l'allure épurée qui a fait recette jusque-là. En revanche, les utilisateurs remarqueront que l'appareil est plus fin que ses prédécesseurs (l'épaisseur a été réduite d'un quart), que la coque est ceinturée d'une bande métallique (celle-ci sert d'antenne), et qu'un capteur photo a fait son apparition sur la façade. Ce dernier permet d'effectuer des appels en visioconférence, mais uniquement en Wi-Fi, et entre deux iPhone 4. Le capteur photo situé à l'arrière rattrape son retard sur la concurrence (résolution de 5 mégapixels contre 3 mégapixels auparavant), et s'accompagne désormais d'un Flash LED pour photographier ou filmer dans l'obscurité. L'enregistrement vidéo passe à la HD (720p), à 30 images par seconde, et propose une application pour éditer ou retoucher ses clips (iMovie, vendue 4,99 dollars).
L'écran tactile n'a pas changé de format (diagonale de 3,5 pouces), mais Apple a nettement amélioré sa résolution, qui passe à 960 x 640 p, soit quatre fois plus de pixels que sur l'actuel iPhone 3GS. Parmi les autres améliorations, l'autonomie de la batterie affiche sur le réseau 3G jusqu'à 7 heures en conversation et 6 heures de surf sur Internet. L'accéléromètre, système qui permet à un programme de réagir aux mouvements de l'iPhone, est renforcé par un gyroscope à trois axes pour détecter encore plus de mouvements. Enfin, comme sur le Nexus One de Google, un second microphone a été ajouté pour réduire le bruit ambiant lors d'une conversation téléphonique.
Pour voir la vidéo de la présentation de l'iPhone 4 par Steve Jobs, allez à la page suivante.
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Côté logiciel, l'iPhone 4 tourne sous le système d'exploitation iPhone OS 4, rebaptisé iOS4, dont la principale nouveauté est la gestion du multitâche (possibilité de faire tourner plusieurs applications à la fois). Cette plateforme sera également proposée sur l'iPhone 3G S et les iPod Touch de dernière génération. Enfin, l'iPhone 4 profitera de l'iBookstore d'Apple, proposé jusque-là sur l'iPad. Cette application permettra d'acheter et de lire des livres électroniques, mais également des fichiers au format PDF.
L'iPhone 4 sera lancé le 24 juin prochain aux Etats-Unis, en France, en Allemagne, au Japon et au Royaume-Uni. Il sera disponible au prix de 199 dollars dans sa version de 16 Go, et 299 dollars pour la version 32 Go. Les tarifs français ne sont pas encore connus. Par ailleurs, l'arrivée de cet iPhone fera baisser le prix de l'ancien, puisque le 3GS 8 Go sera proposé au prix de 99 dollars. Une très bonne affaire pour tous ceux qui ne courent pas après la dernière nouveauté.
Steve Jobs a profité de cette présentation pour fournir quelques chiffres sur l'univers mobile d'Apple. L'App Store, qui compte 225.000 applications, a généré plus de 5 milliards de téléchargements, et l'iBookstore, riche de 60.000 titres, plus de 5 millions. A ce jour, la firme de Cupertino a écoulé plus de 100 millions d'iPhone et d'iPod Touch dans le monde.
WWDC 2010 : dans l'attente de l'iPhone V4
En début de semaine prochaine, les rumeurs n'auront plus cours si Steve Jobs annonce effectivement la quatrième génération de l'iPhone. A la différence des autres éditions, celle-ci aura été précédée par des fuites pour le moins théâtrales dans les médias en ligne. En effet, on se souvient qu'un prototype de la dernière version de l'iPhone a été oublié par un salarié d'Apple, dans un bar. Ce terminal a ensuite été récupéré par un site Internet, qui en a publié des photos, ainsi qu'un test. La firme de Cupertino a envoyé une lettre au rédacteur en chef de la publication pour récupérer son bien, prouvant par la même occasion, la propriété de ce prototype. Par ailleurs, un site vietnamien, qui a réussi lui aussi à se procurer un prototype, a montré qu'Apple utiliserait un processeur A4, comme celui de l'iPad.
En dehors de ces épisodes, plusieurs éléments concernant le système d'exploitation de l'iPhone V4 ont été dévoilés. L'OS autorisera ainsi le multitâche, très attendu par les utilisateurs. La fonctionnalité de « tethering » consiste à utiliser la connexion 3G de son mobile pour se connecter à Internet avec son ordinateur portable. La future version laissera plus de liberté pour personnaliser l'écran d'accueil de l'iPhone et gérer l'espace disponible. Des options sur la messagerie devraient aussi être annoncées.
Une caméra frontale devrait également faire son apparition. L'autonomie de la batterie serait aussi un sujet d'attention particulier.
Pour le reste, il faudra attendre la présentation de Steve Jobs...
Les terminaux mobiles sur Moorestown attendus pour 2011
Les premiers smarphones basés sur la plateforme Moorestown devraient être disponibles au premier semestre de l'année prochaine. Mais bien avant cela, on devrait avoir en main des PC tablettes exploitant cette puce qui regroupe, pour le marché des terminaux mobiles, un processeur Atom et des fonctions graphiques. C'est ce qu'a indiqué hier Anand Chandrasekher, vice-président senior et directeur général de la division Ultra Mobility d'Intel, sur le salon Computex de Taipei. Il faudra un peu plus de temps aux smartphones pour être commercialisés parce que la procédure de test qu'ils doivent subir est plus rigoureuse que pour les ordinateurs, a expliqué le dirigeant. Au passage, il n'a pas oublié de vanter les mérites de sa puce combinée qui devrait consommer moins que ses concurrentes en offrant des performances supérieures.
World of Warcraft et Avatar sur smartphone
Moorestown a été livré début mai pour les systèmes d'exploitation Android et MeeGo (projet commun entre Intel et Nokia), mais pas pour Windows. Et sur Computex, plusieurs fabricants montraient déjà des équipements basés sur cette plateforme. Pendant la conférence donnée sur Computex, Intel a ainsi fait une démonstration du jeu World of Warcraft sur un smartphone exploitant la puce. Sur le même genre de terminal, l'assistance a également pu voir défiler sans heurt un extrait vidéo haute définition en 1080p du film Avatar.
Intel estime que sa puce offre des performances graphiques deux à quatre fois supérieures à celles des processeurs concurrents pour smartphones et qu'elle est la seule capable de gérer les vidéos 1080p. La plupart des téléphones ne disposent pas d'une résolution d'écran suffisante pour supporter une véritable haute définition, mais celle-ci devrait en revanche être offerte par de nombreux tablettes PC.
Début 2011, Intel livrera une deuxième version de son processeur Atom destinée aux tablettes PC. Déclinée de Moorestown, elle portera le nom d'Oak Trail.
Les smartphones passent au double coeurs avec Qualcomm
Les Qualcomm MSM8260 et MSM8660 sont les premiers membres de la famille Snapdragon à disposer d'une architecture double coeurs. Multimode, la puce MSM8660 peut se connecter aux réseaux haut débit HSPA + (High-Speed Packet Access) ou EV-DO Rev B, tandis que le MSM8260 prend uniquement en charge la technologie HSPA +. Ces composants apportent plus de puissance de traitement aux smartphones pour notamment supporter la vidéo en 1080p et des résolutions d'écran allant jusqu'à 1280 x 800 pixels, précise le fabricant.
L'entreprise propose d'ores et déjà des échantillons de ses deux puces aux constructeurs de smartphones. Toutefois, six à huit mois sont généralement nécessaires pour passer de la phase expédition des échantillons, ou «échantillonnage» dans le jargon de l'industrie, et la production à grande échelle qui permettra à ces terminaux mobiles d'arriver sur les étals. Qualcomm travaille également sur un certain nombre d'autres puces double coeurs dont le QSD8672 cadencé à 1,5GHz et destiné aux ordinateurs de poche. (...)
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