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(14/04/2010 12:23:29)

IDF Pekin : Android sur Atom et processeurs Sandy Bridge en vue

Dans la capitale chinoise, les journées IDF (Intel Developper Forum) ont été l'occasion pour le fondeur de dévoiler quelques informations. La première concerne le portage du système d'exploitation de Google, Android, sur des smartphones équipés de processeurs Atom. Pour Renee James, responsable du groupe logiciels et services d'Intel, a expliqué « nous souhaitons assurer la compatibilité de tous les OS pour les terminaux sous Atom ». L'objectif est de concurrencer ARM, qui domine le marché des puces à destination des smartphones. Les processeurs Intel sont élaborés sur une architecture x86, alors que ceux de ARM évoluent sur RISC (reduced instruction set computer). Cette différence est importante pour la mise en place des OS. Intel est résolument offensif sur le sujet, même si lors du forum, aucune date, ni plus de détails n'ont été annoncés sur ce projet.

Des puces Sandy Bridge en orbite


Lors de l'évènement chinois, Intel est revenu sur la dernière famille de microprocesseurs, connus sous l'appellation Sandy Bridge. Ils seront mis en production à la fin de l'année 2010 et s'adresseront aux PC fixes et portables, mais pas aux serveurs, selon David Permutter, chef du groupe architecture des processeurs. Leur commercialisation est attendue au début 2011.

Cette famille de processeur a été élaborée à partir de la seconde génération de la technologie High-K metal gate produite en 32 nanomètres. Sandy Bridge intègre plusieurs coeurs, un contrôleur mémoire, un sous-système de cache et la sixième génération de circuit graphique, le tout sur une seule puce. Cette dernière embarquera les instructions Advanced Vector Extensions, une technologie qui améliore les performances de l'ordinateur en matière de traitements vidéo, photo et audio. Ces processeurs devront remplacer les Nehalem (400 millions d'unités vendues à date), qui étaient les premiers à utiliser High-K metal gate.

Intel ne se repose pas sur ses lauriers et travaille dès à présent sur une nouvelle ligne de microprocesseurs, sous le nom de code, Ivy Bridge, qui seront gravés en 22 nanomètres.

(...)

(12/04/2010 17:53:10)

Steve Jobs ne veut pas de « sous-applications » sur l'iPhone

Le patron charismatique d'Apple a pris son clavier pour répondre à un développeur de logiciel, concernant le débat sur les changements de la licence du kit de développement d'applications sur iPhone. Ces derniers impliquent notamment l'interdiction faite aux développeurs d'utiliser des applications tierces, autres que Cocoa (langage de programmation en C et C++ spécifique à Apple). Le dirigeant a répondu dans un premier temps qu'il était en phase avec l'analyse d'un bloggeur, John Grubber, qui estime que la politique d'Apple s'explique par une volonté de protection de son modèle en évitant la création de « méta-plate-forme » à disposition de tous les terminaux mobiles. A noter que ce débat intervient aussi alors qu'Adobe présente aujourd'hui sa Creative Suite 5, avec la possibilité d'émuler du Flash sur l'iPhone. Mais avec les limitations dans l'utilisation du SDK de l'OS 4 du smartphone, l'utilisation du compilateur cross plate-forme de cette suite apparaît comme compromise.

Le développeur a poursuivi sa discussion avec Steve Jobs en lui soumettant l'idée que Firefox était un contre-exemple d'une application qui s'adapte sur plusieurs plate-formes mobiles.  Le médiatico-dirigeant s'oppose à cette vision « On a déjà vu ça, au bout du compte, des couches intermédiaires entre la plate-forme et le développeur finissent par produire des standards reposant sur des sous-applications qui entravent les progrès de la plateforme ».

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(12/04/2010 16:12:54)

IPhone 4.0 est-il prêt pour les entreprises ?

Les modifications annoncées sur iPhone OS 4.0 ont déjà suscité des avis positifs de certains analystes, auparavant assez critiques quand à l'usage de l'iPhone dans l'entreprise, même si certains continuent d'exprimer des réserves quant au large déploiement du smartphone d'Apple dans les institutions publiques ou certains types d'entreprises comme les banques. « Avec l'OS 4.0, Apple se met beaucoup plus en phase avec l'usage professionnel que toutes les versions précédentes du système d'exploitation de l'iPhone, » a déclaré Ken Dulaney, analyste chez Gartner, et auparavant virulent critique du smartphone de la pomme et de son usage dans l'entreprise. « Manifestement, Apple a eu beaucoup de retours de la part des professionnels et en a tenu compte ». La firme de Cupertino a ainsi crée une page web spéciale dans laquelle elle expose en détail les mises à jour et comment elles permettent à l'iPhone de mieux s'intégrer au monde de l'entreprise.

Dans un blog, Ted Schadler, de Forrester Research, s'est également mis à vanter les améliorations apportées par la version 4.0, en faisant toutefois remarquer que les boutiques informatiques ne seront toujours pas en mesure de faire leur propre marketing, ni de proposer les mises à jour logicielles aux utilisateurs d'iPhone. Cela signifie que ceux-là devront toujours cliquer sur un bouton de mise à jour pour obtenir les dernières versions logicielles et que les revendeurs devront faire confiance aux utilisateurs pour charger la dernière version disponible. Même si Ted Schadler estime que ce n'est pas un problème majeur, Jack Gold, analyste chez J. Gold Associates, juge que cette limitation constitue un «obstacle à l'adoption de l'iPhone par les banques et les sociétés réglementées. » Ken Dulaney indique que les utilisateurs professionnels étudient encore les limites possibles de la version 4.0 de l'iPhone, précisant que la mise à jour ne pourra « être complètement évaluée qu'à partir de cet été, soit quand le matériel sera disponible. »

Même si Apple n'a pas listé dans les capacités qui pourraient intéresser les entreprises, celle de pouvoir travailler en multitâche, d'une manière quelque peu limitée, Ken Dulaney pense que cette amélioration pourrait néanmoins permettre le traitement en arrière-plan, ce qui aiderait à lever un certain nombre de limitations, notamment pour la gestion des périphériques, la sécurité et la téléphonie.

 

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(09/04/2010 15:05:10)

La fragmentation menace la cohérence de la plate-forme Android

Livré avec plus de 6 millions de téléphones portables l'an dernier, Android s'affichera sur plus de 20 millions de combinés en 2010, selon IMS Research. L'évolution rapide d'Android de la version 1.5 à 2.1 fait que l'OS existe aujourd'hui sous quatre versions différentes sur les terminaux en circulation. « La fragmentation se produit lorsque les applications écrites pour une version de  l'OS en question ne sont plus compatibles avec les autres versions du système d'exploitation, » a indiqué IMS dans un communiqué. «Typiquement, les mises à niveau se produisent à un rythme beaucoup plus lent et la fragmentation est bien contrôlé,» a déclaré Chris Schreck, l'analyste d'IMS. Selon lui, la fragmentation est un sujet de préoccupation pour les développeurs, car ils doivent différencier les souches de l'OS, modifier les codes de chaque souche, et s'assurer que l'utilisateur obtient la version appropriée d'un programme. Des modalités jugées peu pratiques par de nombreux développeurs. Apple, au contraire, ne propose qu'une seule mise à jour majeure par an pour son iPhone OS, avant l'été généralement.

De plus, « les différences entre les souches de l'OS limitent le marché potentiel d'une application, » commente IMS. La question de la fragmentation s'étend même au-delà des développeurs puisqu'elle concerne aussi les distributeurs de téléphones mobiles et les opérateurs réseaux pour lesquels le coût du support technique d'un système d'exploitation augmente avec la multiplicité des versions à prendre en charge. « La maturation continue d'Android ralentit le rythme des mises à jour importantes de la plate-forme, » a ajouté IMS. Mais certains pensent que Google va retirer aux opérateurs de réseau mobile l'exclusivité des mises à jour logicielles, et permettre aux utilisateurs de mettre à niveau leurs matériels directement à partir de sa base Android Marketplace. « Reste à voir comment de tels changements peuvent freiner la fragmentation d'Android, » a fait remarquer IMS.

Cependant, une autre question semble avoir échappé aux observateurs : la licence Apache utilisée pour distribuer Android n'oblige pas les contributeurs à envoyer les modifications réalisées sur la plate-forme à Google. « Cela peut encourager l'innovation, mais c'est aussi la recette pour créer davantage de fragmentation, » a déclaré IMS. Et si les analystes prévoient une forte croissance d'Android en parts de marché, Google doit, selon eux, s'employer à gérer la fragmentation au risque cette fois de voir d'autres OS, comme Symbian ou LiMo, devenir des alternatives open source plus attractives. (...)

(09/04/2010 10:14:30)

ZTE aurait livré 60 millions de terminaux sans fil en 2009

C'est une croissance de 30% par rapport à 2008 qu'annonce le chinois ZTE dans les terminaux sans fil, téléphones mobiles, data cards ou clés USB. Il annonce avoir livré 60 millions de terminaux sans fil en 2009. Les livraisons totales se sont réparties en 40 millions de téléphones et 20 millions de data cards. Enthousiaste, ZTE parle de « croissance exceptionnelle. » Bizarrement, l'équipementier chinois s'appuie sur les chiffres de l'institut iSuppli, pour indiquer qu'il a livré 60 millions de terminaux, comme si l'institut pouvait être plus juste que lui-même sur cette comptabilité. ZTE doit bien savoir combien de terminaux il a vendu ?

Signe de l'internationalisation réussie du chinois, ZTE souligne que 70% de toutes ses livraisons ont été effectuées à l'international. Pour ZTE, les trois marchés clés de son internalisation sont l'Europe, les Etats-Unis et le Japon.  L'équipementier cite Orange comme client stratégique ainsi que T-Mobile, Verizon, Telefonica, H3G, Telenor, TIM ou encore Sprint.  Des opérateurs historiques qui ont cédé à son charme asiatique. Selon ZTE, les gammes de produits livrées couvrent un spectre allant des terminaux haut de gamme aux produits personnalisés, en passant par des appareils d'entrée de gamme économiques.

Photo : He Shiyou, Executive Vice President de ZTE. (D.R)

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Ce sont  l'Europe et l'Amérique du Nord qui ont été les plus sensibles à ses arguments avec 40 millions d'unités livrées. ZTE est le fournisseur de smartphones en tête des ventes au Portugal avec le Bluebelt. A noter également que le ZTE X760 a été vendu, à lui seul, à 1,5 million d'unités en Europe. Les activités "data cards" de ZTE ont quant à elles étaient multipliées par trois en 2009, avec 20 millions d'unités livrées. ZTE annonce avoir mis en service ses data cards auprès de 240 opérateurs, dans 106 pays différents.

Satisfecit nationaliste, ZTE souligne que - toujours selon iSuppli - les fournisseurs chinois (comprendre Huawei et lui-même) possèdent plus de 80% du marché mondial des data cards. Et de compléter que ZTE en possède lui-même 35%, dont 40% du marché national chinois (faisant implicitement de Huawei le numéro 1 du secteur). « 70% des terminaux livrés par ZTE en 2009 étaient à destination des marchés globaux, ce qui nous a aidés à devenir le 5ème fabricant mondial de combinés » se félicite He Shiyou, Executive Vice President de ZTE.

Les fabricants européens ou américains doivent continuer de s'inquiéter car il affirme : «  Afin de répondre aux besoins de tous les utilisateurs, notre société reste engagée pour 2010 dans un objectif de forte croissance sur l'ensemble de ses gammes en appliquant une stratégie globale de coopération sur les marchés européen et américain. »

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