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Smartphones

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(04/11/2009 17:10:19)

Sybase ouvre sa base et son administration à l'iPhone

Sybase étend sa plateforme de gestion de terminaux mobiles Afaria et sa base de données à l'iPhone d'Apple. L'éditeur américain s'adapte à la mouture 3.1 d'iPhone OS pour donner aux directions informatiques l'accès à davantage de moyens de contrôle et de fonctions diverses sur le smartphone. Avec ses fonctions multimédia, l'iPhone a d'abord été prisé par le grand public, puis il a petit à petit gagné du terrain en entreprise. La solution Sybase Afaria 6.5, commercialisée mi-novembre, permet de disposer des mêmes fonctions d'administration que celles déjà déployées sur les plateformes Blackberry, Palm OS, Symbian, ou Windows Mobile. Des échanges sécurisés avec le parc de terminaux « La mise à jour 3.1 d'iPhone OS permet de verrouiller certains paramètres, sans que l'utilisateur puisse les modifier », explique Mark Jordan, chef de produit sénior pour Afaria. Désormais, les entreprises exploitant la console d'administration peuvent bloquer des applications, définir des mots de passe efficaces et verrouiller les paramètres Wifi et VPN (réseau privé virtuel). Les responsables informatiques peuvent désormais établir des connexions sécurisées avec leur parc de terminaux mobiles en utilisant un certificat. Les flottes nomades sont ainsi gérées à distance en fonction des services, des métiers ou d'autres critères. Parmi les fonctions supportées par Sybase, on trouve notamment l'authentification de l'appareil pour accéder à des répertoires de l'entreprise ou établir des rapports de conformité quant à l'utilisation qui est faire du terminal par l'employé. Synchronisation avec les SGBD du marché L'éditeur a également annoncé des outils de synchronisation pour son SGBD SQL entre l'iPhone et une base de données. En utilisant SQL Anywhere, les développeurs et les éditeurs de logiciels peuvent synchroniser les SGBD Sybase, mais aussi Oracle, SQL Server de Microsoft, DB2 d'IBM et MySQL (Open Source) avec des applications installées sur l'iPhone. De cette manière, les employés ne dépendent plus de leur connexion mobile pour mener à bien leurs tâches en situation nomade. Un programme de test en bêta est déjà disponible pour Anywhere sur iPhone. La filiale Sybase 365 a également dévoilé un système clé en main de gestion bancaire sur l'iPhone. Avec cette solution mobile, si les banques le permettent, leurs clients peuvent vérifier l'état de leur compte, transférer des fonds, communiquer de façon sécurisée avec des employés bancaires, dialoguer automatiquement avec la banque, etc. La plate-forme Sybase mBanking 365 iPhone est désormais disponible et est déjà déployée par le réseau bancaire BBVA Compass avec la solution BBVA Mobile Compass. (...)

(04/11/2009 15:47:36)

Orange et Apple mettent fin à leur accord d'exclusivité

Apple et Orange renoncent à vendre l'iPhone sous exclusivité sur le marché français, a annoncé mardi 3 novembre l'Autorité de la concurrence, qui avait déjà cassé, en décembre 2008, le contrat d'exclusivité détenu par Orange sur la distribution du fameux smartphone. "Apple s'engage à ne pas consentir à des opérateurs de téléphonie mobile français (...) d'exclusivités opérateur ou de grossiste pour la distribution sur le territoire français des modèles actuels et futurs d'iPhone, à l'exception d'exclusivités portant sur des modèles futurs d'iPhone et dont la durée ne serait pas supérieure à trois mois". En clair, plus aucun opérateur ne pourra distribuer l'iPhone sous exclusivité longue durée. En revanche, les opérateurs pourront vendre les prochains modèles de l'appareil sous exclusivité de trois mois maximum. (...)

(04/11/2009 15:38:35)

Marché des smartphones : hausse des ventes de 4%

Au troisième trimestre 2009, les ventes mondiales de smartphones ont augmenté de près de 4% par rapport à la même période en 2008, selon une étude publiée par le cabinet Canalys. Cette croissance demeure toutefois moins importante que celles constatées avant la crise. Au total, il s'est vendu près de 41,4 millions de smartphones dans le monde au troisième trimestre, contre 39,85 millions un an plus tôt. Cette hausse a été essentiellement soutenue par les régions Asie/Pacifique (+26,3%) et Amérique du Nord (+4,7%), qui compensent la baisse sur les marchés EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique) où les ventes ont reculé de 5,8% en un an. Un classement stable Le fabricant finlandais Nokia demeure le premier vendeur de smartphones au monde avec pas moins de 16,4 millions d'unités écoulés en trois mois, contre 15,5 millions au troisième trimestre 2008. Actuellement, près de quatre smartphones vendus sur dix sont de marque Nokia. La société canadienne Research In Motion, qui commercialise les BlackBerry, conforte sa deuxième place du classement avec 20,6% de parts de marché. En l'espace d'un an, les ventes de BlackBerry ont augmenté de 40,8%, selon Canalys. Apple, avec son iPhone, arrive troisième. La firme à la pomme a écoulé 7,36 millions d'appareils sur la période, soit 6,7% de plus qu'au troisième trimestre de l'année dernière. Suivent HTC (-5,6%) et Fujitsu (+27,5%). Côté tendances, ce sont les smartphones à écran tactile qui ont la cote. La part de ces appareils représente 45% des ventes mondiales, contre 31% il y a un an. Toutefois, dans une autre étude publiée le 2 novembre, Canalys révèle que les fabricants ont encore des progrès à faire en matière de tactile. Parmi 3.000 utilisateurs de smartphones tactiles interrogés (en France, Allemagne et Royaume-Uni), seulement 47% indiquent qu'ils choisiront à l'avenir un téléphone présentant la même interface tactile. HTC et Apple étant cependant les mieux notés par leurs utilisateurs. (...)

(04/11/2009 10:58:29)

Smartphones, un marché qui fascine les constructeurs de PC

Hormis Apple, qui fait figure d'exception, on ne trouve aucun fabricant issu de l'univers de la micro-informatique dans le Top 5 mondial des fournisseurs de smartphones établi par Gartner. Et pour cause, la part de marché cumulée des constructeurs d'ordinateurs n'atteint même pas 1% sur ce segment du marché de la téléphonie mobile. Ceux-ci doivent désormais agir vite pour être en position de capter une partie des revenus de plus en plus juteux tirés de la vente de ces téléphones hyperévolués. Ce qui leur permettrait, de surcroît, de compenser la chute des ventes de leurs PC portables. 2009 est en effet une année charnière. A la fin décembre, les ventes mondiales de smartphones devraient atteindre 180 millions d'unités et dépasser pour la première fois celles des notebook grand public. En 2012, l'écart se sera d'avantage creusé avec un marché des smartphones où les ventes atteindront 191 Md$ contre 152 Md$ sur celui des PC portables. Un retard dont les causes sont parfois culturelles Si l'on peut reprocher aux fabricants de PC d'avoir mis du temps à sentir le vent tourner, ils prennent aujourd'hui le problème à bras le corps. Au début de l'année, le taiwanais Acer a ainsi lancé ses premiers modèles et créée pour l'occasion la division dédiée Smart Handheld Business Group. En 2010, Dell devrait entamer la commercialisation de son Mini 3i aux Etats-Unis après l'avoir lancé en Chine. De leur côté, des fabricants comme Samsung et LG, qui bénéficient déjà d'une bonne position sur le segment des téléphones mobiles, ont récemment lancé de nouveaux modèles de smartphones. Ils ne ne disposaient que d'un catalogue limité dans ce domaine. « La volonté de LG a toujours été d'aborder le marché de la téléphonie mobile sous l'angle du mass market, explique Julien Le Tourneur, chef produits chez LG France. Or, à l'origine, les smartphones constituaient une gamme de produits destinés aux professionnels. Leur démocratisation nous amène aujourd'hui à nous focaliser d'avantage dessus ». Pour Jean-Daniel Beurnier, le PDG du distributeur Avenir Telecom, le retard pris par les fabricants issus du monde du PC pour se positionner sur celui des smartphones tient aussi à des raisons culturelles : « Dans le monde de la téléphonie mobile, le modèle de commercialisation est totalement différent de celui de l'informatique. Le premier fonctionne sur la base d'un réseau sponsorisé par les opérateurs. Ce sont eux qui imposent leur vision des choses, jusque dans la conception des produits, et pas les constructeurs. Dans le domaine de l'informatique, personne n'impose à un fabricant de PC une personnalisation aussi poussée de ses produits ». Android : une des meilleures opportunités pour les acteurs du PC Aujourd'hui, les acteurs de l'informatique ont globalement appris de leurs erreurs. De fait, ils se trouvent aujourd'hui en position de se faire un nom sur le segment des smartphones. Notamment parce que ce marché connaît aujourd'hui des transformations importante «Dans nos métiers, nous n'avions encore jamais connu une offre aussi pléthorique en termes de produits, de form factors et de systèmes d'exploitation », confirme Jean-Daniel Beurnier. Or, c'est peut-être leur habitude d'intégrer des OS dans leur matériels qui constitue le meilleur atout des fabricants de PC pour prendre des parts de marché à certains acteurs historiques de la téléphonie mobile. Arrivée sur le marché depuis peu, Android, l'OS pour mobile de Google, fait déjà beaucoup parler de lui. Il ne se passe pas une semaine sans qu'un fabricant annonce la sortie d'un smartphone embarquant ce système d'exploitation. Certains pourraient pourtant ne jamais faire ce type d'annonce ou pas avant longtemps. Par exemple Nokia, le numéro un du marché. Il serait en effet risqué pour le constructeur finlandais de ne plus privilégier ses OS propriétaire (des variantes de Symbian), au risque de perdre la bataille des applications qui se joue entre les constructeur de smartphones. La démarche serait également difficile pour RIM qui a besoin d'équiper ses matériels de son OS mobile pour offrir des services de push mail à travers ses serveurs de synchronisation avec les messageries. Avec l'intensification de la concurrence sur le segment des smartphones induite par l'arrivée de fabricants de PC, les prix élevés de ces matériels pourraient baisser. La standardisation des composants et le phénomène Android devraient également contribuer à ce phénomène. Alors même que cette première bataille commence, on sait déjà que la prochaine se jouera sur le terrains des services générés par les smartphones. (...)

(03/11/2009 11:32:20)

Terminaux mobiles, le marché se redresse aux 2ème et 3ème trimestres

Jusqu'alors les études de marché raisonnaient essentiellement d'une année à l'autre, comparant tel trimestre ou semestre au même trimestre ou semestre de l'année précédente. Avec la crise, les études scrutent également de près l'évolution dite « séquentielle », d'un trimestre au trimestre directement précédent. C'est ainsi que, pour les ventes mondiales de téléphones mobiles, le Gartner observe deux phénomènes antagonistes. Entre le 3ème trimestre 2009 et le 3ème trimestre 2008, ces ventes ont baissé de 6% (à 287,1 millions d'exemplaires). En revanche, entre le 2ème trimestre 2009 et le 3ème trimestre 2009, elles progressent de 5,6%. Ce dernier chiffre représente 'le premier signe d'une reprise depuis le début de la crise économique », selon Ramon Llamas, analyste sénior au cabinet IDC. Il a observé que des canaux de distribution proposaient des mobiles anciens à des prix très bas de manière à stimuler les ventes. Ces mêmes canaux prépareraient un quatrième trimestre offensif afin de saisir une demande qualifiée par IDC de « refoulée ». En Europe, cette tendance à la reprise se confirme avec, « pour la première fois cette année une reprise aussi bien des téléphones traditionnels que des PDA, l'érosion des prix sur ces deux segments, et la vitalité des offres de Samsung et LG en milieu de gamme, ont contribué à stimuler le marché » analyse IDC. Spectaculaire progression de LG Concernant le « top 5 » des fabricants (Nokia, Samsung, LG, Sony-Ericsson, Motorola), le verdict est des plus intéressant. Nokia confirme sa méforme. Le leader obtient 37,8% de parts de marché (avec 108,5 millions d'unités vendues au 3ème trimestre 2009), contre 38,6 un an auparavant, une baisse de 8% (en nombre d'unités vendues). En revenus, Nokia perd 20% selon le Gartner. Derrière, les places d'honneur vont à deux compétiteurs en très grande forme. Le n°2, Samsung, affiche 15,9% de hausse de ses ventes, il compte désormais 21% de parts de marché (60,2 millions d'unités vendues), contre 17% un an auparavant. Plus spectaculaire, LG Electronics progresse de 37,4% avec 31,6 millions d'unités vendues. Le coréen représente 11% de parts de marché contre 7,5% un an auparavant. LG a pris la 3ème place du classement mondial à Sony Ericsson, auteur d'une belle dégringolade. Sony Ericsson affiche en effet -45,2% de ventes, avec14,1 millions d'unités vendues, contre 25,7 un an auparavant. Il passe de 8,4% à 4,9% de parts de marché. Motorola ferme la marche, lui aussi affiche une chute vertigineuse avec -46,4% de parts de marché, 13,6 millions d'unités vendues contre 25,4. Ensemble, les autres fabricants représentent à peine plus de 20% du marché, en léger recul de 3,9%. (...)

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