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Smartphones

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(30/06/2009 12:04:42)
Saint-Denis ne veut plus d'antennes-relais, ou alors moins puissantes
La conférence participative parisienne sur les ondes électromagnétiques, consécutive au Grenelle des antennes, semble, à travers ses résultats, avoir fait des émules. A l'issue du conseil municipal du 25 juin, la commune francilienne Saint-Denis s'est ainsi opposée à toute implantation sur son territoire de nouvelles antennes-relais dont le seuil d'exposition dépasserait 0,6 volt/mètre. Ce seuil avait été retenu comme une limite maximum par les treize Parisiens composant le jury citoyen « ondes, santé, société » et, avant eux, était préconisé par plusieurs associations à l'occasion du Grenelle des antennes. La Ville de Paris, qui autorise actuellement les opérateurs à émettre jusqu'à 2 V/m, prévoit d'ores et déjà des tests afin que soit abaissée cette limite. Au-delà de Saint-Denis, qui évoque une « exigence de santé publique », d'autres municipalités, comme Courbevoie et Pau, ont en effet décidé d'expérimenter l'abaissement du seuil d'exposition. « Ce qui vaut pour Paris vaut également pour la banlieue », a confié à l'AFP Michel Ribay, l'adjoint au Maire de Saint-Denis chargé de l'Ecologie, pour expliquer la volonté de la cité voisine de la capitale. Par ailleurs, en plus d'interdire l'implantation de nouvelles antennes-relais, la ville mène des expérimentations visant à abaisser le seuil d'exposition des installations déjà en place. Sans qu'aucune vérité scientifique n'ait, pour l'heure, permis d'établir avec certitude le niveau au-delà duquel les ondes électro-magnétiques présentent un danger, le principe de précaution semble faire son chemin et séduit de plus en plus de communes. (...)
(22/06/2009 16:49:43)Un jury de Parisiens plaide pour abaisser le seuil d'exposition aux ondes électromagnétiques
Un panel de Parisiens mandaté par la municipalité pour apporter un point de vue indépendant sur les questions relatives aux ondes électromagnétiques plaide pour une application large du principe de précaution. Imaginée en mars, cette conférence participative a réuni treize habitants de la capitale qui, après avoir été formés, ont remis leurs conclusions dans un rapport « ondes, santé, société ». Outre des remarques de bon sens sur une utilisation citoyenne des téléphones portables (limiter l'usage dans les transports en commun pour développer le « savoir-vivre ensemble », par exemple), c'est sur le terrain de l'émission des ondes que les réflexions des membres du « jury citoyen » sont les plus intéressantes. Ils préconisent ainsi, comme plusieurs associations l'avaient fait à l'occasion du Grenelle des antennes, « d'optimiser le réseau (technologie et implantation) pour atteindre un seuil de 0,6 volt/mètre », contre 2 V/m comme l'autorise la charte « antennes-relais » signée en 2005 par la Ville de Paris et les opérateurs. Soulignons que l'abaissement de ce seuil est d'ores et déjà expérimenté par plusieurs villes de l'Hexagone (dont Courbevoie et Pau), comme les conclusions du Grenelle des antennes les y ont autorisées. Les treize Parisiens consultés reconnaissent, certes, qu'il « n'y a pas de certitude au niveau de la santé » et que « le risque zéro n'existe pas ». Mais leur recommandation, qui se calque sur le seuil adopté par d'autres villes, « permettrait de réconcilier opérateurs, citoyens et associations ». Interrogée sur cette proposition par nos confrères du Parisien, Anne Hidalgo, première adjointe de Bertrand Delanoë, indique que des tests seront mis en place prochainement pour juger de la pertinence de ce niveau d'exposition. Le WiFi dans les bibliothèques à nouveau montré du doigt Dans un souci de faire de Paris « une ville numérique responsable », les Parisiens suggèrent, plus généralement, de modérer l'émission d'ondes, qu'elles émanent des équipements de téléphonie mobile ou de ceux liés à l'Internet sans fil. Ainsi, ils recommandent de substituer au WiFi une liaison filaire dans tous les bâtiments publics (administrations, bibliothèques, écoles, hôpitaux) ou, lorsque cela est impossible (par exemple dans les jardins publics), d'éloigner les sources des espaces destinés à accueillir les enfants. L'idée de remiser le WiFi au placard séduira à n'en pas douter certains employés municipaux, qui s'étaient battus pendant plusieurs mois pour que soient débranchés les points d'accès dans les bibliothèques. En arguant de troubles sanitaires, ils avaient obtenu le débranchement des installations en 2007 avant que la Ville ne décide, en octobre 2008, de les remettre en service. Sur ce sujet, Anne Hidalgo fait montre de moins d'enthousiasme qu'en ce qui concerne l'abaissement du seuil d'exposition à 0,6 V/m. « C'est une recommandation de bon sens. Nous examinerons les situations au cas par cas. Les discussions avec les opérateurs reprendront à la rentrée pour mettre au point une nouvelle charte d'ici à la fin de l'année », élude-t-elle. Enfin, le jury citoyen plaide pour une non implantation d'antennes relais près des établissements scolaires et la proscription de l'utilisation de téléphones mobiles dans ces mêmes établissements par les enfants (jusqu'au collège). Des mesures proches de celles avancées par la ministre de la Santé lors de l'ouverture du Grenelle des antennes, au mois d'avril. (...)
(22/06/2009 12:45:52)Bon trimestre pour RIM qui, craignant la concurrence, intensifie sa R&D
RIM (Research in Motion), l'inventeur du Blackberry, a clos fin mai son premier trimestre fiscal 2009 sur un CA en hausse de 52% à 3,4 Md$ et un bénéfice net en progression de 33% à 643 M$. Au cours de ces trois mois, RIM a augmenté de 72% son budget de R&D, à 219 M$, d'où un résultat opérationnel en faible hausse de 7%, à 690 M$. La marge brute s'établit à 43%. Au cours de ce trimestre, la société n'a enregistré que 3,8 millions de nouveaux abonnés, soit moins que les 3,9 millions du trimestre précédent. Au total, RIM revendique 28,5 millions d'abonnés. Difficile d'attribuer ce fléchissement de croissance séquentiel, le premier depuis trois ans, à la conjoncture économique ou au durcissement de la concurrence sur le marché des smartphones. En relançant sa R&D, RIM montre en tout cas qu'il prend très au sérieux la menace de ses concurrents. Lorsque l'on est crédité par IDC de plus de 55% du marché américain des smarthones, on doit prendre au sérieux l'arrivée du iPhone 3G d'Apple et le Pre de Palm. RIM a livré 7,8 millions d'unités au cours de ce trimestre, autant qu'au cours du précédent trimestre. Avec plus de 80% du CA, cette activité domine largement le service (13% du CA) et le logiciel (4%). Au prochain trimestre, les boursiers attendent de RIM qu'il écoule entre 8,1 et 8,7 millions d'unités et recrute entre 3,8 et 4,1 millions de nouveaux abonnés. (...)
(11/06/2009 17:17:29)Père du Palm Pre et de l'iPod, Jon Rubinstein devient patron de Palm
Jon Rubinstein devient l'homme fort de Palm en succédant à Ed Colligan en tant que PDG (CEO). Ce transfuge d'Apple avait été nommé président du conseil d'administration en 2007 en arrivant dans les valises du fonds d'investissement Elevation Partners qui prit 25% du capital de la société à cette époque. Pour l'anecdote, Bono, chanteur du groupe de rock U2, siège au comité exécutif de ce fonds d'investissement. En deux ans, Jon Rubinstein a remis Palm sur les rails du succès. Lui qui a pris part à la naissance de l'iPod quand il était chez Apple est considéré comme le "père" du téléphone mobile intelligent Palm Pre, qui apparaît actuellement comme le meilleur concurrent de l'iPhone (et sa plus fidèle imitation...). Cet appareil utilise un nouvel OS tactile maison basé sur Linux, le WebOS, qui exploite la puissance du SoC (System on a Chip) OMAP 3430 de Texas Instruments. Ce composant regroupe autour d'un ARM Cortex A8, un composant graphique PowerVR SGX 530 d'Imagination Technologies (ex-VideoLogic) et un processeur de signal C64x maison. Palm, une histoire mouvementée Palm est une société miraculée. Née en 1992 sous le nom de Palm Computing avec le lancement de l'assistant personnel Palm Pilot, elle a été achetée en 1995 par US Robotics qui fut à son tour absorbée par 3Com en 1997. Dans la foulée, tous les fondateurs, à l'exception d'Ed Colligan, ont quitté leur société pour fonder Handspring et lancer le Treo (sous Windows Mobile). 3Com rendit sa liberté à Palm en l'introduisant en bourse en 2000. Boudé par des utilisateurs qui délaissaient leur assistant personnel pour des GSM intelligents comme le Blackberry, Palm s'est alors séparé de son activité de développement d'OS en créant PalmSource. En 2006, la société a été rachetée par Access qui commercialisa Garnet OS, devenu Acces Linus Platform. En 2003, Handspring a réintégré le giron de Palm et a permis à la société d'exister sur le marché des GSM intelligent avec la gamme Treo. Un moyen de tenir jusqu'à l'arrivée aujourd'hui du Palm Pre. (...)
(09/06/2009 16:39:27)WWDC : Apple dévoile son iPhone 3GS
Parmi les critiques suscitées par les deux premières générations de l'iPhone, citons l'absence de fonction vidéo. Avec ce nouveau modèle, Apple opére une sérieuse remise à niveau en dotant l'iPhone 3GS d'un capteur de trois millions de pixels capable d'enregistrer aussi bien des photos que des vidéos. La marque à la pomme fait par ailleurs un net effort de prix en proposant un modèle d'entrée de gamme, de 16 Go, à seulement 199 dollars.
Grâce à ce capteur épaulé par la fonction "tap to focus", l'utilisateur n'a qu'à appuyer sur l'écran tactile de l'iPhone pour que ce dernier fasse un réglage focal sur un objet ou une personne. A cette fonction, Apple ajoute celle du MMS. Il suffira de filmer sa vidéo et ensuite de l'envoyer par mail, MMS ou encore de la poster sur Youtube ou MobileMe.
Pour que cet iPhone assure une autonomie décente, Apple lui intègre une batterie plus performante. Côté système, le 3GS est annoncé comme deux fois plus véloce que la dernière génération 3G. Il est censé offrir une navigation sur Internet et un lancement des applications plus rapides. A cela s'ajoute, un affichage 3D amélioré avec l'adoption du standard OpenGL ES 2.0.
Autre fonction accordée à ce nouveau modèle, la commande vocale. Depuis le micro intégré ou le kit piéton, l'utilisateur peut commander vocalement son iPhone et sa partie iPod, pour composer un numéro de téléphone ou lancer la lecture d'un morceau de musique. En ce qui concerne son système d'exploitation, l'iPhone 3GS intègre la version 3.0 de l'OS maison qui assure notamment l'indispensable "Couper-Coller". Cet OS devrait proposer plus de 100 nouvelles applications.
Question tarifs, pas de miracle. Apple a certes fait un effort modeste mais la version 16 Go sera facturée 199 dollars et la 32 Go coutera 299 dollars. Sa date de commercialisation en France est prévue pour le 19 juin. (...)
WWDC : Apple harmonise sa gamme MacBook Pro
Les inconditionnels d'Apple qui attendaient le retour aux affaires de Steve Jobs hier, lors de la WWDC (Worldwide developers conference), devront encore ronger leur frein. Le charismatique patron du constructeur n'a pas pris part à l'événement, laissant à Phil Schiller, le vice-président en charge du marketing, le soin de présenter les nouveaux MacBook Pro et l'iPhone 3G S.
Plus rapidement que prévu, Apple uniformise sa gamme MacBook Pro en y intégrant le modèle de 13' en aluminium, dit unibody, jusqu'alors dépourvu de la mention 'Pro'. La famille compte donc désormais trois membres : 13', 15' et 17'. Ces machines sont équipées d'une même batterie lithium polymère, présentée comme offrant une autonomie de 40% supérieure et une durée de vie trois fois plus élevée (avec mille cycles de charge) que celles des accumulateurs livrés jusqu'alors. Selon Apple, ces batteries permettent de faire fonctionner les MacBook pendant 7 heures (8 heures pour le modèle 17'). Revers de la médaille, comme cela était le cas sur les MacBook Air, les batteries sont désormais intégrées, donc inamovibles. Autres points communs aux représentants de la gamme MacBook Pro, le clavier rétro-éclairé est désormais généralisé et l'écran LED est amélioré, voyant son espace colorimétrique (gamut) augmenter de 60%. Les aficionados d'Apple apprécieront sans aucun doute le retour du port Firewire 800 sur tous les modèles, après une disparition décriée à la fin de l'année dernière. Enfin, les 13' et 15' héritent d'un lecteur de cartes SDHC, qui vient remplacer le port ExpressCard. Les deux emplacements continuent néanmoins de cohabiter sur les MacBook Pro 17'.
Les configurations proposées par Apple bénéficient, elles aussi, d'une mise à jour. Ainsi, le MacBook Pro 13' (2,04 kg) est proposé avec un Core 2 Duo cadencé à 2,26 GHz ou 2,53 GHz : la première version est accompagnée de 2 Go de DDR3, d'un disque dur de 160 Go et d'une GeForce 9400M ; la déclinaison supérieure reçoit 4 Go de RAM et un espace de stockage porté à 250 Go. Des améliorations qui s'accompagnent d'une baisse des prix : livré avec son CPU à 2,26 GHz, la machine est vendue 1149 €, soit 50 € de moins que le 13' unibody ; il faudra débourser 1399 € pour la version 2,53 GHz (-100 €).
Du côté des MacBook Pro 15' (2,49 kg), tous sont fournis avec 4 Go de mémoire vive et une GeForce 9400M. Celle-ci reçoit le renfort d'une seconde carte graphique, GeForce 9600, sur les trois déclinaisons les plus haut de gamme de la famille 15'. Quatre processeurs sont proposés, de 2,53 GHz à 3,06 GHz, et la capacité de stockage varie de 250 Go à 500 Go. Il est également possible d'opter pour un SSD de 128 Go ou de 256 Go, moyennant un supplément de 180 € ou 585 €. Pour ces modèles de 15' comme pour ceux de 13', les prix ont été révisés à la baisse : il faut compter entre 1599 € et 2369 € pour en devenir propriétaire, le prix d'appel perdant ainsi 200 € par rapport aux précédents MacBook 15'.
Le modèle doté d'un écran de 17' (2,99 kg), le fleuron de la gamme, peut être livré avec un processeur cadencé à 2,8 GHz ou 3,06 GHz. Par défaut, il intègre 4 Go de DDR3 (extensible à 8 Go contre un surcoût de 900 €), un disque dur de 500 Go et le couple GeForce 9400+9600. Vendu 2299 €, il voit son prix fondre de 200 €.
Enfin, le MacBook Air (1,36 kg) subit de légères modifications, qui touchent essentiellement à son prix. La version équipée d'un CPU à 1,86 GHz, de 2 Go RAM et d'un disque dur de 120 Go est vendue 1400 €. Celle livrée avec un processeur à 2,13 GHz et un SSD de 128 Go coûte 1700 €.
A côté de ces machines, Apple a également présenté son nouveau système d'exploitation, Mac OS X SnowLeopard , et l'iPhone 3G S ainsi que iPhone OS 3.0. (...)
Futur en Seine passe Paris en numérique pendant toute une semaine
Urbadeus, Le Cube (Issy-les-Moulineaux) Spécialement conçu à l'occasion de la première de "Futur en Seine", Urbadeus entraînera les visiteurs dans une exploration du territoire d'Issy-les-Moulineaux axée sur les thèmes de l'urbanisme et du partage. Muni de leur téléphone mobile, les participants seront invités à enregistrer un parcours numérique via des photos, vidéos et autres sons, capturés au fil de leur cheminement. Toutes ces données seront alors intégrées en temps réel sur une maquette 3D de la ville qui sera diffusée sur écran géant au Cube. Une soirée "Rencontre" sera organisée pour l'occasion, mardi 2 juin. Parcours en accès libre du 30 mai au 6 juin. La Montre verte Futur en Seine n'a pas non plus oublié le green IT et les capacités des TIC à équiper la ville pour la rendre durable. Un des exemples phare est la montre verte dont l'objectif est d'équiper tout un chacun avec des capteurs pour multiplier les mesures environnementales (Paris ne compte par exemple qu'une dizaine de capteurs pour sa qualité de l'air !). Cette montre écolo est équipée d'un capteur pour l'ozone et d'un autre pour le bruit, d'une puce GPS et d'une puce Bluetooth. Elle embarque aussi une application java développée par SFR, pour visualiser les niveaux de bruit et d'ozone mesurés qu'elle transmet à intervalles réguliers via le téléphone mobile de son heureux propriétaire à la plateforme Citypulse. Pour Futur en Seine, des collégiens et lycéens de Montreuil, des chercheurs de la Cité des sciences et les visiteurs de la wikiplaza (place de la Bastille) pourront tester quelques prototypes. Les données qu'ils auront récoltées donneront naissance à des cartographies consultables en ligne sur le site LaMontreVerte.org. Imaginé dans le cadre du programme Villes 2.0 de la Fing (Fédération Internet nouvelle génération), la « montre verte » est l'un des 16 prototypes lauréats de l'appel à projet du pôle de compétitivité parisien Cap Digital et financé par la Région Île-de-France. Télescope de réalité augmentée, Arc de triomphe Planté sur les hauteurs de l'Arc de triomphe, le "Télescope de réalité augmentée" permettra à tous d'observer la capitale parisienne sous un nouveau jour. Le dispositif traîte en temps réel les images capturées via une caméra afin d'apporter différents niveaux de lecture et d'interprétation du paysage. Ainsi, tout objet observé sera immédiatement enrichi d'éléments graphiques et textuels. Les visiteurs seront donc invités à découvrir les monuments et rues de Paris dans leurs moindres détails avec des commentaires tels que la date de construction, le nom de l'architecte, la hauteur, ...). Avec le "Télescope de réalité augmentée", il permettra également de se déplacer dans le temps pour découvrir les éléments disparus d'un paysage ou les projets de construction futurs. Paris en 3D, Le pavillon de l'Arsenal Après le lancement officiel de son service "Vue du Ciel" sur la Toile début mai, PagesJaunes présentera ses dernières innovations en matière de modélisation 3D en compagnie du groupe Archivideos. Les deux sociétés dévoileront au grand public trois de leurs dernières créations au Pavillon de l'Arsenal, les 30 et 31 mai. Les visiteurs seront notamment invités (re)découvrir Paris en 3D au travers d'un grand écran tactile, un film HD en relief ou encore une borne interactive. Robot Touriste, La Cité des Sciences et de l'Industrie A l'occasion de la première édition de "Futur en Seine", le Groupe Gostai invitera tous les technophiles et autres curieux du monde entier à prendre les commandes d'un robot touriste afin de se livrer à une visite virtuelle de la Cité des Sciences et de l'Industrie de la Villette. Les internautes pourront ainsi diriger en temps réel ce robot mobile par le biais d'une interface Web. Tout au long de la visite, des informations additionnelles sur les éléments de l'environnement agrémenteront cette visite à distance. Transports Amoureux, Ligne 3 du Tramway Last but not least, entre le 27 mai et le 7 juin, la technologie prouvera qu'elle peut rimer avec amour et poésie. Chaque voyageur muni d'un iPhone et de l'application "Transports Amoureux" sera invité à contribuer gratuitement à la création d'un cadavre exquis virtuel en lisant et en déposant des messages tout au long de son parcours sur la ligne de tramway T3 reliant le pont du Garigliano à la porte d'Ivry. Déclarations d'amour, joutes de slam, énigmes, poèmes ... Chacun sera libre de créer et de participer à son propre fil. Seule et unique contrainte, les SMS envoyés ne pourront être consultés que sur leur lieu d'émission. Tous les messages seront rassemblés en vue de générer une oeuvre visuelle et sonore diffusée en temps réel sur des écrans situés sur le trajet, à la Cité des Sciences et de l'Industrie ainsi qu'au Musée du CNAM. Une présentation de l'application aura lieu le samedi 6 juin à 16h30 à la Cité des Science (...)
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