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(25/07/2008 12:13:22)

Intel va décliner ses puces Atom pour le monde de l'embarqué

Non content de dominer le marché des PC, Intel semble décidé à s'attaquer à celui de l'embarqué. Le fondeur vient en effet d'indiquer qu'il planche sur de nouvelles puces x86 destinées à prendre place dans une large série d'appareils, des périphériques conçus pour le Web nomade aux téléphones mobiles. En tout, ce sont 15 SOC (System-on-chips, systèmes sur une puce) qui sont dans les cartons d'Intel et partagent le même noyau x86 que celui des puces Atom. Ce choix n'est pas anodin : il reflète la volonté du fondeur d'améliorer les performances des processeurs embarqués tout en réduisant leur consommation. Deux caractéristiques cruciales pour les nouveaux usages, comme les systèmes de divertissement embarqués dans les véhicules, qui demanderont de plus en plus fréquemment une liaison rapide au Web. Les puces sur lesquelles travaille Intel permettront également d'accélérer la vitesse de traitement de la vidéo et des applications de sécurité. Parmi les projets du groupe américain figure aussi une autre déclinaison de l'Atom, destinée aux 'box ADSL' et autres décodeurs numériques. Sur tous ces marchés, le défi qu'aura à relever Intel est délicat. Il devra en effet affronter la concurrence d'acteurs plus rodés au monde de l'embarqué, notamment Arm. Le fondeur devrait également faire face aux architectures PowerPC, utilisées par Freescale et Motorola, et Mips (million instructions per second), plébiscitées par Broadcom. (...)

(24/07/2008 16:45:42)

La quête de l'iPhone, chemin de croix des technophiles

Les jours se suivent et se ressemblent pour qui veut acquérir un iPhone. Les geeks de tout poil et autres technophiles impatients, à force de courir les points de vente, avaient fini par reporter leurs espoirs sur l'approvisionnement dont devait faire l'objet la boutique Orange des Champs Elysées. A 13h45, soit 15 minutes avant le début de la mise en rayon d'après les commerciaux de plusieurs agences, une file d'attente d'environ 250 personnes s'étire sur les trottoirs de l'avenue. Et ne cesse de s'allonger, sous les regards amusés des touristes. Comme dans un jeu de piste Une demi-heure plus tard, l'espoir de repartir avec le Précieux céde la place à une nouvelle déception : les stocks d'iPhone 16 Go sont vides. Seuls restent 200 modèles 8 Go. Et, une nouvelle fois, comme dans un jeu de piste, rendez-vous est donné dans d'autres lieux. Les agences de la rue de Rennes, Boulogne, République et Italie 2 devraient en effet recevoir le smartphone demain, à la mi-journée. D'ici là, pas question de se rabattre sur la boutique en ligne, qui affiche invariablement une rupture de stock sur tous les modèles. Contacté par la rédaction, le service de presse d'Orange s'avère incapable de communiquer le moindre renseignement sur les prochains approvisionnements, ni sur le nombre d'exemplaires déjà vendus. Et pour compliquer encore un peu plus les choses, le micro-site mis en ligne par l'opérateur pour suivre l'état des stocks de tous les points de vente n'affiche plus aucun renseignement. Certainement parce que les informations qui y apparaissaient ne reflétaient pas la réalité. (...)

(23/07/2008 14:23:19)

Une pénurie d'iPhone bien mal gérée

Orange, grisé par le succès de l'iPhone 3G, semble ne faire que peu de cas de ses clients potentiels. Alors que l'opérateur a eu la riche idée de mettre en ligne un micro-site permettant de suivre en temps réel les stocks d'iPhone disponibles dans chacun de ses points de vente, les informations présentées se révèlent farfelues. Illustration ce matin dans deux boutiques censées, selon le site, détenir le téléphone tant convoité. L'agence des Champs-Elysées semble la plus prometteuse, avec des modèles 16 Go blancs et noirs en stock. Une heure après l'ouverture, nous nous présentons sur place mais c'est la douche froide : les rayonnages sont vides depuis plusieurs jours, seuls quelques iPhone 8 Go sont encore disponibles et le réapprovisionnement est prévu « demain, normalement ». Quelques stations de métro plus loin, détour par Neuilly, où le micro-site assure qu'il est possible d'acquérir des iPhone 3G 16 Go noirs. Un déplacement inutile puisque, là aussi, les commerciaux ne peuvent que démentir l'information et nous inviter à repasser « plus tard ». Les consommateurs pris pour des poires Les fausses informations présentées par Orange sont d'autant plus regrettables qu'elles ne sont vérifiables qu'à condition de se déplacer dans les agences. Ces dernières ne peuvent en effet être jointes par téléphone « pour privilégier le service aux clients présents physiquement », nous explique le service de presse. Dommage aussi qu'il soit impossible de réserver le téléphone, Orange préférant inciter ses futurs clients à « repasser régulièrement ». Ce principe varie cependant d'une boutique à l'autre, certaines acceptant de mettre de côté des iPhone. Contacté par la rédaction, Orange n'a pas tenu à communiquer sa réaction officielle. L'opérateur se contente d'indiquer que le smartphone « a connu un succès assez énorme dès sa première journée. On ne s'attendait pas à une telle affluence ». Une assertion difficile à entendre : le lancement de l'iPhone dans les autres pays où Apple a décidé de le distribuer a systématiquement été suivi par une pénurie. De là à dire que les marques à la pomme et à l'orange prennent leurs consommateurs pour des poires... (...)

(17/06/2008 11:18:20)

Update décline son logiciel de CRM pour l'iPhone en français

L'éditeur autrichien Update (42 clients en France) est parmi les premiers à fournir une version iPhone de son logiciel de gestion de la relation client (CRM). L'offre, déjà adoptée par les directions générales ou commerciales de plusieurs de ses clients outre-Rhin, est livrée en français et convient aussi à l'iPodTouch d'Apple. Ses premiers adoptants sont des utilisateurs déjà convertis aux smartphones (des Blackberry généralement), l'accès en ligne permis par ces terminaux réduisant les contraintes de synchronisation répétées avec le PC (contrairement aux assistants numériques). Composée d'un produit serveur et d'un logiciel client, l'offre update.seven Touch s'utilise donc en mode connecté en donnant accès à toutes les fonctions de l'application de CRM d'Update : gestion des contacts et des rendez-vous, contrats de services, rapports d'intervention, etc. Hors connexion, le mode d'utilisation est toutefois plus restreint. L'utilisateur se contente, pour l'instant, de consulter ses rapports de visite et, éventuellement, de les remplir par le biais de cases à cocher si l'application le prévoit. La tarification pour l'offre update.seven Touch est fixée à 5 000 euros pour la partie serveur et à 350 euros par utilisateur. Update compte 1 300 clients dans le monde, principalement en Europe (5% seulement aux Etats-Unis). Son offre de CRM est verticalisée pour six secteurs d'activité : le BTP, le secteur industriel (machines outils), les médias, la pharmacie, les fournisseurs de la grande distribution et le secteur financier. En France, son logiciel est utilisé par les laboratoires Boehringer, les industriels Cryostar, De Dietrich Thermique ou encore Karcher. (...)

(16/06/2008 11:15:53)

20 scientifiques lancent une alerte face aux dangers du téléphone portable

Le Dr David Servan-Schreiber a lancé hier sur son site Guerir.fr et dans le Journal du Dimanche un appel à considérer sérieusement les dangers que représenteraient les téléphones portables. Dix-neuf autres scientifiques, dont plusieurs cancérologues, estiment que les ondes électromagnétiques de nos mobiles pourraient avoir des effets indésirables sur nos cerveaux. S'ensuivent dix recommandations pour utiliser systématiquement ces téléphones avec le haut parleur ou le kit main libre, mais aussi d'éviter de les utiliser quand le signal est faible ou bien en déplacement (train, voiture). Surtout, ces scientifiques conseillent fortement aux parents qui ne l'auraient pas encore fait, d'interdire le mobile à leurs enfants de moins de douze ans. Ils estiment que nous sommes face à un danger équivalent à ceux de l'amiante ou du tabac, mais restent prudents. Leur appel ne s'appuie en effet sur aucune nouvelle étude épidémiologique et sur son site, David Servan-Schreiber rappelle d'ailleurs qu'aucune étude ne permet aujourd'hui de conclure, dans un sens ou dans l'autre, quant à la menace que les mobiles représenteraient pour notre santé. Et pour cause. [[page]]Leur usage massif date de 10 ans tout juste, or il a fallu plusieurs décennies pour prouver la nocivité de l'amiante et du tabac. Ces chercheurs et médecins tiennent donc simplement à rappeler qu'il risque d'être trop tard si l'on attend aussi longtemps pour le téléphone mobile. Le principe de précaution, en particulier pour les enfants L'appel des vingt scientifiques précise néanmoins que certains effets biologiques ont déjà été prouvés. C'est le cas de la pénétration des ondes électromagnétiques dans le cerveau et de la plus grande importance de son intensité chez les enfants. Autre effet identifié, les champs électromagnétiques des téléphones portables augmentent la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique et une synthèse accrue des protéines de stress. Et ce, même lorsque le DAS (Débit d'Absorption Spécifique) du mobile reste inférieur aux 2 W/kg pour 10g de tissu imposés par les normes européennes. En somme, en particulier avec les enfants, mieux vaut adopter le principe de précaution, en attendant les premières études qui donneront des conclusions exploitables. (...)

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