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(03/12/2007 15:08:40)

Les collégiens des ZEP participent à un projet de téléphonie mobile

Cent vingt collégiens sont devenus les acteurs d'un programme de découverte professionnelle liée à la téléphonie mobile. Ces élèves, issus des collèges du réseau « ambition réussite » situés en zone d'éducation prioritaire, vont pouvoir découvrir, au cours de l'année scolaire 2007-2008, les aspects technologiques, les processus de conception et les professions liées à la création d'un téléphone, grâce au projet Mobi3. Lancé par les associations IMS-Entreprendre pour la Cité et Engage Network, avec Dassault Systèmes, DLA Piper, IBM, Nokia et SFR et le Ministère de l'Education Nationale, ce projet va conduire les collégiens à plancher sur la création d'un mobile en utilisant un logiciel de conception 3D, et à développer une méthodologie liée à la conception du produit. Le programme met en avant le rôle complémentaire joué par l'ensemble des partenaires du projet dans le cycle de vie d'un mobile (du design à la commercialisation et au recyclage). Ainsi, les collégiens devront concevoir un prototype de téléphone mobile en utilisant le logiciel de conception 3D de Dassault Systèmes. De son côté, Nokia apportera sa vision des techniques et des métiers du marketing, ainsi que de la filière production et logistique. Les jeunes apprendront comment commercialiser un produit mobile en définissant son prix, les spécificités du produit, les canaux de distribution et la stratégie de promotion. Egalement au programme, la planification des étapes de production, la gestion des commandes et celle des stocks. IBM, de son côté, montrera aux élèves comment gérer et mettre en place le système d'information, en effectuant parallèlement une présentation des métiers liés à l'ingénierie et aux télécommunications. Enfin, SFR présentera les cycles de vente du produit et de l'offre associée, tandis que le cabinet d'avocats DLA Piper enseignera les aspects juridiques qui encadrent la mise sur le marché des téléphones mobiles, notamment les droits de la propriété intellectuelle. A la fin de l'année scolaire 2007-2008, les équipes présenteront leur projet à un jury constitué des partenaires de ce programme. (...)

(22/11/2007 08:20:26)

Des périphériques mobiles plus simples et moins chers en 2008

D'après la Mobile Data Association (MDA), l'année 2008 sera marquée par l'apparition de téléphones mobiles moins chers et surtout plus en adéquation avec les réels besoin des utilisateurs. Pour l'association, la course à « toujours plus de fonctionnalités » devrait en effet se ralentir. « L'enjeu n'est pas d'avoir le plus de fonctionnalités possibles dans chaque téléphone, confiait Paul Lee, directeur des technologies, média et télécommunications de Deloitte Research à notre confère anglais IT Pro. Le plus important, c'est d'avoir des fonctionnalités dans des téléphones adaptés à chaque catégorie d'utilisateur. » Pour la MDA, pendant l'année 2008 on devrait également voir apparaitre de nouveaux services, une tarification des communications à la baisse et l'essor de l'usage des téléphones mobiles en tant que périphérique d'accès aux réseaux sociaux. Estimée à 3,75 milliards fin 2008, la base mondiale d'utilisateurs de téléphone mobiles ne cesse d'augmenter. Toujours selon la MDA, de plus en plus d'utilisateurs préfèrent les périphériques mobiles aux téléphones fixes, y compris pour les simples communications vocales. Mais le véritable bouleversement est plutôt attendu du coté de l'essor de la 3G et par la même occasion d'applications gourmandes en bande passante et volume de stockage, telles que la télévision sur téléphones mobiles. Evolution qui, selon la MDA, devrait avoir un impact direct sur les périphériques. La génération 2008 devraient en effet embarquer 5 Go d'espace de stockage en standard et la technologie Bluetooth atteindrait les deux milliards de connections à travers le monde. (...)

(19/11/2007 14:05:02)

Les DSI dépassés par l'essor des périphériques mobiles personnels

A l'occasion de la conférence Mobile Internet World qui s'est tenue à Boston jeudi dernier, plusieurs analystes et experts du marché sont revenus sur l'impact des technologies personnelles en entreprise. Pour les experts, quels que soient les mesures et effort déployés par les entreprises, la pénétration des périphériques personnels dans l'enceinte de la société ne va que s'accentuer au fil des années. Ce qui ne manque pas, bien entendu, de poser des problèmes en termes de sécurité, de maintenance ou encore d'administration puisque ces périphériques accèdent au système d'information. Pour Zeus Kerravala, analyste au Yankee Group, l'expérience prouve que l'interdiction est tout simplement impossible, les produits ne cessant d'arriver sur le marché, toujours plus séduisants : « à moins que les DSI n'apprennent à fonctionner différemment, le problème ne fera que s'accentuer, forçant les DSI à évoluer. » « Les entreprises veulent avoir le contrôle, ajoutait Lalit Canaran, directeur de l'entité services professionnels de Sybase, mais même le Blackberry (ndlr : le plus utilisé des périphériques mobiles par les entreprises américaines) est entré dans l'entreprise par l'utilisateur et c'est la DSI qui s'est pliée en trouvant un moyen pour le gérer. » Pour Zeus Kerravala, l'avenir du marché de la mobilité sera donc déterminé par la demande des utilisateurs en termes d'accès à l'information, de la façon la plus simple possible, indépendamment de l'endroit et du périphérique qu'ils sont ou non obligés d'utiliser. Reste que selon une enquête du Yankee Group, 68% des employés estiment qu'ils se débrouillent aussi bien voire mieux que leur service informatique dès lors qu'il s'agit d'installer des applications sur leur PC professionnel. Ils sont aussi 49% à penser que les technologies grand public, celles qu'ils ont précisément choisies avec leur périphérique mobile, sont plus avancées que celles que leur entreprise leur propose en environnement de travail. Enfin 54% estiment qu'ils seraient plus productifs si on leur laisser utiliser leur environnement informatique personnel sur le lieu de travail. Selon Zeus Kerravala, pour la première fois, les DSI sont dépassés par cette pénétration des technologies personnelles sur le lieu de travail. « Beaucoup d'entreprises admettent qu'elles ne savent pas comment gérer le phénomène », souligne encore l'analyste du Yankee Group. (...)

(19/11/2007 11:48:42)

Garmin laisse Tomtom racheter Télé Atlas

Garmin laisse finalement le champ libre à Tomtom. Ce dernier devrait finalement se payer Télé Atlas pour 2,9 Md€ et se positionner comme un acteur poids lourd sur le marché de la géolocalisation. Garmin était venu jouer les troublions dans le processus de rachat de Télé Atlas par Tomtom en jouant la carte de la surenchère. L'Européen avait alors dû revoir son offre à la hausse. C'est cette dernière que Télé Atlas a retenu. Du coup, l'Américain Garmin se tourne à nouveau vers la concurrence pour son offre de cartographie. Et renouvelle son partenariat avec Navteq, désormais propriété de Nokia. Le Finlandais a acquis le groupe pour 5,7 Md€ en octobre. L'accord, qui porte sur 6 ans, fait de Navteq le fournisseur officiel de carte de Garmin. (...)

(14/11/2007 17:00:01)

2008, l'année du paiement sans contact

Dédié à la carte à puce et l'identification, Carte 2007 (jusqu'au 15 novembre au Parc des Expositons de Paris-Nord Villepinte) est placée cette année sous le signe du paiement sans contact. En effet, si la France en est à ses premiers balbutiements, il existe, selon Eurosmart, plus de 45 millions de cartes de paiement ou de porte-monnaies électroniques de paiement dans le monde. Le Japon, avec son standard FeliCa, est déjà bien installé, avec notamment 50 % des téléphones mobiles commercialisés actuellement dôtés de puces sans contact et d'antennes radio-fréquences. Aux Etats-Unis, Visa avec PayWay et MasterCard avec PayPass ont déjà mis en circulation plus de 20 millions de cartes. Avec les porte-monnaies électroniques Moneo sans contact distribués dans certaines universités, et le projet Pegasus qui concernent 1000 usagers et 200 clients à Strasbourg et Caen, la France semble bien en retard. Un marche dans les starting-blocks Pourtant, en se promenant dans les allées du salon, il est facile de voir que les obstacles techniques sont levés. Les fabricants français - Gemalto, Oberthur et Sagem en tête - ont tous une offre étoffée de puces (hybride contact/sans contact, bi-coeur avec une partie dédiée à la téléphonie et l'autre au paiement sans contact, etc...) et de lecteurs. Xiring a même lancé son CL Watcher, un petit étui métallique qui empêche le vol d'argent sur une carte sans contact et affiche le montant réel de la transaction. Sur un plan pratique, les principaux obstacles sont en passe d'être levés. « Les opérateurs télécoms ont abandonné l'idée de se faire payer sur la transaction, explique Jacques Scion, responsable mobilité chez Gemalto. Ils se contentent de mettre en place l'infrastructure pour les banques. » Contre une redevance non communiquée. Et d'ici la fin de l'année, un standard validé par l'ETSI devrait définir les spécifications pour des téléphones dotés d'antennes sans fil. Ce qui permettra de proposer un plus grand choix aux clients que les prototypes actuels de Sagem, LG, Motorola et Nokia. « Ainsi, nous aurons au début 2008, les premiers pilotes massivement déployables et, en deuxième partie de l'année, une généralisation des paiements par téléphones mobiles, » estime Jerôme Scion. L'association Eurosmart partage, au niveau mondial, son optimisme puisque sur les 4 285 000 000 cartes qui sont, selon elle, en circulation cette année, 543 000 000 sont dotées de capacités sans contact. Et elle s'attend à 60 millions de cartes de paiement sans contact - intégrées dans un téléphone ou non - pour l'an prochain, contre les 45 millions actuels. A lire aussi : Panorama des usages de la carte sans contact dans le monde (PDF) (...)

(07/11/2007 16:15:01)

Les utilisateurs mobiles dangereux pour les données de leur entreprise

Selon le cabinet Computing Technology Industry Association (CompTIA), 60% des 1070 entreprises interrogées dans le cadre d'une étude, reconnaissent que les risques liés à la consultation ou au transfert de données à partir d'équipements mobiles ont augmenté de façon significative au cours des 12 derniers mois. Plus de la moitié d'entre elles (55%) estiment que l'implémentation de réseaux sans fil a également contribué à cette augmentation des risques. Pour John Venator, président et CEO de CompTIA, l'accès distant aux applications et autres données confidentielles de l'entreprise par des utilisateurs nomades ne cesse de se développer. L'organisation même de l'entreprise change avec de plus en plus de collaborateurs qui travaillent à partir de leur domicile, des filiales qui accèdent au siège, des utilisateurs mobiles qui se connectent de n'importe où pour consulter leur courrier ou simplement enregistrer la commande d'un client pendant leur déplacement. « Soit autant de brèches potentielles de sécurité qu'il faut absolument sécuriser », estime le président et CEO de CompTIA. Selon l'étude, 80% des entreprises interrogées sont confrontées à ces problèmes : elles autorisent les accès distants ou mobiles à leur système d'information. Mais seulement 32% d'entre elles auraient pris le temps de sensibiliser et former leurs utilisateurs aux dangers inhérents à ce type d'accès, 10% prévoyant toutefois de le faire dans les douze prochains mois. Pour CompTIA, négliger cette formation constitue une erreur grave : 90% des entreprises ayant pris le temps de sensibiliser leurs utilisateurs estiment en effet avoir réduit le nombre de vulnérabilités en matière de sécurité liées à ces nouveaux usages. (...)

(07/11/2007 14:04:57)

Nortel : bénéfices enfin dans le vert, mais revenus à la traîne

Résultats T3 2007 Chiffre d'affaires : 2,7 Md$ (-8%) Bénéfice net : 27 M$ (contre une perte de 63 M$ au T3 2006) Contrairement à ses concurrents (Alcatel-Lucent, Ericsson), Nortel vient de publier des résultats trimestriels encourageants sur un marché pourtant en proie à des difficultés récurrentes. L'équipementier télécoms canadien renoue en effet avec les bénéfices : + 27 M$, alors qu'un an plus tôt, Nortel affichait une perte de 63 M$. La marge d'exploitation s'envole quant à elle pour atteindre 5%, un niveau « jamais atteint depuis 2004 », précise la société dans un communiqué. Les revenus globaux de Nortel reculent toutefois à 2,7 Md$, soit une baisse de 8% par rapport à l'an dernier. Cet affaissement du chiffre d'affaires est notamment lié aux frais de restructuration engendrés par la vente, en janvier 2006, des activités UMTS de la société à son concurrent Alcatel. Les bons de commande ne semblent pas avoir souffert de cette revente, puisque même après réajustement elles enregistrent une progression de 5% depuis le début de l'exercice, et de 9% sur le seul troisième trimestre. La société s'est déclarée « satisfaite de son niveau d'activité, ainsi que par sa présence sur le marché ». Pour l'ensemble de l'année, Nortel espère réaliser une marge opérationnelle en légère progression (entre 4 et 5%), et table sur un chiffre d'affaires annuel similaire à celui de 2006 (aux alentours de 11,5 Md$). (...)

(06/11/2007 14:49:13)

Google annonce officiellement Android, sa plateforme mobile

Les ambitions de Google dans le domaine de la téléphonie mobile n'étaient plus un secret et les rumeurs allaient bon train depuis un moment déjà. L'annonce d'une plateforme, baptisée Android, n'a donc pas vraiment étonné les acteurs du marché. Plus qu'un simple système d'exploitation, Android, du nom de la start-up rachetée par Google en aout 2005, regroupe des outils de développement et des API (interfaces de programmation). Conçue selon le modèle Open Source, Android invite donc les développeurs à venir enrichir le panel d'applications déjà disponibles pour le système d'exploitation de Google. A ce niveau rien de franchement étonnant : Gmail, YouTube, Google Agenda, Google Docs figureront parmi les premières applications disponibles pour Android. Le spécialiste de la publicité en ligne compte appliquer au monde de la mobilité les recettes qui ont fait son succès sur le Web. En d'autres termes, des publicités devraient être insérées dans les applications pour téléphones portables afin de rentabiliser le modèle économique. Les analystes plutôt sceptiques La confirmation de l'intérêt de Google pour le marché de la mobilité bouleverse bien entendu la donne mais elle laisse aussi les analystes du marché assez sceptiques. Le modèle Open Source, tout d'abord, pose certains problèmes en termes de sécurisation de la plateforme et de la confidentialité des données personnelles. Du côté du modèle économique, il n'est pas du tout certain que les utilisateurs apprécient de se voir imposer des publicités avant de pouvoir téléphoner ou de consulter un mail, surtout avec des abonnements facturés au débit ou à la durée. Enfin, Google marche clairement sur les plates-bandes d'éditeurs installés depuis longtemps sur le marché - Symbian et Palm - et de plus récents tels que Microsoft. Or, comme le rappelle IDC, il ne suffit pas d'avoir des ambitions et des moyens pour réussir sur le marché de la mobilité : Microsoft, dont le système est disponible depuis des années et qui a des accords avec 48 fabricants de téléphones portables et 160 opérateurs dans le monde, n'a vendu que 12 millions de téléphones équipés de ses logiciels cette année, dont seulement 10% sont des Smartphones. Création d'une alliance industrielle Avec le lancement d'Android, Google annonce aussi la création d'Open Handset Alliance, organisation qui regroupe des constructeurs de terminaux, fournisseurs de composants et des opérateurs mobiles, prêts à s'investir dans des téléphones équipés d'Android. De grands opérateurs, tels T-Mobile et Sprint aux Etats-Unis, mais également en Chine, au Japon, en Allemagne, en Italie et en Espagne, ont rejoint cette alliance. Mais est-ce le scepticisme affiché par les analystes qui explique l'absence de grands acteurs du marché tels que les deux plus grands opérateurs de téléphonie mobile aux Etats-Unis, AT&T et Verizon, le fabricant Nokia, ou encore Vodafone et Orange en Europe ? Pour l'heure on n'en sait guère plus sur la position de ces acteurs et il faudra attendre le second semestre 2008 pour voir les premiers téléphones basés sur Android destinés au grand public. (...)

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