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(15/04/2011 14:31:31)

Le développement d'applications partagé entre mobiles et cloud

Selon un rapport publié cette semaine par Forrester Research et intitulé «L'état du développement d'applications dans les entreprises et les PME, » le secteur mobile et le cloud computing sont en train de changer la façon dont les développeurs travaillent. L'étude constate également que des technologies de développement comme le HTML5 occupent de plus en plus de place, même si Java et .Net continuent de dominer. Les résultats proviennent de plusieurs enquêtes menées en Amérique du Nord et en Europe auprès de 933 décideurs et près de 2 500 développeurs. « En 2010, le développement mobile a explosé et son importance va encore augmenter en 2011, » indique le rapport rédigé par l'analyste Jeffrey Hammond avec l'aide des analystes Mike Gilpin et Adam Knoll.

« Mais, le type d'applications mobiles créées par les développeurs évolue aussi constamment. » Selon le rapport, les applications de contact direct avec le client (client-facing) sont les plus développées dans le domaine mobile : 51% des décideurs en ont commandé ou ont l'intention d'en faire développer. 39% des sociétés de développement mobilisent leurs salariés sur l'intranet et 29% préparent un logiciel de collaboration mobile. 51% des personnes interrogées se disent très intéressées par les applications mobiles ou les sites web mobiles optimisés pour toucher les clients.

La plupart des développeurs d'applications mobiles ciblent des dispositifs sous iOS comme l'iPhone et iPad (respectivement 56% et 36% environ). Android de Google est envisagé par 50% des développeurs d'applications mobiles. Les analystes constatent que le choix de développer en Symbian est mentionné par 8% des répondants. Dans l'ensemble, 80% des sociétés de développement utilisent leurs propres ressources en personnel, les développeurs maison se concentrant davantage sur le développement d'applications mobile.

Le cloud, un moyen de développer plus efficace


Dans le domaine du cloud, une société de développement sur huit a déployé des applications dans le cloud, selon le rapport de Forrester. Les constructeurs high-tech, fabricants de matériel informatique et entreprises d'électronique grand public notamment, sont les plus susceptibles de déployer des applications sur le cloud (24 %), mais avec 19%, les entreprises de services ne sont pas en reste. Aujourd'hui, les développeurs intégrés à des entreprises du secteur de la santé travaillent rarement sur le cloud : ce domaine concerne moins de 5% de leur travail de développement, de test ou de déploiement d'applications. En ce qui concerne la nature des clouds choisis par les développeurs, l'Elastic Compute Cloud d'Amazon est préféré par 27% des développeurs Eclipse, Google App Engine est préféré par 18% des développeurs Eclipse et Microsoft Windows Azure est choisi par 6 développeurs Visual Studio sur 10. Parmi les plates-formes cloud, .Net et Java sont les plus largement utilisés, 48% des entreprises et 21% des PME utilisant les deux plates-formes.

L'intérêt pour des technologies « web ouvert » s'avère aussi de plus en plus important. « L'HTML5, qui attire 60% des développeurs, est certainement l'une d'entre elles : soit les développeurs l'utilisent déjà, soit ils prévoient de le faire dans les deux années à venir. Mais le web ouvert ne se limite pas au HTML5. « Il existe d'autres méthodes, notamment des frameworks web légers basés sur la pile LAMP ou d'autres frameworks comme Ruby on Rails, utilisés aujourd'hui par une société de développement sur cinq, » comme l'indique Forrester. Le rapport constate également que les développeurs aiment travailler en Open Source. « C'est simple, 3 développeurs sur 4 estiment que l'Open Source leur permet de livrer des projets plus rapidement. 7 développeurs sur 10 mentionnent également une réduction du coût des logiciels quand ils travaillent avec du code libre.

« La transparence est également un facteur important pour 63% des pro du développement, tandis que 51% la considèrent comme un moyen de lutter contre le verrouillage des fournisseurs, » indique les analystes de Forrester. Parmi eux cependant, seuls 22% des développeurs ont contribué à ce type de projet. Pour ce qui est des dépenses affectées à un projet, Forrester a constaté que les entreprises informatiques devaient « se battre pour financer de nouvelles initiatives en matière de développement logiciels, mais elles ont fait des progrès : la part du budget consacré aux nouveaux projets a augmenté de manière constante, passant de 33% en 2007 à 50% en 2011. »

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(14/04/2011 15:20:28)

Paiement sans contact : un vrai succès à Nice

En seulement dix mois, quelque 200 000 habitants de l'agglomération niçoise ont reçu une Carte Bleue Visa dotée de la fonctionnalité sans contact en remplacement de leur carte traditionnelle ou un téléphone portable équipé de la technologie en question. Le succès est également palpable du côté des commerçants. Ces derniers, regroupant des boulangeries, des cafés, des kiosques à journaux, des pharmacies et des supermarchés, sont désormais plus de 1 500 à être équipés d'un terminal acceptant les paiements sans contact.

"Ces premiers résultats sont extrêmement encourageants pour l'avenir du paiement sans contact. Les Niçois ont accueilli très favorablement ce nouveau système de paiement, jugé pratique, simple d'utilisation, rapide et sûr. Il faut maintenant poursuivre l'équipement des commerçants, continuer d'informer les clients et les inciter à utiliser ce nouveau service intégré à leur carte de paiement ou à leur téléphone portable", explique Charlotte Desbons, directrice du marketing de Visa Europe France.

La paiement sans contact permet notamment de valider un ticket de bus ou de régler des achats en utilisant simplement son téléphone portable.

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(14/04/2011 14:09:54)

Libye : les rebelles ont créé leur propre réseau mobile

« Le nouveau réseau nommé Libyana Al Hurra, est opérationnel depuis le 2 avril, et il est physiquement isolé du réseau Libyana de Tripoli, » a déclaré Ousama Abushagur, un ingénieur télécom libyen basé aux Émirats arabes unis (EAU), qui a dirigé l'équipe chargée de mettre en place le nouveau réseau. Jusque-là, dans la région de Benghazi et dans les autres places fortes tenues par les opposants, les gens devaient utiliser les téléphones satellites de Thuraya Télécommunications. Mais, « le coût de ces communications étant élevé, rares étaient les personnes qui pouvaient se permettre de téléphoner, » a déclaré l'ingénieur dans un entretien. « De plus, ils devaient se placer dans des zones à découvert pour passer des appels, et ne se sentaient pas en sécurité, » a-t-il ajouté.

Le satellite en système de secours

Avant que les opposants soient coupés du réseau mobile Libyana Tripoli, toutes les communications étaient acheminées par des systèmes centralisés sur Tripoli. « Le HLR (Home Location Register) du réseau GSM (Global System for Mobile Communications) qui gère la base de données des abonnés admis sur le réseau, ses passerelles internationales, le Short Message Service Centers (SMSC), et autres éléments clés du réseau, se trouvaient à Tripoli, » a encore expliqué Ousama Abushagur.

Avec son équipe, ils ont dû introduire dans le réseau des équipements et des données essentielles avant de pouvoir offrir un service de téléphonie mobile dans l'Est du pays. En particulier, ils ont dû reconstruire le HLR et ajouter des éléments au réseau de cette zone géographique, pour ne plus dépendre du système centralisé à Tripoli. « Nous n'avions pas de HLR, ce qui signifie que nous ne savions pas quels utilisateurs autoriser pour le connecter au réseau, » a déclaré l'ingénieur. « L'équipe a dû reconstruire une base de données couvrant au mieux l'Est du pays, afin de permettre aux gens d'utiliser le réseau, sans interruption de service, » a-t-il expliqué. 

Déjà 800 000 utilisateurs

« Grâce à l'aide financière d'hommes d'affaires libyens travaillant dans les Émirats Arabes Unis, nous avons pu acheter des équipements auprès de différents fournisseurs, et les transporter sur Benghazi avec un avion qui a transité par l'Égypte, » a confié Ousama Abushagur. L'équipe a également acheté une capacité satellite sur Intelsat 15, et l'a connecté au réseau IDT pour le service vocal international. « D'autres opérateurs internationaux peuvent également se connecter à ce réseau, », a-t-il ajouté. Le 2 avril, le nouveau réseau comptait environ 800 000 cartes SIM actives.

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(12/04/2011 11:05:05)

Nokia annonce 5 millions de téléchargements d'apps par jour

Nokia indique que plus de 5 millions d'applications sont téléchargées chaque jour dans le monde, via sa plateforme Ovi Store, soit huit fois plus qu'en 2010. Les derniers modèles de smartphones du constructeur finlandais, les N8, C6-01, C7 et E7 représentent près de 15% de ces téléchargements quotidiens.

Selon Nokia, les quelque 200 millions d'utilisateurs d'une smartphone Nokia fonctionnant sous Symbian bénéficient d'un catalogue de plus de 40 000 applications (300 000 pour l'App Store d'Apple). Chaque semaine, environ 1 000 s'y ajoutent selon le finlandais. Le constructeur finlandais précise enfin que 158 développeurs d'applications, répartis dans 41 pays, ont désormais dépassé le seuil du million de téléchargements chacun.

Reste que l'offre de Nokia reste très fragmentée entre les différents systèmes d'exploitation mobiles Symbian et Linux qui équipent les terminaux du constructeurs. Et l'adoption prochaine de Windows Phone 7 sur les smartphones finlandais ne va pas arranger les choses. Toutes les app Symbian seront incompatibles avec les nouveaux terminaux Windows Mobile de Nokia...

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(12/04/2011 10:37:48)

Recevoir les horaires de bus sur son smartphone dans le 93

Véolia Transport Seine Saint-Denis est le premier site de l'opérateur de transports en commun à proposer un accès aux horaires de bus en temps réel aux usagers dotés de smartphones. Le STIF (Syndicat des Transports d'Ile de France) a en effet financé l'équipement des bus de l'opérateur en système de géolocalisation relié à un SI central qui permet de calculer les horaires réels de passage dans chaque arrêt des lignes concernés. Pour l'instant, le quart des véhicules est équipé.

En taguant chaque arrêt par un code barre 2D, l'opérateur facilite l'accès à l'information par les voyageurs. Une application iPhone et Blackberry permet la reconnaissance du code. Il suffit aux usagers de flasher le code avec leurs smartphones pour être dirigés vers un site web mobile donnant les informations recherchées.
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