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(17/03/2011 12:51:47)

BlackBerry OS 6 : RIM conseille aux utilisateurs de désactiver JavaScript

Selon RIM, la faille pourrait permettre à un pirate d'accéder aux données des utilisateurs via le BlackBerry Browser, dans le cas où son propriétaire serait amené à visiter un site web malveillant. Le problème affecte uniquement les appareils tournant sous BlackBerry OS 6, puisque la faille ne peut-être exploitée que sur des smartphones dont le navigateur intègre le moteur de rendu WebKit.

C'est en 2009 que RIM a revu son navigateur pour BlackBerry OS 6. A l'époque, le constructeur venait d'acheter Torch Mobile, le créateur du navigateur mobile Iris Browser, basé sur le moteur de rendu open source Webkit. Tous les BlackBerry tournant sur des versions antérieures du système d'exploitation de RIM ne sont donc pas concernés par cette vulnérabilité.

Un accès à certaines données seulement

RIM affirme que le bogue ouvre seulement l'accès aux données stockées sur les cartes mémoire et dans la mémoire intégrée des smartphones mais ne donne pas accès aux données conservées par l'application, comme les données «utilisateur» de la messagerie, de l'agenda et des carnets d'adresse. Jusqu'à présent, RIM dit ne pas avoir repéré de personnes exploitant cette vulnérabilité en dehors de celles travaillant en environnement de test.

Le canadien fournit des informations aux services informatiques pour expliquer comment désactiver JavaScript sur plusieurs terminaux BlackBerry, dont le Torch 9800, le Bold 9700 et le Curve 9300. Dans les cas où la méthode ne fonctionne pas, RIM recommande de désactiver totalement le BlackBerry Browser sur les appareils concernés jusqu'à ce que la vulnérabilité soit corrigée.

Une ouverture imposée par le succès des concurrents

RIM a bâti sa réputation grâce aux options de sécurité et de protection de la vie privée offertes aux utilisateurs. Mais le succès rencontré par l'iPhone d'Apple et par le système d'exploitation Open Source Android de Google a contraint l'entreprise à ouvrir ses terminaux à des applications plus variées. C'est ainsi que RIM a opté pour le moteur de rendu Open Source WebKit pour son navigateur. L'entreprise considérait également la possibilité de laisser tourner sur sa future tablette Playbook des applications conçues pour Android et cet épisode pourrait influer sur sa décision.

Ces dernières années, les applications mobiles sont devenues un élément clef de promotion pour les smartphones, notamment avec le lancement très médiatisé de boutiques d'applications mobiles comme l'App Store d'Apple et l'Android Market de Google. Dans une récente enquête réalisée par le cabinet d'études ChangeWave, 14% des utilisateurs de téléphone mobile disent que ce sont les applications qu'ils apprécient le plus dans les nouveaux smartphones. Viennent ensuite la facilité d'utilisation des terminaux (12%) et la possibilité d'accéder à Internet (12%). Toujours selon cette étude, l'application de messagerie professionnelle de RIM, qui a attiré vers la marque beaucoup d'utilisateurs, est considérée comme la fonctionnalité la plus importante par 10% des utilisateurs.

(...)

(17/03/2011 10:48:10)

La couverture du réseau mobile progresse en France selon l'Arcep

Les trois principaux opérateurs de téléphonie mobile doivent publier chaque année, depuis octobre 2007, les cartes de couverture de leur réseau sur l'ensemble du territoire français afin d'évaluer la cohérence de ces cartes avec la réalité du terrain. Les derniers résultats du régulateur des télécoms (Arcep), présentés mercredi 16 mars, montrent que les cartes de couverture sont fiables à plus de 98% en moyenne sur l'ensemble des cantons étudiés.

Néanmoins, l'Arcep précise que la fiabilité des cartes de couverture doit être améliorée sur certains cantons et demande aux trois opérateurs de corriger les cartes publiées. "Il est encourageant de noter que la démarche engagée depuis 2007 avec les opérateurs pour l'amélioration de la fiabilité de leurs cartes de couverture produit ses effets avec un accroissement sensible de la fiabilité des cartes sur les départements audités", indique l'Arcep.

Une nouvelle enquête de terrain sera menée en 2011 dans 286 nouveaux cantons.

Crédit photo : SVLuma (...)

(17/03/2011 10:29:08)

Le retour des boutiques Free

Lors de la présentation des résultats financiers d'Illiad pour 2010, Xavier Niel, co-fondateur du groupe et fondateur de sa filiale Free, a annoncé l'ouverture prochaine de six boutiques tests Free. Ces boutiques ouvriront « dans des villes moyennes situées entre 50 à 200 km de Paris», avec une surface comprise entre 50 et 300m². 

Aujourd'hui le modèle de distribution du FAI est 100% en ligne (téléphone et Internet). Mais pour vendre des abonnements téléphoniques couplés à des terminaux mobiles, le FAi est bien obligé d'avoir pignon sur rue. Ces boutiques physiques seront l'occasion pour Free de se rapprocher de sa clientèle et de privilégier un contact direct avec elle. Il fera ainsi concurrence à Orange, SFR et Bouygues Telecoms dans le recrutement de nouveaux abonnés sur le terrain. Si l'expérience s'avère concluante, d'autres boutiques Free verront le jour sur tout le territoire.

Crédit photo D.R. (...)

(17/03/2011 11:07:44)

Google travaille sur un service de paiement mobile

Google prévoit de tester un service de paiement sans contact dans les commerces de New York et de San Francisco, indique l'agence Blommberg. Un document, qui cite des sources anonymes, révèle que la firme de Moutain View est en pourparlers avec VeriFone Systems pour l'installation des terminaux requis pour utiliser des services de paiement mobile embarquant la technologie NFC (near-field communication).

Ned Tyler, porte-parole du géant californien, a déclaré que la firme - qui propose un service de paiement connu sous le nom de Google Ckeckout -  était intéressée pour développer des services de paiement sans contact à destination des utilisateurs de smartphones. Le plus connu étant le Nexus S, un téléphone Android fabriqué par Samsung. Le représentant de Google a ajouté que la firme s'était récemment lancée dans un projet pilote à base de puces NFC à Portland, dans l'Oregon. Les commerçants ont pu commencer à utiliser des étiquettes NFC à des simples fins informatives, mais le service ne prend pas en charge les paiements mobiles.

Pour Xavier Debbasch, co-fondateur et directeur général d'Airweb, société de conseil spécialisée dans la fourniture de portails et d'applications mobiles. en se lançant sur le marché du NFC, Google pourrait aller encore plus loin dans la chaîne de valeur : «En se positionnant sur le paiement sans contact, Google optimisera d'abord ses revenus publicitaires dans la mesure où le NFC lui permet d' aller jusqu'à l'acte de vente », analyse t-il. « Ensuite, cette initiative pourrait conduire les commerçants à travailler avec la firme. Enfin, cela permettra à Google de s'immiscer dans le domaine des transactions bancaires et de concurrencer des spécialistes tels que PayPal. »

Les Niçois satisfaits à 90%

Le fondateur d'Airweb considère que les constructeurs de smartphones devraient tous s'engouffrer dans la brèche du NFC  «Si 2011 marque le démarrage du paiement sans contact, 2012 pourrait bien marquer son avènement », estime celui-ci. Nokia a déjà intégré la technologie sans contact dans ses smartphones C7 De son côté, Apple pourrait  équiper ses prochaines générations d'iPhone de puces NFC, tandis que RIM envisage lui aussi d'aller dans ce sens.

Reste que Google a pris de l'avance avec son OS Android 2.3 qui prend nativement en charge le support de ce standard. Reste à savoir quelles seront les retombees du NFC en Europe, en plus particulièrement dans l'Hexagone. En France, Nice a expérimenté  les technologies du sans contact sur téléphone mobile depuis le printemps dernier à travers les applications Cityzi. Ce dispositif permet l'achat et la validation de tickets de transports urbains, donne accès à des informations culturelles, dispose d'une application destinée aux étudiants et autorise également le paiement bancaire sur mobile auprès des commerçants. Les statistiques sont plutôt encourageantes.

« Depuis le démarrage du projet, 3 000 Niçois sont équipés d'un mobile Cityzi et plus de 1 000 commerces possèdent des terminaux adaptés », souligne Xavier Debbasch. Avec un taux de satisfaction atteignant les 90%, le NFC semble avoir fait l'unanimité à Nice. Mais les commerçants niçois n'ont pas eu à verser de commission, Les frais générés par les terminaux NFC pourront peut-être dissuader les TPE, estime le fondateur d'Airweb. Mais pas les grands acteurs, comme les grandes surfaces, entre autres.

(...)

(16/03/2011 12:23:02)

Avec McAfee, Intel veut sécuriser les terminaux mobiles en mode cloud

Intel va dans un premier temps offrir des produits de sécurité reposant sur des logiciels et des services. Dans un second temps, des fonctionnalités de sécurité seront directement intégré aux PC et terminaux mobiles, avec un effort particulier autour du cloud, a expliqué Renée James, vice-président senior et directeur général de l'activité Software et Services, lors d'une téléconférence avec les analystes financiers. Les récents équipements mobiles comme les tablettes et les smartphones sont de plus en plus vulnérables aux malwares et autres attaques informatiques, constate Renée James. Intel veut concevoir des moyens de gérer la sécurité directement dans le hardware, capables de communiquer en temps réel avec des plateformes basées sur le cloud. Ces dernières pourront ainsi fournir des outils de sécurité comme des anti-malwares, l'authentification des utilisateurs et la vérification des adresses IP ou des sites web, ajoute le dirigeant.  « Sur le long terme, la sécurité dans les appareils mobiles sera un facteur de différenciation » a déclaré Renée James et d'ajouter « l'intégration de cette problématique dans le cloud est complexe. Vous ne pouvez pas vous réveiller un matin et décidé de le construire immédiatement ».

Intel a annoncé en août 2009 qu'elle ferait l'acquisition de McAfee pour un montant de 7,68 milliards de dollars, un geste qui a surpris de nombreux analystes en raison de l'absence apparente de synergie. Mais le fondeur a déclaré qu'il voulait apporter des capacités de sécurité pour un certain nombre de ses produits, y compris les puces Atom de faible puissance, qui sont utilisés dans les ordinateurs portables et bientôt déclinées sur les smartphones et les tablettes. L'acquisition de McAfee a été finalisée il y a deux semaines. Intel a défini la sécurité comme le troisième pilier de son offre, en plus de la puissance et de la connectivité. La société a déjà intégré quelques fonctionnalités dans ses puces pour renforcer la sécurité des PC, comme VT qui est une technologie basée sur le matériel pour sécuriser et gérer les environnements virtualisés. Le fondeur de Santa Clara va progressivement faire « évoluer » les capacités du silicium pour que des logiciels et des services spécialisés apportent plus de protection à une large variété d'appareils, a annoncé Renée James.

Un modèle d'abonnement cloud

Intel pourrait utiliser un modèle d'abonnement cloud pour générer des revenus autour de la sécurité, a déclaré Dave DeWalt, président de McAfee, qui fait maintenant partie du fondeur. Une gestion à distance de la plateforme pourrait devenir un point de référence sur la sécurité non seulement pour les terminaux mobiles, mais aussi les imprimantes, les distributeurs automatiques de billets, les points de vente ou tous périphériques connectés au sein d'un réseau «intelligent», affirme le responsable.  Il ajoute que les malwares sont généralement stockés dans le logiciel; car il est difficile pour les pirates informatiques d'aller sous le niveau de l'OS, l'aspect sécurité doit donc être intégrée à l'intérieur du matériel. Il existe aujourd'hui 48 millions types de logiciels malveillants dans la nature. Renée James  s'interroge lui pour savoir « si les gens paieraient pour un tel matériel » et de se rassurer « nous l'espérons ».

La plupart des smartphones et des tablettes utilisent des processeurs ARM et plusieurs OS comme Android ou iOS. Intel continue à balbutier sur ce marché et la domination d'ARM pourrait être un obstacle. Renée James a déclaré que, d'un point de vue logiciel Intel restera une société multi-plateforme. La fragmentation OS n'est pas un problème pour l'entreprise car les puces x86 peuvent exécuter la plupart des systèmes d'exploitation mobiles [NDLR Windows et Linux seulement pour l'instant].

Intel plus tôt cette année a fait l'acquisition de Nordic Edge, une entreprise de sécurité suédoise connue pour ses produits de gestion de sécurité et de renseignement sur les menaces.

 

Illustration: Renee James lors de l'IDF 2010

Crédit Photo: Intel

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(15/03/2011 15:25:30)

Oracle livre son framework de développement mobile Java

Selon Duncan Mills, directeur senior de la gestion des produits Fusion chez Oracle, « le client mobile Application Development Framework (ADF) d'Oracle contient les éléments de base pour développer des applications qui pourront être déployées sur différentes plates-formes mobiles, sans avoir besoin d'écrire un code spécifique pour chacune d'elles. » Le client mobile avait été annoncé en octobre 2009, et Oracle en avait fait une démonstration technique en avril 2010.

Le client, une extension de l'ADF d'Oracle, est constitué de plusieurs composants, dont un navigateur pour visualiser l'application, une petite base de données pour stocker les data locales, et un moteur d'exécution Java, pour les appareils n'intégrant pas le Java. Le framework du client tourne dans une interface utilisateur standard, basée sur JSF (Java Server Faces). Celui-ci contient également un ensemble d'actions préconfigurées pour la synchronisation des données vers et depuis des serveurs back-end, ce qui permet aux développeurs de spécifier quelles données doivent être synchronisées avec les bases de données ou d'autres types de données.

Fonctionnement hors réseau

Le client a été adapté pour fonctionner avec Oracle Fusion Framework, mais peut également être utilisé avec d'autres services web. Cette solution est en mesure de conserver les données pour une utilisation de l'appareil hors connexion, et peut les transférer une fois que l'appareil mobile se reconnecte au réseau. « Le client fournit également des outils pour recueillir et transmettre des données générées par l'appareil lui-même, que ce soit via un appareil photo, un capteur GPS, un lecteur de codes-barres ou d'autres accessoires utilisés pour recueillir des données, » a précisé Duncan Mills.

Cliquer sur l'image pour l'agrandir

Actuellement, ces clients mobiles ne sont disponibles que pour des appareils tournant sous les versions 5 et 6 de Windows Mobile, et BlackBerry de Research In Motion. C'est dire que le framework n'est pas encore compatible avec l'iPhone, ni avec les appareils sous Android ou sous Windows Phone 7. Mais L'équipe de développement d'Oracle envisage d'élargir son framework afin qu'il puisse également supporter ces dispositifs. « Pour l'instant, Oracle n'est pas en mesure d'annoncer quels appareils seront bientôt pris en charge » comme l'a indiqué le directeur d'Oracle. Celui-ci fait aussi remarquer que les fabricants d'appareils industriels continuent à vendre des produits tournant avec des versions précédentes de Windows Mobile, et que ces systèmes d'exploitation restent encore largement utilisés sur le marché.

Une solution déjà déployée avec PeopleSoft

Oracle a déployé le client mobile dans son application de gestion de stocks PeopleSoft Mobile, sortie la semaine dernière. Le coût du Client Mobile est de 5 dollars par utilisateur, mais peut être fixé également par appareil. Enfin, Oracle fournit une extension gratuite de son JDeveloper IDE (environnement de développement intégré) pour la conception d'applications utilisant ce client.

Illustration principale : Application Java pour les terminaux mobiles d'un assureur automobile

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