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Smartphones

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(11/03/2011 10:55:15)
Apple capte près de trois quart des applications téléchargées
7,9 milliards d'applications ont été téléchargées l'an passé dont 5,6 milliards pour les iPhones, iPod Touch et iPad, soit 71% des applications mondiales téléchargées en 2010. D'après ABI Research, 2011 s'annonce plus concurrentielle avec la montée en puissance de l'Android Market. 1,9 milliard d'applications issues de la plateforme ont été téléchargées en 2010. Le magasin de Google dispose à l'heure actuelle de plus de 130 000 applications disponibles dans 48 pays, deux fois moins que l'App Store d'Apple.
Les possesseurs de Blackberry ont téléchargé plus d'1 milliard d'applications.
(...)(09/03/2011 15:41:05)Une quasi moitié des ventes de mobiles sont des smartphones
25,6 millions de smartphones ont trouvé preneurs en Europe de l'Ouest au dernier trimestre 2010, d'après la dernière étude du cabinet d'analyse IDC. Ce segment de marché, combinant fonction téléphonique et services web et multimédia, représentent désormais 44% des ventes totales de téléphones mobiles.
Au dernier trimestre 2010, les ventes de smartphones ont grimpé de 99,4% par rapport au dernier trimestre de l'année précédente. Les appareils dotés d'Android ont dominé avec une part de marché de 31%, soit 7,9 millions de terminaux écoulés. La croissance annuelle des mobiles embarquant le système d'exploitation de Google atteint 1 580%. Les ventes de smartphones Windows Phone 7 ont doublé entre le dernier trimestre 2010 et les trois mois précédents. Les ventes d'iPhone d'Apple ont progressé, elles, de 66%.
Au total, 58,7 millions de téléphones portables ont été vendus en Europe de l'Ouest d'octobre à décembre 2010 (+3,2%).
SAS pousse la BI vers l'iPad et l'iPhone
Cet accord entre SAS et Mellmo va renforcer un peu plus la position des appareils mobiles d'Apple et en faire une cible privilégiée pour les fournisseurs de logiciels d'entreprise, en particulier ceux qui vendent des solutions BI. Ce partenariat avec Mellmo n'est pas le premier du genre, puisque l'éditeur a déjà passé des accords avec IBM, SAP, Salesforce.com, Microsoft et Oracle. L'intégration de la solution de SAS, qui s'appuie sur Enterprise BI Server, devrait être prête dès le début du mois prochain.
Ce n'est que tardivement que les fournisseurs de BI ont commencé à porter leurs logiciels sur mobile, et à vanter les avantages qu'auraient les employés nomades à pouvoir accéder à des données analytiques et à des rapports d'entreprise en temps réel. SAP se prépare à une course particulièrement agressive sur ce marché, notamment dès qu'elle aura mis en route, courant de cette année, une plate-forme mobile basée sur la technologie acquise avec l'achat de Sybase. Mais jusqu'à présent, l'adoption de la BI mobile est restée timide en raison de différents problèmes, certains liés à la sécurité et d'autres au facteur de forme des appareils mobiles qui ne permet pas une bonne utilisation de ces applications, comme l'indique un rapport de Forrester Research sur le sujet. « Les vraies applications de BI ont besoin d'un certain espace pour afficher, interagir et effectuer l'analyse de toutes les informations pertinentes. Il faut pouvoir faire la même chose sur un écran unique et de petite taille, » fait remarquer le rapport. Les applications mobiles d'informatique décisionnelle doivent permettre aux utilisateurs de travailler avec des données « utilisant des applications d'analyse classiques comme le « drill-across » pour les opérations ensemblistes, la hiérarchie « drill-down/drill-up » qui fait référence « à la synthèse des informations en fonction d'une dimension », et le « drill-through » « pour accéder au détail élémentaire des informations quand on ne dispose que de données agrégées », mais aussi pour filtrer, grouper, transformer, évaluer, et trier, » ajoute encore le rapport.
Selon Forrester Research, les appareils mobiles comme l'iPad d'Apple permettent de résoudre la question de l'ergonomie. « Avec cette nouvelle génération de BI mobile, adaptée à la future génération d'appareils mobiles, on va enfin pouvoir tenir la promesse d'accéder à l'information à tout moment, partout, et sur n'importe quel appareil. » Il y a aussi une multiplication croissante des possibilités d'utilisation de la BI mobile, ajoute le rapport. Par exemple, le logiciel pourrait aider un vendeur à conclure un marché en présentant des analyses à même d'emporter l'adhésion d'un client potentiel. Pourtant, les défis persistent pour la BI mobile, en particulier en matière d'offre d'expériences riches pour la variété d'appareils mobiles disponibles. « Les clients doivent évaluer attentivement la qualité des outils proposés par un fournisseur, notamment les capacités « write once, use anywhere » (écrire une fois, exécuter partout), » dit le rapport de Forrester.
Illustration principale : Solution Roambi de Mellmo, crédit D.R.
BlackBerry Protect Bêta propose un MobileMe gratuit
RIM est un peu en retard sur son agenda de développement. Elle avait en effet annoncé cette version bêta en juillet dernier, qui devait être généralisée à la fin 2010. Les possesseurs de BlackBerry qui ne se connectent pas via un BlackBerry Entreprise Server peuvent utiliser cette solution. S'ils perdent leur téléphone, ils peuvent localiser leur terminal sur le portail BlackBerry Protect. Il peut alors le verrouiller à distance et afficher un message sur l'écran d'accueil pour indiquer des coordonnées pour le renvoyer ou le rapporter. La sauvegarde à distance des données sur le téléphone est aussi disponible ainsi qu'effacer ces informations stockées dans l'appareil et sur la carte MicroSD. Si le smartphone est très probablement égaré dans un environnement proche, l'utilisateur peut activer à distance une sonnerie forte, même quand le téléphone est en mode silencieux. Les clients intéressés par ce service peuvent installer l'application depuis le BlackBerry App World Center Test. Elle est gratuite.
Incompatibilité avec BES
Suite à un article de blog annonçant l'open beta, quelques personnes ont écrit sur leurs déception de ne pas rendre ce service accessible pour ceux qui se connectent via le serveur BlackBerry Enterprise (BES). Utilisé par les entreprises, le BES permet aux administrateurs d'appliquer des politiques de sécurité et de performance, y compris des fonctions d'effacement à distance. RIM n'a pas répondu sur ce sujet.
Par ailleurs, cette solution est pour l'instant disponible aux Etats-Unis et en Amérique Latine. Elle devrait arriver très prochainement en Europe et pourquoi pas en langue Française. Cette solution s'apparente au service MobileMe proposé par Apple, mais celui-ci est payant. Un autre moyen de jouer la carte de la différence.
(...)
Oracle rend la gestion des stocks « mobile »
L'application de gestion de stock, appelée Mobile PeopleSoft Inventory Management, est incluse dans la suite, et nécessite les applications de gestion de stock et de commandes - People Inventory et Fulfillment Management - pour fonctionner. Le client d'Oracle est destiné principalement à des appareils mobiles utilisant des anciennes versions de Windows Mobile (5 et 6) toujours vendus par Motorola et Intermec. L'application Mobile PeopleSoft Inventory Management peut également être exécutée sur un ordinateur de bureau tournant sous Windows. Pour l'instant, l'application ne fonctionne pas avec la version la plus récente de Windows Phone 7, mais Oracle y travaille, comme l'a confirmé un porte-parole de l'entreprise, sans cependant donner une date de sortie.
Avec cette application, les utilisateurs pourront vérifier l'inventaire pour s'assurer de la disponibilité des produits sans avoir à se déplacer jusqu'au lieu physique de stockage. L'application peut également être utilisée dans l'entrepôt pour effectuer la concordance entre l'inventaire physique et la base de données. Avec un matériel approprié, le logiciel peut scanner des codes-barres et les comparer directement avec ceux de l'inventaire en back-end, ce qui permettra de réduire certaines erreurs qui peuvent survenir quand les codes sont entrés manuellement. Le logiciel fonctionne dans le navigateur de Windows Mobile et communique avec une application Java hébergée sur un serveur d'application. L'interface utilisateur est identique, quel que soit l'appareil. L'utilisateur est authentifié directement par identifiant dans le système back-end de PeopleSoft.
Mobile PeopleSoft Inventory Management est la première application mobile d'Oracle à utiliser l'ADF (Application Development Framework) Mobile mise au point par l'éditeur, un middleware qui gère l'échange d'informations entre un appareil de poche et les systèmes back-end d'Oracle. Le client a été spécialement développé pour le secteur de la santé afin de permettre un meilleur contrôle sur l'inventaire et une meilleure gestion de la réception des produits médicaux, mais selon Oracle, il peut être utilisé dans tous les secteurs où il est nécessaire de gérer un inventaire physique.
Adobe expérimente Wallaby pour porter Flash sur iOS
Wallaby, qui sera offert gratuitement sur le site Adobe Labs, donnera la possibilité aux développeurs de convertir un fichier Flash créé dans l'outil de développement Flash Professionnel au format HTML. iOS d'Apple, qui ne supporte pas Flash Player, est la principale cible de Wallaby. Cette technologie peut aussi fonctionner sur les navigateurs comme Safari et Chrome, a déclaré Tom Barclay, chef de produit senior pour Adobe Creative Suite.
« Il s'agit d'une technologie expérimentale qui donne un aperçu de l'innovation que nous faisons autour de Flash et HTML et de montrer l'investissement que nous faisons dans les deux technologies que nous jugeons importantes pour le long terme », souligne Tom Barclay. Wallaby n'est pas fondé que sur du code HTML, mais comprend SVG et CSS, qui sont des technologies connexes.
Une conversion avec ses limites
Wallaby est une application AIR (Adobe Integrated Runtime) compatible avec Windows et Mac. Les développeurs peuvent convertir des fichiers au HTML5 via la fonctionnalité de glisser-déposer, affirme l'éditeur. Une fois les fichiers convertis, les développeurs peuvent le modifier à l'aide d'un outil d'édition HTML, comme Dreamweaver ou à la main.
Adobe Flash est une technologie brevetée, pour jouer à des expériences riches dans les navigateurs. Elle a été contestée par Apple en particulier, qui a fait valoir que pour ce type d'expérience, elle misait sur HTML5. Adobe considère que les deux formats peuvent coexister. Cependant, la conversion à partir de Flash au format HTML peut signifier la perte de certaines fonctionnalités, comme l'absence d'effets, la gestion des filtres et la fusion des claques, indique Tom Barclay. « Si une fonction Flash n'est pas pris en charge dans HTML, elle ne sera tout simplement pas disponible » conclut-il. (...)
Les ventes de smartphones Android détrônent BlackBerry
Entre novembre 2010 et janvier 2011, Android a capté pour la première fois 31,2% du marché américain, soit 7,7 points de gagner par rapport à la fin octobre 2010. Le système d'exploitation mobile de Google se place désormais devant Blackberry de RIM qui a représenté 30,4% des ventes de téléphones portables entre novembre 2010 et janvier 2011. Ce dernier affiche un recul de 5,4 points en comparaison aux résultats divulgués en octobre dernier. Apple monte sur la troisième marche (24,7%), devant Microsoft (8%) et Palm (3,2%).
A la fin du mois de janvier dernier, 234 millions d'Américains possédaient un téléphone mobile dont 65,8 millions étaient en possession d'un smartphone. Samsung s'avère le fabricant le plus sollicité avec un quart des ventes. Suivent dans l'ordre LG (20,8%), Motorola (16,5%), RIM (8,6%) et Apple (7%).
(...)(07/03/2011 17:06:24)Google améliore la sécurité des applications sur Android Market
« Nous avons identifié et supprimé les applications malveillantes. Elles ont profité de vulnérabilités connues mais n'affectent pas les versions 2.2.2 ou supérieur d'Android », a déclaré Rich Cannings, spécialiste la sécurité sur l'OS mobile de Google, sur le blog de l'éditeur.
« Un certain nombre de mesures ont été prises pour protéger ceux qui ont téléchargé une application malveillante. Nous les avons retiré de la plateforme Android Market, suspendu les comptes développeurs associés et communiqué les informations à la Justice. Par ailleurs, nous avons éliminé à distance les applications malveillantes qui ont touché les terminaux », a ajouté Google confirmant ainsi l'existence d'un« coupe-circuit » pour les applications.
Un coupe-circuit via une mise à jour
L'éditeur a déclaré que ce procédé est intégré dans une mise à jour de sécurité de l'application Android Market, poussée sur les équipements infectés. « La mise à jour inverse le processus mis en place par les logiciels malveillants pour empêcher le ou les pirates d'accéder à plus d'informations depuis le mobile. » La firme de Moutain View a dit que ceux touchés par les applications malveillantes recevront un email de android-market-support@google.com au cours des prochaines 72 heures et qui leur indiquera « Android Market Security Tool Mars 2011» a été installé.
« Des mesures supplémentaires ont été apportées pour aider à prévenir ce type d'attaques utilisant des failles sur des applications distribuées via Android Market. Un travail avec les partenaires a été réalisé pour fournir des correctifs sur des problèmes de sécurité sous-jacents », a ajouté Rich Cannings.
En complément, le filtrage des applications pourrait être aussi renforcé. La plupart des spécialistes de sécurité avaient alerté les utilisateurs sur des risques plus élevés d'attaques sur une plateforme ouverte comme Android.
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