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(05/01/2011 17:20:37)

74% des employés branchent leurs gadgets au réseau de l'entreprise

Selon une étude réalisée pour le compte de Virgin Media Business, près de 3/4 (74%) des salariés ont apporté et connecté au réseau de leur entreprise les terminaux mobiles qu'ils ont reçus à Noël. Les recherches commandées par le fournisseur révèlent que 40% de ces employés  ont branché leurs gadgets personnels, tels que des iPad et les smartphones, sans l'autorisation des services informatiques.

Mieux encore, les employés travaillant dans le secteur public britannique sont les pires contrevenants. 79% des travailleurs  de la fonction publique ont apporté leurs gadgets au bureau. « Les limites entre ce qui est un gadget et un outil de «travail» est encore très flous pour bon nombre de salariés. Il existe deux principales préoccupations pour les entreprises. Tout d'abord, c'est empêcher que les données de l'entreprise puissent être volées ou utilisées ailleurs que sur le réseau de l'entreprise et éviter que la capacité du réseau soit saturée par ces nouveaux gadgets », a expliqué Andrew McGrath, directeur général chez Virgin Media Business.

Accompagner la multiplication des équipements

« Ignorer la hausse prolifique des gadgets personnels dans le monde du travail n'est tout simplement pas une option. Les entreprises doivent prendre des mesures dès maintenant avec  des politiques d'utilisation bien définies et éduquer les employés afin qu'ils comprennent clairement pourquoi ces pratiques clés ont été mises en place. »

Andrew McGrath assure que lorsque les employés sont sensibilisés à ces principes, ils pourront aider l'entreprise à maitriser la prolifération de ces gadgets pour garder confidentielles certaines informations et éviter de saturer la bande passante. « Une fois les règles de base fixées, les entreprises sont libres d'adopter pleinement les nouvelles technologies et profiter de tous les avantages qu'elles offrent » conclut-il.

(...)

(05/01/2011 17:05:46)

Amazon prépare l'ouverture d'un Appstore pour Android

Les applications seront vendues sur l'Appstore Amazon pour Android, que la société prévoit de lancer plus tard cette année, selon les informations publiées sur le portail en version bêta dédié aux développeurs. Au lancement, cette boutique en ligne sera disponible pour les clients aux États-Unis, et elle s'adressera aux versions 1.6 et supérieures d'Android. Les utilisateurs seront en mesure d'acheter des applications à partir de leur PC, ce qui n'est pas possible avec la version actuelle d'Android Market, ou depuis leur smartphone, et de payer avec leur compte Amazon existant. Ce magasin en ligne comprendra des applications gratuites et payantes.

Pour se différencier d'Android Market, la plateforme commerciale d'Amazon va offrir plus d'informations sur les applications. Les pages relatives au produit afficheront un nombre illimité d'images, des descriptions détaillées et jusqu'à cinq vidéos de deux minutes par produit, selon Amazon.

Prix fixés et approbation préalable


Pour soumettre des applications, les développeurs doivent disposer d'un compte sur Amazon et ensuite en créer un nouveau pour l'Appstore Developer Program. Rejoindre ce programme coûtera 99 dollars par an, c'est plus cher que les frais d'inscription unique de 25 $ pour l'Android Market de Google. Toutefois, Amazon pourrait réviser ce prix lors de la première année d'exercice. L'éditeur se réserve le droit de fixer les prix de détail pour les applications, bien que les développeurs puissent indiquer un « liste tarifaire » qui doit être inférieur ou égal au prix des versions actuelles et antérieures de l'application, que ce soit sur Amazon ou ailleurs. Sur la rémunération, les développeurs retireront 70% du prix de vente de l'application. Contrairement à Google, Amazon aura un processus d'approbation des applications soumises à son Appstore. La société fera des tests afin de vérifier leur fonctionnement sur les smartphones et la sécurité des données des clients. Les programmes à caractère pornographique seront interdits, comme ceux portant atteinte à la vie privée.

Amazon n'est pas la seule entreprise qui lance sa propre boutique pour Android. Les opérateurs mobiles comme Orange cherchent aussi à tirer bénéfice du succès de l'OS mobile. Cette multiplication n'est pas nécessairement une bonne chose du point de vue ergonomique, car cela signifie que les utilisateurs auront besoin de chercher une application sur plusieurs endroits, a déclaré Mark Newman, directeur de recherche au cabinet Informa Telecoms and Media. Toutefois, il constate que cette diversité augmentera la part de marché de l'OS mobile avec une plus grande quantité d'applications.

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(05/01/2011 10:36:02)

Morcelé, le marché de la mobilité cherche à recruter

Le secteur de la mobilité numérique représente 47 000 emplois dans l'hexagone, hors opérateurs télécoms, selon le Syntec Informatique, qui est le syndicat de l'industrie informatique en France. Côté budgets, en 2009, les entreprises françaises ont dépensé en tout 2,2 milliards d'euros pour la mobilité numérique (hors factures de téléphone et de SMS, mais y compris les abonnements aux réseaux de données des opérateurs). Environ un tiers de ces dépenses a été consacré à l'achat d'appareils de type smartphones, terminaux durcis, PC portables etc, et un peu plus de 20% correspond aux abonnements de mobilité data des opérateurs mobiles. Le reste, c'est à dire presque un milliard d'euros a été consacré aux achats de logiciels et de services informatiques pour des applications mobiles.

L'offre de services est particulièrement émiettée. Et ce n'est pas nouveau tant les compétences nécessaires sont multiples face à l'explosion des systèmes d'exploitation et des facteurs de forme pour les terminaux (netbook, tablettes, smartphone). Le Syntec identifie pas moins de 5400 éditeurs et SSII qui travaillent dans le domaine de la mobilité pour les entreprises. Un véritable écosystème se met en place sur le territoire, avec de grands acteurs nationaux et internationaux mais aussi de petites structures qui ont développé une compétence dans le domaine de la mobilité. Notamment 10% de ces prestataires ne travaillent que dans les applications mobiles, et il s'agit principalement de petites structures de moins de 5 salariés. On trouve quelques entreprises de taille moyenne (de 10 à 30 salariés) dont la mobilité numérique est le coeur d'activité. Mais majoritairement (à 65%), les applications mobiles sont prises en charge par des entreprises pour lesquelles cette activité n'est pas majoritaire mais où elle enregistre une forte croissance. Il faut ajouter à ces acteurs les fabricants d'équipements (smartphones, ordinateurs portables, terminaux durcis, composants M2M) ainsi que les opérateurs de télécommunications.

Quelques difficultés pour trouver des compétences

Au bout du compte, les éditeurs de logiciels et les SSII emploient en tout 32 000 personnes dédiées à la mobilité numérique tandis que les entreprises utilisatrices de plus de 500 salariés emploient en tout 15 000 personnes dédiées. La très grande majorité des effectifs sont employés pour des usages B2B. On n'en trouve que 17% travaillant pour des usages B2B2C, 16% pour des usages M2M et 4% pour des utilisations B2C.

Le secteur va avoir de gros besoins dans les années à venir. Les applications mobiles ayant le vent en poupe dans les entreprises. Les éditeurs de logiciels et les SSII prévoient ainsi de recruter 11 000 collaborateurs d'ici 5 ans. Les métiers les plus porteurs seront la conception-réalisation, l'intégration-déploiement et l'assistance. Les bons profils ne sont toutefois pas légion. 24% des éditeurs et 25% des SSII ont des difficultés de recrutement principalement pour les profils conception et réalisation, et de manière moins importante pour les métiers de l'assistance, l'AMOA, l'intégration et le déploiement. Le Syntec regrette que face à ces besoins, il existe peu de formations spécifiques et peu de visibilité de la part des organismes de formation sur le futur de la mobilité numérique. Une action déterminée en direction des formations initiales et des formations continues est indispensable, demande le syndicat. 

Cette étude du Syntec a été réalisée entre les mois de janvier et mai 2010. 80 entretiens qualitatifs ont été réalisés avec des fournisseurs du secteur, des entreprises utilisatrices, des organismes institutionnels, des organismes de formation et des salariés du secteur. 300 entretiens téléphoniques ont été effectués aux mois d'avril et de mai auprès d'entreprises utilisatrices de plus de 500 salariés, des éditeurs de logiciels et des SSII.

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(27/12/2010 15:15:16)

Hausse de la TVA : résilier sans pénalité son forfait mobile/Internet

La hausse de la TVA sur le volet télévision des abonnements triple play et mobiles 3G entrera en vigueur au 1er janvier prochain. Les opérateurs ont d'ores-et-déjà prévu de répercuter cette hausse sur les factures de  leurs abonnés. Des augmentations comprises entre 1 et 3 euros sont attendues selon les opérateurs et les offres.

Or, le code de la consommation précise dans son article L121-84 que "tout projet de modification des conditions contractuelles de fourniture d'un service de communications électroniques est communiqué par le prestataire au consommateur au moins un mois avant son entrée en vigueur, assorti de l'information selon laquelle ce dernier peut, tant qu'il n'a pas expressément accepté les nouvelles conditions, résilier le contrat sans pénalité de résiliation et sans droit à dédommagement, jusque dans un délai de quatre mois après l'entrée en vigueur de la modification".

Résiliation pour un contrat mobile ou Internet

En clair, les abonnés d'un opérateur qui augmentera ses tarifs avec le passage de la TVA à 19,6% sur le volet télévision (contre 5,5% jusque-là) pourront faire valoir cette hausse pour changer de fournisseur d'accès à Internet ou d'opérateur mobile, et ce, gratuitement, même s'ils n'ont pas honoré toute la durée de l'engagement qui reste à couvrir.

A ce jour, seul Orange a clairement annoncé une hausse des factures. A compter du 1er février, les clients de l'opérateur historique devront payer 1 à 3 euros de plus par mois. Sont concernés les offres triple play regroupant Internet, TV et téléphonie fixe, ainsi que les forfaits mobiles permettant de regarder la télévision sur son téléphone portable. Cette modification du contrat, communiquée aux clients par courrier, donnera droit à une résiliation sans frais de l'abonnement Orange, tout en ayant la possibilité de conserver son téléphone.

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(27/12/2010 09:50:24)

La réalité augmentée au service de la relation client

Prendre son téléphone portable, utiliser sa caméra et viser une rue pour trouver la route vers un magasin ou un endroit où obtenir un service via des indications ajoutées sur l'écran : c'est là une application concrète de la réalité augmentée sur terminal mobile (RATM). De telles applications se multiplient en ce moment mais pour une utilisation relativement marginale.

Pourtant, selon le cabinet Forrester, « toutes les conditions sont réunies pour une adoption progressive » de cette technologie. Cet institut vient de publier son étude « Mobile Augmented Reality - Beyond The Hype, A Glimpse Into The Mobile Future » qui est très favorable à la réalité augmentée sur terminaux mobiles (RATM). Plutôt pilotés aujourd'hui par les services marketing, la RATM s'intègrera un jour ou l'autre dans les SI et est donc appelée à repasser sous la coupe de la DSI. Forrester ne prend pas position sur le sujet et en reste pour l'heure à un pilotage par le marketing.

Une levée des freins

Forrester argumente sa position très favorable sur la RATM tout d'abord en relevant que les principaux freins à l'adoption de celle-ci sont en train d'être levés. Le premier de ces freins est la capacité des terminaux mobiles eux-mêmes à réaliser de la RATM. Or les téléphones et autres tablettes voient leurs puissances de calcul comme de stockage de données exploser. Le deuxième est l'existence des réseaux haut débit mobile 3,5G. Ceux-ci sont suffisants pour la RATM selon Forrester sans qu'il soit nécessaire d'attendre un déploiement de la 4G (LTE...). Mais que la RATM soit possible n'implique pas forcément qu'elle soit utilisée. « Les marketeurs et spécialistes produits se doivent d'être prudents lorsqu'ils intègrent la RA dans leur stratégie mobile pour 2011 » tempère Forrester qui reconnaît l'immaturité du concept.

Eduquer les consommateurs

Malgré tout, « le comportement des consommateurs devrait évoluer progressivement ». Pour justifier cette position, Forrester estime que les consommateurs sont de plus en plus habitués à interagir avec leur environnement grâce à leur terminal mobile. L'exemple pris peut laisser dubitatif : la prise de photographies qui, aujourd'hui, est plus importante en quantité avec les smartphones qu'avec des appareils photographiques. Mais il faut reconnaître qu'il s'agit là du premier stade d'interaction : la prise d'une image pour, par exemple, la mettre aussitôt en ligne sur Facebook. Selon Forrester, la RATM se développera conjointement avec les autres technologies d'interaction de l'utilisateur de smartphones, avec, au premier chef, la géolocalisation mais aussi la lecture de codes barres ou de puces NFC. Le développement de chacune de ces technologies renforcera les autres avec un effet de cercle vertueux.
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(24/12/2010 12:18:56)

La racetrack memory d'IBM veut concurrencer la mémoire flash

Appelée « racetrack memory, » il s'agit d'une technologie sur laquelle le chercheur d'IBM Stuart Parkin travaille depuis 2004. Contrairement à un disque dur, qui tourne autour de charges magnétiques des atomes à l'aide d'un moteur, la racetrack memory utilise des courants électriques pour déplacer des paquets d'électrons, appelés des murs magnétiques, maintenus de haut en bas par un fil minuscule. « C'est comme une sorte d'onde magnétique que nous bougeons sans avoir à déplacer les atomes », a déclaré Stuart Parkin.

En déplaçant ces murs vers un lecteur, la racetrack devrait être capable de lire et écrire des données beaucoup plus rapidement en utilisant beaucoup moins d'énergie que les dispositifs actuels de stockage. Stuart Parkin pense qu'il peut avoir un effet important sur la capacité de stockage des appareils électroniques courants, comme les téléphones. Avec du financement, il pense que d'ici deux à cinq ans, il pourra construire des puces avec des fils qui amèneront les murs magnétiques vers des capacités de stockage intégrant jusqu'à cent fois plus de données que les puces équipées de mémoire flash. Avec l'utilisation de fils de quelques microns de long et environ 30 nanomètres de large - un millième de l'épaisseur d'un cheveu humain - les puces équipées de cette technologie pourront stocker des centaines de Go, voire quelques téraoctets de données, prédit le chercheur.

Les ondes magnétiques ont une masse


L'équipe de Stuart Parkin a déjà développé des prototypes de racetrack avec la possibilité de lire et d'écrire des ensembles de données simples. Mais jusqu'à présent, il y avait une question clé à résoudre: comment déplacer exactement les murs magnétiques ?  Avant, il y avait deux écoles de pensée sur cette question. Une approche qui estime que les ondes magnétiques décrites par Stuart Parkin n'ont pas de masse et ne se déplacent qu'à une vitesse définie en fonction d'une impulsion électrique donnée. L'autre approche  est de dire que ces ondes ont une masse soumise aux lois de l'inertie mais elles peuvent prendre de la vitesse pour accélérer jusqu'à plusieurs centaines de miles par heure et s'arrêter lorsqu'il n'y a plus de courant. C'est ce qu'ont souligné les chercheurs dans un article publié sur la question le 24 décembre dans Science Magazine. Fort de cette connaissance, ils vont pouvoir déplacer et récupérer des données sur la technologie racetrack.

Il y a encore beaucoup de travail à faire avant qu'elle devienne une réalité, mais la résolution de la question des déplacements des murs magnétiques est un grand pas. Il demeure des problèmes sont plus pratiques et moins théoriques : comment voulez-vous construire un puce racetrack qui fonctionne de manière fiable avec des millions voire des milliards de ces fils, par exemple » conclut le chercheur.

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