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(16/09/2010 14:39:45)

T-Systems inaugure son Innovation Center à Munich

L'Innovation Center inauguré à Munich le 13 septembre dernier par T-Systems était l'occasion pour l'entreprise de présenter certains des projets déjà entamé au sein de ce centre de R&D, en partenariat avec l'Université Ludwig Maximilian de Munich. Mais avant de faire la démonstration de ces prototypes, la filiale de Deutsch Telekom a tenu à insister sur le rôle exact de ce centre de recherche. Le but est en effet de faire intervenir les sociétés clientes dès le début, et de les rapprocher au plus près du processus de conception des prototypes afin qu'ils puissent voir chaque étape, et que ces technologies soient plus rapidement viables que dans leur cycle de développement classique. C'est, en somme, un lieu de test impliquant le client, les partenaires du centre, les étudiants et T-Systems où chacune des parties peut proposer ses idées et les expérimenter dans un environnement directement observable.

Un datacenter à consommation optimisée

Parmi les projets présentés, on trouve le Datacenter 2020, installé deux ans auparavant en partenariat avec Intel, et qui, durant cette période, a été l'objet de très nombreux ajustements en vue d'améliorer son PUE, ou efficacité énergétique. Via un plafond modulant l'espace occupé par le datacenter, et d'autres paramètres comme les serveurs en eux-même et la circulation des airs chauds et froids, les chercheurs envisagent d'arriver prochainement à un PUE de 1,4, soit 30% de moins que les datacenters classiques. Pour ce faire, ils préconisent d'utiliser moins de ressources matérielles de sauvegarde, et de faire plus confiance à l'infrastructure. C'est par ailleurs parce que ce projet était présent sur les lieux qu'il a été décidé de choisir Munich pour construire l'Innovation Center autour de celui-ci, pour le combiner aux futurs programmes mis en place. T-Systems avait aussi déjà investi 2,5 millions d'euros dans ce datacenter, argument qui a peut-être joué.



Une pile à combustible géante

Mais l'élément le plus intéressant provient certainement de l'alimentation de ce centre de calcul. Outre la connexion classique au réseau électrique national, une pile à combustible de grande envergure et placée en appoint à la structure de l'entreprise fournit à la fois l'énergie dont a besoin le datacenter via des réactions chimiques, mais transforme aussi la chaleur dégagée en eau froide via un réfrigérateur d'absorption pour le refroidissement du 2020. Potentiellement, même si ce n'était pas le cas durant la visite, la chaleur dégagée peut être partiellement redirigée avant sa transformation en eau et servir à chauffer les bureaux de l'entreprise dans laquelle la pile à combustible a été installée. Pour l'heure, il a un facteur d'efficacité de 47%, et produit 250 kW d'énergie électrique (pour 238 kW utiles), et 180 kW d'énergie thermique. Le seul problème, de l'aveu même des chercheurs, c'est qu'en cas de panne, il faut au minimum trois jours pour tout remettre en place. Mais ce système de production autonome d'énergie déjà utilisé dans l'industrie aérospatiale a une durée de vie allant de 15 à 20 ans, durée après laquelle il faut remplacer la matrice d'électrolyte située entre l'anode et la cathode. A noter que l'usagée sera recyclée pour rester dans l'optique « green », précise le Dr Rainer Weidmann, responsable du développement de la pile. Durant ses six mois de mise en service néanmoins, aucune panne n'a encore été détectée, la stabilité étant relativement acquise étant donné que le système se base sur une réaction chimique.



Des voitures connectées

Outre ces solutions vertes, l'Innovation Center se diversifie dans la nature des projets entamés. L'un de ceux qui ont été présentés concernait les voitures connectés. A travers une simulation des systèmes GPS opérée par l'application Ubisense et des voitures téléguidées par un iPad et surmontées d'un smartphone, il a été fait la démonstration d'un système anti-collision capable de détecter la proximité d'autres voitures, mais aussi la signalisation. Par cette détection, les petites voitures étaient en mesure de s'arrêter de leur propre chef, connectées au système les informant du danger imminent. Dans un entretien, Horst Leonberger, responsable de ce projet chez Deutsch Telekom, précise vouloir aller plus loin, et outre les systèmes d'avertissements et de sécurité routière, il veut aussi connecter la voiture à Internet pour accéder à tout même sur la route. Il affirme par ailleurs être en partenariat avec BMW sur ce projet, et être en discussion avec Volvo, Peugeot et Renault.



Mobilité et interconnexion

Enfin, à travers d'ateliers, ont aussi été présentées des solutions de mobilité et d'interconnexion. Au niveau de la mobilité, un projet d'application SAP CRM pour smartphones (Blackberry, iPhone et Windows Mobile pour le moment, mais prévue pour Android) rend possible l'accès à certaines fonctionnalités de la solution classique. Développé avec Sybase, ce projet peut synchroniser les informations avec les serveurs de l'entreprise et a pour but de faire entrer l'entreprise de plus en plus dans la mobilité. En terme d'interconnexion, le projet Unified Communication & Collaboration (UCC) met en place un datacenter capable de traduire les principaux langages des réseaux locaux d'une entreprise filialisée, même si chacune des sections utilise un réseau local différent, que l'une soit équipée de Cisco ou l'autre d'Alcatel par exemple. Via une interface logicielle quelque peu similaire à Windows Live Messenger de ce datacenter de traduction, elles pourront communiquer de personne à personne. A noter la compatibilité avec les terminaux mobiles pour les employés en déplacement. Enfin, dans un autre registre, le projet de compteurs intelligents testés à Friedrichshafen (« T-City », ville d'implémentation des projets de T-Systems pour une ville connectée) veut mettre en réseau, à l'instar de l'initiative française, la consommation électrique, mais ici, inclure aussi celle de l'eau et du gaz pour relier les distributeurs aux clients en temps réel.



Illustration : Reinhard Clemens, PDG de T-Systems
Crédit Photo : D.R.

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(16/09/2010 10:20:50)

Tromperie sur l"Internet illimité", UFC-Que Choisir assigne Orange et SFR

"Ces assignations sont le prolongement d'une action que l'on mène depuis deux ans contre la terminologie employée par les opérateurs sur leurs forfaits", a déclaré à Relaxnews Edouard Barreiro, chargé de mission à l'UFC pour les nouvelles technologies de l'information. "Les opérateurs visés vendent quelque chose qui n'est ni de l'Internet, ni de l'illimité, mais ils continuent d'utiliser ces termes dans la publicité de leurs offres". L'UFC reproche à Orange et SFR d'utiliser ces notions alors qu'il existe en réalité plusieurs restrictions d'usage, comme l'interdiction des applications peer-to-peer, des logiciels de voix sur IP, ou les plafonds de consommation pour la réception et l'envoi de données sur le réseau mobile.

"Le mot Internet pose problème dans la communication des opérateurs mobiles. Il faudrait plutôt appeller ça un 'forfait de données' ou un 'accès à certains services d'Internet' afin que le consommateur comprenne vraiment ce qu'il va acheter. Le mot Internet doit être protégé" indique M. Barreiro. Si Orange et SFR ont été assignés au civil, Bouygues Telecom ne fait pas exception. L'UFC-Que Choisir se donne juste un peu plus de temps afin de collecter toutes les pièces nécessaires et constituer le dossier.

En février dernier, le nouveau patron de France Télécom, Stéphane Richard, avait admis que le terme "illimité" était employé de manière inappropriée et plaidé pour en réduire l'usage dans une démarche de transparence pour le consommateur. "On a un peu trop abusé, à mon avis, des publicités avec les astérisques (...) c'est à dire l'offre formidable qu'on vous présente, en général avec le mot "illimité" (...). Je crois qu'il faut arrêter ça" avait-il déclaré sur l'antenne de RTL.

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(16/09/2010 10:45:01)

Le marché des smartphones progresse toujours en Europe

Le marché des téléphones mobiles (tous types confondus) se traîne en Europe de l'Ouest. Selon IDC, les ventes de ces produits ont atteint 43,3 millions d'unités au deuxième trimestre 2010, soit une progression de seulement 1,5% par rapport à la même période en 2009. En comparaison, lors du même trimestre, au niveau mondial, les ventes progressaient de 14,5%. Le coupable est sans conteste le téléphone mobile traditionnel dont les volumes écoulés ont chuté de 14% à 28,7 millions d'unités. Fort heureusement, son successeur, le smartphone affiche une santé insolente qui permet à l'ensemble du marché de l'Europe de l'Ouest de garder la tête hors de l'eau. En effet, ce segment a enregistré une croissance de 60% en volume, avec 14,6 millions d'unités commercialisées, durant le second trimestre 2010. De fait, il représente aujourd'hui 34% du marché total des téléphones mobiles.

Android sera le deuxième OS mobile dès le début 2011 pour IDC

Pour quiconque suit le marche de la téléphonie mobile de près, le renforcement des parts de marché de smartphones n'est pas une surprise. En revanche, si elle était prévisible, l'explosion des ventes de smartphones sous Android a atteint des proportions étonnantes. Lancé il y a deux ans, l'OS pour mobile de Google a en effet vu sa part de marché passer de 4% au deuxième trimestre 2009 à 15% sur le segment des smartphones entre avril et juin 2010. Il prend ainsi la quatrième place du classement des OS mobiles en Europe de L'Ouest. Pour IDC, le système d'exploitation de Google devrait prendre la seconde place de ce classement dès le premier trimestre 2011. 

Du côté des constructeurs, Nokia occupe toujours la première place, à la fois sur le marché global des smartphones et des mobiles traditionnels comme sur le segment des smartphones seuls. Sur ce dernier secteur, sa part de marché a toutefois baissé de 15 points sur un an pour atteindre 40% quand celle d'Apple restait stable à 19%. RIM remonte en quant à lui la pente avec une part de marché de 18% en hausse de 5 points. cette progression qui lui permet de conserver la troisième place du classement des fabricants de smartphones en Europe de l'Ouest devant HTC et Samsung. (...)

(15/09/2010 15:59:22)

WorkLight étend sa plateforme aux BlackBerry et à iOS

Cette infrastructure client-serveur pour les applications mobiles professionnelles qui se compose d'un ensemble de bibliothèques, de serveur middleware, et de code client natif, autorisant la connexion à des applications mobiles via des solutions d'authentification ou à des serveurs délivrant ces applications. Récemment, WorkLight a créé une couche logicielle native pour l'iOS d'Apple pour adapter les applications iPhone et iPad. Maintenant, le logiciel supporte les OS 5 et 6 de BlackBerry. Pour ces derniers, les développeurs peuvent créer au choix des applications pour le Web ou des applications natives.

Selon l'architecte principal du projet, une importante banque en ligne européenne, qui a demandé l'anonymat, utilise WorkLight pour prendre en charge les futures applications iOS. La banque compte toucher environ 100 000 clients actifs, qui jusqu'à présent n'utilisait pas leur smartphone pour effectuer des opérations bancaires en ligne. L'organisme financier est en phase de test sur ces applications pour éprouver la connexion sécurisée entre le logiciel serveur de WorkLight et les systèmes d'authentification de la banque. Selon ce développeur, elle compte profiter des évaluations pour adapter ensuite avec facilité les mêmes applications vers Android et Blackberry.

Un panel d'outils

La plate-forme de WorkLight a plusieurs composantes, à commencer par WorkLight Studio, un plug-in et une gamme d'outils pour l'environnement de développement intégré Eclipse. Celui-ci supporte à la fois le SDK natif pour iOS, BlackBerry et Android, et des technologies de développement d'applications Web standards, comme le HTML, le CSS et Javascript. Studio supporte les catalogues d'applications en ligne des trois systèmes d'exploitation mobiles. WorkLight Server permet pour sa part, de créer l'environnement runtime nécessaire aux applications WorkLight. Il offre des « adaptateurs » XML pré-construits qui se connectent à de nombreux systèmes back-end via des interfaces standards ou propriétaires, et à des services Web, tels que le SQL, le LDAP, SharePoint, SAP, HTTP, REST, WSDL/SOAP. Il supporte également les API de Facebook et de Twitter. Le système de cache flexible de WorkLight Server peut être modulé en fonction des applications. « L'approche simplifie le code client et permet à l'entreprise d'apporter des modifications sur le serveur sans avoir à redéployer le logiciel client, » a déclaré Ron Perry, CTO de WorkLight. Le serveur gère également l'enregistrement des événements, qui sert de source pour une série de rapports qui rendent compte de l'utilisation des applications, des problèmes et des tendances, le tout via une console.  Installé derrière le pare-feu de l'entreprise, WorkLight Server supporte les protocoles HTTP/S.

Une bibliothèque dédiée à Apple

Pour iOS, WorkLight a créé une nouvelle bibliothèque, du nom de Objective C, qui peut être facilement incluse dans une application iPhone pour gérer les communications avec WorkLight Server. « Cette modalité permet à l'entreprise de disposer d'un point de contrôle central pour les applications iOS accédant aux ressources disponibles, tout en tirant pleinement parti des nombreuses fonctionnalités de l'interface utilisateur de ces smartphones tournant sous des systèmes d'exploitation dernière génération, » a déclaré Ron Perry. « Les applications WorkLight créées pour l'un de ces systèmes peuvent être assez facilement adaptées pour d'autres plateformes, » a-t-il ajouté. « Une grande partie du code client peut être réécrite avec le SDK correspondant, et exploiter les mêmes caractéristiques serveurs de WorkLight. »

De nombreuses sociétés s'intéressent au développement d'applications pour l'environnement mobile. Comme Sybase qui propose sa Unwired Platform ou Sencha (anciennement Ext JS) qui a adapté sa plate-forme transversale et le framework de son navigateur Sencha Touch pour les navigateurs mobiles à condition qu'ils soient construits sur Webkit (il supporte le HTML 5, le CSS3, et Javascript). Le prix de la plateforme mobile WorkLight dépend du nombre de clients utilisant des applications mobiles créées et déployées sous WorkLight. Le prix d'entrée est de 20 000 dollars pour une licence comprenant «plusieurs milliers d'utilisateurs », a précisé Yonni Harif, directeur du marketing de WorkLight.

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(13/09/2010 16:10:55)

Des puces Qualcomm dans le prochain iPhone ?

En rachetant l'activité wireless d'Infineon, Intel a peut-être accéléré un changement radical de la part d'Apple. Partenaires de longue date (depuis 2007 sur le premier iPhone), la firme de Cupertino pourrait rompre ses relations avec Infineon et se tourner, selon une étude, vers les puces de Qualcomm pour équiper le prochain iPhone, dévoilé probablement l'été prochain. Ce rapport effectué pour le magasin chinois Commercial Times, souligne que les intégrateurs resteront Hon Hai Group et Foxconn.

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(13/09/2010 15:52:05)

Flash Pro pourra créer des applis pour iPhone

Cette annonce, qui devrait permettre l'arrivée d'applications conçues et développées dans le format Flash Professionel CS5, a suscité une brève déclaration de la part d'Adobe. Ainsi, selon un porte-parole de la société, l'éditeur de San José se dit "encouragé de voir qu'Apple lève ses restrictions sur ses conditions de licence, ce qui donne aux développeurs la liberté de choisir les outils qu'ils utilisent pour développer des applications pour les appareils Apple."

Pour l'instant, ni Apple ni Adobe n'ont confirmé que les applications créées avec Flash Pro passeront l'étape rigoureuse de sélection mise en place par la firme de Cupertino. Mais ce changement dans les termes annule l'interdiction d'Apple quant à la possibilité de proposer des applications réalisées avec l'outil d'Adobe. Il élimine également les problèmes potentiels que pourraient poser des logiciels conçus pour consulter des contenus numériques et réalisés dans InDesign, comme le Wired Reader - actuellement en version bêta - créé pour l'iPad en partenariat avec le magazine Wired. Pour l'heure, Adobe n'a publié aucun détail sur la façon dont ces applications sont compilées, mais elles pourraient être techniquement considérées comme ayant été créées par un outil tiers. En avril dernier, Adobe avait annoncé qu'elle arrêterait le développement d'outils pour concevoir des applications pour l'iPhone avec les futures versions de Flash. À la question de savoir si Adobe envisage de revoir sa décision, la réponse est d'ores et déjà oui. Sur un blog maison, l'éditeur confirme que Flash Pro pourra bien créer des applications pour la plate-forme App Store.

Un revirement stratégique devant la menace Android

La raison pour laquelle Apple a d'abord interdit puis autorisé ces Apps fait l'objet de beaucoup de conjectures. Dans un premier temps, Apple a fait valoir qu'en ne choisissant pas cette solution pour produire rapidement et facilement des jeux - la plupart des jeux accessibles sur Internet sont disponibles dans ce format -  elle voulait préserver la qualité de l'expérience utilisateur... et s'assurer un meilleur bénéfice. Ce type de développement, relativement coûteux, signifiait aussi que les développeurs devaient se faire payer même le plus simple des jeux, en laissant au passage les 30% de commission habituelle au constructeur. Autre motif souvent évoqué : en empêchant le développement d'applications pour plusieurs plates-formes à la fois (Android, Windows Mobile, Blackberry OS ou Symbian) - comme vise à le faire Flash CS5 - le développement de logiciels pour les plates-formes autres que l'iPhone et l'iPad est moins rentable pour les agences.

Comme d'habitude, Apple en dit le moins possible. Mais il est clair que de nombreux services interactifs se réjouissent de la nouvelle : le coût de la création de jeux pour iPhone a chuté de façon spectaculaire, ce qui leur permet de proposer des projets d'applications à un nombre de clients beaucoup plus large. Les développeurs Flash vont être aussi particulièrement gâtés. Reste à savoir si les consommateurs apprécieront l'avalanche rapide d'advergames, ces jeux vidéo publicitaires, qui encombreront inévitablement leur mobile. Reste que le lecteur Flash est toujours persona non grata sur les terminaux iOS d'Apple tout comme les applications AIR.

Crédit photo : D.R.

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