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(23/09/2010 13:58:52)

Pas de mobile Facebook mais une meilleure intégration logicielle aux smartphones

"Notre stratégie n'est pas de concevoir un terminal ou un système d'intégration particulier. Nous n'essayons pas de rivaliser avec Apple ou avec le Droid (de Motorola, ndlr.), ou tout autre fabricant", a déclaré Mark Zuckerberg dans un long entretien accordé au site Techcrunch, qui avait en premier évoqué la rumeur d'un téléphone Facebook. "Notre stratégie est très horizontale. Nous essayons de développer une couche sociale pour tous les appareils afin que chaque application puisse être sociale sur le Web ou les terminaux mobiles".

Le patron de Facebook a également précisé que la conception d'un système d'exploitation mobile n'était pas à l'ordre du jour. La société préfère miser sur une sur-couche logicielle qui pourrait être personnalisée selon les téléphones ou les systèmes d'exploitation.

Jeudi matin, l'agence Bloomberg a toutefois relancé la rumeur d'un "Facebook phone" en affirmant que le réseau social américain travaillerait avec le fabricant britannique INQ Mobile pour concevoir deux modèles de smartphones intégrant les services de Facebook. Ces terminaux devraient utiliser le système Android de Google, et sortir au premier semestre 2011 en Europe, puis au second en Europe.

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(23/09/2010 13:10:34)

Qualcomm détaille la technologie sans fil Peanut

Qualcomm a développé une technologie radio à courte portée, baptisée Peanut moins gourmande en énergie que les connectivités ZigBee, Bluetooth et Ultra Wideband. Matt Grob, vice-président senior de la recherche et du développement chez Qualcomm a expliqué lors du Congrès Emtech@MIT 2010 que « Peanut pourrait être utilisé pour les communications radio dans des architectures électroniques embarquées de type Body Area Network (BAN), qui permet une diffusion sur une distance allant de quelques centimètres à quelques mètres. Peanut pourrait également couvrir la surface d'une pièce » et d'ajouter « le système nécessiterait une puissance d'une fraction de milliwatt, mais les données se pourront se déplacer à grande vitesse ». Dans sa présentation de Peanut, le responsable a affirmé que cette technologie sans fil était capable de fournir suffisamment de puissance pour permettre à des applications datas, voix et audio de fonctionner à quelques mégabits par seconde, y compris pour la vidéo.

Des usages variés


Voilà quatre ans que Qualcomm travaille à développer la technologie Peanut, a t-il déclaré dans une interview, « elle devrait être prête pour un déploiement commercial d'ici un an. » Mat Grob a précisé que cette connectivité pourrait être utilisée de plusieurs manières différentes, par exemple dans les appareils destinés à renforcer la vigilance au volant. « Le système pourrait permettre d'isoler le conducteur, et pas les passagers, du réseau sans fil actif dans l'habitacle d'un véhicule, pour l'empêcher de dicter des textos ou de téléphoner, » a t-il déclaré. Le principal avantage de Peanut serait sa faible consommation en énergie comparé à d'autres liaisons radio à courte portée comme le Bluetooth et Zigbee, utilisés dans de nombreuses applications, par exemple pour faire communiquer entre eux des dispositifs de surveillance, ou encore des écouteurs associés à des téléphones mobiles ou les autoradios connectables à des téléphones. « Qualcomm travaille sur un grand nombre de projets différents, » a encore déclaré Matt Grob, précisant que la plus grande part de son budget de recherche et de développement est consacré aux communications 4G sans fil, y compris le LTE (Long Term Evolution) Advanced, future norme de l'internet mobile ultra rapide.

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(20/09/2010 09:39:19)

La plate-forme Android est-elle prête pour l'entreprise ?

Au cours des dernières semaines, des études de marché ont révélé qu'Android passait rapidement devant l'iOS d'Apple en termes d'utilisation pour de l'accès web sur les mobiles. Les analystes ont prédit qu'Android devrait devancer RIM et Symbian pour devenir d'ici 2014 la plate-forme mobile dominante. Mais les administrateurs informatiques pourraient avoir un point de vue quelque peu différent sur cette plate-forme. Pour certains, le fait qu'Android soit en Open Source est un avantage. Pourtant, alors que les plateformes et les applications Open Source ont en théorie de nombreux atouts, elles n'ont pas réussi à se faire réellement une place dans le monde des entreprises.

Les entreprises veulent pour leurs mobiles des éditeurs avec qui ils peuvent travailler - et qu'ils peuvent montrer du doigt. De nombreuses entreprises ont d'étroites relations avec les fournisseurs de logiciel et de matériel avec qui ils travaillent. Et ces relations permettent d'améliorer l'efficacité et l'efficience des opérations. Lorsqu'un problème émerge, les équipes informatiques savent qui appeler pour le résoudre. Avec l'open source, la question de "qui appeler ?" se pose.

Une fragmentation des OS déjà effective

Android est une plate-forme pertinente et elle mérite les éloges qui lui sont faites. Mais son plus grand facteur clé de succès a été son volume de diffusion sur une véritable diversité de mobiles. Le fait de pouvoir choisir entre une large variété de smartphones et de sélectionner n'importe quel opérateur mobile crée un nombre considérable d'utilisateurs potentiels d'Android, nettement plus important qu'avec les clients qui préfèrent l'iPhone.

C'est bien pour les clients et pour la plate-forme Android, mais c'est un véritable cauchemar pour les administrateurs IT qui essaient de gérer une infrastructure mobile. Un utilisateur peut posséder un Motorola Droid 2 d'Android 2.2a, alors qu'un autre pourra détenir un mobile Fascinate de chez Samsung, avec Android 2.1, et un Dream de chez HTC sur lequel est installée Android 1.6. Ces matériels ont des capacités différentes, les plate-formes Android ne sont pas les mêmes et les interfaces propriétaires, ds surcouches logicielles, viennent compliqué les choses. Les administrateurs IT doivent donc être familiers avec l'ensemble de ces propriétés et trouver un moyen de tous les gérer et d'en assurer la maintenance. Lorsqu'une nouvelle version d'Android est disponible, la possibilité de l'installer ou de la déployer est limitée à quelques modèles de smartphones Android qui reçoivent cette mise à jour. Elel dépend en fait de l'opérateur et du constructeur qui choisissent ou pas de proposer la mise à jour.

Quelque part au milieu

Avant que les passionnés ne démarrent un débat Android versus iOS, indiquons que l'iPhone n'est pas non plus la plate-forme mobile idéale pour les entreprises même si certains aspect, comme le verrouillage applicatif de la plate-forme peuvent répondre à des besoins de sécurité. Certaines SSII, spécialisé dans la sécurité, travaillent d'ailleurs à la qualification des iPhones en remplacement de Blackberry. Histoire de passer d'un terminal basiquement messagerie à un modèle web.
RIM, de son coté, a bati sa solution pour les entreprises avec une plate-forme propriétaire, et une petite collection de terminaux BlackBerry. Avec le lancement de Windows Phone 7 cet automne, Microsoft va être en mesure de proposer une plate-forme de smartphone taillée pour les entreprise set le grand public avec un nombre limité de partenaires.

Tous les espoirs ne sont pas perdus pour Android dans l'entreprise. Pour les sociétés qui peuvent passer outre le problème d'open source, l'OS de Google offre une plate-forme intéressante. Les administrateurs peuvent la rendre moins complexe en sélectionnant une seule marque et un ou deux modèles  pour l'entreprise.

Illustration : HTC Desire HD
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(17/09/2010 14:21:45)

50 millions d'utilisateurs de Blackberry

A l'occasion de la présentation de ses résultats trimestriels, Research in Motion (RIM) a indiqué avoir enregistré 4,5 millions de nouvelles souscriptions à ses services BlackBerry au cours de son deuxième trimestre fiscal, qui s'est achevé le 28 août dernier. Toutefois, le nombre de terminaux vendus par la marque a été plus important sur cette période : 12,1 millions. Jim Balsillie, co-PDG de RIM, s'est félicité d'un "nouveau record de ventes" pour la marque. Au total, RIM a vendu 115 millions de BlackBerry en onze ans, a précisé le groupe dans un communiqué.

Considérés comme les pionniers des smartphones, les terminaux BlackBerry se distinguent par la technologie d'envoi et de réception sécurisée des courriers électroniques en mode push, c'est-à-dire en temps réel. Très utilisés dans le milieu professionnel, les BlackBerry touchent désormais une plus large partie du public, grâce notamment à des modèles compacts (Pearl), tactiles (Storm et Torch), et davantage tournés vers le multimédia et les fonctions sociales (Facebook, Twitter, etc.).

Pour faire face à la concurrence de l'iPhone 4 et des futurs smartphones Android, RIM mise sur la nouvelle génération de son système d'exploitation, BlackBerry OS 6, déjà intégrée dans le modèle Torch, et prochainement disponible sur les Pearl 3G et Curve 3G. 
Selon une récente étude publiée par le cabinet Gartner, BlackBerry OS représenterait, en 2010, la troisième plateforme mobile sur le marché des smartphones, avec 17,5% de parts, derrière Symbian (40,1%) et Google Android (17,7%). Elle devancerait iOS d'Apple (15,4%) et Windows Mobile (4,7%).

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(16/09/2010 15:16:54)

Les équipements connectés en DLNA en pleine croissance

Les fabricants de produits électroniques pour le grand public, comme les téléphones mobiles, les lecteurs Blu-Ray, les téléviseurs, les ordinateurs portables, les consoles de jeux et les PC se sont mis à intégrer cette technologie à leurs appareils. La DLNA est une norme qui a été adoptée par environ 250 marques. Cela permet aux consommateurs de partager et d'utiliser des fichiers multimédias comme des vidéos, des documents, de la musique et des photos sur les appareils autonomes compatibles avec ce standard.

Un rapport du 13 septembre du cabinet de recherches marketing In-Stat montre que les téléphones, les PC et les télés numériques constitueront 74% du marché de la DLNA. Les cadres de photos numériques constituent la catégorie qui va connaître la plus grande croissance dans le marché de la DLNA. In-Stat prévoit que plus de 33 millions de cadres numériques compatibles seront vendus en 2014 (contre moins d'un million d'unités vendues en 2009).

Un effort de médiatisation à fournir


« Intégrer la DLNA à Windows 7 va booster le marché », commente Norm Bogen, analyste chez In-Stat. « Cependant, l'adoption de l'UPnP et de la DLNA s'étend au-delà des ordinateurs personnels. Les téléphones et les télévisions numériques rejoignent les PC au rang des catégories de produits qui verront des hausses significatives de nombres de produits compatibles au cours des 5 prochaines années ». Malgré la croissance rapide du nombre de produits connectés sur le marché actuel, la plupart des consommateurs ne sait pas que cette technologie existe, et ne connaît pas ses bienfaits. Seuls 6% des consommateurs ont admis être "très ou assez au courant de la DLNA", selon In-Stat.

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(16/09/2010 14:54:54)

Orange offensif sur les tablettes et les OS mobiles

Stéphane Richard a d'abord confirmé qu'Orange allait répercuter l'éventuel passage de la TVA à 19,6% pour les forfaits triple play incluant télévision, Internet et téléphone fixe. Parlant d'un « coup de massue fiscal », le numéro 1 du groupe estime que cette mesure coûterait 230 millions d'euros à l'opérateur. L'ampleur de cette répercussion sur la facture de l'abonné n'a pas été précisée, mais elle devrait tourner aux alentours de deux à trois euros. Free aurait évalué ce surplus à trois euros.

Tablettes et travail commun sur un OS mobile


Côté produits, le dirigeant a confirmé la sortie de plusieurs tablettes dans les mois à venir, dont la Galaxy Tab de Samsung, sous Android, qui sera « siglée Orange », ainsi qu'une ardoise produite par la marque chinoise Huawei avant la fin de l'année. Cette dernière coûtera moins de 200 euros.

Interrogé sur les smartphones, il a fait savoir qu'Orange, mais aussi d'autres opérateurs, pourraient s'unir dans la bataille des systèmes d'exploitation mobiles face à Google et Apple. « C'est pour cela que j'ai invité le 8 octobre à Paris les patrons de Vodafone, Telefonica et Deutsche Telekom. Nous voulons réfléchir en commun à la création d'un système d'exploitation, qui est le cheval de Troie utilisé par les Google et autre Apple pour établir leur propre relation avec nos clients » a-t-il confié. « Cela peut prendre diverses formes : une société commune, petite usine à applications communes, nous allons voir... Nous ne voulons pas être des suiveurs mais reprendre les rênes dans l'innovation ».

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