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(08/07/2010 14:12:36)

Nokia demande à la Russie de récupérer un proto de son N8

Mercredi, Nokia faisait savoir sur son site que l'entreprise avait signalé aux autorités russes que le blogueur Eldar Murtazin, lequel avait posté en avril un court article en russe sur le site Mobile Review illustré de quelques photos du N8. Or ce prototype, premier téléphone à exécuter la première version Open Source de Symbian et sur lequel le constructeur fonde de grands espoirs pour revenir sur le marché haut de gamme, n'est pas encore disponible. Si le finlandais présente bien discrètement ce mobile à certains journalistes de par le monde, il n'est toujours pas question de test pour cause d'instabilité logicielle.

Nokia précise avoir officiellement demandé à Eldar Murtazin la restitution du téléphone, mais affirme n'avoir obtenu aucune réponse. Le blogueur, lequel, semble-t-il, n'a pas révélé comment il s'est procuré le téléphone, reconnaît avoir reçu une lettre « vague » de Nokia. Il déclare qu'il a répondu aux questions, y compris celle lui demandant de préciser la nature du bien auquel il fait référence dans son billet, mais indique qu'il n'a reçu aucune réponse. Il affirme aussi avoir tenté à plusieurs reprises d'entrer en contact avec Nokia à propos du téléphone, mais sans résultats. Celui-ci n'a pas encore réagi à la demande formulée par Nokia à la police russe.

Dans son blog, Nokia écrit à maintes reprises que sa décision de faire appel aux autorités russes n'a rien à voir avec les critiques d'Eldar Murtazin à l'encontre de l'entreprise. « Pour être clair, nous n'avons pas de problème avec les individus qui expriment leur opinion sur notre société et nos produits,» écrit « Phil » le représentant de Nokia dans un message. Rédacteur en chef du site Mobile Review, Eldar Murtazin semble aussi offrir des services de consulting aux fabricants de téléphones. Son profil Twitter, le décrit en effet comme un éditeur et un analyste qui «travaille sur certains projets de téléphones avec des entreprises connues. » Son rôle de consultant potentiel semble préoccuper Nokia. « La question de savoir si M. Murtazin a agi en tant que blogueur ou en qualité de consultant dans le but de fournir des informations à ses clients est ouverte, » indique le message publié sur le blog de Nokia. Du blog à l'espionnage industriel, il n'y aurait donc qu'un pas... 

Crédit photo : Mobiel-Review

(...)

(06/07/2010 17:11:51)

L'abandon de Kin signe de la déshérence de Microsoft dans le mobile

Six semaines à peine après l'accouchement laborieux de Kin, Microsoft a fait savoir que ces smartphones ne seront plus vendus aux Etats-Unis et le lancement européen a été ajourné. En interne, l'équipe du Kin va être dispatchée au sein de celle de Windows Phone 7. Proposé en deux modèles, le Kin résultait de l'achat début de 2008 par Microsoft de Danger, une entreprise à l'origine des téléphones Sidekick de T-Mobile. Restés mystérieusement en phase de développement pendant ce qui a semblé être une éternité, ces mobiles ont longtemps porté le nom de code Pink.

Des terminaux trop onéreux

Les avis ne manquent pas sur les raisons pour lesquelles le Kin a été abandonné. Mais c'est probablement une combinaison de motifs : stratégie de commercialisation approximative, incompétence de Microsoft en matière de marché ciblant les jeunes, absence d'un App Store, prix élevé des téléphones et abonnement data trop coûteux (30 $ par mois) chez Verizon. La conséquence a été des ventes à des niveaux médiocres. Ironiquement, deux jours seulement avant la mort du Kin, l'opérateur de téléphonie mobile baissait ses prix de manière spectaculaire. Car, 100 dollars plus un abonnement de 30 dollars par mois pour un téléphone «social» destiné aux ados et préados, ça ne semble pas très raisonnable. Une estampille « pour parents aisés seulement » aurait dû être apposée sur les téléphones.

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Le prix du Kin II correspondait en effet au prix de l'Eris Droid d'HTC et il était même plus cher que le Palm Pre Plus et le Touch Pro2. Par ailleurs, pour brouiller un peu plus le message de simplicité, le système d'exploitation embarqué était un système hybride qui tenait à la fois de Windows Phone 7 et de Windows Mobile 6.5.

Un gâchis financier


Du coup, personne n'a acheté le Kin, et Microsoft a manqué de patience, gaspillant entre temps des millions de dollars en développement et en publicité.

Windows Mobile n'intéresse pas les utilisateurs américains, lassés de devoir attendre encore cinq mois de plus pour voir Windows Phone 7 sur le marché. Il est inquiétant aussi de constater que Microsoft a dépensé pour les Kins autant d'argent en développement sans obtenir de résultat. Pour une grande entreprise, injecter des millions de dollars en recherche et en publicité dans un produit majeur, pour l'écarter ensuite est signe d'une mauvaise gestion, de manque d'objectif et de dépenses inutiles. Rappelons que l'acquisition de Danger avait tout de même coûté à elle seule 500 millions de dollars.

Inquiétude sur Windows Mobile 7

A l'évidence, cette erreur de la firme de Redmond arrive à un moment où l'entreprise aurait vraiment besoin de montrer une stratégie claire dans la téléphonie mobile. Le ciel s'assombrit pour Windows Mobile : Apple et RIM ont démarré sur les chapeaux de roues et Google a déjà inondé le marché avec des téléphones Android en s'associant à plusieurs fournisseurs.

Certes, même s'il avait survécu, l'arrivée de Windows Phone 7 aurait probablement éclipsé les smartphones. Mais la courte durée de vie de l'appareil a été perçue comme une débâcle. Le sentiment d'une mauvaise stratégie mobile de la part de Microsoft n'est pas prêt de quitter les esprits, d'autant plus que l'attente d'un système mobile Windows Phone 7 traîne en longueur.

(...)

(06/07/2010 11:12:34)

Les 2500 zones blanches 3G bientôt couvertes

(Source EuroTMT) Selon nos informations, les trois opérateurs mobiles seraient parvenus à un accord sur les modalités de mise en oeuvre de l'accord de "Ran Sharing" (partage de réseau d'accès radioélectrique), conclu en début d'année sous l'égide de l'Arcep (Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes). 

Cet accord de partage d'infrastructures doit permettre d'équiper les zones blanches en 3G pour aboutir en 2013 à une couverture 3G nationale équivalente à celle de la couverture GSM. Orange, SFR et Bouygues Télécom ont donc convenu de se partager en trois tiers les 2500 sites à équiper. Selon un fournisseur de solutions réseau, chaque opérateur choisissant son équipementier, les appels d'offres devraient être finalisés avant les vacances estivales pour permettre aux premiers tests d'être réalisés avant la fin de l'année. 

Illustration (D.R.)
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