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Société
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(26/04/2007 16:06:27)
Google détrône aussi Microsoft dans le palmarès des audiences en mars
Selon l'AFP qui reprend une étude du cabinet d'étude américain Comscore, Google aurait évincé Microsoft de la tête des sites les plus visités au monde en mars. Un second pied de nez cette semaine, la pieuvre Google ayant déjà détrôné Microsoft dans le classement Millward Brown des marques les plus puissantes. Selon Comscore, les services frappés de la marque Google auraient totalisé 528 millions de visiteurs uniques en mars, contre 526,9 millions pour les services de Microsoft. La hausse de fréquentation de 13% de Google est attribuée par le cabinet au large succès de YouTube qui a reçu sur la seule période 160,8 millions de visiteurs uniques (soit une hausse de 630% en un an). Notons que YouTube, avant le rachat de Google en mars 2006, n'enregistrait qu'un faible 22 millions de visiteurs uniques. Microsoft de son côté connaît une faible hausse de 4% de sa fréquentation en mars. Au palmarès Comscore siègent les sites Yahoo en troisième position (avec 473,3 millions de visiteurs uniques), devant ceux de Times Warner (dont AOL, avec 272 millions) et d'eBay (256 millions). (...)
(26/04/2007 16:03:29)Présidentielle : Le Munci sonde les candidats avant de s'engager
A dix jours de l'élection du prochain chef de l'Etat, le Munci (Mouvement pour une union nationale et collégiale des informaticiens) adresse une lettre ouverte aux deux prétendants. Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy y sont invités à exprimer leurs positions sur vingt points, très concrets, concernant l'emploi IT en France et, plus généralement, le monde du travail. Après avoir envoyé un épais document de position aux aspirants élyséens le mois dernier, le Munci renouvelle donc l'expérience en tirant les leçons de sa première tentative : « On n'a pas reçu de réponse de qualité, explique Régis Granarolo, le représentant du Munci, simplement des réponses de politesse, suite à notre document de position envoyé avant le premier tour. La méthode employée n'était certainement pas la bonne : le document ne comportait pas de question précise. Cette fois, on interroge les candidats sur des points précis et importants. Sur les vingt thèmes abordés, on veut une réponse pour au moins dix. C'est ce qu'on a expliqué à Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy dans un courrier personnel. » Ces dix points concernent : - la discrimination à l'encontre des séniors, pour lesquels le syndicat réclame l'instauration de quotas à l'embauche ; - les prestations de service dans lesquelles il faut « remettre de l'ordre », selon Régis Granarolo ; - les délocalisations des prestations intellectuelles qu'il convient de combattre en excluant des appels d'offres publics , par exemple, les entreprises qui y ont beaucoup recours; - la sécurisation du contrat de travail et la mise en place de gardes-fous contre les licenciements abusifs ; - l'encadrement de la mobilité géographique ; - la facilitation de l'accès au marché pour les petites structures ; - l'encadrement des transferts de personnels dans le cadre de procédures d'externalisation ; - la mise en place de mesures visant à éviter le dumping social ; - la promotion du syndicalisme de masse ; - l'exercice facilité du droit syndical. Le Munci a déposé sa lettre ouverte directement dans les QG de campagne des deux postulants à la magistrature suprême et espère recevoir des réponses la semaine prochaine. « Quand on voit que tous les candidats ont répondu à l'April, on serait très vexé si on ne recevait rien », reconnaît Régis Granarolo. Si le syndicat se veut apolitique, il « se réserve le droit d'apporter [son] soutien à l'un des deux candidats », selon les réponses qui lui seront communiquées. En savoir plus : Téléchargez la letter ouverte du Munci aux deux candidates (en PDF) (...)
(26/04/2007 12:36:19)Les Anglais inventent l'école virtuelle
La municipalité d'Oldham, près de Manchester, va déployer un réseau de visiocommunication reliant les 120 établissements scolaires dont elle a la charge. L'objectif de cette « passerelle d'apprentissage » (bridge for learning) est de permettre aux élèves, parents, enseignants, animateurs culturels et responsables municipaux, d'échanger et de partager des informations, de participer à des programmes, des réunions, des formations ou encore à des sorties virtuelles. Ainsi, des centaines d'élèves pourront assister à des spectacles sans se déplacer. « Ce moyen de communication doit être la partie intégrante d'un nouveau comportement de chacun, dans sa vie quotidienne d'élève ou d'enseignant », affirment les responsables de la municipalité qui souhaitent participer à l'essor d'une « culture vidéo ». Pour faciliter la conversion, ils ont décidé de nommer dans chaque établissement un « champion » chargé d'évangéliser élèves et professeurs. C'est l'Américain LifeSize (pour les équipements HD) et le Britannique Codian (pour les ponts) qui ont remporté le marché. (...)
(25/04/2007 17:36:51)Google détrône Microsoft au top des marques
Les consommateurs aiment Google. Selon le dernier classement Brandz opéré par le cabinet américain Millward Brown, Google devient la marque la plus puissante en terme de valeur, détrônant Microsoft, n°1 du précédent classement en 2006. Le classement Brandz Top 100 most powerful Brands repose sur une analyse combinant des facteurs financiers de la société à sa cote de popularité parmi les clients et les consommateurs. Les résultats livrent, en tant que référence, une valorisation financière de la marque. Outre les nouvelles technologies, le classement étudie les entreprises de tous les secteurs d'activités confondus, de l'agroalimentaire à la finance et l'automobile. Avec un marque évaluée à 66 Md$, Google se hisse à la première place, alors que la société était référencée 7e dans le classement 2006. Microsoft tombe en 2007 à la troisième place avec une marque évaluée à presque 55 Mds, perdant au passage 11%. En 2006, le nom Microsoft plafonnait à plus de 62 Md$. La deuxième place reste inchangée, toujours occupée par General Electric, à presque 62 Md$. La quatrième est détenue par Coca-Cola valorisée à plus de 44 Md$, devant China Mobile (5e à plus de 41 Md$) et Marlboro (6e à presque 40 Md$). L'industrie des technologies est également représentée par IBM (9e, valorisé à 34 Md$), suivent Nokia (12e, 32 Md$), HP (15e, 25 Md$) Apple (16e) dans un mouchoir de poche, puis Cisco et Intel (24e et 25e), SAP (27e), Oracle (30e), Dell (37ee) et Yahoo (42e). Outre Google qui bondit de 77%, Apple enregistre une progression fulgurante de 55% dans le classement. Signe que la marque suit la tendance à la convergence du marché, note Millward dans un communiqué, notamment avec l'iPhone. Intel réalise, quant à lui, la plus belle chute dans le palmarès, passant de la 15e à la 25e position (-26% valorisé à 19 Md$). Il est à noter que la première société française, Louis Vuitton (industrie du luxe), est classée 20e (à presque 23 Md$). L'Oréal et Carrefour occupent les 46e et 49e place. (...)
(25/04/2007 17:13:36)Présidentielle : les machines à voter victimes de l'affluence, d'après leurs promoteurs
Il serait vain de vouloir établir un lien entre les longues files d'attente qui s'étiraient ce 22 avril devant de nombreux bureaux électoraux et les machines à voter installées dans ces mêmes lieux. C'est du moins l'avis d'ES&S, le fournisseur d'un des trois modèles d'ordinateurs de vote agréés en France. On aurait été surpris du contraire : le fabricant tire « un bilan positif » de l'utilisation de ses appareils qui ont « démontré leur capacité à saisir les votes efficacement et en tout confidentialité. Il faut en moyenne moins de dix secondes à un électeur pour voter », explique ES&S. Et le constructeur de mettre les files d'attente sur le compte du peu d'abstention : « les délais constatés dans les bureaux de vote, équipés ou non de machines à voter, étaient liés au processus d'identification et d'émargement. En effet, la participation exceptionnelle de 83,78% [...] a pu entraîner des ralentissements pendant ces deux étapes ». La ville d'Issy-Les-Moulineaux fait le même constat : « contrairement aux inquiétudes, la ville [...] n'a enregistré aucun dysfonctionnement technique du fait de la mise en oeuvre de machines à voter sur l'ensemble de ses bureaux. » La municipalité conduite par André Santini proclame, par conséquent, qu'elle « aura à nouveau recours au vote électronique lors du second tour. » A l'inverse, au Perreux-sur-Marne (94), les électeurs retrouveront les traditionnelles urnes le 6 mai prochain. La mairie ne remet pas en cause la sincérité du scrutin ni la fiabilité des ordinateurs, mais regrette les difficultés d'organisation liées à l'affluence des électeurs conjuguée à l'utilisation des machines. Le code électoral prévoit qu'une seule urne doit être installé dans chaque bureau de vote. Or une machine à voter est considérée comme une urne. Le plus grand bureau de Perreux comptant près de 2000 inscrits, les électeurs ont dû patienter jusqu'à près de 22 heures pour pouvoir donner leur voix à leur candidat. (...)
(24/04/2007 18:07:46)Présidentielle : les machines à voter perturbent les électeurs (mise à jour)
Cet article a été complété d'un reportage vidéo à Issy-Les-Moulineaux Des files d'attente interminables, des électeurs mécontents, des personnes âgées perdues : le bilan des machines à voter pour le premier tour de l'élection présidentielle est loin d'être positif. Certes, le taux de participation a largement dépassé les estimations, mais ce seul fait ne suffit pas à justifier les difficultés auxquelles ont été confrontés les électeurs. A Issy-les-Moulineaux, par exemple, chaque bureau de vote n'était équipé que d'une seule machine à voter. Un nombre vraisemblablement insuffisant qui a provoqué de longues files d'attentes jusque sur les trottoirs. D'autant que de nombreux administrés, au premier rang desquels les personnes âgées, ont éprouvé des difficultés à saisir le mode de fonctionnement des ordinateurs de vote. « Cette situation paraît tout à fait invraisemblable, explique un habitant d'Issy. Il paraît incroyable qu'on ait pu fabriquer des machines aussi peu performantes et que la procédure d'enregistrement soit faite en dépit du bon sens. Le problème n'est pas la confiance dans le vote mais dans le rendement extrêmement bas de cette machine ». Amiens et Saint-Malo reviennent aux urnes La question de la sécurité et de la sincérité des résultats ne semble pas avoir inquiété les électeurs qui, à l'image d'une administrée de la commune conduite pas André Santini, explique que « si ça existe, c'est que ça fonctionne », tout en reconnaissant n'avoir aucun moyen de vérifier que le vote enregistré correspond bien à son choix. Désireux d'avertir les électeurs sur les failles que peuvent présenter les machines, deux habitants d'Issy avaient entrepris une campagne d'affichage dans la ville ainsi qu'une distribution de tracts. Deux initiatives que n'a guère goûté le maire : celui-ci s'est tourné vers le tribunal de grande instance et a fait condamner ses deux administrés à cesser leurs actions. Face aux difficultés rencontrées à l'occasion de ce premier tour de scrutin et aux polémiques nées avant même que l'élection n'ait lieu, plusieurs communes ont jugé préférable de revenir aux traditionnelles urnes. C'est notamment le cas de Saint-Malo : « le maire a décidé de revenir au papier pour le second tour et pour les élections législatives », explique-t-on à l'hôtel de ville. Une démarche qu'avait déjà suivie Amiens, avant le premier tour. La cité picarde a indiqué avoir tenu compte de « la réticence exprimée par de nombreux administrés à l'égard de ce nouveau système de vote ». La semaine dernière, ES&S, le fabricant d'un des trois modèles de machines retenues pour équiper les bureaux de vote, avait remplacé tous les appareils distribués jusqu'alors après qu'il eut été attesté que ces machines ne correspondaient pas à l'agrément reçu en 2005. (...)
(24/04/2007 16:05:37)Nicolas Sarkozy à candidats.fr : "Je ne reviendrai pas sur la Dadvsi"
Nicolas Sarkozy a envoyé, peu avant le premier tour de l'élection présidentielle, sa réponse au questionnaire de candidats.fr, un projet initié par l'April (Association pour la promotion et la recherche en informatique libre) à l'occasion de Solutions Linux 2007. Le candidat de l'UMP rejoint ainsi Ségolène Royal, qui avait adressé ses réponses le 11 avril. L'ancien ministre du Budget d'Edouard Balladur est clair sur un point : l'importance qu'il accorde au respect du droit d'auteur et aux moyens de le défendre - les mesures techniques de protection notamment - implique qu'il « ne [reviendra] pas sur la loi Dadvsi ». Nicolas Sarkozy explique ainsi qu'on « ne peut pas à la fois prétendre défendre la propriété intellectuelle et s'opposer à la protection juridique des mesures techniques de protection. Mon choix a toujours été de défendre la propriété intellectuelle. Il ne changera pas ». Il concède cependant qu'il réalisera un bilan de la loi tant décriée à la fin de l'année, un bilan que Nicolas Sarkozy nomme « la clause de revoyure. » Le candidat s'est par ailleurs exprimé sur l'épineuse question des brevets logiciels. « La protection par les brevets est nécessaire, estime-t-il, car en rétribuant les efforts de l'inventeur, elle encourage les entreprises à innover. » Et l'ancien locataire de la place Beauveau de rappeler que cette protection a été à l'origine « de toutes les révolutions industrielles qu'ont connues nos sociétés ». Mais s'il se prononce en faveur des brevets, Nicolas Sarkozy ne prône pas de mesure concrète allant dans ce sens. Il « a fait le choix de ne pas répondre directement et de nous adresser uniquement une position de fond à la dernière minute, tempête Gérald Sédrati-Dinet, le président de la FFII*. Ce qui est encore plus inacceptable, c'est que cette position globale reflète une incompétence flagrante sur les enjeux des brevets ». * la FFII (Foundation for a free information infrastructure) a collaboré au questionnaire de candidats.fr (...)
(23/04/2007 14:35:06)Présidentielle : les machines à voter perturbent les électeurs
Des files d'attente interminables, des électeurs mécontents, des personnes âgées perdues : le bilan des machines à voter pour le premier tour de l'élection présidentielle est loin d'être positif. Certes, le taux de participation a largement dépassé les estimations, mais ce seul fait ne suffit pas à justifier les difficultés auxquelles ont été confrontés les électeurs. A Issy-les-Moulineaux, par exemple, chaque bureau de vote n'était équipé que d'une seule machine à voter. Un nombre vraisemblablement insuffisant qui a provoqué de longues files d'attentes jusque sur les trottoirs. D'autant que de nombreux administrés, au premier rang desquels les personnes âgées, ont éprouvé des difficultés à saisir le mode de fonctionnement des ordinateurs de vote. « Cette situation paraît tout à fait invraisemblable, explique un habitant d'Issy. Il paraît incroyable qu'on ait pu fabriquer des machines aussi peu performantes et que la procédure d'enregistrement soit faite en dépit du bon sens. Le problème n'est pas la confiance dans le vote mais dans le rendement extrêmement bas de cette machine ». Amiens et Saint-Malo reviennent aux urnes La question de la sécurité et de la sincérité des résultats ne semble pas avoir inquiété les électeurs qui, à l'image d'une administrée de la commune conduite pas André Santini, explique que « si ça existe, c'est que ça fonctionne », tout en reconnaissant n'avoir aucun moyen de vérifier que le vote enregistré correspond bien à son choix. Désireux d'avertir les électeurs sur les failles que peuvent présenter les machines, deux habitants d'Issy avaient entrepris une campagne d'affichage dans la ville ainsi qu'une distribution de tracts. Deux initiatives que n'a guère goûté le maire : celui-ci s'est tourné vers le tribunal de grande instance et a fait condamner ses deux administrés à cesser leurs actions. Face aux difficultés rencontrées à l'occasion de ce premier tour de scrutin et aux polémiques nées avant même que l'élection n'ait lieu, plusieurs communes ont jugé préférable de revenir aux traditionnelles urnes. C'est notamment le cas de Saint-Malo : « le maire a décidé de revenir au papier pour le second tour et pour les élections législatives », explique-t-on à l'hôtel de ville. Une démarche qu'avait déjà suivie Amiens, avant le premier tour. La cité picarde a indiqué avoir tenu compte de « la réticence exprimée par de nombreux administrés à l'égard de ce nouveau système de vote ». La semaine dernière, ES&S, le fabricant d'un des trois modèles de machines retenues pour équiper les bureaux de vote, avait remplacé tous les appareils distribués jusqu'alors après qu'il eut été attesté que ces machines ne correspondaient pas à l'agrément reçu en 2005. (...)
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