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Société
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(01/09/2010 17:05:43)
La DGGCRF admoneste plusieurs voyagistes en ligne
A l'occasion du lancement de l' « Opération Interministérielle Vacances », le 1er juillet dernier, Hervé Novelli, secrétaire d'Etat chargé du Tourisme, souhaitait mettre l'accent sur le thème des « Vacances pas chères », proposées par les sites Internet. Pour ce faire, la DGCCRF (Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes) a contrôlé tout au long de l'été 429 sites web, qui ont donné lieu à 79 rappels à la règlementation et 8 procès-verbaux. Parmi eux, 12 compagnies aériennes à bas coût ont été surveillées. L'une d'elles, dont le ministre a souhaité taire le nom, s'est vu opposer un PV pour « pratiques commerciales trompeuses ».
Un contrôle continu
Le secrétaire d'Etat en charge également de la Consommation a mis au jour « de nombreuses anomalies », concernant en particulier les offres à prix attractifs « s'avérant très difficiles à trouver sur le site, voire inexistantes ». Il ajoute que « les contrôles ont aussi mis en évidence des cas de sociétés dont les tarifs annoncés initialement diffèrent des montants réellement exigés à la fin de la commande ». Fort de ces constats, il a déclaré que « la DGCCRF ne relâchera pas ses efforts. Elle ciblera les sites à la Toussaint et à Noël, sur le principe de la tolérance zéro ».
Scam avec de faux mails Hadopi
Alors que l'envoi des premiers mails d'avertissement est imminent, dans le cadre de la riposte graduée instaurée par la loi Hadopi, les internautes doivent d'ores-et-déjà apprendre à démêler le vrai du faux. En effet, des escrocs ont déjà fait parvenir de faux avertissements censés provenir de la Haute Autorité et demandant aux individus de s'acquitter d'une amende en ligne. Par ce procédé, les malfaiteurs ont pour but de récupérer à la fois les informations bancaires des victimes, mais aussi leurs coordonnées personnelles.
Il existe cependant des moyens simples pour déterminer l'authenticité de ces mails. Tout d'abord, ils ne sont pas nominatifs, contrairement à ceux qui seront effectivement émis par l'Hadopi, explique son secrétaire général Eric Walter, mettant en garde contre ces pratiques. Il ajoute par ailleurs qu'il n'est demandé aucun paiement dans les véritables mails, étant donné qu'il ne s'agit que d'avertissements. Néanmoins, le public n'ayant toujours pas connaissance du modèle d'emails qui seront émis, il doit rester vigilant et être à l'affut de la moindre incohérence, même si Eric Walter indique que ce modèle sera très probablement copié lui aussi lorsqu'il sera diffusé. Le manque d'informations concernant la mise en place de cette loi tant de fois délayée ne semble pas avoir été compensé par les distributions estivales de prospectus aux péages, au grand bonheur de ces arnaqueurs en ligne.
Illustration : Eric Walter, secrétaire général de l'Hadopi
Crédit Photo : D.R.
Payer le WiFi à l'hôtel, énerve les Français
Avoir à payer pour accéder au WiFi (78%) ou encore pour une place de parking (30%) et le petit-déjeuner (12%), voilà le top 3 des mécontentements des touristes concernant les suppléments à l'hôtel, selon Hotels.com. D'ailleurs, concernant le WiFi, 68% des Français affirment qu'ils ne paieront jamais pour obtenir un accès Internet à l'hôtel et 33% considèrent que ce service devrait être gratuit.
Toutefois, comparé aux autres voyageurs internationaux, les Français semblent moins râleurs. Ils ne sont que 11% à remettre en question les suppléments pratiqués par les hôteliers au moment de régler la note, alors que 56% des autres touristes n'hésitent pas à marchander.
Cette enquête a été conduite auprès de 1.815 voyageurs à travers le monde entre le 21 juillet et le 11 août 2010.
Crédit Photo: D.R
(...)(31/08/2010 10:10:32)La France, un surf sans trop d'inquiétudes sécuritaires
A partir de 127 millions d'ordinateurs étudiés dans 144 pays, l'éditeur de logiciel de sécurité a déduit un nombre d'attaques potentielles par utilisateur. Résultat, c'est la Turquie qui pointe en tête des pays les moins sûrs avec 1 risque sur 10 d'être touché par un virus. Suivent la Russie (1 risque sur 15), l'Arménie, l'Azerbaïdjan et le Bangladesh.
A l'inverse, les pays les plus sûrs pour surfer sur Internet se trouvent en Afrique. Sierra Leone (1 risque sur 700), Niger, Togo et Namibie figurent ainsi dans le cinq pays les plus sûrs, aux côtés du Japon. La performance de ces pays s'explique par le fait que ces pays africains comptent relativement peu d'internautes.
L'hexagone, bon élève
La France pointe au 127ème rang avec 1 risque d'attaque pour 225 utilisateurs. Une bonne performance qui vaut à l'Hexagone d'être classé parmi les 20 pays les plus sûrs au monde pour surfer sur le Web.
En revanche, les Etats-Unis se situent au 9ème rang avec un risque d'attaque élevé, de 1 sur 48. L'un des pays les connectés au monde se classe entre le Portugal (1 sur 43) et le Pakistan et l'Ukraine (1 sur 48 chacun).
A l'échelle mondiale, AVG estime qu'un internaute a 1 chance sur 73 d'être victime d'une attaque de virus. (...)
James Gosling lance des T-shirts de libération de Java
James Gosling, « père » de Java reste un militant dans l'âme et a choisi de rappeler les engagements d'Oracle sur le langage Open Source, en proposant à la vente plusieurs objets, dont des t-shirts. Ces derniers arborent un logo entouré d'une phrase « Java, programming language has achieved such wiedspread usage, that for the health of the industry, it's time to Just Free it » (Java, le langage de programmation a atteint une telle maturité d'usage que pour la bonne santé de l'industrie, il est temps de rendre Java libre) et d'un sous-titre « Hold Oracle to their Pledge » (Aider Oracle à respecter ses engagements).
Un autre T-shirt montre Larry Ellison, PDG d'Oracle, avec une phrase « We're long past 1984 » (Nous ne sommes plus en 1984 (date de naissance de Java). Ces T-shirts sont proposés au prix de 19,90 et 24,90 dollars. James Gosling, sur son blog souhaite que des personnes portent ses vêtements lors des conférences OpenWorld et JavaOne pour faire pression sur les dirigeants d'oracle.
Hormis les T-Shirt, le site propose des magnets pour réfrigérateur, des mugs pour boire son café ou thé ou simplement un badge.
Paul Allen poursuit plusieurs sociétés pour violation de brevets
AOL, Apple, eBay, Facebook, Google, Netflix, Office Depot, OfficeMax, Staples, Yahoo et YouTube sont les sociétés assignées par Interval Licensing, société détenue par Paul Allen, co-fondateur avec Bill Gates de Microsoft. La saisine de la Cour du District Ouest de Washington porte sur la violation de plusieurs brevets relatifs à la recherche, au multimédia, les fenêtres d'affichage, ainsi que la gestion des bases de données.
Interval Licensing a hérité des brevets de Interval Research, société aujourd'hui disparue, fondée par Paul Allen et David Liddle en 1992 et travaillant sur la recherche dans les systèmes d'information, les communications et l'informatique. Les droits de propriété intellectuelle concernés par la plainte couvrent des technologies importantes pour le Web et se décomposent comme suit :
- U.S. Patent No. 6,263,507, relatif à " Browser for Use in Navigating a Body of Information, With Particular Application to Browsing Information Represented By Audiovisual Data."
- U.S. Patent No. 6,034,652 et No. 6,788,314 relatif "Attention Manager for Occupying the Peripheral Attention of a Person in the Vicinity of a Display Device."
- U.S. Patent No. 6,757,682, relatif "Alerting Users to Items of Current Interest."
David Postman, porte-parole de Paul Allen estime qu'Interval est un contributeur «révolutionnaire» au développement de l'Internet commercial. Les brevets sont essentiels pour le fonctionnement des sites de e-commerce et des moteurs de recherches, précise-t-il.
Les sociétés assignées agacées
Les réponses des différentes sociétés incriminées ont été de deux ordres. D'un côté, Google et Facebook sont montées au créneau. Le premier a indiqué « cette plainte contre quelques-unes des entreprises les plus innovatrices d'Amérique reflète une tendance fâcheuse de certaines personnes préférant rivaliser dans les tribunaux que sur le marché. L'innovation et non les juridictions est la seule voie pour apporter des produits et des services bénéfiques pour des millions de personnes dans le monde ». Pour Andrew Noyes, porte-parole de Facebook « nous espérons que cette poursuite sera déclarée sans fondement et nous nous battrons vigoureusement ».
Pour Yahoo, AOL et Apple, aucun commentaire n'a été donné.
Google corrige un bug d'envois multiples sur Gmail
Corrigé jeudi, le bug de Gmail provoquait l'envoi multiple des mêmes mails, au grand dam des expéditeurs, mais aussi des destinataires. C'est il y a seulement quelques jours que les premiers symptômes du bug se sont déclarés, mais simplement mardi que les utilisateurs mécontents ont commencé à envahir le forum officiel d'aide de Gmail. Ils affirmaient que certains messages étaient envoyés de manière répétitive à quelques correspondants, et parfois même sur une période s'étalant sur plusieurs jours.
Le problème a donc été résolu dans la nuit de jeudi, et selon Google, il ne devrait désormais plus y avoir de cas de duplication des messages. La firme de Mountain View n'a néanmoins pas précisé combien de personnes avaient été touchées par ce bug, disant seulement que « moins de 2,5% des utilisateurs de Gmail » avaient subi un tel désagrément. Une porte-parole de l'entreprise affirme par ailleurs que « des centaines de millions » d'internautes se servent de Gmail. En faisant un bref calcul, ceux qui auraient été victimes de ce problème pourraient alors se compter par millions, sans compter les destinataires.
Un bug socialement pénalisant
La section « composer et envoyer des messages » de la version anglaise du forum d'aide de Gmail avait été complètement saturée par des centaines de plaintes d'utilisateurs qui s'était retrouvés dans des situations désagréables vis à vis de potentiels employeurs, de clients, de dirigeants, partenaires et connaissances. Certains spammeurs malgré eux expliquaient d'ailleurs qu'ils avaient été ajoutés en liste noire, les empêchant d'accéder à certains noms de domaine et donc aux personnes y étant affiliées. Un officiel de Google s'est excusé sur le forum consacré à ce bug quant aux dommages qu'il a pu créer pour les utilisateurs touchés. Malgré cela, aucune explication technique de ce qui avait bien pu se produire n'a été donnée.
La Chine impose ses solutions de sécurité aux entreprises locales
La Chine enclenche la vitesse supérieure pour laisser la sécurité des infrastructures réseau critiques aux mains d'entreprises locales, ce qui est de mauvais augure pour celles qui sont basées en dehors du pays. Le gouvernement a en effet commencé à dépêcher, l'an passé, des inspecteurs pour vérifier la mise aux normes des éléments de sécurité, dans le cadre de l'initiative Multi-Level Protection Scheme (MLPS) présentée il y a trois ans par le ministère de la sécurité publique. Elle impose que les produits utilisés par les sociétés gouvernementales ou relative à l'infrastructure du pays, comme les banques et les transports, soient fournis par des entreprises chinoises. Des équipementiers de sécurité comme Cisco ou Symantec pourraient du coup être exclus de ce marché en pleine croissance, ou forcés à nouer des partenariats locaux, d'après Stephen Kho, conseiller dans un cabinet d'avocat basé à Washington. « Pour le moment, cela ne semble affecter que les entreprises de sécurité informatique ». Il précise que, tandis que le MLPS était connu depuis 2007, il n'était pas envisagé que le gouvernement puisse par la suite imposer ces régulations. « Quand ils l'ont mis en place, personne n'y a réellement prêté attention. Bien souvent, ces lois restent dans les livres et ne font rien du tout ».
Un faux air de protectionnisme
Certains s'inquiètent que la Chine puisse utiliser ces sujets relatifs à la protection des infrastructures pour verrouiller le marché croissant des produits de sécurité. Si l'on en croit un rapport de la Chambre de Commerce Américaine basée en Chine, les officiels du pays auraient déclaré que la plupart des agences gouvernementales et entreprises publiques auront l'obligation d'être aux normes d'ici la fin de l'année. Le MLPS n'est qu'une des politiques mises en place par la Chine pour contribuer au développement de technologies « maison ». La Chambre de Commerce déclare à ce propos que « ces politiques qu'adopte la Chine sous le prétexte « d'innovations étrangères » sont de plus en plus verrouillées et protectionnistes par nature ».
L'an dernier, Trond Undheim, directeur de la stratégie normative chez Oracle, avait déjà signalé que d'autres lois et régulations posaient quelques soucis, notamment la Chinese Compulsory Certification (CCC) qui impose la divulgation de la propriété intellectuelle pour certains produits de sécurité. « La Chine est pour le moment certaine de pouvoir limiter l'empreinte globale de l'industrie informatique sur son territoire. Ils ont conçu tout un lot de combines pour y parvenir, notamment centrées autour de la législation des systèmes de sécurité informatiques ».
Crédit Photo : http://www.china-certification.com/en/index.php , Agent de Certification à la CCC
Un député pioche dans sa réserve parlementaire pour réduire les zones blanches
« C'est un budget de plus de 100 000 euros que j'ai alloué pour 2010, dans le cadre de ma réserve parlementaire, aux communes de ma circonscription non encore éligibles à l'internet haut débit, afin d'accélérer les dossiers en cours » affirme Lionel Tardy sur Lioneltardy.org.
Deux premiers sites de la circonscription ont d'ores et déjà été équipés en haut débit ADSL où Orange et Free fournissent des offres commerciales. Ces premiers sites équipés le sont dans le cadre du programme du SYANE (Syndicat des Energies et de l'Aménagement numérique de la Haute-Savoie) pour combler les zones blanches présentes dans le département de Haute-Savoie. L'enveloppe globale de ce programme est de l'ordre de 4,6 millions d'euros dont 500 000 euros sont aux frais des communes pour l'équipement de 25 autres sites et l'ouverture de plus de 1 900 lignes ADSL non-éligibles jusque là.
La falsfication d'identité a un prix sur Internet
Les activités des piratage informatiques telles que le vol d'identité ou le phishing ne concernent pas uniquement un détournement d'argent selon McAfee, fournisseur de solutions de sécurité (récemment racheté par Intel). En effet, les cybers pirates disposent d'un arsenal plus large que ce que l'on pouvait penser. Ils peuvent fournir à tout criminel en fuite un document falsifié lui permettant de se promener rasséréné.

Un tableau du prix des passeports falsifiés (Crédit : McAfee)
Le passeport est l'objet le plus falsifié. Certains sites pourront, moyennant de l'argent, falsifier un passeport pour le pays que vous souhaitez. A titre d'exemple le passeport le moins cher, celui de l'Azerbaïdjan, ne coûtera « que » 870 dollars quand au passeport français, il vaudra 5 530 dollars. Les sites dans ce genre peuvent créer de fausses cartes de crédit avec des soldes pouvant monter jusqu'à 50 000 dollars.

Un tableau du prix de cartes de crédit falsifiés (Crédit : McAfee)
De fait, il est désormais possible de travestir tout un ensemble de papiers officiels c'est pourquoi McAfee, avertit le public en lui conseillant de faire très attention à la diffusion de leurs données personnelles, que ce soit sur les réseaux sociaux ou dans la vie « réelle » étant donné que le pirates informatiques redoublent d'ingéniosité pour voler tout document pouvant leurs rapporter de l'argent. (...)
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