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Société

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(29/07/2010 16:42:17)

France.fr s'oriente vers un nouvel hébergeur

Selon le site Challenges.fr, le Service d'Information du Gouvernement a changé de prestataire d'hébergement pour le site France.fr. La société Cyberscope est écartée au profit de Typhon qui s'occupe notamment de Meetic.  France.fr a eu une vie éphémère le jour de la fête nationale, avant d'afficher un message d'indisponibilité avec une reprise dans la deuxième quinzaine d'août.

Selon les responsables gouvernementaux, les problèmes rencontrés par le site vitrine ne seraient pas du fait d'un trop grand nombre de connexions et d'un mauvais paramétrage des serveurs. Les errements seraient plutôt à trouver dans le nombre importants de pages introuvables et les requêtes de changement de langue. L'outil de CMS, Drupal, est aussi pointé du doigt, sur la panne du site. Dries Buytaert, créateur de Drupal s'est défendu dans un entretien au Monde  en expliquant  qu'il « a envoyé un e-mail aux autorités françaises pour leur proposer d'héberger le site ou de leur fournir des conseils sur sa conception, gratuitement. Je n'ai pas eu de réponse, mais je suspecte qu'un problème qui dure aussi longtemps ne peut pas être uniquement technique, il est peut-être aussi politique ».

(...)

(23/07/2010 11:00:11)

France.fr devrait renaître fin août

Lancé le 14 juillet dernier, France.fr, le premier portail de promotion de la France à l'étranger, a dû être fermé quelques heures seulement après sa mise en service. Le public devrait pouvoir y accéder dans la deuxième quinzaine d'août, une fois toutes les vérifications techniques finalisées, indique le Sig (Service d'informations du gouvernement). Un message, adressé aux internautes sur le portail, avance une « relance opérationnelle », d'ici la fin de la saison estivale et dès novembre, une nouvelle version permettant aux touristes du monde entier de collaborer à l'animation du site Web.

France.fr a délivre des  informations pratiques destinées notamment aux touristes étrangers. Les renseignements fournis (1 million de documents) sur le site Web devaient notamment être accessibles en cinq langues, dont l'Anglais et l'Espagnol.

(...)

(21/07/2010 11:09:06)

Les pratiques du e-commerce sous surveillance

Les autorités ont surtout relevé des manquements quant à l'identification du vendeur, des fausses annonces de réduction de prix et de fausses inscriptions gratuites. Mis en place en 2000 pour « veiller à la sécurité du consommateurs sur Internet », le Centre de surveillance du commerce électronique a effectué 9 728 contrôles en 2009 auprès de 7 353 sites marchands (soit 11% des sites marchands).

Des comportements litigieux

Ce travail a donné lieu à 189 procès-verbaux et 1.124 rappels de règlementation. Les autorités ont en effet eu du mal parfois à relever l'identité d'un vendeur, si celui-ci était un particulier ou un professionnel ou s'il était domicilié en France. Des pratiques commerciales trompeuses ont été aussi observées. Les internautes sont dans ce cas attirés par des offres avantageuses qui ne sont finalement que « très marginales, voire absentes ».

A noter que certains sites se permettent d'ajouter des frais accessoires ou des options non demandées explicitement par le consommateur dans le panier virtuel. Une pratique qui peut même se faire à l'insu de ce dernier.


Crédit Photo: D.R (...)

(20/07/2010 13:59:48)

Pas de vacances sans Internet pour les français

Se passer du Web pendant les vacances paraît difficile pour 71% des Français interrogés dans le cadre d'une enquête menée par MediaprismGroup. Ce pourcentage monte à 84% chez les cadres supérieurs, désireux de rester connectés même en congés.

Pour plus de la moitié des sondés, l'usage de la Toile en vacances est pratique (57%). Les cadres (66%) et les 18-24 ans (65%) partagent encore plus cet avis. Pour preuve, la lecture des e-mails personnels (85%), devant la recherche d'informations touristiques (47%) ou la recherche d'informations personnelles (39%) sont les utilisations les plus fréquentes d'Internet en vacances.

Les réseaux sociaux pour les plus jeunes

Les e-mails professionnels ne sont consultés que par un Français sur cinq, bien que les cadres soient deux sur cinq à les consulter même en congés. Les plus jeunes consultent leurs mails personnels avant tout (84%) mais souhaitent aussi rester connectés à leurs réseaux sociaux (75% contre 33% de l'ensemble des sondés).

Cette enquête a été réalisée en ligne du 13 au 16 juillet 2010 auprès d'individus âgés de 18 ans et plus issus de la communauté de 12 millions d'Internautes Email&Vous. L'échantillon de 2 335 personnes a été redressé pour être représentatif de la population étudiée sur des critères de sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle de l'individu, région et revenus.

 

Crédit Photo: D.R

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(19/07/2010 17:21:13)

Le m-commerce européen balbutie toujours

Le cabinet d'analyses a constaté le niveau d'adoption du commerce sur mobile (ou « m-commerce ») à partir d'un échantillon de 14 000 personnes en Europe. Le résultat, sans réelle surprise, est que ce dispositif peine à s'installer dans les usages. Seuls 2% des personnes interrogées déclarent effectuer des achats de produits par ce biais.

Espoir ou optimisme ?

Le taux de sondés intéressés par ce mode d'achat, 5%, est lui aussi peu reluisant. Malgré ces chiffres, l'étude se veut relativement optimiste quant à l'avenir du m-commerce, le corrélant avec l'adoption croissante des smartphones. Thomas Huchon, analyste chez Forrester constate aussi que de plus en plus de marchands adaptent leur site en le déclinant soit en application soit en site web mobile. Mais les acheteurs en ligne ne sont que 16% à lier cette activité de e-commerce à l'utilisation de leur smartphone, et seulement pour parcourir les rayons virtuels, suivre leur commande ou bien trouver un point de vente correspondant. Or, on peut soupçonner que l'adoption du commerce mobile, puisqu'il passe par des interfaces relativement similaires à celle du e-commerce et fait appel aux mêmes compétences, devrait principalement affecter cette population. Ces 16% sont donc faibles, et presque de mauvais augure malgré les efforts consentis par ces marchands.

Les chiffres empirent si l'on se focalise sur la France : 1% seulement a effectué des achats par mobile, et 3% se déclarent intéressés. A l'opposé, en tête du classement, la Suède et l'Italie avec respectivement 8% et 10% d'intéressés, et 3% affirment, pour les deux pays, avoir déjà effectué un achat de cette manière.

Consulter n'est pas acheter

L'étude souligne le développement de certaines tendances sur les sites web mobile : la mise en place d'outils de comparaisons ou de dépôt et consultations d'avis sur les produits en magasin. Elle cite les exemples des versions adaptées des sites touslesprix.com et Sephora. La recherche de produits et services par l'intermédiaire du téléphone mobile serait, en effet, d'après l'étude, l'usage le plus répandu, et ne concernerait pourtant pas plus de 7% des acheteurs en ligne, mais près de 32% des usagers quotidiens de l'Internet mobile y aurait par contre recours. A l'inverse, 84% des acheteurs en ligne n'utilisent pas du tout leur mobile pour le shopping, alors que seuls 45% des usagers quotidiens n'y ont pas recours. Par ailleurs, les utilisateurs d'iPhone semblent plus enclins à effectuer leurs recherches de produits par mobile, puisque 23% d'entre eux affirment le faire au moins mensuellement. La familiarisation à l'outil nomade est donc clairement le facteur clé, bien plus que l'usage de l'achat à distance par ordinateur, qui se révèle être une condition minime lorsqu'il s'agit de sauter le pas du m-commerce.

Enfin, comme à l'accoutumée, Forrester offre ses recommandations aux entreprises concernées : celles-ci doivent considérer les plateformes mobiles comme faisant partie d'une stratégie multi-canal pour toucher leur clientèle, mais elles doivent aussi fournir une expérience d'achat la plus satisfaisante possible sur ce canal. Cela passe par une adaptation aux différentes plateformes, de l'iOS 4 à Android par exemple, ou par une refonte du site d'achat en ligne afin de lui offrir une ergonomie équivalente sur le web classique et mobile.

 

 

Crédit Photo: D.R

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(15/07/2010 16:31:22)

Le site France.fr fait pschittt

Selon Thierry Saussez, directeur du Service d'information du gouvernement (SIG) lors d'un entretien accordé à Europe1, le site France.fr se veut « une vitrine de la France dans le monde ». Mis en ligne symboliquement le 14 juillet, le site France.fr pointe depuis aujourd'hui aux abonnés absents. Et selon Thierry Saussez, qui répondait aux questions du JDD, « je dois prévenir les usagers que nous ne remettrons pas en service France.fr tant que le serveur ne sera pas d'aplomb ». Car le site a été victime de son succès et le serveur n'a pas supporté la charge de trafic. D'après le responsable de la communication gouvernementale « lors du lancement de site, le nombre de connexions a atteint la barre des 2.000. Mercredi matin, le cap des 25.000 était franchi, provoquant la paralysie du serveur ». Un audit a été diligenté sur cette panne.

Un site riche


Ce site s'adresse principalement aux étrangers qui souhaitent obtenir des informations touristiques ou professionnelles (sociétés, expatriés, etc.) sur la France. Il est disponible en 5 langues et comprend près d'un million de documents. Plusieurs rubriques sont mises à disposition, « connaître » avec des cartographies interactives;  « visiter » recensant le patrimoine touristique de la France;  « vivre » ; « étudier » ; « travailler » et « entreprendre ».

Une version 2.0 est prévue pour le mois de novembre prochain en espérant que la plateforme d'hébergement choisie ait été dimensionnée et configurée en conséquence.

(...)

(13/07/2010 18:03:40)

IBM assume la défaillance de la banque DBS à Singapour

IBM a admis sa responsabilité concernant la panne des systèmes informatiques ayant touché DBS, une des banques les plus importantes de Singapour, le 5 juillet dernier. Big Blue explique qu'un de ses employés aurait commis une erreur de jugement, qui aurait ensuite provoqué cet incident. Dans un communiqué publié mardi, IBM explique que les problèmes ont débuté lorsque les logiciels de surveillance ont détecté une instabilité au sein du système de stockage de la banque. Alors que ce système était toujours « entièrement fonctionnel », des employés d'IBM auraient lancé un processus de récupération pour régler l'instabilité en question. « Malheureusement, l'incapacité à appliquer la procédure correcte a causé, par inadvertance, la panne généralisée » indique IBM, tout en faisant remarquer de nouveau qu'aucune donnée n'a été perdue durant l'incident.

Un partenariat à renforcer

La défaillance avait fait s'effondrer toutes les plateformes informatiques de DBS pendant sept heures, empêchant les clients de retirer de l'argent dans les distributeurs. Tous les systèmes, qu'ils soient à destination des clients ou des entreprises, avaient été touchés. Dans le même temps, la banque avait d'ores et déjà confirmé l'absence de perte de données. La plupart de ces systèmes sont gérés par IBM via un contrat d'outsourcing, signé en 2002, de 868 millions de dollars.

De nouvelles mesures préventives

Les deux entreprises sont actuellement en train de faire en sorte qu'un incident de ce type ne se reproduise plus. IBM aurait d'ailleurs « pris des mesures pour améliorer la formation de notre personnel local, en vue de mieux intégrer les procédures actuelles, et fait venir certains de nos experts afin de les aider dans cette optique », explique le communiqué de la firme d'Armonk. On peut aussi y lire qu'IBM et DBS ont mis en place « des actions supplémentaires en vue d'augmenter significativement la résistance et la redondance de cette partie de l'infrastructure informatique de la banque ».

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(12/07/2010 12:22:46)

Le Syntec formalise les contrats SaaS

Avec l'aide d'Olivia Flipo, avocate chez, Staub & Associés, le Syntec Informatique a donné les grandes orientations d'un contrat SaaS. Cette méthode de distribution des applications est devenue la porte d'entrée du cloud, mais elle nécessite quelques spécificités juridiques à prendre en considération lors de la signature d'un accord entre client et prestataire. Dans le guide produit par le syndicat et la juriste, il est souligné qu'un contrat Software as as Service est complexe, car il fait appel à plusieurs type de contrats, logiciel, maintenance et assistance technique. Nonobstant, les problématiques sont connues en tournant autour de 3 points, auxquels le Syntec apporte des réponses.

Une charte de qualité


Si le préambule du contrat est essentiel en matière de définition du service et des objectifs poursuivis pour fixer les responsabilités du prestataire, une attention particulière sera portée sur la qualité des applicatifs. Ainsi, le guide explique « l'impact des pannes pouvant avoir de graves conséquences pour le client. En dépit du fait que le client a de fortes attentes, le prestataire ne saurait être responsable de toutes les défaillances et notamment celles du réseau Internet. Il faut donc être très vigilant lors de la rédaction de cette clause, la plupart des interruptions étant fréquemment liées à des problèmes réseaux, voire à des virus ou malveillance. » Il est donc conseillé d'intégrer la mise en place d'un service redondant permettant de contourner les pannes d'origine matérielle ou réseaux. De plus, le syndicat propose la rédaction d'une annexe spécifique la création d'une charte de qualité ou la mise en place de SLA.

Ainsi sur les performances, cette charte doit comprendre des éléments très précis  en définissant « des niveaux de performances minimum attendus ainsi que d'anticiper et de corriger d'éventuelles défaillances. Il n'est pas inutile de mettre à disposition des futurs utilisateurs un profil de performances de l'application par heure, par jour, par semaine, par mois. » Idem sur la partie réseaux où les parties doivent indiquer la capacité de bande passante, les consignes de tests et les dispositifs d'assistance.

 

Crédit Photo: DR

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En matière de sécurité des données, le guide renvoie à la loi Informatique et Liberté, mais encourage en cas d'informations sensibles le recours au cryptage. Par ailleurs, un audit technique doit être intégré dans le contrat « compte tenu du caractère très confidentiel de telles ou telles données circulant en mode SaaS ». Cet audit est encadré, tiers indépendant, coûts, modalités, périodicité, personnes autorisées, etc.

Une réversibilité balbutiante


Au coeur des débats sur le cloud, la question de la réversibilité du contrat, c'est-à-dire la récupération des données lorsque le contrat avec un prestataire est rompu, trouve un début de réponse dans ce guide. « Si en mode SaaS, la réversibilité est simplifiée, le rapatriement  en interne d'une application hébergée peut s'avérer problématique, s'il faut convertir le format des données » explique le guide. Cela suppose de vérifier l'intégrité des données et de déterminer un mode d'exécution en parallèle jusqu'à la fin de la conversion. Si les conditions techniques ne sont pas résolues, « les parties doivent prévoir de renvoyer l'élaboration du plan de réversibilité, dans un délai donné, lors de l'exécution du contrat » précise le guide.

Par ailleurs, le contrat doit bien préciser le pays de localisation des serveurs et donc d'hébergement des données  pour deux raisons : éviter qu'en cas de litige ce ne soit la loi du pays où se trouvent les serveurs qui s'applique, même si la localisation du serveur ne suffit pas, à elle seule, à déterminer la loi applicable. En second lieu, permettre aux clients d'effectuer les déclarations requises auprès de la CNIL.

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(09/07/2010 16:07:52)

Le mystérieux code du Cyber Commandement américain craqué (MAJ)

9ec4c12949a4f31474f299058ce2b22a, c'est ce que l'on peut lire sur le rond doré, au centre du blason du cyber commandement américain. Ce code a été soumis par un site Internet à la sagacité de ses lecteurs et les hypothèses ont été légions. Du mot de passe pour le réseau WiFi de l'organisation à sa localisation GPS, l'imagination des Internautes n'a pas de limites.

La solution a été dévoilée par Sean-Paul Corell, un chercheur de Panda Security, éditeur d'anti-virus, qui a reconnu, un Hash MD5, une méthode de scellement, qui était lié à la phrase indiquant les missions attribuées à l'organisation : « USCYBERCOM plans, coordinates, integrates, synchronizes and conducts activities to: direct the operations and defense of specified Department of Defense information networks and; prepare to, and when directed, conduct full spectrum military cyberspace operations in order to enable actions in all domains, ensure US/Allied freedom of action in cyberspace and deny the same to our adversaries. »

Pour l'anecdote, le chercheur a indiqué qu'entre le moment de sa réflexion sur le sujet et la découverte du lien avec Hash MD5, deux minutes se sont écoulées.

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